L tat de sant et l acc s aux soins bucco-dentaires des personnes r sidant en EHPAD en Poitou-Charentes

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22. 22 Objectifs

23. 23 M�thode En Limousin, les EHPAD �tudi�s appartenaient majoritairement au secteur public soit 82,7 %. Par contre en Poitou-Charentes, les EHPAD se r�partissaient de mani�re �quivalente entre le public et le priv�. Cette diff�rence entre les 2 r�gions a pu influencer certaines r�ponses des directeurs. En Limousin, les EHPAD �tudi�s appartenaient majoritairement au secteur public soit 82,7 %. Par contre en Poitou-Charentes, les EHPAD se r�partissaient de mani�re �quivalente entre le public et le priv�. Cette diff�rence entre les 2 r�gions a pu influencer certaines r�ponses des directeurs.

24. 24 R�sultats  En Limousin, les EHPAD �tudi�s appartenaient majoritairement au secteur public soit 82,7 %. Par contre en Poitou-Charentes, les EHPAD se r�partissaient de mani�re �quivalente entre le public et le priv�. Cette diff�rence entre les 2 r�gions a pu influencer certaines r�ponses des directeurs. En Limousin, les EHPAD �tudi�s appartenaient majoritairement au secteur public soit 82,7 %. Par contre en Poitou-Charentes, les EHPAD se r�partissaient de mani�re �quivalente entre le public et le priv�. Cette diff�rence entre les 2 r�gions a pu influencer certaines r�ponses des directeurs.

25. 25 Volet Directeurs Globalement, le pourcentage de directeurs satisfait du niveau d�hygi�ne bucco-dentaire prodigu� dans leur �tablissement �tait peu �lev�, avec toutefois pour le Poitou-Charentes un degr� de satisfaction l�g�rement sup�rieur au Limousin, ce qui peut �tre �ventuellement corr�l� au nombre plus important d��tablissements priv�s en Poitou-Charentes. Concernant l�existence d��un protocole �crit d�hygi�ne bucco-dentaire dans les EHPAD, une faible minorit� d�clarait en poss�der un. Leur contenu fera l�objet d�une analyse d�taill�e si l�instauration de protocole est pr�n�e par les instances d�cisionnelles. Globalement, le pourcentage de directeurs satisfait du niveau d�hygi�ne bucco-dentaire prodigu� dans leur �tablissement �tait peu �lev�, avec toutefois pour le Poitou-Charentes un degr� de satisfaction l�g�rement sup�rieur au Limousin, ce qui peut �tre �ventuellement corr�l� au nombre plus important d��tablissements priv�s en Poitou-Charentes. Concernant l�existence d��un protocole �crit d�hygi�ne bucco-dentaire dans les EHPAD, une faible minorit� d�clarait en poss�der un. Leur contenu fera l�objet d�une analyse d�taill�e si l�instauration de protocole est pr�n�e par les instances d�cisionnelles.

26. 26 Volet Directeurs Tr�s majoritairement dans ces deux r�gions, les directeurs estimaient que leur personnel soignant �tait insuffisamment form� � l�hygi�ne bucco-dentaire. Parmi les directeurs non satisfaits du niveau de formation de leur personnel, pr�s des 2/3 d�entre eux d�claraient �tre dans l�impossibilit� de l�orienter vers l�organisme formateur. La principale raison qu�ils ont invoqu�e �tait l�absence de structure connue de formation. Tr�s majoritairement dans ces deux r�gions, les directeurs estimaient que leur personnel soignant �tait insuffisamment form� � l�hygi�ne bucco-dentaire. Parmi les directeurs non satisfaits du niveau de formation de leur personnel, pr�s des 2/3 d�entre eux d�claraient �tre dans l�impossibilit� de l�orienter vers l�organisme formateur. La principale raison qu�ils ont invoqu�e �tait l�absence de structure connue de formation.

27. 27 Volet Directeurs Dans les 2 r�gions, seuls 11 % des EHPAD proposaient des vacations de chirurgiens-dentistes au sein de leur �tablissement. Un peu plus de la moiti� avait instaur� un protocole d�orientation ext�rieure vers des praticiens lib�raux ou hospitaliers. Pour la grande majorit� des EHPAD, l�accompagnement des r�sidents vers les structures de soins bucco-dentaires reposait sur les familles et les ambulanciers. Dans les 2 r�gions, seuls 11 % des EHPAD proposaient des vacations de chirurgiens-dentistes au sein de leur �tablissement. Un peu plus de la moiti� avait instaur� un protocole d�orientation ext�rieure vers des praticiens lib�raux ou hospitaliers. Pour la grande majorit� des EHPAD, l�accompagnement des r�sidents vers les structures de soins bucco-dentaires reposait sur les familles et les ambulanciers.

