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PLAN D’ACTION REGIONAL « pour une offre alimentaire sûre, diversifiée et durable »

PLAN D’ACTION REGIONAL « pour une offre alimentaire sûre, diversifiée et durable ». Plan . Le plan « offre alimentaire » : rappels Contexte national Démarche de déclinaison régionale Plan régional offre alimentaire Auvergne : diagnostic et propositions sur les actions prioritaires

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PLAN D’ACTION REGIONAL « pour une offre alimentaire sûre, diversifiée et durable »

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  1. PLAN D’ACTION REGIONAL « pour une offre alimentaire sûre, diversifiée et durable »

  2. Plan • Le plan « offre alimentaire » : rappels • Contexte national • Démarche de déclinaison régionale • Plan régional offre alimentaire Auvergne : diagnostic et propositions sur les actions prioritaires • Discussion

  3. La plan « offre alimentaire » Contexte national et démarche de construction d’un plan régional

  4. Plan national : OBJECTIFS • Plan d’action pour une offre alimentaire • Sûre • Diversifiée, de bonne qualité • Équilibrée et répondant aux exigences nutritionnelles du PNNS2 • Provenant de modes de production respectueux de l’environnement • En faveur des populations les plus démunies • A décliner au niveau régional sur 3 ans (2009-2011)  Les 3 piliers du développement durable : Économie, environnement, socio-culturel-éthique • 6 volets qui rassemblent 29 actions et sous actions

  5. Complémentarité Offre alimentaire et Nutrition-santé Production Transformation Commercialisation Conséquences sur la santé Choix de consommation OFFRE ALIMENTAIRE

  6. Le contenu du plan régional : des actions, des projets • Respect des orientations nationales et européennes • + des actions d’initiative locale possibles • Globalité de la démarche • Vérification des cohérences :  travail partenarial, inter-services et inter ministériel Avec autres programmes nationaux déclinés en région : • Plan bio Horizon 2012, Plan IAA, Plan Circuits courts, • Plan Ecophyto 2018, • Plan performance énergétique des exploitations, réseau rural… • Etape préalable : un diagnostic • Enjeux économiques, sociétaux de l’offre alimentaire • Recensement des initiatives locales • Identification des acteurs, y compris autres services chargés de la politique du MAAP

  7. Les apports possibles de la DRAAF-SRAL • Mettre les acteurs régionaux en relation : • Mieux se connaître et se comprendre : • Finaliser un diagnostic à l’échelle régionale • Recenser et grouper les problèmes • Constituer un réseau ? • Faire remonter au MAAP • L’état des lieux et le diagnostic régional • Les questions et problèmes du ressort du MAAP  prise en compte dans les politiques publiques • Echanger entre responsables régionaux « offre alimentaire »  mutualiser les solutions à l‘échelle régionale voire inter-régionale • Financer des projets, avec priorité : • aux opérations pilotes, innovantes • aux co-financements

  8. Plan régional : les moyens financiers • Financements nationaux répartis entre régions • Priorité aux crédits incitatifs et aux cofinancements • En 2009 : • 1,3 million d’€/ 22 régions • 2009 : année de transition • En 2010 : 60 à 80 000€/région (répartition début 2010) • Financements européens pour la France • Un fruit pour la récré : 12 millions d’€ en 2009 • Le PEAD : 78,9 millions d’€ en 2009 • + Un plan de communication régional

  9. Les moyens organisationnels nationaux • Information et formation • Plan de formation national des resp pôle offre alimentaire‏ • Formation aux exigences nutritionnelles restauration collective (référent DDSV)‏ • Plate forme électronique d’échange entre régions et avec DGAL • Groupe de travail national • Suivi, évaluation et actualisation • Actualisation annuelle • Suivi et évaluation des actions régionales • Bilan annuel : dialogue de gestion • Bilan national • Travail sur les indicateurs de suivi

