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Renart vole des poissons

Renart vole des poissons Cet hiver, Renart n'a plus rien à manger; arrivé au bord d'un chemin, il entend la charrette des poissonniers qui vont vendre leur chargement à la ville.

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Renart vole des poissons

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  1. Renart vole des poissons Cet hiver, Renart n'a plus rien à manger; arrivé au bord d'un chemin, il entend la charrette des poissonniers qui vont vendre leur chargement à la ville. Des poissons ! Des anguilles ! Renart en bave d'envie, il jure d'en avoir sa part. Il se couche en travers du chemin, raidit ses pattes, ferme les yeux, retient son souffle, fait le mort. Les marchands arrivent. Ils sautent à terre, s'approchent, retournent Renart de droite et de gauche, le pincent et le soupèsent. - Il est crevé, dit le petit. - La belle fourrure ! dit le grand. Ça vaut de l'argent ! - Emportons-le... Les hommes jettent la bête sur leurs paniers, et, - youp ! hue ! - se remettent en route, en s'exclamant et en riant de l'aubaine. Alors, sans perdre un instant, Renart travaille des mâchoires. Hap ! Hap ! Il engloutit vingt harengs sans respirer. Hap ! Hap ! Hap ! Il s'attaque aux lamproies, aux soles. Il avale, se régale et dévore tant qu'à la fin il ne peut plus bouger. L’hiver dernier

  2. Renart a volé des poissons Cet hiver, Renart n'a plus rien à manger; arrivé au bord d'un chemin, il entend la charrette des poissonniers qui vont vendre leur chargement à la ville. Des poissons ! Des anguilles ! Renart en bave d'envie, il jure d'en avoir sa part. Il se couche en travers du chemin, raidit ses pattes, ferme les yeux, retient son souffle, fait le mort. Les marchands arrivent. Ils sautent à terre, s'approchent, retournent Renart de droite et de gauche, le pincent et le soupèsent. - Il est crevé, dit le petit. - La belle fourrure ! dit le grand. Ça vaut de l'argent ! - Emportons-le... Les hommes jettent la bête sur leurs paniers, et, - youp ! hue ! - se remettent en route, en s'exclamant et en riant de l'aubaine. Alors, sans perdre un instant, Renart travaille des mâchoires. Hap ! Hap ! Il engloutit vingt harengs sans respirer. Hap ! Hap ! Hap ! Il s'attaque aux lamproies, aux soles. Il avale, se régale et dévore tant qu'à la fin il ne peut plus bouger. L’hiver dernier

  3. Renart a volé des poissons Cet hiver, Renart n'avait plus rien à manger; arrivé au bord d'un chemin, il entend la charrette des poissonniers qui vont vendre leur chargement à la ville. Des poissons ! Des anguilles ! Renart en bave d'envie, il jure d'en avoir sa part. Il se couche en travers du chemin, raidit ses pattes, ferme les yeux, retient son souffle, fait le mort. Les marchands arrivent. Ils sautent à terre, s'approchent, retournent Renart de droite et de gauche, le pincent et le soupèsent. - Il est crevé, dit le petit. - La belle fourrure ! dit le grand. Ça vaut de l'argent ! - Emportons-le... Les hommes jettent la bête sur leurs paniers, et, - youp ! hue ! - se remettent en route, en s'exclamant et en riant de l'aubaine. Alors, sans perdre un instant, Renart travaille des mâchoires. Hap ! Hap ! Il engloutit vingt harengs sans respirer. Hap ! Hap ! Hap ! Il s'attaque aux lamproies, aux soles. Il avale, se régale et dévore tant qu'à la fin il ne peut plus bouger. L’hiver dernier

  4. Renart a volé des poissons Cet hiver, Renart n'avait plus rien à manger; arrivé au bord d'un chemin, il a entendu la charrette des poissonniers qui vont vendre leur chargement à la ville. Des poissons ! Des anguilles ! Renart en bave d'envie, il jure d'en avoir sa part. Il se couche en travers du chemin, raidit ses pattes, ferme les yeux, retient son souffle, fait le mort. Les marchands arrivent. Ils sautent à terre, s'approchent, retournent Renart de droite et de gauche, le pincent et le soupèsent. - Il est crevé, dit le petit. - La belle fourrure ! dit le grand. Ça vaut de l'argent ! - Emportons-le... Les hommes jettent la bête sur leurs paniers, et, - youp ! hue ! - se remettent en route, en s'exclamant et en riant de l'aubaine. Alors, sans perdre un instant, Renart travaille des mâchoires. Hap ! Hap ! Il engloutit vingt harengs sans respirer. Hap ! Hap ! Hap ! Il s'attaque aux lamproies, aux soles. Il avale, se régale et dévore tant qu'à la fin il ne peut plus bouger. L’hiver dernier

