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CONTENU. L’ECONOMIE ALGERIENNE (50 année après l’independance) Pr.Benosmane M. 1966-1980  : ADOPTION ET MISE EN ŒUVRE DE LA “STRATÉGIE DE DÉVELOPPEMENT”. 1980-1988  : L‘ÉCONOMIE ÉTATIQUE REFORMÉE.

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Presentation Transcript


  1. CONTENU L’ECONOMIE ALGERIENNE (50 année après l’independance) Pr.Benosmane M. 1966-1980  : ADOPTION ET MISE EN ŒUVRE DE LA “STRATÉGIE DE DÉVELOPPEMENT” 1980-1988  : L‘ÉCONOMIE ÉTATIQUE REFORMÉE 1988-1998  : TRANSITION À L‘ÉCONOMIE DE MARCHÉ 1999-2011 : LIBÉRALISME PUIS ÉTATISME

  2. PÉRIODE I 1966-1980  : ADOPTION ET MISE EN ŒUVRE DE LA “STRATÉGIE DE DÉVELOPPEMENT”

  3. LA STRATÉGIE DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ADOPTÉE EN FÉVRIER 1966 C’ÉTAIT UNE PROJECTION À LONG TERME AVEC HORIZON TEMPOREL 1980 EN 1980 LE PROBLÈME DU CHÔMAGE DEVIENT INEXTRICABLE SI ON N’A PAS PRÉPARÉ L’ÉCONOMIE À LE PRENDRE EN CHARGE Pourquoi 1980 ? 1980 Sous la pression démographique Explosion de la demande de travail (nés en 1962 auront 18 ans) 1980 Sous l’effet de la scolarisation massive La mobilité des travailleurs va augmenter (il faut des occasions d’emploi) 1980 Arrivée sur le marché du travail de la population féminine

  4. LES OBJECTIFS ET LES CONTRAINTES TROIS OBJECTIFS À ATTEINDRE : CRÉATION MASSIVE D’EMPLOIS 1 ACCROISSEMENT MAXIMUM DE LA PRODUCTION NATIONALE DANS TOUS LES SECTEURS 2 RENFORCER LES MOYENS D’INDÉPENDANCE ÉCONOMIQUE 3 FAIBLE CAPACITÉ D’ABSORPTION EN INVESTISSEMENTS DE L’ÉCONOMIEAbsence d’infrastructures, de ressources humaines qualifiées et d’organisation 1 DEUX CONTRAINTES : 2 ÉTROITESSE DU MARCHÉ INTÉRIEUR

  5. LE RÔLE DÉCISIF REVIENT À L’INDUSTRIALISATION Une industrialisation solide capable de jouer pleinement son rôle de multiplicateur d’emplois et de fabriquer les principaux biens industriels dont a besoin une économie en progrès 1 L’industrie devra être en mesure de fournir l’ensemble des biens d’équipement qui lui sont nécessaires tant à elle même qu’à l’agriculture. L’industrie devra aussi être capable de transformer les produits agricoles pour la satisfaction de nos besoins en nourriture. DEUX GRANDS PROJETS Une agriculture restructurée et productive capable d’employer pleinement la population rurale et de satisfaire les besoins alimentaires d’une population croissante 2

  6. L’INDUSTRIALISATION

  7. MOT D’ORDRE : LE MAXIMUM D’INVESTISSEMENTS Taux d’investissement : 35- 40 % Moteur unique : l’Investissement public Plan triennal 1967-69 La projection globale est scindée en 2 perspectives septennales 1967 - 1973 1er plan quadriennal 1970 -19 73 2ème plan quadriennal 1974 -1977 1974 - 1977

  8. LES RESULTATS: UNE INDUSTRIALISATION FINANCIÈREMENT TROP LOURDE Faible performance industrielle et pas de rentabilité financière • Taux d’intégration interne des complexes trop élevé - Pas d’externalisation • Coûts de production trop élevés • Prix administrés Endettement élevé • Pas de maîtrise technologique et trop grande taille des Sociétés nationales Faible taux d’utilisation des capacités de production installées • Gestion centralement administrée le gestionnaire de l’entreprise est un fonctionnaire et non un manager • L’entreprise publique est une entité économique mais prend en charge aussi la satisfaction des besoins sociaux : santé, coopératives de consommation, sport de performance, centres de loisir…

