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Plan de d sherbage

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Presentation Transcript


    1. Plan de désherbage Le plan de désherbage est un engagement de la part des communes dans une action de développement durable. CREPEPP cellule régional d’étude de la pollution des eaux par les produits phytosanitaires Sa réussite dépend à la fois de la concertation entre les différents acteurs de la commune : élus et techniciens des espaces verts, mais aussi de la communication réaliser vis-à-vis des riverains. Une réflexion sur l’usage et l’entretien des secteurs de la commune L’intégration du risque de transfert dans le raisonnement des pratiques de désherbage Une démarche concertée entre les élus, les responsables et les agents techniques Le plan de désherbage est un engagement de la part des communes dans une action de développement durable. CREPEPP cellule régional d’étude de la pollution des eaux par les produits phytosanitaires Sa réussite dépend à la fois de la concertation entre les différents acteurs de la commune : élus et techniciens des espaces verts, mais aussi de la communication réaliser vis-à-vis des riverains. Une réflexion sur l’usage et l’entretien des secteurs de la commune L’intégration du risque de transfert dans le raisonnement des pratiques de désherbage Une démarche concertée entre les élus, les responsables et les agents techniques

    7. Comment classe-t-on les zones : donner des exemples : - si la surface est proche d’un point d’eau : le risque de transfert est élevé, par exemple les trottoirs en bitume de la commune - si la surface est éloignée d’un point, mais que la surface est imperméable : exemple une allée bitumée sans avaloirs, ni caniveaux à proximité, l’eau ruisselle et va au caniveau le plus proche - si la surface est éloignée d’un point d’eau, et perméable, mais en pente, il y a toujours risque de transfert vers les eaux superficielles par ruissellement de l’eau - le dernier cas, les zones à risque réduit, sont des surface éloignée d’un point d’eau, perméable, plane et non drainée : Par Exemple : un terrain drainé est classé, dans éloigné d’un point d’eau, perméable, mais l’eau est récupérée par les drains et donc la surface est classée en risque élevé Maintenant comment-on va entretenir ? L’objectif est de réduire l’utilisation des produits phytosanitaires sur les zones classées à risque fort. Tout en gardant à l’esprit que sous la terre, il y a des eaux souterraines et donc risque potentiel aussi. Les préconisations : - sur les zones à risque élevé, arrêter de désherber prioritairement - sur les zones à risque réduit, les traitements chimiques sont encore autorisé. Il ne faut pas non plus oublier la réglementationComment classe-t-on les zones : donner des exemples : - si la surface est proche d’un point d’eau : le risque de transfert est élevé, par exemple les trottoirs en bitume de la commune - si la surface est éloignée d’un point, mais que la surface est imperméable : exemple une allée bitumée sans avaloirs, ni caniveaux à proximité, l’eau ruisselle et va au caniveau le plus proche - si la surface est éloignée d’un point d’eau, et perméable, mais en pente, il y a toujours risque de transfert vers les eaux superficielles par ruissellement de l’eau - le dernier cas, les zones à risque réduit, sont des surface éloignée d’un point d’eau, perméable, plane et non drainée : Par Exemple : un terrain drainé est classé, dans éloigné d’un point d’eau, perméable, mais l’eau est récupérée par les drains et donc la surface est classée en risque élevé Maintenant comment-on va entretenir ? L’objectif est de réduire l’utilisation des produits phytosanitaires sur les zones classées à risque fort. Tout en gardant à l’esprit que sous la terre, il y a des eaux souterraines et donc risque potentiel aussi. Les préconisations : - sur les zones à risque élevé, arrêter de désherber prioritairement - sur les zones à risque réduit, les traitements chimiques sont encore autorisé. Il ne faut pas non plus oublier la réglementation

    14. Les clés de la réussite Action qui se déroule sur le long terme, procéder par étapes Concertation entre les élus, les responsables et les agents Coordination, communication entre les différents services (communication, espaces verts, voirie, urbanisme, …) Importance de la communication envers les particuliers Cibler en premier les espaces verts, puis inclure la voirieCibler en premier les espaces verts, puis inclure la voirie

    15. Alternatives au désherbage chimique Des solutions existent … Avant toutes choses, il n’y a pas de solutions, les agents ont besoin de temps pour découvrir et maîtriser ces nouveaux outils. Il n’y a pas de solutions miracles, qui remplace idéalement les produits phytosanitaires, qui soient aussi rapide, aussi efficace. La solution vient d’une combinaison de plusieurs techniques alternatives et d’une acceptation de la végétation spontanée dans certains secteurs, et du retour du vert dans le milieu urbain.Avant toutes choses, il n’y a pas de solutions, les agents ont besoin de temps pour découvrir et maîtriser ces nouveaux outils. Il n’y a pas de solutions miracles, qui remplace idéalement les produits phytosanitaires, qui soient aussi rapide, aussi efficace. La solution vient d’une combinaison de plusieurs techniques alternatives et d’une acceptation de la végétation spontanée dans certains secteurs, et du retour du vert dans le milieu urbain.

