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INTRODUCTION: LE XXè siècle, un siècle de progrès scientifiques

INTRODUCTION: LE XXè siècle, un siècle de progrès scientifiques. Comment la chirurgie bénéficie-t-elle des progrès scientifiques et technologiques ?. Carte postale représentant la délégation de « Gueules cassées » présente lors de la signature du traité de Versailles, juin 1919.

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INTRODUCTION: LE XXè siècle, un siècle de progrès scientifiques

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  1. INTRODUCTION: LE XXè siècle, un siècle de progrès scientifiques Comment la chirurgie bénéficie-t-elle des progrès scientifiques et technologiques ?

  2. Carte postale représentant la délégation de « Gueules cassées » présente lors de la signature du traité de Versailles, juin 1919. Lors de la Grande Guerre, les chirurgiens se trouvent confrontés à de nombreux cas de défiguration. Pour réparer ces « gueules cassées », ils sont amenés à mettre au point de nouvelles techniques.

  3. Attention, l’image qui va suivre est susceptible de choquer les plus sensibles.

  4. On estime qu’au cours de la Grand Guerre, entre 11 et 14% des blessés français l’ont été au visage. Parmi eux, on peut recenser entre 10 et 15000 « grands blessés » de la face. Comment expliquer de telles blessures ? La modernisation de l’armement induit désormais des blessures plus dévastatrices et plus fréquentes par éclats d’obus, de grenades ainsi que de balles propulsées à grande vitesse.

  5. Doc. 1 : Les expérimentations durant la Grande Guerre : Homogreffe et Hétérogreffe* « Nous avons utilisé des fragments d’os de nouveau-né. Nous avons pu, grâce à l’obligeance du personnel de la maternité de Marseille, recueillir un corps d’enfant mort-né dans des conditions satisfaisantes ; nous avons prélevé les principales pièces du squelette et les avons conservées à la glacière à +4°, dans la vaseline. Nous avons constaté que ces fragments osseux, inclus dans les tissus chez des malades non-blessés de la face, étaient parfaitement tolérés. Nous nous sommes décidés alors à faire de véritables greffes osseuses chez le blessé du maxillaire inférieur. […] A l’époque où nous écrivons notre rapport, les résultats des greffes osseuses […] ne sont pas encore démonstratifs. » (nota : ces homogreffes vont échouer.) Docteurs IMBERT et REAL, « Traitement chirurgical des pseudarthroses du maxillaire inférieur », Congrès dentaire interallié, 1916, p.757 à 768 (p.763), cité dans « Gueules cassées, les blessés de la face de la Grande Guerre » de Sophie Delaporte, p.96. « Ce jour-là (le 14 février 1916), je fis sacrifier une jeune truie dont les cartilages costaux furent aussitôt prélevés avec toutes les précautions nécessaires pour que ce matériel de greffe fut rigoureusement aseptique […]. Les pièces cartilagineuses furent utilisées dans la matinée même pour quatre opérations […]. Dans aucun des cas, le résultat cherché n’a été obtenu […]. Dr MORESTIN, « Plaie cranio-faciale après échec de zoogreffe cartilagineuse », Bulletin et mémoires de la Société de chirurgie, oct. 1916, p. 2186. *Hétérogreffes : prises sur l’espèce animale. Homogreffes : prises sur un être humain mais pas sur le sujet blessé.

  6. 1/ Quelles expérimentations sont effectuées afin de reconstruire le visage des blessés de la face ?

