1 / 39

Diagnostic précoce de la cancérogenèse en sénologie: IRM standard et IRM interventionnelle

Diagnostic précoce de la cancérogenèse en sénologie: IRM standard et IRM interventionnelle. P Taourel, X Prat, P Boulet, C Granier,M Devaux, J Pujol (Montpellier). Questions. Pourquoi l’IRM peut permettre le diagnostic précoce de cancer

dooley
Download Presentation

Diagnostic précoce de la cancérogenèse en sénologie: IRM standard et IRM interventionnelle

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Diagnostic précoce de la cancérogenèse en sénologie: IRM standard et IRM interventionnelle P Taourel, X Prat, P Boulet, C Granier,M Devaux, J Pujol (Montpellier)

  2. Questions • Pourquoi l’IRM peut permettre le diagnostic précoce de cancer • Performances de l’IRM dans le diagnosticprécoce de cancer • Petit cancer invasif • Cancer canalaire in situ • Jusqu’où faut-il aller en IRM pour le diagnostic précoce de cancer

  3. Questions • Pourquoi l’IRM peut permettre le diagnostic précoce de cancer • Performances de l’IRM dans le diagnosticprécoce de cancer • Petit cancer invasif • Cancer canalaire in situ • Jusqu’où faut-il aller en IRM pour le diagnostic précoce de cancer

  4. V  Modification perméabilité  Création d’un gel matriciel  Formation de néo vaisseaux TUMEUR Facteurs angiogéniques

  5. Cancer infiltrant : Pas de corrélation entre MVC et les facteurs pronostiques de la tumeur

  6. Angiogénèse dans CCIS haut grade

  7. Questions • Pourquoi l’IRM peut permettre le diagnostic précoce de cancer • Performances de l’IRM dans le diagnosticprécoce de cancer • Petit cancer invasif • Cancer canalaire in situ • Jusqu’où faut-il aller en IRM pour le diagnostic précoce de cancer

  8. Quelle est la taille des cancers invasifs diagnostiqués par l’IRM ? • Dépistage chez femmes à risque • Bilan d’extension homolatéral • Bilan d’extension controlatéral

  9. Dépistage risque familial

  10. Bilan d’extension K infiltrant Multicentricité, multifocalité Caractéristiques des cancers détectés à l’IRM • Série multicentrique : 426 patientes, 15 centres • Lésion additionnel : marge de 2 cms • Patientes avec lésion biopsiée sur les données IRM : 61, Cancer = 41 vue en IRM seulement correspondant à un deuxième cancer : 10 % • Taille moyenne du deuxième cancer = 11 mm J of Surg Oncol 2005

  11. Bilan d’extension K infiltrant : Bilatéralité • 961 patientes • 3,1 % de cancer contro-latéral • VPP de la biopsie : 24,8 % • 18 K invasif versus12 CCIS • Taille moyenne K invasif 10,9 mm (1-42) NEJM 2007

  12. Analyse faux-négatif Corrélation avec analyse de pièces de mastectomies coupées en 5mm • 99 seins (188 K) • IRM : Sen = 81 % (89 % KI, 40 % KIS) • MM : Sen = 66 % (72 % KI, 37 % KIS) • F- : IRM : 5,6 mm, MM : 10,9 mm • Performance = sein densité BIRAD 1 AJR Sardanelli 2005

  13. Analyse Faux négatif K invasif28 cas (Teifke adiology 2002) • Technique : 5 cas • Rehaussement masquant : 3 cas • Caractéristiques histologiques : 5 cas • Taille : 15 cas : ≤ 5mm

  14. Performance de l’IRM pourle diagnostic de CCIS • Peu de résultats • Non indication de l’IRM (mammographie / microcalcifications) • IRM plus performante pour diagnostic de CCIS de haut grade que de bas grade • Potentiel dans le bilan d’extension • Les CCIS représente un taux important des cancers biopsiées sous IRM (> taux des cancers découverts par IRM) (64 CCIS pour 74 K invasif dans la série multicentrique européenne – Cancer 2006)

  15. r = 0,57 r = 0,78

  16. IRM et CCIS :la fin du consensus ? • Etude Lancet 2007 (C Kuhl) • 5960 patientes • Comparaison Mammographie/IRM • 167 diagnostic de CCIS • 89 CCIS de haut grade • Sen pour CCIS haut grade : • IRM = 98% • Mammographie = 52%

  17. Questions • Pourquoi l’IRM peut permettre le diagnostic précoce de cancer • Performances de l’IRM dans le diagnosticprécoce de cancer • Petit cancer invasif • Cancer canalaire in situ • Jusqu’où faut-il aller en IRM pour le diagnostic précoce de cancer

  18. ACR 1 et 2 arrêt des investigations 3 4 - 5 relecture mammographies échographie reclassement MG ou US ACR4 ou 5 pas de corrélation pas de corrélation MG +US ACR3 biopsie sous mammographie ou échographie biopsie ou repérage sous IRM surveillance 6, 12 mois

  19. ACR 1 et 2 arrêt des investigations 3 4 - 5 relecture mammographie échographie reclassement MG ou US ACR4 ou 5 pas de corrélation pas de corrélation MG +US ACR3 biopsie sous mammographie ou échographie biopsie ou repérage sous IRM surveillance 6, 12 mois

  20. Valeur de l’échographie de deuxième intention

  21. Valeur de l’échographie à postériori • Elle retrouve une lésion passée inapercue dans 23% à 57% des cas • Un rehaussement a d’autant plus de chance d’être un cancer : • qu’il existe un substratum échographique (43% versus 14%) • L’écographie de second look rattrape plus les cancers invasifs que in situ (58% versus 29%) : LaTrenta Radiology 2003

  22. ACR 1 et 2 arrêt des investigations 3 4 - 5 relecture mammographies échographie reclassement MG ou US ACR4 ou 5 pas de corrélation pas de corrélation MG +US ACR3 biopsie sous mammographie ou échographie biopsie ou repérage sous IRM surveillance 6, 12 mois

  23. 2005 2006

  24. 2005 2006

  25. Stratégie devant un rehaussement isolé de petite taille = problème du focus • Foyer de rehaussement, < 5mm, non visible en tant que masse avant injection (OBNI) • sémiologie morphologique impossible • Cinétique peu reproductible

  26. Stratégie devant un rehaussement isolé de petite taille = problème du focus • Foyer de rehaussement, < 5mm, non visible en tant que masse avant injection (OBNI) • sémiologie morphologique impossible • Cinétique peu reproductible • CAT • Si bilatéral, multiple : négativer • Si unique : ACR 3 • Biopsie dans contexte particulier

  27. ACR 1 et 2 arrêt des investigations 3 4 - 5 relecture mammographies échographie reclassement MG ou US ACR4 ou 5 pas de corrélation pas de corrélation MG +US ACR3 biopsie ou repérage sous IRM biopsie sous mammographie ou échographie surveillance 6, 12 mois

  28. Conclusion • L’IRM a un fort potentiel pour diagnostiquer des cancers invasifs de petite taille et des cancers canalaires in situ : angiogénèse • En pratique clinique, elle rattrape des cancers non vus par l’imagerie conventionnelle de taille centimètrique en moyenne • La prise en compte des foci ≤ 5 mm expose à un manque de spécificité non gérable • L’utilisation plus large des procédures de prélèvements guidés par IRM est indispensable et urgente

More Related