    16. En préventif le balayage mécanique Fréquence : 1 fois par mois au minimum pendant les périodes de pousses Quelques exemplesQuelques exemples

    17. Les solutions préventivesLes solutions préventives

    18. Des solutions curativesDes solutions curatives

    19. Réflexion à mener dès la conception Gestion différentes suivantes le contexte

    21. Les gazons d’ornements

    24. Les paillages Le paillageobjectif : réduction de la pousse des adventices pour moins d’interventions Le paillage = couverture protectrice Le paillage : ses nombreux avantages Limitation du développement des plantes adventices par absence de lumière Isolation thermique Protection contre le chaud et le froid stabilise les changements de température Protection du sol = Diminution des phénomènes de battance, d’érosion, de dessèchement Diminution de l’évapotranspiration ? moins d’arrosage Apport de matière organique par décomposition Favorise la « vie » du sol (micro et macroscopique) exemple du ver de terre drainage, aération, incorporation de la matières organique Où? Massifs, aux pieds des arbres et des haies, et même dans les jardinières Quand? Comment? Etapes d’un paillage de massif Désherber travailler la terre en profondeur ajouter de la MO pour favoriser la rétention d’eau Arroser puis pailler Penser à décaisser vos massifs Le paillageobjectif : réduction de la pousse des adventices pour moins d’interventions Le paillage = couverture protectrice Le paillage : ses nombreux avantages Limitation du développement des plantes adventices par absence de lumière Isolation thermique Protection contre le chaud et le froid stabilise les changements de température Protection du sol = Diminution des phénomènes de battance, d’érosion, de dessèchement Diminution de l’évapotranspiration ? moins d’arrosage Apport de matière organique par décomposition Favorise la « vie » du sol (micro et macroscopique) exemple du ver de terre drainage, aération, incorporation de la matières organique Où? Massifs, aux pieds des arbres et des haies, et même dans les jardinières Quand? Comment? Etapes d’un paillage de massif Désherber travailler la terre en profondeur ajouter de la MO pour favoriser la rétention d’eau Arroser puis pailler Penser à décaisser vos massifs

    26. Entretien manuel Binette Nombreux outils adaptable sur un manche qui peut être ergonomique À pousser ou non; à pousser sont moins fatigants Binette pour désherber en surface, dans les allées… Ratissoire pour désherber les surfaces légèrement plantées, comme les potagers… Serfouette : outil polyvalent pour creuser, aérer, désherber, briser les mottes, tracer des rangs… Dresse bordure : pour recalibrer les bordures de gazonNombreux outils adaptable sur un manche qui peut être ergonomique À pousser ou non; à pousser sont moins fatigants Binette pour désherber en surface, dans les allées… Ratissoire pour désherber les surfaces légèrement plantées, comme les potagers… Serfouette : outil polyvalent pour creuser, aérer, désherber, briser les mottes, tracer des rangs… Dresse bordure : pour recalibrer les bordures de gazon

    27. Attention zones à risque fort si le terrain est drainéAttention zones à risque fort si le terrain est drainé

    28. Les aménagements Tenir compte des la conception de l’entretien futur par les agents (emplacement des poteaux, …) Choisir les végétaux Tenir compte de la largeur du matériel Faire des joints entre les bordures de trottoirs Faire du bitume plutôt que du bicouche