  7. Doc. 1 : Les expérimentations durant la Grande Guerre : Homogreffe et Hétérogreffe* « Nous avons utilisé des fragments d’os de nouveau-né. Nous avons pu, grâce à l’obligeance du personnel de la maternité de Marseille, recueillir un corps d’enfant mort-né dans des conditions satisfaisantes ; nous avons prélevé les principales pièces du squelette et les avons conservées à la glacière à +4°, dans la vaseline. Nous avons constaté que ces fragments osseux, inclus dans les tissus chez des malades non-blessés de la face, étaient parfaitement tolérés. Nous nous sommes décidés alors à faire de véritables greffes osseuses chez le blessé du maxillaire inférieur. […] A l’époque où nous écrivons notre rapport, les résultats des greffes osseuses […] ne sont pas encore démonstratifs. » (nota : ces homogreffes vont échouer.) Docteurs IMBERT et REAL, « Traitement chirurgical des pseudarthroses du maxillaire inférieur », Congrès dentaire interallié, 1916, p.757 à 768 (p.763), cité dans « Gueules cassées, les blessés de la face de la Grande Guerre » de Sophie Delaporte, p.96. « Ce jour-là (le 14 février 1916), je fis sacrifier une jeune truie dont les cartilages costaux furent aussitôt prélevés avec toutes les précautions nécessaires pour que ce matériel de greffe fut rigoureusement aseptique […]. Les pièces cartilagineuses furent utilisées dans la matinée même pour quatre opérations […]. Dans aucun des cas, le résultat cherché n’a été obtenu […]. Dr MORESTIN, « Plaie cranio-faciale après échec de zoogreffe cartilagineuse », Bulletin et mémoires de la Société de chirurgie, oct. 1916, p. 2186. *Hétérogreffes : prises sur l’espèce animale. Homogreffes : prises sur un être humain mais pas sur le sujet blessé.

  8. 1/ Quelles expérimentations sont effectuées afin de reconstruire le visage des blessés de la face ? Le principe de l’autogreffe, c’est-à-dire sur le sujet lui-même, n’était pas encore admis par tous comme une condition indispensable à la réussite de l’opération. Aussi des chirurgiens tentent d’effectuer des greffes à partir de greffons prélevés sur des personnes autres que le blessé (Homogreffe) ou bien sur des animaux (Hétérogreffes). 2/ Quels sont les résultats obtenus ?

  9. Doc. 1 : Les expérimentations durant la Grande Guerre : Homogreffe et Hétérogreffe* « Nous avons utilisé des fragments d’os de nouveau-né. Nous avons pu, grâce à l’obligeance du personnel de la maternité de Marseille, recueillir un corps d’enfant mort-né dans des conditions satisfaisantes ; nous avons prélevé les principales pièces du squelette et les avons conservées à la glacière à +4°, dans la vaseline. Nous avons constaté que ces fragments osseux, inclus dans les tissus chez des malades non-blessés de la face, étaient parfaitement tolérés. Nous nous sommes décidés alors à faire de véritables greffes osseuses chez le blessé du maxillaire inférieur. […] A l’époque où nous écrivons notre rapport, les résultats des greffes osseuses […] ne sont pas encore démonstratifs. » (nota : ces homogreffes vont échouer.) Docteurs IMBERT et REAL, « Traitement chirurgical des pseudarthroses du maxillaire inférieur », Congrès dentaire interallié, 1916, p.757 à 768 (p.763), cité dans « Gueules cassées, les blessés de la face de la Grande Guerre » de Sophie Delaporte, p.96. « Ce jour-là (le 14 février 1916), je fis sacrifier une jeune truie dont les cartilages costaux furent aussitôt prélevés avec toutes les précautions nécessaires pour que ce matériel de greffe fut rigoureusement aseptique […]. Les pièces cartilagineuses furent utilisées dans la matinée même pour quatre opérations […]. Dans aucun des cas, le résultat cherché n’a été obtenu […]. Dr MORESTIN, « Plaie cranio-faciale après échec de zoogreffe cartilagineuse », Bulletin et mémoires de la Société de chirurgie, oct. 1916, p. 2186. *Hétérogreffes : prises sur l’espèce animale. Homogreffes : prises sur un être humain mais pas sur le sujet blessé.

  10. 1/ Quelles expérimentations sont effectuées afin de reconstruire le visage des blessés de la face ? Le principe de l’autogreffe, c’est-à-dire sur le sujet lui-même, n’était pas encore admis par tous comme une condition indispensable à la réussite de l’opération. Aussi des chirurgiens tentent d’effectuer des greffes à partir de greffons prélevés sur des personnes autres que le blessé (Homogreffe) ou bien sur des animaux (Hétérogreffes). 2/ Quels sont les résultats obtenus ? Les résultats sont des échecs. Les chirurgiens ne savent pas encore, comme pour le sang, qu’il existe un problème de compatibilité de la moelle osseuse.