  5. Renart a volé des poissons Cet hiver, Renart n'avait plus rien à manger; arrivé au bord d'un chemin, il a entendu la charrette des poissonniers qui allaient vendre leur chargement à la ville. Des poissons ! Des anguilles ! Renart en bave d'envie, il jure d'en avoir sa part. Il se couche en travers du chemin, raidit ses pattes, ferme les yeux, retient son souffle, fait le mort. Les marchands arrivent. Ils sautent à terre, s'approchent, retournent Renart de droite et de gauche, le pincent et le soupèsent. - Il est crevé, dit le petit. - La belle fourrure ! dit le grand. Ça vaut de l'argent ! - Emportons-le... Les hommes jettent la bête sur leurs paniers, et, - youp ! hue ! - se remettent en route, en s'exclamant et en riant de l'aubaine. Alors, sans perdre un instant, Renart travaille des mâchoires. Hap ! Hap ! Il engloutit vingt harengs sans respirer. Hap ! Hap ! Hap ! Il s'attaque aux lamproies, aux soles. Il avale, se régale et dévore tant qu'à la fin il ne peut plus bouger. L’hiver dernier

  6. Renart a volé des poissons Cet hiver, Renart n'avait plus rien à manger; arrivé au bord d'un chemin, il a entendu la charrette des poissonniers qui allaient vendre leur chargement à la ville. Des poissons ! Des anguilles ! Renart en a bavé d'envie, il jure d'en avoir sa part. Il se couche en travers du chemin, raidit ses pattes, ferme les yeux, retient son souffle, fait le mort. Les marchands arrivent. Ils sautent à terre, s'approchent, retournent Renart de droite et de gauche, le pincent et le soupèsent. - Il est crevé, dit le petit. - La belle fourrure ! dit le grand. Ça vaut de l'argent ! - Emportons-le... Les hommes jettent la bête sur leurs paniers, et, - youp ! hue ! - se remettent en route, en s'exclamant et en riant de l'aubaine. Alors, sans perdre un instant, Renart travaille des mâchoires. Hap ! Hap ! Il engloutit vingt harengs sans respirer. Hap ! Hap ! Hap ! Il s'attaque aux lamproies, aux soles. Il avale, se régale et dévore tant qu'à la fin il ne peut plus bouger. L’hiver dernier

  7. Renart a volé des poissons Cet hiver, Renart n'avait plus rien à manger; arrivé au bord d'un chemin, il a entendu la charrette des poissonniers qui allaient vendre leur chargement à la ville. Des poissons ! Des anguilles ! Renart en a bavé d'envie, il a juré d'en avoir sa part. Il se couche en travers du chemin, raidit ses pattes, ferme les yeux, retient son souffle, fait le mort. Les marchands arrivent. Ils sautent à terre, s'approchent, retournent Renart de droite et de gauche, le pincent et le soupèsent. - Il est crevé, dit le petit. - La belle fourrure ! dit le grand. Ça vaut de l'argent ! - Emportons-le... Les hommes jettent la bête sur leurs paniers, et, - youp ! hue ! - se remettent en route, en s'exclamant et en riant de l'aubaine. Alors, sans perdre un instant, Renart travaille des mâchoires. Hap ! Hap ! Il engloutit vingt harengs sans respirer. Hap ! Hap ! Hap ! Il s'attaque aux lamproies, aux soles. Il avale, se régale et dévore tant qu'à la fin il ne peut plus bouger. L’hiver dernier

