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La séduction à tout prix

La séduction à tout prix. Comment l’image alimente-t-elle les fantasmes collectifs ?.

cybil
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La séduction à tout prix

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Presentation Transcript


  1. La séduction à tout prix

  2. Comment l’image alimente-t-elle les fantasmes collectifs ?

  3. L’image est un processus qui engage à reconnaître à la fois les liens qui existent entre corps et langage, et ceux qui existent entre sujets. Considérer l’image du seul point de vue du visuel correspond à un fantasme, celui d’une image qui serait indépendante à la fois du corps et du langage et qui permettrait un triomphe du regard affranchi de toute autre contrainte. Par l’utilisation de différents moyens de séduction, l’image reçue au final de la personne est-elle réelle ou est-ce une fiction ?

  4. Sommaire • I. La séduction à travers la publicité. • A. Les magazines. • B. Les médias. • II. L’image de la féminité « parfaite » dans les films. A. Michèle Mercier, « Angélique, marquise des anges ». B. Brigitte Bardot. C. Kim Novak. • III. Les stéréotypes féminins de nos sociétés. A. Marilyn Monroe. B. « Desperate housewives ».

  5. I. La séduction à travers la publicité .

  6. A. Les Magazines La publicité à travers les magazines (féminins, de mode, etc.) fait passer beaucoup de messages à leurs lecteurs, comme la façon de s’habiller pour la saison prochaine ou encore comment se maquiller pour avoir l’air naturel. Dans ces magazines, que ce soit l’image de la femme ou celle de l’homme, elle est embellie de façon a ce que les lecteurs aient envie de lui ressembler. L’image que perçoit le lecteur le séduit de manière à l’inciter à acheter le produit.

  7. B. Les médias • La publicité média recouvre les formes de communication interactive. Pour être perçue, comprise et mémorisé, elle n’a que très peu de temps, il lui faut simultanément capter l’attention, la retenir et faire passer le message. • Le premier poste de la répartition du budget média est la publicité à la télévision, qui est faite son forme de court-métrage, ou qui sponsorisant une émission ou dans un téléshopping . Suivent la radio, la presse-écrite, l’affichage fixe ou mobile, le mobilier urbain, le cinéma et la téléphonie mobile. • La publicité en ligne via internet est très présente tout comme la publicité à la télévision.

  8. II.L’image de la féminité « parfaite » dans les films.

  9. A. Michèle Mercier « Angélique Marquise des Anges » Robert Hossein sera son partenaire dans les cinq films de la série culte des Angélique qui désormais fait partie du patrimoine français et fait sauter l'audimat à chaque passage à la télévision : Angélique Marquise des Anges, Merveilleuse Angélique, Angélique et le Roy, Indomptable Angélique, Angélique et le Sultan. Elle fait corps avec son personnage dont elle dit « Dès l'instant où j'ai ouvert ces livres et commencé à les lire, j'ai su qu'Angélique était moi et que j'étais Angélique ». Angélique sera, pour l'actrice, l'aboutissement et la fin d'une carrière. Enfermée dans ce rôle comme dans une prison dorée, son personnage lui colle littéralement à la peau. Elle ne parviendra jamais à s'en défaire aux yeux du public. Jocelyne Mercier, qui prendra plus tard le nom de Michèle Mercier, est née le 1er janvier 1939 à Nice. Elle est la fille aînée d'un père français, pharmacien, et d'une mère italienne. Petite, elle rêve de devenir une grande étoile de la danse et commence son apprentissage. À huit ans, elle entre à l'école de danse de l'opéra de Nice comme petit rat. Mais, fille et petite-fille de pharmaciens propriétaires de laboratoires pharmaceutiques et cosmétiques, sa voie est tracée par avance: elle reprendra l'affaire familiale. C'est par un refus catégorique qu'elle s'oppose à ses parents. C’est à l’âge de 15 ans que débute réellement sa carrière d’actrice : la future Michèle Mercier interprète une jeune danseuse dans le film J'avais 7 filles dont le rôle principal est joué par Maurice Chevalier. En 1956, alors qu’elle a 17 ans, un producteur lui propose de tourner dans l’un de ses films. Elle répond : « Non merci, je n'ai pas envie de faire de cinéma! Je suis danseuse et mon seul rêve est de danser! ». Elle compte à son actif une filmographie relativement abondante totalisant près d'une cinquantaine de films surtout français et italiens. A aujourd’hui 74 ans, elle est une des actrices les plus connues du cinéma français et un sexsymbol des années 60. Ainsi, cette série culte sera pour elle à la fois synonyme d’un grand prestige, mais aussi une limite inconditionnelle de sa carrière d’actrice.