  11. Attention, les images qui vont suivre sont susceptibles de choquer les plus sensibles.

  12. Vers la fin de la guerre, comment peut-on qualifier les résultats obtenus en matière de chirurgie reconstructrice ? Vers la fin du conflit, les résultats en terme de reconstruction faciale sont éloquents. Ils s’accélèrent dans les années 1950 avec la découverte des principes de la compatibilité de la moelle. Ces progrès scientifiques ouvrent l’ère de la chirurgie reconstructrice et esthétique moderne. Résultats de greffes ostéopériostique, Dr Delagenière. Rapport annuel, 1917, Centre du Mans, IVème régiment. Archives du service e santé des Armées, Val-de-Grâce, carton 121.

  13. LA CHAMBRE DES OFFICIERS http://www.youtube.com/watch?v=g4gYQWYcic0

  14. A la naissance. Après plusieurs mois et de nombreuses opérations : Que constate-t-on ? De nos jours, l’exemple de Charline qui, comme en moyenne un bébé sur 700, est née avec une fente labio-palatine (lèvre, palais). Aujourd’hui les progrès de la médecine ont un impact sur les sociétés. Les résultats sont spectaculaires. Que ce soit pour les enfants victimes de malformations à la naissance, les accidentés de la route, ou les soldats blessés lors d’opérations militaires.

  15. Bonus pour faire le lien entre impact sur les sociétés et société de consommation.

  16. Les sud-coréennes championnes du monde du scalpel. • Le Point.fr- Publié le 08/05/2012 à 16:58  • Pendant six mois, Park Yeli est restée barricadée dans sa chambre, refusant d'offrir son visage au monde. Jusqu'à ce que cette jeune Séoulienne de 19 ans rallie sa mère au seul remède capable de la sortir du trou : un allongement du nez, une ablation des paupières, assortis d'un renforcement du front. Yeli était pourtant une ado épanouie et sociable lors de son séjour d'études aux États-Unis, où personne ne trouvait à redire à ses yeux bridés ou à son petit nez eurasien. Mais à son retour en Corée du Sud, l'insouciance de la jeune fille s'est fracassée sur les regards d'une société où l'apparence est, plus qu'ailleurs, la clé de la réussite sociale, et la beauté calibrée comme une formule mathématique. • Yeli a vécu son opération de chirurgie esthétique comme une libération. Et elle croit désormais dur comme fer qu'elle va réaliser son rêve d'enfance, devenir actrice. […]. • L'histoire de cette actrice en herbe est tout sauf un cas isolé en Corée du Sud, […] pays qui détient désormais la palme mondiale de la société la plus accro au scalpel. Avec un taux de 16 actes esthétiques pour 1 000 habitants - près du double des États-Unis. • Contrairement à l'Europe, où les soins de rajeunissement chez les femmes mûres dominent, la chirurgie esthétique asiatique est une affaire de jeunes qui optent pour des opérations radicales, souvent financées par leurs parents. Avec pour objectif la réussite professionnelle et matrimoniale. Renforcer ses chances de trouver un emploi... et un beau parti, riche si possible. La chirurgie est un "atout important" pour décrocher un bon job, selon 70 % des Sud-Coréens interrogés par Embrain Trend Monitor en 2009. • Et elle s'incruste dans la vie des Sud-Coréennes dès l'adolescence. "Une jeune fille de 13 ans est venue me demander une opération en m'expliquant qu'elle rêvait d'épouser un homme riche !" explique WhangKwi-whan, directeur de la clinique Miz […] • Au lendemain du baccalauréat, les cliniques n'hésitent pas à offrir une réduction aux candidates, pour l'ablation de leurs paupières qui permet de leur élargir le regard et donner une touche occidentale à leurs yeux jugés trop bridés. Une opération désormais banale […].