  8. Renart a volé des poissons Cet hiver, Renart n'avait plus rien à manger; arrivé au bord d'un chemin, il a entendu la charrette des poissonniers qui allaient vendre leur chargement à la ville. Des poissons ! Des anguilles ! Renart en a bavé d'envie, il a juré d'en avoir sa part. Il s’estcouché en travers du chemin, raidit ses pattes, ferme les yeux, retient son souffle, fait le mort. Les marchands arrivent. Ils sautent à terre, s'approchent, retournent Renart de droite et de gauche, le pincent et le soupèsent. - Il est crevé, dit le petit. - La belle fourrure ! dit le grand. Ça vaut de l'argent ! - Emportons-le... Les hommes jettent la bête sur leurs paniers, et, - youp ! hue ! - se remettent en route, en s'exclamant et en riant de l'aubaine. Alors, sans perdre un instant, Renart travaille des mâchoires. Hap ! Hap ! Il engloutit vingt harengs sans respirer. Hap ! Hap ! Hap ! Il s'attaque aux lamproies, aux soles. Il avale, se régale et dévore tant qu'à la fin il ne peut plus bouger. L’hiver dernier

  9. Renart a volé des poissons Cet hiver, Renart n'avait plus rien à manger; arrivé au bord d'un chemin, il a entendu la charrette des poissonniers qui allaient vendre leur chargement à la ville. Des poissons ! Des anguilles ! Renart en a bavé d'envie, il a juré d'en avoir sa part. Il s’estcouché en travers du chemin, a raidi ses pattes, ferme les yeux, retient son souffle, fait le mort. Les marchands arrivent. Ils sautent à terre, s'approchent, retournent Renart de droite et de gauche, le pincent et le soupèsent. - Il est crevé, dit le petit. - La belle fourrure ! dit le grand. Ça vaut de l'argent ! - Emportons-le... Les hommes jettent la bête sur leurs paniers, et, - youp ! hue ! - se remettent en route, en s'exclamant et en riant de l'aubaine. Alors, sans perdre un instant, Renart travaille des mâchoires. Hap ! Hap ! Il engloutit vingt harengs sans respirer. Hap ! Hap ! Hap ! Il s'attaque aux lamproies, aux soles. Il avale, se régale et dévore tant qu'à la fin il ne peut plus bouger. L’hiver dernier

  10. Renart a volé des poissons Cet hiver, Renart n'avait plus rien à manger; arrivé au bord d'un chemin, il a entendu la charrette des poissonniers qui allaient vendre leur chargement à la ville. Des poissons ! Des anguilles ! Renart en a bavé d'envie, il a juré d'en avoir sa part. Il s’estcouché en travers du chemin, a raidi ses pattes, a fermé les yeux, retient son souffle, fait le mort. Les marchands arrivent. Ils sautent à terre, s'approchent, retournent Renart de droite et de gauche, le pincent et le soupèsent. - Il est crevé, dit le petit. - La belle fourrure ! dit le grand. Ça vaut de l'argent ! - Emportons-le... Les hommes jettent la bête sur leurs paniers, et, - youp ! hue ! - se remettent en route, en s'exclamant et en riant de l'aubaine. Alors, sans perdre un instant, Renart travaille des mâchoires. Hap ! Hap ! Il engloutit vingt harengs sans respirer. Hap ! Hap ! Hap ! Il s'attaque aux lamproies, aux soles. Il avale, se régale et dévore tant qu'à la fin il ne peut plus bouger. L’hiver dernier

  11. Renart a volé des poissons Cet hiver, Renart n'avait plus rien à manger; arrivé au bord d'un chemin, il a entendu la charrette des poissonniers qui allaient vendre leur chargement à la ville. Des poissons ! Des anguilles ! Renart en a bavé d'envie, il a juré d'en avoir sa part. Il s’estcouché en travers du chemin, a raidi ses pattes, a fermé les yeux, a retenu son souffle, fait le mort. Les marchands arrivent. Ils sautent à terre, s'approchent, retournent Renart de droite et de gauche, le pincent et le soupèsent. - Il est crevé, dit le petit. - La belle fourrure ! dit le grand. Ça vaut de l'argent ! - Emportons-le... Les hommes jettent la bête sur leurs paniers, et, - youp ! hue ! - se remettent en route, en s'exclamant et en riant de l'aubaine. Alors, sans perdre un instant, Renart travaille des mâchoires. Hap ! Hap ! Il engloutit vingt harengs sans respirer. Hap ! Hap ! Hap ! Il s'attaque aux lamproies, aux soles. Il avale, se régale et dévore tant qu'à la fin il ne peut plus bouger. L’hiver dernier