  10. Plan régional : une concertation • Une large concertation régionale • Un Comité de pilotage et de suivi :le CROA avec 16 collèges : • Représentants des filières agricoles et alimentaires • Représentants du secteur associatif (consommateurs, parents d'élèves, caritatif...) • ‏ Collectivités locales • Délégations territoriales de l’INAO • Pôles de compétitivités • Établissements d’enseignement • Services déconcentrés… • Secrétariat et appui technique : SRAL • Lien avec les travaux des GRSP

  11. Les étapes de la démarche régionale printemps septembre 1er octobre octobre à déc • Préambule : • Identification des partenaires, structure pilotes • Prise de contacts bilatéraux • Réunion de groupes de travail thématiques pour : • Informer les acteurs • Alimenter le diagnostic régional « offre alimentaire » • Identifier des porteurs de projets et des co-financements • Rédaction d’une proposition • Réunion d’un CROA Auvergne • Reprise et finalisation des diagnostic et plan d’action • Présentation au MAAP pour examen et attribution des crédits pour 2010

  12. Plan régional : les actions • 5 actions obligatoires • “Un fruit pour la récré” : inciter les partenaires locaux à participer (Distribuer un fruit/semaine/enfant dans les écoles avec accompagnemnt pédagogique) • Soutenir la consommation de produits biologiques en restauration collective (obj. 20% en 2012) • Faire connaître le Programme Européen d’Aide aux plus Démunis (PEAD) et son mode d’organisation en appels d’offre aux IAA ou compléter le dispositif par des aides en nature • Etre à l’écoute du consommateur et répondre à son besoin d’information • Créer du lien entre producteurs et consommateurs

  13. Plan régional : les actions • 7 actions facultatives • Actions pédagogiques vis à vis des enfants • Sur le rôle culturel et convivial de l’alimentation • en restauration scolaire : pour mieux choisir ses plats • En restauration collective publique : améliorer l’offre alimentaire • Avec les IAA : inciter et accompagner à s’engager dans les chartes d’engagement de progrès nutritionnel • Structurer les filières biologiques • Actions d’information vis-à-vis des bénéficiairesde l’aide alimentaire pour accompagner la distribution de fruits et légumes • SIQO : renforcer les actions de promotion

  14. Action « un fruit pour la récré » Inciter les partenaires locaux à participer au programme de distribution gratuite de fruits dans les écoles avec un accompagnement pédagogique, et inciter les centres aérés à mener des actions pédagogiques similaires (action 8.1)

  15. « Un fruit pour la récré » • Distribution hebdomadaire de fruits aux élèves (voir cahier des charges) • De saison • en l’état ou transformés • mais sous conditions de qualité et sans additifs (sucre, sel…) • Financement à hauteur de 51% des frais engagés pour la distribution du fruit • Accompagnement pédagogique : • 1 séance par trimestre au minimum • Sur 1 ou 2 ou 3 trimestres • Inscription auprès de FAM

  16. Le public cible en Auvergne • Les écoles maternelles et primaires : • 1 401 écoles, réparties dans 852 communes • 122 169 élèves avec la répartition suivante entre public et privé : • 1 263 écoles publiques avec 103 243 élèves • 138 écoles privées sous contrat avec 18 986 élèves • Les collèges du « Réseau Ambition Réussite » : • 5 collèges dont 4 publics et 1 privé sous contrat • 1 364 élèves • Les lycées agricoles : • 23 lycées agricoles • dont 13 publics (3 087 élèves) • et 10 privés à temps plein (1 056 élèves), • soit au total 4 143 élèves du niveau III au niveau VI Total : 127 676 élèves

  17. Les atouts identifiés • Pour l’animation pédagogique : • Les lycées agricoles (circulaire DGER avec projets) • Existence d’un verger conservatoire du CEPA (Conservatoire des Espaces et Paysages d’Auvergne) • avec des animations pédagogiques biodiversité, goût, paysage, histoire locale, techniques d’arboriculture, • à destination de divers publics (scolaires, grand public, professionnels)

