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Lilymage présente. Aizenay. Vendée 7.

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Presentation Transcript


  1. Lilymage présente

  2. Aizenay Vendée 7

  3. Aizenay est une commune française de la Vendée, dont les habitants sont appelés Agésinates, ce qui voudrait dire « conducteur d’ânes » selon une tradition du XIIe siècle, mais qui se révèle fausse, les Agésinates étant le peuple celte qui occupait la région. Cette bourgade est située à 15 km au nord-ouest de La Roche-sur-Yon, 25 km de Saint-Gilles-Croix-de-Vie et de Challans, 30 km des Sables-d’Olonne (sur la côte vendéenne). Il ne subsiste que peu de vestiges du passé mais lors de travaux de restauration de l’église, 25 sarcophages mérovingiens ont été découverts sous le plancher d’origine. Saint Benoit y est mort en 360. L’Église d’Aizenay a été inscrite Monument Historique en 2007.

  4. La voie ferrée, Aizenay-La Roche/Yon, fut ouverte le 19 Décembre 1880. Pendant 90 ans, voyageurs et marchandises ont circulé sur ces rails. En 1966, le transport des voyageurs s’arrêta. L’année 1992 vit passer le dernier convoi de vendangeuses automotrices. Après plusieurs années de fermeture, la commune acheta le terrain de la gare et transforma cette dernière en Office du Tourisme.

  5. L’ancienne mairie construite entre 1913 et 1914.

  6. L’église Saint-Benoit Cette église fut construite entre 1901 et 1905 sur l’emplacement de la précédente devenue trop petite. Pour l’extérieur, l’architecte a voulu un style très épuré, ne mettant en valeur que les volumes de la nef et la majesté du chœur orné de ses arcs-boutants. Les murs sont constitués de moellons de couleur ocre, les angles, les piliers et les ouvertures soulignés de blocs taillés de calcaire blanc. Le clocher, de plan carré, collé à la façade ouest, culmine à 46 mètres. Réparti en 5 niveaux, il est coiffé d’un simple toit à quatre pans. Il abrite 4 cloches fondues à Orléans par Louis Bollée. La flèche de 19 mètres de haut, prévue en 1914, s’avéra trop coûteuse et trop lourde pour la structure et ne fut jamais réalisée.

  7. Façades latérale et postérieure de l’église Saint-Benoit

  8. L’intérieur contraste fortement avec l’extérieur par la multitude des volumes et éléments décoratifs : c’est le « style » Alcide Boutaud, désirant faire « tourner la tête et éblouir le visiteur pour partager avec lui la beauté de la Foi ». Dans ses écrits, il établit un parallèle avec le vêtement austère du prêtre (simple chasuble noire et rabat blanc) et la richesse de sa vie intérieure, pleine de l’Amour du Christ. Son catholicisme intransigeant et militant lui fait adopter le style gothique considéré au XIXe siècle comme le style catholique pur. Il en adopte le vocabulaire architectural tout en le démultipliant à l’excès : c’est une architecture « pastiche ».

  9. Inspiré du Saint-sépulcre à Jérusalem, cerné de 8 colonnes de granit, le chœur constitue un véritable pain de lumière avec ses quatre niveaux. L’effet recherché est symbolique : la lumière tombant du ciel représente la Parole de Dieu et la nef plus sombre regroupe les hommes dans l’ignorance et l’attente de cette Parole.

  10. Le maître-autel (1925) est le « Seigneur de l’église », concentrant les regards et les lignes architecturales. Il se compose d’un tombeau en marbre blanc, avec une table en onyx d’Algérie, décoré de panneaux sculptés encadrés de colonnettes de couleur rouge et vert, incrustés de mosaïques dorées. Les panneaux représentent le Christ et les disciples d’Emmaüs, Abel offrant un agneau, le prêtre Aaron avec un encensoir. La chaire (1938-1943) est d’un style unique avec un soubassement en granit, habillé de marbre poli jaune, vert et rouge pour les colonnes et comportant 6 panneaux sculptés en marbre blanc non poli.

  11. Les 14 tableaux du Chemin de Croix (1882) proviennent de l’ancienne église. Le vitrail représente Jésus disant au paralytique : « Lève-toi et marche ».