  12. Renart a volé des poissons Cet hiver, Renart n'avait plus rien à manger; arrivé au bord d'un chemin, il a entendu la charrette des poissonniers qui allaient vendre leur chargement à la ville. Des poissons ! Des anguilles ! Renart en a bavé d'envie, il a juré d'en avoir sa part. Il s’estcouché en travers du chemin, a raidi ses pattes, a fermé les yeux, a retenu son souffle, a fait le mort. Les marchands arrivent. Ils sautent à terre, s'approchent, retournent Renart de droite et de gauche, le pincent et le soupèsent. - Il est crevé, dit le petit. - La belle fourrure ! dit le grand. Ça vaut de l'argent ! - Emportons-le... Les hommes jettent la bête sur leurs paniers, et, - youp ! hue ! - se remettent en route, en s'exclamant et en riant de l'aubaine. Alors, sans perdre un instant, Renart travaille des mâchoires. Hap ! Hap ! Il engloutit vingt harengs sans respirer. Hap ! Hap ! Hap ! Il s'attaque aux lamproies, aux soles. Il avale, se régale et dévore tant qu'à la fin il ne peut plus bouger. L’hiver dernier

  13. Renart a volé des poissons Cet hiver, Renart n'avait plus rien à manger; arrivé au bord d'un chemin, il a entendu la charrette des poissonniers qui allaient vendre leur chargement à la ville. Des poissons ! Des anguilles ! Renart en a bavé d'envie, il a juré d'en avoir sa part. Il s’estcouché en travers du chemin, a raidi ses pattes, a fermé les yeux, a retenu son souffle, a fait le mort. Les marchands sont arrivés. Ils sautent à terre, s'approchent, retournent Renart de droite et de gauche, le pincent et le soupèsent. - Il est crevé, dit le petit. - La belle fourrure ! dit le grand. Ça vaut de l'argent ! - Emportons-le... Les hommes jettent la bête sur leurs paniers, et, - youp ! hue ! - se remettent en route, en s'exclamant et en riant de l'aubaine. Alors, sans perdre un instant, Renart travaille des mâchoires. Hap ! Hap ! Il engloutit vingt harengs sans respirer. Hap ! Hap ! Hap ! Il s'attaque aux lamproies, aux soles. Il avale, se régale et dévore tant qu'à la fin il ne peut plus bouger. L’hiver dernier

  14. Renart a volé des poissons Cet hiver, Renart n'avait plus rien à manger; arrivé au bord d'un chemin, il a entendu la charrette des poissonniers qui allaient vendre leur chargement à la ville. Des poissons ! Des anguilles ! Renart en a bavé d'envie, il a juré d'en avoir sa part. Il s’estcouché en travers du chemin, a raidi ses pattes, a fermé les yeux, a retenu son souffle, a fait le mort. Les marchands sont arrivés. Ils ont sauté à terre, s'approchent, retournent Renart de droite et de gauche, le pincent et le soupèsent. - Il est crevé, dit le petit. - La belle fourrure ! dit le grand. Ça vaut de l'argent ! - Emportons-le... Les hommes jettent la bête sur leurs paniers, et, - youp ! hue ! - se remettent en route, en s'exclamant et en riant de l'aubaine. Alors, sans perdre un instant, Renart travaille des mâchoires. Hap ! Hap ! Il engloutit vingt harengs sans respirer. Hap ! Hap ! Hap ! Il s'attaque aux lamproies, aux soles. Il avale, se régale et dévore tant qu'à la fin il ne peut plus bouger. L’hiver dernier