  17. Quels types d’interventions chirurgicales sont pratiquées ?

  18. Les sud-coréennes championnes du monde du scalpel. • Le Point.fr- Publié le 08/05/2012 à 16:58  • Pendant six mois, Park Yeli est restée barricadée dans sa chambre, refusant d'offrir son visage au monde. Jusqu'à ce que cette jeune Séoulienne de 19 ans rallie sa mère au seul remède capable de la sortir du trou : un allongement du nez, une ablation des paupières, assortis d'un renforcement du front. Yeli était pourtant une ado épanouie et sociable lors de son séjour d'études aux États-Unis, où personne ne trouvait à redire à ses yeux bridés ou à son petit nez eurasien. Mais à son retour en Corée du Sud, l'insouciance de la jeune fille s'est fracassée sur les regards d'une société où l'apparence est, plus qu'ailleurs, la clé de la réussite sociale, et la beauté calibrée comme une formule mathématique. • Yeli a vécu son opération de chirurgie esthétique comme une libération. Et elle croit désormais dur comme fer qu'elle va réaliser son rêve d'enfance, devenir actrice. […]. • L'histoire de cette actrice en herbe est tout sauf un cas isolé en Corée du Sud, […] pays qui détient désormais la palme mondiale de la société la plus accro au scalpel. Avec un taux de 16 actes esthétiques pour 1 000 habitants - près du double des États-Unis. • Contrairement à l'Europe, où les soins de rajeunissement chez les femmes mûres dominent, la chirurgie esthétique asiatique est une affaire de jeunes qui optent pour des opérations radicales, souvent financées par leurs parents. Avec pour objectif la réussite professionnelle et matrimoniale. Renforcer ses chances de trouver un emploi... et un beau parti, riche si possible. La chirurgie est un "atout important" pour décrocher un bon job, selon 70 % des Sud-Coréens interrogés par Embrain Trend Monitor en 2009. • Et elle s'incruste dans la vie des Sud-Coréennes dès l'adolescence. "Une jeune fille de 13 ans est venue me demander une opération en m'expliquant qu'elle rêvait d'épouser un homme riche !" explique WhangKwi-whan, directeur de la clinique Miz […] • Au lendemain du baccalauréat, les cliniques n'hésitent pas à offrir une réduction aux candidates, pour l'ablation de leurs paupières qui permet de leur élargir le regard et donner une touche occidentale à leurs yeux jugés trop bridés. Une opération désormais banale […].

  19. Quels types d’interventions chirurgicales sont pratiquées ? • Quel est le but de telles pratiques ?

  20. Les sud-coréennes championnes du monde du scalpel. • Le Point.fr- Publié le 08/05/2012 à 16:58  • Pendant six mois, Park Yeli est restée barricadée dans sa chambre, refusant d'offrir son visage au monde. Jusqu'à ce que cette jeune Séoulienne de 19 ans rallie sa mère au seul remède capable de la sortir du trou : un allongement du nez, une ablation des paupières, assortis d'un renforcement du front. Yeli était pourtant une ado épanouie et sociable lors de son séjour d'études aux États-Unis, où personne ne trouvait à redire à ses yeux bridés ou à son petit nez eurasien. Mais à son retour en Corée du Sud, l'insouciance de la jeune fille s'est fracassée sur les regards d'une société où l'apparence est, plus qu'ailleurs, la clé de la réussite sociale, et la beauté calibrée comme une formule mathématique. • Yeli a vécu son opération de chirurgie esthétique comme une libération. Et elle croit désormais dur comme fer qu'elle va réaliser son rêve d'enfance, devenir actrice. […]. • L'histoire de cette actrice en herbe est tout sauf un cas isolé en Corée du Sud, […] pays qui détient désormais la palme mondiale de la société la plus accro au scalpel. Avec un taux de 16 actes esthétiques pour 1 000 habitants - près du double des États-Unis. • Contrairement à l'Europe, où les soins de rajeunissement chez les femmes mûres dominent, la chirurgie esthétique asiatique est une affaire de jeunes qui optent pour des opérations radicales, souvent financées par leurs parents. Avec pour objectif la réussite professionnelle et matrimoniale. Renforcer ses chances de trouver un emploi... et un beau parti, riche si possible. La chirurgie est un "atout important" pour décrocher un bon job, selon 70 % des Sud-Coréens interrogés par Embrain Trend Monitor en 2009. • Et elle s'incruste dans la vie des Sud-Coréennes dès l'adolescence. "Une jeune fille de 13 ans est venue me demander une opération en m'expliquant qu'elle rêvait d'épouser un homme riche !" explique WhangKwi-whan, directeur de la clinique Miz […] • Au lendemain du baccalauréat, les cliniques n'hésitent pas à offrir une réduction aux candidates, pour l'ablation de leurs paupières qui permet de leur élargir le regard et donner une touche occidentale à leurs yeux jugés trop bridés. Une opération désormais banale […].