  18. Les freins identifiés (1/2) • Pour informer les structures - cibles • La grande atomisation de la population En moyenne : • 1,6 école/commune • 87 élèves/école (82 /école publique, 138 /école privée)  nécessité de relais d’information ! • Pour l’adhésion des communes • quel intérêt et/ou conscience des enjeux de la thématique « alimentation-nutrition » des enfants ? • difficulté d’organisation de l’approvisionnement en fruits ? • coût restant à la charge de la commune ?

  19. Les freins identifiés (2/2) • Pour l’adhésion des établissements • lourdeur de l’organisation de la distribution ? • mobilisation du projet d’école autour d’une autre thématique ? • Réticences des enfants • manque d’attractivité des fruits distribués ?  • Pour la mise en œuvre de l’opération • Faiblesse de la production locale de fruits

  20. Actions du SRAL en 2009 • Communication par deux méthodes complémentaires • une information de masse par courrier • toutes les communes de la région (MAP, puis Préfecture) • les conseils généraux des 2 départements collèges RAR • le rectorat et les inspections académiques • les diocèses départementaux • les 5 collèges RAR de la région • tous les établissements d’enseignement agricole de la région • les 3 associations de parents d’élèves et leurs représentations départementales • une relance individuelle par mail + rappel téléphonique ciblés • les communes actives dans le domaine « nutrition-santé - environnement » (PNNS, OMS, EPODE…) • les 5 plus grosses communes de chaque département • les communes inscrites pour l’année scolaire 2008-2009 • les communes qui se sont signalées auprès de FAM courant 2009 sans s’inscrire

  21. Les projets pour 2009-2010 (1/2) • Indicateurs au 14 septembre 2009 : • De l’ordre de 4 000 élèves, soit 3% de la population cible • 33 communes intéressées • Communication • Utiliser des relais d’information : • Article dans les revues départementales des maires • conférence de presse + reportage TV et/ou radio dans une école • Renouveler l’information de masse avant date limite/trimestre • Relancer individuellement les communes des zones à enjeu de consommation de fruit (obésité…)

  22. Les projets pour 2009-2010 (2/2) • Accompagner les communes et établissements inscrits • Réseau de communes et établissements • Partage d’expérience • Encourager les nouveaux inscrits • Développer les accompagnements pédagogiques • Encourager l’implication des lycées agricoles • Organiser un approvisionnement des communes en fruits locaux et de bonne qualité gustative

  23. Soutenir la consommation de produits issus de l’Agriculture Biologique dans la restauration collective + des actions facultatives associées

  24. Le contexte national • Un mouvement de fond autour de la thématique • Une politique nationale sur la « Bio » • Grenelle de l’environnement • Plan Bio Horizon 2012 • Circulaire « exemplarité de l’Etat » : 20% de bio en 2012 • Une demande des consommateurs • Des acteurs institutionnels mobilisés Des réflexions multiples • D’autres thématiques associées • Plan « circuits courts » • Recommandations GEMRCN : bientôt obligatoires ? • Une crise financière

  25. Le public cible en Auvergne • Pour 2009 (cf. circulaire indicateurs) • Les restaurants administratifs du MAAPet ceux des établissements publics placés sous sa tutelle • En Auvergne : • 2 restaurants : • DRAAF (gestion concédée) : 2,6% de produits Bio en 2007 • EnitaC (gestion directe) : 1,9% des repas Bio en 2007 • Pour 2010 : • Élargissement aux 5 restaurants inter-administratifs ? (1 514 repas/j)