  15. Renart a volé des poissons Cet hiver, Renart n'avait plus rien à manger; arrivé au bord d'un chemin, il a entendu la charrette des poissonniers qui allaient vendre leur chargement à la ville. Des poissons ! Des anguilles ! Renart en a bavé d'envie, il a juré d'en avoir sa part. Il s’estcouché en travers du chemin, a raidi ses pattes, a fermé les yeux, a retenu son souffle, a fait le mort. Les marchands sont arrivés. Ils ont sauté à terre, se sont approché, retournent Renart de droite et de gauche, le pincent et le soupèsent. - Il est crevé, dit le petit. - La belle fourrure ! dit le grand. Ça vaut de l'argent ! - Emportons-le... Les hommes jettent la bête sur leurs paniers, et, - youp ! hue ! - se remettent en route, en s'exclamant et en riant de l'aubaine. Alors, sans perdre un instant, Renart travaille des mâchoires. Hap ! Hap ! Il engloutit vingt harengs sans respirer. Hap ! Hap ! Hap ! Il s'attaque aux lamproies, aux soles. Il avale, se régale et dévore tant qu'à la fin il ne peut plus bouger. L’hiver dernier

  16. Renart a volé des poissons Cet hiver, Renart n'avait plus rien à manger; arrivé au bord d'un chemin, il a entendu la charrette des poissonniers qui allaient vendre leur chargement à la ville. Des poissons ! Des anguilles ! Renart en a bavé d'envie, il a juré d'en avoir sa part. Il s’estcouché en travers du chemin, a raidi ses pattes, a fermé les yeux, a retenu son souffle, a fait le mort. Les marchands sont arrivés. Ils ont sauté à terre, se sont approché, ont retourné Renart de droite et de gauche, le pincent et le soupèsent. - Il est crevé, dit le petit. - La belle fourrure ! dit le grand. Ça vaut de l'argent ! - Emportons-le... Les hommes jettent la bête sur leurs paniers, et, - youp ! hue ! - se remettent en route, en s'exclamant et en riant de l'aubaine. Alors, sans perdre un instant, Renart travaille des mâchoires. Hap ! Hap ! Il engloutit vingt harengs sans respirer. Hap ! Hap ! Hap ! Il s'attaque aux lamproies, aux soles. Il avale, se régale et dévore tant qu'à la fin il ne peut plus bouger. L’hiver dernier

  17. Renart a volé des poissons Cet hiver, Renart n'avait plus rien à manger; arrivé au bord d'un chemin, il a entendu la charrette des poissonniers qui allaient vendre leur chargement à la ville. Des poissons ! Des anguilles ! Renart en a bavé d'envie, il a juré d'en avoir sa part. Il s’estcouché en travers du chemin, a raidi ses pattes, a fermé les yeux, a retenu son souffle, a fait le mort. Les marchands sont arrivés. Ils ont sauté à terre, se sont approché, ont retourné Renart de droite et de gauche, l’ont pincé et le soupèsent. - Il est crevé, dit le petit. - La belle fourrure ! dit le grand. Ça vaut de l'argent ! - Emportons-le... Les hommes jettent la bête sur leurs paniers, et, - youp ! hue ! - se remettent en route, en s'exclamant et en riant de l'aubaine. Alors, sans perdre un instant, Renart travaille des mâchoires. Hap ! Hap ! Il engloutit vingt harengs sans respirer. Hap ! Hap ! Hap ! Il s'attaque aux lamproies, aux soles. Il avale, se régale et dévore tant qu'à la fin il ne peut plus bouger. L’hiver dernier

  18. Renart a volé des poissons Cet hiver, Renart n'avait plus rien à manger; arrivé au bord d'un chemin, il a entendu la charrette des poissonniers qui allaient vendre leur chargement à la ville. Des poissons ! Des anguilles ! Renart en a bavé d'envie, il a juré d'en avoir sa part. Il s’estcouché en travers du chemin, a raidi ses pattes, a fermé les yeux, a retenu son souffle, a fait le mort. Les marchands sont arrivés. Ils ont sauté à terre, se sont approché, ont retourné Renart de droite et de gauche, l’ont pincé et l’ont soupesé. - Il est crevé, dit le petit. - La belle fourrure ! dit le grand. Ça vaut de l'argent ! - Emportons-le... Les hommes jettent la bête sur leurs paniers, et, - youp ! hue ! - se remettent en route, en s'exclamant et en riant de l'aubaine. Alors, sans perdre un instant, Renart travaille des mâchoires. Hap ! Hap ! Il engloutit vingt harengs sans respirer. Hap ! Hap ! Hap ! Il s'attaque aux lamproies, aux soles. Il avale, se régale et dévore tant qu'à la fin il ne peut plus bouger. L’hiver dernier