  21. Au cours du XXème siècle, des innovations technologiques en informatique et en science des matériaux permettent aux chirurgiens de remplacer des organes par des prothèses.

  22. Mutilés anglais [soldats amputés et appareillés maniant une pelle et une brouette] : [photographie de presse] / [Agence Rol] 1/ Quelles mutilations ont subi ces soldats ? Ces soldats ont été amputés d’un membre ou bien des deux. 2/ Quelles solutions ont été trouvées ? Ils ont été équipés de prothèses. • Photographie d’un soldat mutilé français. Musée de la Grande Guerre, Hôtel des Invalides, Paris. 3/ Décrivez l’appareillage. Ces prothèses sont rudimentaires, simple crochet ou pince ne pouvant que serrer un objet.

  23. La TerminatorBebionic V2, la prothèse la plus évoluée au monde, change la vie d'un accidenté Le Huff Post | Par Benjamin Hue Publication: 08/11/2012 14:55 TECHNOLOGIE - Nouveau bras pour nouvelle vie. Voila qui pourrait résumer l'histoire mouvementée d'un britannique de 53 ans, Nigel Ackland, ouvrier dans une fonderie à quelques kilomètres au nord de Londres et victime d'un terrible accident du travail il y a six ans de cela. Obligé d'être amputé du bras droit, il doit également quitter son emploi contraint et forcé et se destine irrémédiablement à une fin de vie compliquée. Mais alors qu'il pensait avoir tout perdu, Ackland est désormais un homme heureux. La greffe d'un bras bionique lui a changé la vie. Au point de déclarer au Daily Mail, cette année : "Je me sens comme Terminator.«  Tout avait pourtant mal commencé. En 2006, Nigel Ackland est pris dans une machine de mélange industriel comme sa fonderie en compte tant. Sa vie bascule. […] Commence alors une longue période d'incertitude, exacerbée par l'opération difficile qui lui laisse un moignon évasé, compliquant la recherche de prothèses adaptées. Ackland est alors contacté par plusieurs sociétés spécialisées dans la fabrication de prothèses, sans trop de succès toutefois. […] Jusqu'au mois de mai 2012. Ackland est alors approché par une société basée à Leeds, RSL Steeper qui lui propose d'essayer leur dernière prothèse d'une valeur de 12.000£ (15.000€), le Bebionic V2 Terminator, présenté comme le bras bionique le plus perfectionné au monde. Voilà comment Nigel Ackland est devenu l'une des sept personnes au monde à avoir bénéficié d'une prothèse bionique dernier cri, dans le cadre d'un test de quatre mois pour son fabricant. Désormais doté du Bebionic V2 également appelé "Terminator", il peut de nouveau contrôler les mouvements de son bras. Fabriqué à partir d'aluminium et composé d'un dense alliage d'articulations, le Bebionic V2 reproduit les mouvements comme n'importe quel membre réel d'un être humain en répondant aux secousses musculaires. Ces dernières sont elles-même détectées par des capteurs, qui déclenchent alors l'un des 14 programmes reflétant toute une gamme de mouvements humains. Le tout permettant à notre homme d'effectuer à nouveau tout un lot de tâches quotidiennes comme taper sur un clavier d'ordinateur, éplucher des légumes ou s'habiller tout seul. En clair, Nigel Ackland est de nouveau autonome. "Ce ne sera jamais la même chose que ma propre main", a-t-il tempéré. "Mais des choses comme attacher un lacet de chaussure ou hacher un légume sont maintenant beaucoup plus faciles pour moi. J'ai été époustouflé par la main robotisée. Il m'est arrivé de m'asseoir et de regarder mon bras toute la journée en me sentant comme Terminator", s'est-il réjoui dans le Daily Mail. S'il n'est pas encore en mesure de rejouer du piano et du saxophone, Ackland embrasse par ailleurs une célébrité nouvelle de tous les instants. "Avec le bras Terminator, les gens viennent me voir dans la rue. C'est presque comme de la science-fiction pour eux." Le britannique espère désormais que passé le test, et le coup de publicité, les dirigeants de RSL Steeper lui permettront de conserver son bras. Et qui sait, un jour, le rendront accessible au plus grand nombre.