  26. Des atouts en Auvergne (1/2) • Des collectivités territoriales conscientes des enjeux et impliquées dans une démarche globale : la Région, des départements, des communes • Des aides : à l’agriculture bio, aux repas bio, à la structuration de la filière, aux actions de communication-formation- sensibilisation • Des réflexions sur la qualité de la restau coll et l’approvisionnement local : • ± avancées • associant plusieurs partenaires • Des formations des acteurs de la restau coll scolaire • Des établissements scolaires pilotes  des compétences à valoriser • Des entreprises privées de restauration collective intéressées

  27. Des atouts en Auvergne (2/2) • Sur la Bio en RHD • Un encadrement structuré de la Bio impliqué dans la RHD • une interprofession Bio : Auvergne Biologique • Une plate forme logistique spécialisée Bio en restau scolaire : Auvergne Bio Distribution • Un pôle scientifique AB Massif Central : projet Bio en RHD • Un centre de ressources : ABioDoc • Quelques entreprises en fort développement bio  Une dynamique régionale avec une approche intégrée production – transformation – logistique – formation - consommation - sensibilisation

  28. Des freins au dvpt de l’AB (1/3) • Le code des marchés publics : critère environnement (pour AB et local) ? • Une offre en produits Bio régionaux à améliorer • Coût élevé • Insuffisante • En volume • En diversité • Atomisée • Parfois inadaptée à la demande • N’apportant pas toujours les garantiesexigées : sanitaires, hygiéniques, et de traçabilité

  29. Des freins au dvpt de l’AB (2/3) • Un manque d’expérience et un besoin en formationdes gestionnaires et cuisinierssur le Bio et la nutrition-diététique • Une explosion du coût des repas, impossible à assumer par la collectivité, et qui amène • Soit à conclure à l’impossibilité économique du « bio » ; • Soit à un déséquilibre nutritionnel des menus • Une absence d’effet structurant sur la filière bio régionale • Une mauvaise acceptabilité des plats par les usagers • Un découragement ou un refus des cuisiniers devant la tâche de préparation des produits bruts. • Un manque de sensibilisation des usagers sur le Bio • Des difficultés organisationnelles différentes • selon les usagers : élèves/personnel • selon type de gestion : directe/concédée

  30. Des freins au dvpt de l’AB (3/3) • Une contrainte réglementaire qui entrave la logistique des produits • Des visions divergentes du développement de la Bio • La demande du consommateur pour le Bio : absence de consensus et ambiguïté • Un besoin de coordination dans les réflexions et les démarches d’organisation lancées tous azimuts

  31. Actions du SRAL en 2009 • Choix • Contacts et échanges élargis à la restau coll publique • autres restaurants collectifs publics • les trois principales sociétés de restauration prestataires • collectivités territoriales • Associer plusieurs thématiques au Bio • Une démarche progressive d’introduction du Bio • Des repas complets et/ou des ingrédients ? • Constitution d’un groupe de travail « restauration collective : pour une alimentation Bio régulière, de saison et de proximité, et sur la base d’une démarche éducative » • 1ère réunion le 10 septembre

  32. Les actions à associer • Structurer les filières biologiques (action 13.1 du plan national) • améliorer l’offre alimentaireen restauration collective publique(action 9.2 du plan national) • mettre en œuvre des actions pédagogiquesen restauration scolaire visant à mieux choisir ses plats(action 9.3 du plan national) • créer du lien entre producteurs et consommateurs (exemple : développement des circuits courts) (action 6 du plan national)

  33. Projets du SRAL pour 2009-2010 • Dans les 2 restaurants - cibles 2009 : • Organisation d’un repas Bio - test • Sensibilisation des personnels de cuisine et des usagers, • Étude de faisabilité d’augmentation de la fréquence des repas • Pour l’ensemble des établissements de restauration collective publique • Animation du Groupe de travail « restauration collective » • Circulation d’information • du travail national sur « Produits locaux en restauration collective et cadre juridique » • Autres (nationale, des régions) • Poursuite de la communication-sensibilisation • Étude de faisabilité sur l’approvisionnement de proximité • Recensement de l’offre et de la demande en produits locaux pour la RHD • Identification des besoins en structuration de la commercialisation • Proposition d’organisation