  9. PÉRIODE II 1980-1988  : L‘ÉCONOMIE ÉTATIQUE RÉFORMÉE

  10. 1980 - 1988 : L’ÉCONOMIE ÉTATIQUE RÉFORMÉE Restructuration organique des entreprises publiques Fin de l’organisation en Groupes industriels. Les SN sont éclatées en plusieurs entités et leurs sièges délocalisés Refonte du monopole de l’État sur le commerce extérieur (budgets devises) DES RÉFORMES AVORTÉES

  11. PÉRIODE III 1988-1998  : TRANSITION À L‘ÉCONOMIE DE MARCHÉ

  12. GRADUALISME Deux temps 1988 - 1994 Stabilisation Macro-éco 2) 1994 – 1998 Accords avec le FMI Ajustement structurel

  13. 1988 - 1994 P. A. S. 5 faits marquants Réformes des entreprises publiques S. P. A. mais État actionnaire uniqueGestion confiée à des Fonds de participationActifs non cessiblesBanques publiques même statut Loi sur la monnaie et le crédit Banque Centrale autonome Nouveau code des investissements (1993) Libéralise l’investissement, supprime l’agrément, assouplit les procédures Agriculture : retrait de l’État E. A. I. et E. A. C. agriculture totalement privatisée mais sans droit de propriété sur les terres (sauf les petites exploitations traditionnelles ) Refus du rééchelonnement de la dette extérieure Reprofilage bilatéral- Dette publique : Italie- Dette privée : Crédit lyonnais

  14. 1994 - 1998 Accords avec la FMI Rééchelonnement de la dette ext. Deux accords : - “Stand-by” : Mars 1994 - Avril 1995 - “Facilité élargie” : Mai 1995 - Mai 1998 Approfondissement des réformes économiques 1/ Stabilisation macro-éco Gestion de la demande • Libéralisation graduelle des prix • Modération salariale • Politique monétaire restrictive • Rigueur budgétaire 1/ Réformes structurelles Concernent principalement le secteur des Entreprises publiques Trois faits Mise en place des Holdings avec attributs de propriétaires L. F. C. autorise l’ouverture de capital des EPE 1995 : 1ère Loi sur les Privatisations

  15. 1994 - 1998 (suite) 1996 : Suppression de toutes subventions aux produits de 1ère nécessité(sauf lait, pain, sucre…) 1998 : 1ères opérations de privatisation Hôtels, grandes surfaces, briqueteries, entreprises publiques locales Bilan décevant pas de repreneurs Ouverture commerciale :Suppression des restrictions quantitativesRévision du système tarifaire (baisse des droits de douane) Adoption d’une loi sur la Concurrence et mise en place du Conseil de la concurrence

  16. 1999-2011 LIBERALISME PUIS ETATISME

  17. 1999 - 2011 Deux sous-périodes 1999 - 2001 Libéralisme économique Signature de l’Accord d’Association avec l’UE Ouverture commerciale Relance du processus d’adhésion à l’OMC Nouvelle loi sur les capitaux marchands de l’État et la privatisation Relance de la privatisation Accélération de l’installation de banques commerciales privées Retraites Tentative de réforme de l’État providence Sécurité sociale

  18. 2001 - 2011 2001 – 2011 Retour de l’État Relance de l’investissement public • P.N.D.A.R. • 1er Plan de relance 2001 – 2003 7 MDS de $ • 2ème Plan de relance 2005 – 2009 144 MDS de $ • 3ème Plan de relance 2010 – 2014 240 MDS de $ Relance de la consommation - Revalorisation des salaires - Secteur économique Élaboration d’une stratégie industrielle reposant sur l’État.

  19. LES RÉSULTATS OBTENUS Croissance économique : 5 % Mais • Extensive • Éphémère • Coûteuse Baisse du chômage Mais • Traitement social • Emplois précaires Absence de politique de l’offre Crise de l’entreprise • Faible productivité • Absence de compétitivité • Perte de parts de marché Absence de diversification de l’économie Rôle toujours prépondérant des hydrocarbures

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