  19. Renart a volé des poissons Cet hiver, Renart n'avait plus rien à manger; arrivé au bord d'un chemin, il a entendu la charrette des poissonniers qui allaient vendre leur chargement à la ville. Des poissons ! Des anguilles ! Renart en a bavé d'envie, il a juré d'en avoir sa part. Il s’estcouché en travers du chemin, a raidi ses pattes, a fermé les yeux, a retenu son souffle, a fait le mort. Les marchands sont arrivés. Ils ont sauté à terre, se sont approché, ont retourné Renart de droite et de gauche, l’ont pincé et l’ont soupesé. - Il est crevé, a dit le petit. - La belle fourrure ! dit le grand. Ça vaut de l'argent ! - Emportons-le... Les hommes jettent la bête sur leurs paniers, et, - youp ! hue ! - se remettent en route, en s'exclamant et en riant de l'aubaine. Alors, sans perdre un instant, Renart travaille des mâchoires. Hap ! Hap ! Il engloutit vingt harengs sans respirer. Hap ! Hap ! Hap ! Il s'attaque aux lamproies, aux soles. Il avale, se régale et dévore tant qu'à la fin il ne peut plus bouger. L’hiver dernier

  20. Renart a volé des poissons Cet hiver, Renart n'avait plus rien à manger; arrivé au bord d'un chemin, il a entendu la charrette des poissonniers qui allaient vendre leur chargement à la ville. Des poissons ! Des anguilles ! Renart en a bavé d'envie, il a juré d'en avoir sa part. Il s’estcouché en travers du chemin, a raidi ses pattes, a fermé les yeux, a retenu son souffle, a fait le mort. Les marchands sont arrivés. Ils ont sauté à terre, se sont approché, ont retourné Renart de droite et de gauche, l’ont pincé et l’ont soupesé. - Il est crevé, a dit le petit. - La belle fourrure ! a dit le grand. Ça vaut de l'argent ! - Emportons-le... Les hommes jettent la bête sur leurs paniers, et, - youp ! hue ! - se remettent en route, en s'exclamant et en riant de l'aubaine. Alors, sans perdre un instant, Renart travaille des mâchoires. Hap ! Hap ! Il engloutit vingt harengs sans respirer. Hap ! Hap ! Hap ! Il s'attaque aux lamproies, aux soles. Il avale, se régale et dévore tant qu'à la fin il ne peut plus bouger. L’hiver dernier

  21. Renart a volé des poissons Cet hiver, Renart n'avait plus rien à manger; arrivé au bord d'un chemin, il a entendu la charrette des poissonniers qui allaient vendre leur chargement à la ville. Des poissons ! Des anguilles ! Renart en a bavé d'envie, il a juré d'en avoir sa part. Il s’estcouché en travers du chemin, a raidi ses pattes, a fermé les yeux, a retenu son souffle, a fait le mort. Les marchands sont arrivés. Ils ont sauté à terre, se sont approché, ont retourné Renart de droite et de gauche, l’ont pincé et l’ont soupesé. - Il est crevé, a dit le petit. - La belle fourrure ! a dit le grand. Ça vaut de l'argent ! - Emportons-le... Les hommes ont jeté la bête sur leurs paniers, et, - youp ! hue ! - se remettent en route, en s'exclamant et en riant de l'aubaine. Alors, sans perdre un instant, Renart travaille des mâchoires. Hap ! Hap ! Il engloutit vingt harengs sans respirer. Hap ! Hap ! Hap ! Il s'attaque aux lamproies, aux soles. Il avale, se régale et dévore tant qu'à la fin il ne peut plus bouger. L’hiver dernier

  22. Renart a volé des poissons Cet hiver, Renart n'avait plus rien à manger; arrivé au bord d'un chemin, il a entendu la charrette des poissonniers qui allaient vendre leur chargement à la ville. Des poissons ! Des anguilles ! Renart en a bavé d'envie, il a juré d'en avoir sa part. Il s’estcouché en travers du chemin, a raidi ses pattes, a fermé les yeux, a retenu son souffle, a fait le mort. Les marchands sont arrivés. Ils ont sauté à terre, se sont approché, ont retourné Renart de droite et de gauche, l’ont pincé et l’ont soupesé. - Il est crevé, a dit le petit. - La belle fourrure ! a dit le grand. Ça vaut de l'argent ! - Emportons-le... Les hommes ont jeté la bête sur leurs paniers, et, - youp ! hue ! - se sont remis en route, en s'exclamant et en riant de l'aubaine. Alors, sans perdre un instant, Renart travaille des mâchoires. Hap ! Hap ! Il engloutit vingt harengs sans respirer. Hap ! Hap ! Hap ! Il s'attaque aux lamproies, aux soles. Il avale, se régale et dévore tant qu'à la fin il ne peut plus bouger. L’hiver dernier