  24. Qu’est-il arrivé à cet homme ?

  25. La TerminatorBebionic V2, la prothèse la plus évoluée au monde, change la vie d'un accidenté Le Huff Post | Par Benjamin Hue Publication: 08/11/2012 14:55 TECHNOLOGIE - Nouveau bras pour nouvelle vie. Voila qui pourrait résumer l'histoire mouvementée d'un britannique de 53 ans, Nigel Ackland, ouvrier dans une fonderie à quelques kilomètres au nord de Londres et victime d'un terrible accident du travail il y a six ans de cela. Obligé d'être amputé du bras droit, il doit également quitter son emploi contraint et forcé et se destine irrémédiablement à une fin de vie compliquée. Mais alors qu'il pensait avoir tout perdu, Ackland est désormais un homme heureux. La greffe d'un bras bionique lui a changé la vie. Au point de déclarer au Daily Mail, cette année : "Je me sens comme Terminator.«  Tout avait pourtant mal commencé. En 2006, Nigel Ackland est pris dans une machine de mélange industriel comme sa fonderie en compte tant. Sa vie bascule. […] Commence alors une longue période d'incertitude, exacerbée par l'opération difficile qui lui laisse un moignon évasé, compliquant la recherche de prothèses adaptées. Ackland est alors contacté par plusieurs sociétés spécialisées dans la fabrication de prothèses, sans trop de succès toutefois. […] Jusqu'au mois de mai 2012. Ackland est alors approché par une société basée à Leeds, RSL Steeper qui lui propose d'essayer leur dernière prothèse d'une valeur de 12.000£ (15.000€), le Bebionic V2 Terminator, présenté comme le bras bionique le plus perfectionné au monde. Voilà comment Nigel Ackland est devenu l'une des sept personnes au monde à avoir bénéficié d'une prothèse bionique dernier cri, dans le cadre d'un test de quatre mois pour son fabricant. Désormais doté du Bebionic V2 également appelé "Terminator", il peut de nouveau contrôler les mouvements de son bras. Fabriqué à partir d'aluminium et composé d'un dense alliage d'articulations, le Bebionic V2 reproduit les mouvements comme n'importe quel membre réel d'un être humain en répondant aux secousses musculaires. Ces dernières sont elles-même détectées par des capteurs, qui déclenchent alors l'un des 14 programmes reflétant toute une gamme de mouvements humains. Le tout permettant à notre homme d'effectuer à nouveau tout un lot de tâches quotidiennes comme taper sur un clavier d'ordinateur, éplucher des légumes ou s'habiller tout seul. En clair, Nigel Ackland est de nouveau autonome. "Ce ne sera jamais la même chose que ma propre main", a-t-il tempéré. "Mais des choses comme attacher un lacet de chaussure ou hacher un légume sont maintenant beaucoup plus faciles pour moi. J'ai été époustouflé par la main robotisée. Il m'est arrivé de m'asseoir et de regarder mon bras toute la journée en me sentant comme Terminator", s'est-il réjoui dans le Daily Mail. S'il n'est pas encore en mesure de rejouer du piano et du saxophone, Ackland embrasse par ailleurs une célébrité nouvelle de tous les instants. "Avec le bras Terminator, les gens viennent me voir dans la rue. C'est presque comme de la science-fiction pour eux." Le britannique espère désormais que passé le test, et le coup de publicité, les dirigeants de RSL Steeper lui permettront de conserver son bras. Et qui sait, un jour, le rendront accessible au plus grand nombre.

  26. Qu’est-il arrivé à cet homme ? Il est victime d’un accident du travail et se retrouve amputé du bras droit. • Comment se présente sa prothèse ?