28. 28 R�sultats  La population examin�e

29. 29 R�sultats  Les conditions d��examen

30. 30 R�sultats 

31. 31 R�sultats 

32. 32 Volet B�n�ficiaires Dans les deux r�gions, pour environ un r�sident sur 5, aucun brossage n��tait d�clar�. Les chirurgiens-dentistes conseils enqu�teurs ont constat� la pr�sence de plaque et de tartre chez la moiti� des r�sidents. Le niveau de ces indicateurs confirme le faible degr� d�hygi�ne bucco-dentaire prodigu� dans les EHPAD. Dans les deux r�gions, pour environ un r�sident sur 5, aucun brossage n��tait d�clar�. Les chirurgiens-dentistes conseils enqu�teurs ont constat� la pr�sence de plaque et de tartre chez la moiti� des r�sidents. Le niveau de ces indicateurs confirme le faible degr� d�hygi�ne bucco-dentaire prodigu� dans les EHPAD.

33. 33 R�sultats  La population �tudi�e

34. 34 R�sultats  La population �tudi�e

35. 35 R�sultats  La population �tudi�e

36. 36 R�sultats  La population �tudi�e

37. 37 R�sultats La population �tudi�e

38. RESULTATS Suggestions d��actions des directeurs et du personnel soignant Les chirurgiens-dentistes conseils enqu�teurs ont, au moyen d�entretiens individuels avec les directeurs et des membres du personnel soignant (infirmi�re - aide-soignant - auxiliaires de vie - m�decins), recueilli l�ensemble des propositions visant � renforcer la sant� bucco-dentaire des r�sidents. Les chirurgiens-dentistes conseils enqu�teurs ont, au moyen d�entretiens individuels avec les directeurs et des membres du personnel soignant (infirmi�re - aide-soignant - auxiliaires de vie - m�decins), recueilli l�ensemble des propositions visant � renforcer la sant� bucco-dentaire des r�sidents.

39. 39 Actions prioritaires � mener En Limousin, les directeurs souhaiteraient que la pr�vention et l�hygi�ne bucco-dentaire soient assur�es par du personnel sp�cialis� ext�rieur � l��tablissement. Quant au personnel soignant, il serait demandeur d��une formation. En Poitou-Charentes, les directeurs d�sireraient que leur personnel b�n�ficie d��une formation � l�hygi�ne bucco-dentaire. Le personnel soignant, quant � lui, serait � parts �gales favorable � une formation et � l�instauration de protocole. En Limousin, les directeurs souhaiteraient que la pr�vention et l�hygi�ne bucco-dentaire soient assur�es par du personnel sp�cialis� ext�rieur � l��tablissement. Quant au personnel soignant, il serait demandeur d��une formation. En Poitou-Charentes, les directeurs d�sireraient que leur personnel b�n�ficie d��une formation � l�hygi�ne bucco-dentaire. Le personnel soignant, quant � lui, serait � parts �gales favorable � une formation et � l�instauration de protocole.

40. 40 Actions prioritaires � mener Majoritairement, les directeurs et le personnel soignant des 2 r�gions pensent que le co�t r�siduel des actes bucco-dentaires � la charge des r�sidents ou de leur famille devrait �tre diminu�. Majoritairement, les directeurs et le personnel soignant des 2 r�gions pensent que le co�t r�siduel des actes bucco-dentaires � la charge des r�sidents ou de leur famille devrait �tre diminu�.

41. 41 Actions prioritaires � mener Tant les directeurs que les personnels soignant des deux r�gions ont tr�s largement pl�biscit� l�id�e de la cr�ation d�un bilan bucco-dentaire syst�matique des r�sidents au moment de l�entr�e en EHPAD. Nous vous remercions de votre attention�. Tant les directeurs que les personnels soignant des deux r�gions ont tr�s largement pl�biscit� l�id�e de la cr�ation d�un bilan bucco-dentaire syst�matique des r�sidents au moment de l�entr�e en EHPAD. Nous vous remercions de votre attention�.

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