  34. + actions du Plan Bio 2012 • Les fiches-actions du plan Bio Horizon 2012 qui concourent aux objectifs • structuration des filières • Soutien à la plate forme Auvergne Bio Distribution (piloté par le Conseil Régional d’Auvergne) • Projets de structuration de filières adaptées à la RHD (maraîchage, pain bio) • Sensibilisation en restauration collective • Développement d’outils pédagogiques • Accompagnement pédagogique et sensibilisation en milieu scolaire • Démarches de sensibilisation hors milieu scolaire

  35. Aide alimentaire

  36. Contexte institutionnel national de l’aide alimentaire • Le PEAD (plan européen d’aide aux plus démunis) • mis en place par l’UE en 1987 • Achat de produits par les associations caritatives pour redistribution • Appels d’offres publics gérés par FranceAgrimer (« offices ») • sur la base des demandes des associations désignées par le MAAP, et dans la limite du règlement PEAD • En 2009, budget du PEAD de 78,9 millions d’€ • 4 associations désignées par l’Etat : • Banque Alimentaire (position particulière) : 41% • Secours Populaire : 29% • Restos du Cœur : 27% • Croix Rouge Française (région parisienne): 3% • Bientôt l’ANDES

  37. Contexte institutionnel national de l’aide alimentaire • Des compléments apportés par : • Le PNAA (plan national d’aide alimentaire) : • Depuis 2004, conçu en complémentarité du PEAD • géré par Min de la Ville et du Logement • en 2008, 20 millions d’€, achat de fruits, légumes et produits carnés, poissons Aide publique = 40% • Les aides en nature (initiatives locales) = 60% • Les collectes • La « ramasse » auprès des producteurs, entreprises, magasins • …

  38. Actions • Les thématiques du plan régional « offre alimentaire » • Faire connaître le plan européen d'aide aux plus démunis (PEAD) et son mode d'organisation en appels d'offre aux entreprises agroalimentaires ou compléter le dispositif par des aides en nature(action 14 du plan national) • Développer des actions d’information aux bénéficiaires de l’aide alimentaire pour accompagner la distribution de fruits et de légumes(action 17 du plan national)

  39. Des difficultés d’information • Chiffrage et caractérisation impossibles • Des besoins • Les bénéficiaires : effectif, caractéristiques, besoins… • Mais en augmentation permanente et accélérée ! • De l’offre actuelle • Les produits distribués : volume, nature, origine, mode de distribution…

  40. Des atouts • Un approvisionnement et une logistique des produits satisfaisants • Exploitation des différentes sources d’approvisionnement • Compétences de la BA en logistique, hygiène alimentaire, maîtrise de la chaîne • Existence d’une ramasse bien organisée • Perception d’une amélioration de la quantité et de la diversité des produits • Une dynamique autour de la conception de politiques publiques et de projets d’action • Des outils de formation de formateurs et d’éducation alimentaire • Une expérience (mitigée) d’ateliers-cuisines • Une dynamique collective initiée entre trois associations

  41. Des freins au PEAD • De la part des IAA Un constat : 1 seule entreprise souscrit au PEAD en Auvergne ! • Aide alimentaire : mal ou pas connue • Freins génériques nationaux à la souscription : • Méconnaissance de la publication des appels d’offres • Lourdeur administrative • Garantie financière • Taille trop réduite des IAA • Potentiel de production trop faible • Pas de main d’œuvre disponible • Crainte de dégradation de leur image ?