  10. B. Brigitte Bardot Biographie. Née le 28 septembre 1934 à Paris, Brigitte Bardot est issue du milieu bourgeois, ayant un père industriel et une mère femme au foyer. Très vite passionnée de danse classique, elle souffre très vite de la préférence de ses parents pour sa sœur cadette. Dès l’âge de 15 ans, elle devient la mascotte du magazine Elle. Attiré par ses photos, un réalisateur lui propose un rôle au cinéma. Malgré l’opposition de ses parents, son grand-père lui fait confiance et prend sa défense. Le film ne se fera pas au final, mais de là en sort une idylle avec Roger Vadim à laquelle ses parents s’opposent. On voit ressortir ses tendances suicidaires, car elle va tenter de s’asphyxier au gaz à cause de cela. Sa carrière débutera réellement avec Bourvil, dans Le Trou Normand, de Jean Boyer. La réelle consécration à la femme qu’elle est se fait dans « Et Dieu… créa la femme » en 1956. En 1958, Brigitte Bardot devient l'actrice française la mieux payée du cinéma français. Après Et Dieu... créa la femme, Raoul Lévy lui fait signer un contrat pour quatre films. Douze millions de francs français pour le premier films, quinze millions pour le second, trente millions pour le troisième et quarante cinq millions pour le quatrième. En 1963 sort Le Mépris, un autre de ses films qui lui vaut son prestige. Figure féminine des années 1950 et 1960, elle fut une star mondiale, l'égérie et la muse des plus grands artistes de l'époque. Emblème de l'émancipation des femmes et de la liberté sexuelle, elle passa des rôles de femme enfant à ceux de femme fatale. Elle tourna avec les plus grands réalisateurs, incarnant des personnages à l'élégante légèreté et à la sensualité photogénique. Elle devint rapidement un sex-symbol. Avec à son actif 48 films et plus de 80 chansons en 21 ans de carrière, Brigitte Bardot, tout aussi connue sous les initiales de « BB », est une des artistes françaises les plus célèbres et la plus grande star du cinéma européen d'après guerre. Elle mit un terme à sa carrière d'actrice en 1973 pour se consacrer à la défense des animaux.

  11. Kim Novak C. KIM NOVAK Kim Novak est née en 1933 à Chicago. C’est une actrice américaine qui, à l'âge de 21 ans, arrive à Hollywood et se fait engager par des dirigeants de la Columbia qui voyaient en elle une nouvelle Marilyn Monroe. Le succès s'ouvre à elle dès 1955 avec Picnic, pour lequel elle remporte le Golden Globe Award de la révélation féminine. Elle tourne deux films avec Frank Sinatra : L'Homme au bras d'or en 1955 et La Blonde ou la Rousse en 1957. L'année suivante, Alfred Hitchcock lui offre son plus grand rôle dans Sueurs froides avec James Stewart qu'elle retrouvera la même année pour Adorable voisine. Elle joue aux côtés des plus grands: Kirk Douglas, Jack Lemmon et Fred Astaire, Dean Martin ainsi qu'Elizabeth Taylor. En 1991, à 58 ans, elle met fin à sa carrière d’actrice. Ses films notables sont :Picnic, L'Homme au bras d'or, La Blonde ou la Rousse, Sueurs froides, Adorable voisine, Embrasse-moi, idiot, et Le miroir se brisa. On peut conclure que Kim Novak est une actrice sombre, belle par sa froideur s’étant considérée par de réels talents mais aussi connue pour sa relation étrange avec Hitchcock.

  12. Kim Novak/Alfred Hitchcock On peut considérer Kim Novak comme une sorte de « femme- objet » de Hitchcock. En voyant les différentes répliques qu’il pouvait lui dire, sans qu’elle ne dise rien, on peut ainsi dire qu’elle était sa « chose ». Mais elle-même avoue adorer travailler avec ce grand réalisateur, ce qui est un prestige pour l’actrice.

  13. III. Les stéréotypes féminins de nos sociétés

  14. A. Marilyn Monroe • De son vrai nom, Norma Jeane Mortenson est une actrice et une chanteuse américaine qui née le 1er juin 1926 à Los Angeles et y meurt le 5 août 1962. • Elle débute sa carrière à l’âge de 19 ans en tant que modèle pour la photographie. En 1948 elle apparait pour la première fois à l’écran. Elle apparaitra dans de nombreux films jusqu’en 1961 qui lui vaudront un énorme succès. • Belle, pulpeuse, séductrice, elle deviendra à jamais l’un des plus grand stéréotypes féminins.

  15. B. Desperate Housewives. • La série, créée par Marc Cherry met en scène le quotidien mouvementé de quatre femmes : Susan Mayer, Lynette Scavo, Bree Van de Kamp et Gabrielle Solis, jouées respectivement par Teri Hatcher, Felicity Huffman, Marcia Cross et Eva Longoria. • Elles vivent à Wisteria Lane, une banlieue chic de Fairview, stéréotype des quartiers résidentiels de la middle class américaine. Mary Alice Young, une amie des héroïnes, se suicide au début du premier épisode, et se fait « narratrice d'outre-tombe » de la multitude d'intrigues mêlant humour, drame et mystère auxquelles prennent part les quatre femmes. Au fil des saisons, d'autres femmes désespérées se joignent à elles, et ce medley de femmes en fait une savoureuse série représentant les stéréotypes féminins de la société américaines, mère-poules et bonnes cuisinières s’occupant au mieux de leur foyer.

  16. Conclusion Les icônes de sensualité que nous avons présenté sont elles aussi des femmes qui font tout pour séduire celui qui observe. Pour finir, nous vous avons parlé des stéréotypes féminins de la société pour vous montrer comment ces femmes correspondent à nos idéalisations d’une « femme parfaite ». Nous pouvons ainsi dire que l’image n’est pas le reflet de la réalité. C’en est plutôt une perception, l’observation d’une image est toujours très subjective car ce que l’on voit ne correspond pas forcément à ce que l’autre peut voir. Dans cette optique, publicités écrites et télévisées sont réalisées dans le but de séduire le client : « séduction à tout prix ». • Jusqu’où pourrait aller cette séduction à tout prix ?

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