  27. La TerminatorBebionic V2, la prothèse la plus évoluée au monde, change la vie d'un accidenté Le Huff Post | Par Benjamin Hue Publication: 08/11/2012 14:55 TECHNOLOGIE - Nouveau bras pour nouvelle vie. Voila qui pourrait résumer l'histoire mouvementée d'un britannique de 53 ans, Nigel Ackland, ouvrier dans une fonderie à quelques kilomètres au nord de Londres et victime d'un terrible accident du travail il y a six ans de cela. Obligé d'être amputé du bras droit, il doit également quitter son emploi contraint et forcé et se destine irrémédiablement à une fin de vie compliquée. Mais alors qu'il pensait avoir tout perdu, Ackland est désormais un homme heureux. La greffe d'un bras bionique lui a changé la vie. Au point de déclarer au Daily Mail, cette année : "Je me sens comme Terminator.«  Tout avait pourtant mal commencé. En 2006, Nigel Ackland est pris dans une machine de mélange industriel comme sa fonderie en compte tant. Sa vie bascule. […] Commence alors une longue période d'incertitude, exacerbée par l'opération difficile qui lui laisse un moignon évasé, compliquant la recherche de prothèses adaptées. Ackland est alors contacté par plusieurs sociétés spécialisées dans la fabrication de prothèses, sans trop de succès toutefois. […] Jusqu'au mois de mai 2012. Ackland est alors approché par une société basée à Leeds, RSL Steeper qui lui propose d'essayer leur dernière prothèse d'une valeur de 12.000£ (15.000€), le Bebionic V2 Terminator, présenté comme le bras bionique le plus perfectionné au monde. Voilà comment Nigel Ackland est devenu l'une des sept personnes au monde à avoir bénéficié d'une prothèse bionique dernier cri, dans le cadre d'un test de quatre mois pour son fabricant. Désormais doté du Bebionic V2 également appelé "Terminator", il peut de nouveau contrôler les mouvements de son bras. Fabriqué à partir d'aluminium et composé d'un dense alliage d'articulations, le Bebionic V2 reproduit les mouvements comme n'importe quel membre réel d'un être humain en répondant aux secousses musculaires. Ces dernières sont elles-même détectées par des capteurs, qui déclenchent alors l'un des 14 programmes reflétant toute une gamme de mouvements humains. Le tout permettant à notre homme d'effectuer à nouveau tout un lot de tâches quotidiennes comme taper sur un clavier d'ordinateur, éplucher des légumes ou s'habiller tout seul. En clair, Nigel Ackland est de nouveau autonome. "Ce ne sera jamais la même chose que ma propre main", a-t-il tempéré. "Mais des choses comme attacher un lacet de chaussure ou hacher un légume sont maintenant beaucoup plus faciles pour moi. J'ai été époustouflé par la main robotisée. Il m'est arrivé de m'asseoir et de regarder mon bras toute la journée en me sentant comme Terminator", s'est-il réjoui dans le Daily Mail. S'il n'est pas encore en mesure de rejouer du piano et du saxophone, Ackland embrasse par ailleurs une célébrité nouvelle de tous les instants. "Avec le bras Terminator, les gens viennent me voir dans la rue. C'est presque comme de la science-fiction pour eux." Le britannique espère désormais que passé le test, et le coup de publicité, les dirigeants de RSL Steeper lui permettront de conserver son bras. Et qui sait, un jour, le rendront accessible au plus grand nombre.

  28. Il est victime d’un accident du travail et se retrouve amputé du bras droit. • Qu’est-il arrivé à cet homme ? • Comment se présente sa prothèse ? Sa prothèse se présente comme un bras humain normal, doté de 5 doigts. • Quelle évolution présente-t-elle par rapport aux prothèses utilisées durant la Grande Guerre ?