  23. Renart a volé des poissons Cet hiver, Renart n'avait plus rien à manger; arrivé au bord d'un chemin, il a entendu la charrette des poissonniers qui allaient vendre leur chargement à la ville. Des poissons ! Des anguilles ! Renart en a bavé d'envie, il a juré d'en avoir sa part. Il s’estcouché en travers du chemin, a raidi ses pattes, a fermé les yeux, a retenu son souffle, a fait le mort. Les marchands sont arrivés. Ils ont sauté à terre, se sont approché, ont retourné Renart de droite et de gauche, l’ont pincé et l’ont soupesé. - Il est crevé, a dit le petit. - La belle fourrure ! a dit le grand. Ça vaut de l'argent ! - Emportons-le... Les hommes ont jeté la bête sur leurs paniers, et, - youp ! hue ! - se sont remis en route, en s'exclamant et en riant de l'aubaine. Alors, sans perdre un instant, Renart a travaillé des mâchoires. Hap ! Hap ! Il engloutit vingt harengs sans respirer. Hap ! Hap ! Hap ! Il s'attaque aux lamproies, aux soles. Il avale, se régale et dévore tant qu'à la fin il ne peut plus bouger. L’hiver dernier

  24. Renart a volé des poissons Cet hiver, Renart n'avait plus rien à manger; arrivé au bord d'un chemin, il a entendu la charrette des poissonniers qui allaient vendre leur chargement à la ville. Des poissons ! Des anguilles ! Renart en a bavé d'envie, il a juré d'en avoir sa part. Il s’estcouché en travers du chemin, a raidi ses pattes, a fermé les yeux, a retenu son souffle, a fait le mort. Les marchands sont arrivés. Ils ont sauté à terre, se sont approché, ont retourné Renart de droite et de gauche, l’ont pincé et l’ont soupesé. - Il est crevé, a dit le petit. - La belle fourrure ! a dit le grand. Ça vaut de l'argent ! - Emportons-le... Les hommes ont jeté la bête sur leurs paniers, et, - youp ! hue ! - se sont remis en route, en s'exclamant et en riant de l'aubaine. Alors, sans perdre un instant, Renart a travaillé des mâchoires. Hap ! Hap ! Il a englouti vingt harengs sans respirer. Hap ! Hap ! Hap ! Il s'attaque aux lamproies, aux soles. Il avale, se régale et dévore tant qu'à la fin il ne peut plus bouger. L’hiver dernier

  25. Renart a volé des poissons Cet hiver, Renart n'avait plus rien à manger; arrivé au bord d'un chemin, il a entendu la charrette des poissonniers qui allaient vendre leur chargement à la ville. Des poissons ! Des anguilles ! Renart en a bavé d'envie, il a juré d'en avoir sa part. Il s’estcouché en travers du chemin, a raidi ses pattes, a fermé les yeux, a retenu son souffle, a fait le mort. Les marchands sont arrivés. Ils ont sauté à terre, se sont approché, ont retourné Renart de droite et de gauche, l’ont pincé et l’ont soupesé. - Il est crevé, a dit le petit. - La belle fourrure ! a dit le grand. Ça vaut de l'argent ! - Emportons-le... Les hommes ont jeté la bête sur leurs paniers, et, - youp ! hue ! - se sont remis en route, en s'exclamant et en riant de l'aubaine. Alors, sans perdre un instant, Renart a travaillé des mâchoires. Hap ! Hap ! Il a englouti vingt harengs sans respirer. Hap ! Hap ! Hap ! Il s‘estattaqué aux lamproies, aux soles. Il avale, se régale et dévore tant qu'à la fin il ne peut plus bouger. L’hiver dernier

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