  12. Tous les vitraux (1932/1933) sont des œuvres du peintre-verrier Janin de Nancy. La multiplication des pains. La pêche miraculeuse. L’entrée de Jésus à Jérusalem le jour des Rameaux.

  13. La résurrection du fils de la veuve de Naïm. La Samaritaine rencontre Jésus au puits de Jacob. La Crucifixion.

  14. Une vitrine aménagée, en 2005, abrite les objets précieux de la paroisse. Ostensoir (seconde moitié du XIXe s.) Crucifix en bois polychromé (XVIIe s.)

  15. Ciboire (XVIIe s.) Ostensoir (Fin XIXe s.) Pupitre d’autel (Fin XIXe s.)

  16. Boîte aux saintes huiles et ses 3 ampoules (XIXe s.) Navette à encens (1726-1732) Encensoir (1767)

  17. Le célèbre facteur parisien, Aristide Cavaillé-Coll, réalisa cet orgue en 1870 pour la cathédrale de Quito en Equateur. Mais la mort du président équatorien provoqua l’annulation de la vente et l’orgue fut acquis par des religieuses à Paray-le-Monial, lesquelles le cédèrent à la paroisse d’Aizenay en 1949.

  18. Les Marronniers Cette vaste demeure fut construite en 1807 par Victor Cormier et son épouse. Le Sieur Cormier fut nommé maire d’Aizenay en 1837 et le resta jusqu’en 1848. Ensuite la propriété changea deux fois de propriétaires. Vers la fin du siècle, une association d’entraide fut créée pour les nécessiteux de la commune. Actuellement elle abrite la Mutuelle de Vendée.

  19. Les Grands Moulins ont été créés en 1956.

  20. L’hôtel de ville actuel et sa fontaine.

  21. Parc Delarose

  22. Parc Delarose

  23. Le rond-point du centre En 1994-95, compte-tenu de la circulation, la municipalité décide de créer un rond-point Trois ogives en inox, aux orientations et aux dimensions différentes, rappellent l’église. Cette croisée d’ogives repose sur un socle en forme de bassin à trois niveaux, le tout constituant une étoile à six branches qui symbolise les six routes convergeant vers le rond-point.

  24. L’entrée du château de la Naulière. L’ancien château féodal d’Aizenay n’existe plus. Mais le cadastre confirme son existence sur ce lieu. La date de 1754figure sur la pierre ogivale du porche mais on trouve mention de la propriété de la Naulière dès 1524. Il y aurait eu, à l’origine, un château en bois. Il n’a, toutefois, jamais eu l’importance des châteaux d’Apremont et de Palluau.

  25. C’est l’épouse du seigneur Louis Henry d’Asnières, Catherine de La Tour, qui fit construire cet édifice. Il est impossible de déterminer à qui appartenait le blason. Sur la façade se trouvent une pierre gravée et un écusson. Ces objets ont été rapportés lors de la rénovation de la façade. Situé à proximité de l’ancien château féodal, dont les pierres ont été partiellement récupérées pour sa construction, le nouveau château a été construit en 1850 Ci-dessus, la voûte du porche.

  26. Le château de la Naulière

  27. Le 27 mars 1944, le bombardier B17 américain Big Red s’écrase à la lisière de la forêt d’Aizenay. La chute fait quatre victimes. 50 ans plus tard, en décembre 1944, le livre « Il s’appelait Big Red » sort en librairie. Et le 1er Juillet 1995 est inauguré le « Sentier du Souvenir », monument érigé par la Ville sur les lieux mêmes de la chute du bombardier. Mariage abrupt de l’acier et de la terre, de la violence du drame et de la douceur d’un sous-bois, ce mémorial est le témoignage discret des guerres et de leurs incohérences. Sur des morceaux d’acier symbolisant les débris de l’avion sont gravés les témoignages des habitants alentour qui ont assisté au crash et ont aidé les survivants.

  28. Le cratère que fit une partie du bombardier lors de sa chute.

  29. Informations prises sur place et sur le Net. Musique d’Ernesto Cortazar. Conception, réalisation et photos : L. Cavallari. Date : Juillet 2012. lilymage1@gmail.com Mes diaporamas sont hébergés sur le site de : www.imagileonation.com

  30. Au Revoir

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