  29. La TerminatorBebionic V2, la prothèse la plus évoluée au monde, change la vie d'un accidenté Le Huff Post | Par Benjamin Hue Publication: 08/11/2012 14:55 TECHNOLOGIE - Nouveau bras pour nouvelle vie. Voila qui pourrait résumer l'histoire mouvementée d'un britannique de 53 ans, Nigel Ackland, ouvrier dans une fonderie à quelques kilomètres au nord de Londres et victime d'un terrible accident du travail il y a six ans de cela. Obligé d'être amputé du bras droit, il doit également quitter son emploi contraint et forcé et se destine irrémédiablement à une fin de vie compliquée. Mais alors qu'il pensait avoir tout perdu, Ackland est désormais un homme heureux. La greffe d'un bras bionique lui a changé la vie. Au point de déclarer au Daily Mail, cette année : "Je me sens comme Terminator.«  Tout avait pourtant mal commencé. En 2006, Nigel Ackland est pris dans une machine de mélange industriel comme sa fonderie en compte tant. Sa vie bascule. […] Commence alors une longue période d'incertitude, exacerbée par l'opération difficile qui lui laisse un moignon évasé, compliquant la recherche de prothèses adaptées. Ackland est alors contacté par plusieurs sociétés spécialisées dans la fabrication de prothèses, sans trop de succès toutefois. […] Jusqu'au mois de mai 2012. Ackland est alors approché par une société basée à Leeds, RSL Steeper qui lui propose d'essayer leur dernière prothèse d'une valeur de 12.000£ (15.000€), le Bebionic V2 Terminator, présenté comme le bras bionique le plus perfectionné au monde. Voilà comment Nigel Ackland est devenu l'une des sept personnes au monde à avoir bénéficié d'une prothèse bionique dernier cri, dans le cadre d'un test de quatre mois pour son fabricant. Désormais doté du Bebionic V2 également appelé "Terminator", il peut de nouveau contrôler les mouvements de son bras. Fabriqué à partir d'aluminium et composé d'un dense alliage d'articulations, le Bebionic V2 reproduit les mouvements comme n'importe quel membre réel d'un être humain en répondant aux secousses musculaires. Ces dernières sont elles-même détectées par des capteurs, qui déclenchent alors l'un des 14 programmes reflétant toute une gamme de mouvements humains. Le tout permettant à notre homme d'effectuer à nouveau tout un lot de tâches quotidiennes comme taper sur un clavier d'ordinateur, éplucher des légumes ou s'habiller tout seul. En clair, Nigel Ackland est de nouveau autonome. "Ce ne sera jamais la même chose que ma propre main", a-t-il tempéré. "Mais des choses comme attacher un lacet de chaussure ou hacher un légume sont maintenant beaucoup plus faciles pour moi. J'ai été époustouflé par la main robotisée. Il m'est arrivé de m'asseoir et de regarder mon bras toute la journée en me sentant comme Terminator", s'est-il réjoui dans le Daily Mail. S'il n'est pas encore en mesure de rejouer du piano et du saxophone, Ackland embrasse par ailleurs une célébrité nouvelle de tous les instants. "Avec le bras Terminator, les gens viennent me voir dans la rue. C'est presque comme de la science-fiction pour eux." Le britannique espère désormais que passé le test, et le coup de publicité, les dirigeants de RSL Steeper lui permettront de conserver son bras. Et qui sait, un jour, le rendront accessible au plus grand nombre.

  30. Il est victime d’un accident du travail et se retrouve amputé du bras droit. • Qu’est-il arrivé à cet homme ? • Comment se présente sa prothèse ? Sa prothèse se présente comme un bras humain normal, doté de 5 doigts. • Quelle évolution présente-t-elle par rapport aux prothèses utilisées durant la Grande Guerre ? Sa prothèse a une forme humaine, elle est munie de capteurs qui répondent aux secousses musculaires et déclenchent des programmes permettant d’effectuer la plupart des gestes quotidiens.

  31. Le Sud-Africain Oscar Pistoriusest le premier athlète handisport à avoir participé lorsdes JO de Londres à des épreuves aux côté d’athlètes valides. Amputé des deux jambes à l’âgede 11 mois, il a réussi grâce àses lames de carbone (d’un montant supérieur à 20 000euros) à se qualifier pour l’une des demi-finale du 400m . Il a également été le dernier relayeur lors de la finale du relais 4x400m, Un moment historique pour l’athlète, comme le souligne Europe1en citant un tweet du coureur sud-africain: «Je ne peux pas décrire lessentiments que j'ai eus cette semaine. Merci à vous tous pour avoir joué un rôle dans l'une des meilleures semaines de ma vie» • Pour quelle raison la participation du Sud-Africain Pistorius au J.O. de Londres est-elle un moment historique ? • Quelle question cette participation soulève-t-elle ? • Quel élément se pose comme un problème ?

  32. Les découvertes et innovations scientifiques importantes. 1946 1ER Ordinateur 1961 Premier robot utilisé dans l’indiustrie 2005 1ère greffe partielle de visage 1967 1ère greffe de coeur

  33. Au cours du XXème siècle la chirurgie bénéficie de nombreuses découvertes scientifiques comme les rayons X qui facilitent les diagnostics ou encore la pénicilline qui permet de lutter contre les maladies infectieuses souvent mortelles. Elle va également s’appuyer sur des innovations scientifiques qui ouvrent une ère nouvelle dans la reconstruction du corps humain avec l’utilisation de prothèses de plus en plus perfectionnées.

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