  42. Des freins aux dons en nature • Secteurs phares de l’AA avec peu ou pas d’invendus • Diminution prévisible et observée des dons des entreprises • Meilleure maîtrise des processus de fabrication • Fin des quotas laitiers • Implication très variable des GMS dans les dons (gamme de produits, volume, régularité) • Selon les enseignes • Selon les produits • Selon les associations qui les sollicitent

  43. Autres freins • Les associations caritatives sont mobilisées par des difficultés de gestion des denrées du PEAD • Capacité de stockage insuffisante • Gestion complexité car atomisation des lieux de stockage et de distribution • Absence de synchronisation entre livraisons et besoins • Réglementation contraignante et difficile à respecter Dans un contexte d’augmentation importante de l’activité ! • Un déficit en certains produits mais sans consensus • Viande, poisson, fruits et légumes frais, huile, chocolat, café… • Un découragement autour de l’accompagnement des bénéficiaires et de certaines associations

  44. Diagnostic régional • Des questions en suspens • Difficultés d’approvisionnement en denrées ? • Types de produits ? • En volume ? • En régularité ? • Sur certains territoires ? (ruraux) • Difficultés de distribution? • Difficultés à faire accepter certains produits à certaines associations et bénéficiaires ? (produits bruts ?…) • Accès à certains bénéficiaires et/ou sur certains territoires (ruraux) ?

  45. Projets du SRAL en 2010 • Augmenter les souscriptions au PEAD • Informer les entreprises sur le PEAD • Étude de faisabilité d’une réponse collective (Projet URIAA, Bravo l’Auvergne 2009-2010) • Augmenter et améliorer la « ramasse » : • Étude réalisée en août 2009 • Renforcer les dons de la profession agricole (projet Enita Clermont) • Optimiser la ramasse en GMS (projet Enita Clermont) • Informer sur les avantages fiscaux par relais des experts-comptables • Informer les enseignes (guide ANIA) • Informer les associations caritatives des exigences de fonctionnement de la grande distribution • expérimenter l’élargissement de la gamme de produits collectés

  46. Projets du SRAL en 2010 (2/2) • Opération pilote de potagers Bio en milieu rural par et pour les plus démunis à Chateldon • Porteur : ANIS étoilé • Jardin solidaire, dégustations créatives, repas de quartiers, ateliers-cuisines sur les légumes de saison, visites d’exploitations, formation maraîchage…Cible : personnes les plus démunies • Organiser des ateliers-cuisine avec chef étoilé • Porteur : le Secours Populaire 63 • Projets des lycées agricoles • À venir (circulaire DGER)

  47. « être à l’écoute du consommateur et répondre à son besoin d’information »(action n°18)

  48. L’objectif national pour les régions • Etre à l'écoute du consommateur et répondre à son besoin d'information (action 18 du plan national) • Objectif : Informer sur l’alimentation • un moyen pour limiter les idées reçues, • par temps de crise : limiter les réactions disproportionnées au regard des risques réellement encourus • Moyen : • mettre en place des actions régulières d’informationdes consommateurs • sur tous les sujets relatifs à l’alimentation • en utilisant l’expertise des DRAAF, des directions départementales etc...

  49. L’objectif national pour les régions • Actions facultatives à rapprocher : • Soutenir les actions pédagogiques à destination des enfants sur le rôle culturel et convivial de l’alimentation (action 7 du plan national) • Créer du lien entre producteurs et consommateurs (action 6 du plan national) • promouvoir auprès des consommateurs les savoir-faire des agriculteurs, les produits de terroirs et les traditions culinaires • les former au goût et à la diversité des produits, • informer sur les différents modes de production agricoles • Renforcer les actions de promotion sur les signes de qualité (action 5.3 du plan national)

  50. Des questions • Quels sont les besoins d’information du consommateur ? • Sur quelles thématiques ? • Caractéristiques des produits : production, transformation, commercialisation ?… • Comment les connaître ? • comportement du consommateur : achat, consommation, réactions • Existence de spécificités ? • géographiques : France, Auvergne, locales ? • Selon les caractéristiques de la population ? • Comment y répondre ? • Les « lieux » d’information • les méthodes • Les outils • Les acteurs

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