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ELSA . Pratique d’un logiciel Entraînement à la lecture savante. ELSA : logiciel d’entraînement à la lecture savante .

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Presentation Transcript


  1. ELSA Pratique d’un logiciel Entraînement à la lecture savante

  2. ELSA : logiciel d’entraînement à la lecture savante Logiciel créé par l’AFL, L'Association Française pour la Lecture qui a été créée en 1967. C'est une association de type « loi de 1901 » (association à but non lucratif), elle est agréée « association éducative complémentaire de l'enseignement public » et « association pour la jeunesse et l’éducation populaire » (Ministère de la Jeunesse et des Sports). Version professionnelle du logiciel : 1996 (ancienne version : ELMO) Produit reconnu d’intérêt pédagogique par le ministère de l’Education nationale (logiciel RIP)

  3. ELSA : pour qui ? • ELSA : un logiciel d'entraînement à la Lecture Savante - pour les élèves depuis la fin du CE2 jusqu'à la fin du collège ;- pour les adultes, du lycée à l'entreprise, en passant par les organismes de formation d'adultes … Deux bibliothèques dans le logiciel : - Bibliothèque jeunesse : 305 textes (entre 500 et 800 mots) : presse, documentaires, fictions … - Bibliothèque adulte : Au total, 155 textes très divers, d'une longueur moyenne de 500 mots (de 170 mots pour le plus court à 1 770 pour le plus long), globalement " exigeants ", de 197 auteurs différents, célèbres et moins connus.

  4. Elsa : un entraînement ? ELSA accompagne le lecteur dans sa progression en fonction de ses résultats. Individualisation du travail sur une longue durée, au moins une quarantaine d'heures, ce qui à raison de 25 à 30 minutes par séance et 2 à 3 séances par semaine couvre presque l'année.

  5. Les premiers pas sur Elsa

  6. 1. S’inscrire

  7. aflafl

  8. Entraînement

  9. Sept séries d'exercices s'enchaînent toujours dans le même ordre ; un enchaînement des 7 séries forme un « Plan » dans l'ordre suivant : Série T - série A - série D - série E - série B - série C - série F. Ces sept séries correspondent à sept capacités techniques différentes qui participent à l'activité de lecture.

  10. Série T

  11. Cette série est le pivot du logiciel. Elle sert à s’exercer dans la situation la plus proche d’une lecture réelle. Série T = série test Elle mesure le transfert en lecture des progrès de l’utilisateur dans les six autres séries d’exercices et ajuste ainsi un nouveau programme de travail. Présentation au vidéo projecteur

  12. Bilan série T La série T sert à : - repérer où en est chaque inscrit et adapter l'entraînement à son niveau, - mesurer les progrès de chacun des inscrits au bout des six séries d'exercices et ajuster un nouveau programme de travail. La série T est à la fois un bilan et un élan, une évaluation et une orientation. Cet exercice est celui qui se rapproche le plus de la lecture, activité complexe dans laquelle on distingue des éléments sans parvenir à les séparer. Comment mesurer le niveau de lecture ? Deux éléments sont pris en compte : la vitesse et la compréhension

  13. Série A

  14. La série A aide à élargir l'empan de lecture. Sur une ligne de texte, nos yeux font plusieurs arrêts au cours desquels ils prélèvent de l'information. Un arrêt est appelé une fixation et la quantité d'écrit qui est vue en une fois par les yeux lorsqu'ils sont immobiles est appelée un empan. Mauvais lecteurs ou simples déchiffreurs utilisent, on le sait, des empans très courts : 3 ou 4 signes à la fois, des syllabes, des petits mots, des fragments d'écrits qui font de la lecture une activité besogneuse et synthétique. Personne n'a le pouvoir d'agir sur l'empan de vision qui est déterminé par des contraintes physiologiques. On peut, en revanche, s'entraîner utilement à élargir l'empan de lecture.

  15. Présentation au vidéo projecteur

  16. Série D

  17. La série D entraîne deux compétences : - la localisation d'informations : cette série oblige à une lecture partielle du texte. - le fonctionnement de ce texte : Construction progressive d'une organisation géographique du texte (comme si le lecteur se dessinait mentalement une carte du texte).

  18. Présentation au vidéo projecteur

  19. Série E

  20. Présentation série E au vidéo projecteur

  21. La série E fait travailler sur l'anticipation de mots à l'intérieur d'un texte. Les informations qui vont constituer l'horizon d'attente d'un mot appartiennent aussi bien à la compréhension globale du texte lu jusqu'ici qu'aux contraintes liées à son environnement immédiat.

  22. Refaire l’historique avec les élèves. Un système de tutorat par un élève est également très bénéfique ; un échange peut s'instituer entre les élèves sur les stratégies différentes mises en place. La grille de résultats par nature grammaticale est particulièrement enrichissante dans le cadre d’une réflexion de l’élève sur sa maîtrise de la langue. Historique de la série E au vidéo projecteur

  23. Série B

  24. La série B entraîne à élargir l'empan de lecture dans une situation proche de la lecture réelle d'un texte (il y a au moins trois fixations par ligne). Personne n'a le pouvoir d'agir sur l'empan de vision qui est déterminé par des contraintes physiologiques. On peut, en revanche, s'entraîner utilement à élargir l'empan de lecture.

  25. Présentation au vidéo projecteur

  26. Série C

  27. La série C entraîne à bien faire la différence entre des mots qui se ressemblent soit par la forme, soit par le sens.

  28. Présentation au vidéo projecteur

  29. Série F

  30. L'objectif de la série F est, comme pour la série D, de construire une représentation mentale du fonctionnement d'un texte. Mais, cette fois, en prenant appui spécifiquement sur les éléments significatifs de son lexique. Pour y parvenir, le lecteur doit faire le plus économiquement possible des hypothèses sur la globalité d'un texte à partir d'une sélection de mots qui restent positionnés sur une trame du texte..

  31. Présentation au vidéo projecteur

  32. Mettre en place ELSA Un travail autour d’ELSA comprend trois temps, chacun indispensable : • l ’entraînement, • la théorisation, • le réinvestissement.

  33. Lors d’une première séance, il faut conseiller de faire faire à tous les enfants la série 0 en les mettant deux ou trois par ordinateur, en présence de l’enseignant. • Ils pourront ainsi s’habituer à la manipulation de l’outil informatique et se familiariser avec le logiciel. La série 0 n’est pas comptée dans l’entraînement.

  34. Ce qui, sur la base de séances d’une demi-heure, donne le schéma suivant : Séance 1 : lancement du logiciel et inscription des élèves.Séance 2 : série T : exercice au choix n°0 Séance 3 : série T : entraînement Séance 4 : séries A et D : exercice au choix n°0 Séance 5 : série A et D : entraînement Séance 6 : série E : exercice au choix n°0 et ainsi de suite jusqu’à la série F. Ensuite, l’entraînement se poursuit systématiquement. Un élève peut avoir besoin de refaire un exercice au choix n°0 une deuxième fois mais il faut aussi qu’il se lance. Il faut atteindre le 3ème plan pour que les élèves soient à l’aise avec les séries ; c’est pourquoi les statistiques ne sont possibles qu’à partir du 4ème plan.

  35. Si jamais vous devez quitter ELSA en cours d’utilisation, le nom de l’élève peut ensuite être effacé. Vous pouvez aller ensuite dans « réparation » pour retrouver le nom de l’élève.

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