    29. Rotofil et reciprocator

    30. Pratiques préventives La végétalisation des espaces urbains Les couvre-sol L’enherbement L’acceptation des « mauvaises herbes » Entraine une modification profonde du type d’entretien Nécessite un investissement en temps (et en argent) à la mise en place… puis gain de temps et surtout arrêt des pesticides Agir en aval : prendre en compte le désherbage dès la conception (valable pour les massifs comme pour les parkings) Excellente solution pour les zones difficiles d’accès ? terrain pentu, terrain pierreux… On ne travaille pas contre mais avec le végétal Certains penseront que c’est un retour en arrière : on abandonne les produits phytosanitaires vu comme un outil de progrès, donc valorisant (ce qui est très discutable!!) pour retourner « à la binette »! Pour ma part, je suis persuadée que ce type de travail est plus valorisant pour l’homme, car c’est son savoir faire, et non plus l’outil qu’il utilise, qui fait la valeur de son travail (en effet nécessité de bien connaître le végétal pour travailler AVEC le végétal)Entraine une modification profonde du type d’entretien Nécessite un investissement en temps (et en argent) à la mise en place… puis gain de temps et surtout arrêt des pesticides Agir en aval : prendre en compte le désherbage dès la conception (valable pour les massifs comme pour les parkings) Excellente solution pour les zones difficiles d’accès ? terrain pentu, terrain pierreux… On ne travaille pas contre mais avec le végétal Certains penseront que c’est un retour en arrière : on abandonne les produits phytosanitaires vu comme un outil de progrès, donc valorisant (ce qui est très discutable!!) pour retourner « à la binette »! Pour ma part, je suis persuadée que ce type de travail est plus valorisant pour l’homme, car c’est son savoir faire, et non plus l’outil qu’il utilise, qui fait la valeur de son travail (en effet nécessité de bien connaître le végétal pour travailler AVEC le végétal)

    31. Les paillages Fibres ou des chips de coco, de la filasse de tourbe… Les feutres et diverses toiles Le minéral Fibre de coco Très efficace pour la rétention d’eau ; Décomposition lente ; Peu coûteux Trop efficace pour la rétention d’eau ; Décomposition lente Fibre très solide ? problème pour travailler le sol Attention aux résidus de sel Intéressant au pied des haies Chips de coco Peu coûteux ; Pose facile (petits cubes) Mais pas de retour utilisateur Filasse de tourbe Très esthétique ; Très naturel ; Vite installée (pelle et râteau) ; Pas cher Au moins 4 ans au pieds des arbres et des massifs d’arbustes Les tourbières sont des milieux naturels à préserver – disparition à cause de la surexploitationFibre de coco Très efficace pour la rétention d’eau ; Décomposition lente ; Peu coûteux Trop efficace pour la rétention d’eau ; Décomposition lente Fibre très solide ? problème pour travailler le sol Attention aux résidus de sel Intéressant au pied des haies Chips de coco Peu coûteux ; Pose facile (petits cubes) Mais pas de retour utilisateur Filasse de tourbe Très esthétique ; Très naturel ; Vite installée (pelle et râteau) ; Pas cher Au moins 4 ans au pieds des arbres et des massifs d’arbustes Les tourbières sont des milieux naturels à préserver – disparition à cause de la surexploitation

    33. Caractéristiques d’une plante couvre-sol Une bonne plante couvre-sol est une plante: dont le feuillage est dense dont le port est étalé qui vit longtemps qui nécessite un minimum d’entretien qui a une croissance rapide (attention: elles ne doivent pas être trop envahissantes) bien adaptée aux conditions d’implantation (remarque : il existe différents contextes) priorité aux plantes vivaces et robustes Limite la pousse des mauvaises herbes : ni espace, ni lumière Peu d’entretien Isolation thermique Protection contre le chaud et le froid stabilise les changements de température Protection du sol = Diminution des phénomènes de battance, d’érosion, de dessèchement Diminution de l’évapotranspiration ? moins d’arrosage Favorise la « vie » du sol (micro et macroscopique) exemple du ver de terre drainage, aération Protection des arbres Contre les risques liés à l’utilisation des pesticides / contre les chocs (outils de fauche) Paysages plus naturels Où? Massifs, aux pieds des arbres, des haies, des panneaux, des poteaux, talus, zones difficiles d’accès ou dangereuses, le long d’un cours d’eau… Comment? Bien préparer le sol : désherber la surface Amender bêcher Installer un paillage au début Planter avec forte densité en terrain difficile Entretien important la première année Elles permettent de limiter les interventions : au pied des murs, des poteaux, des panneaux, des arbres et arbustes ? à conditions de supporter ombre et soleil, les mettre en place dès l’implantation dans les massifs de fleurs, sur les talus, mais aussi dans des zones difficiles d’accès ou dangereuses, comme les abords de routes passantes, les ronds-points, les ilots… Préparation du sol désherbage dans le respect de l’environnement = binage, bâchage, désherbage thermique… Implantation d’engrais vert type phacélie, moutarde… qui évite l’installation d’adventices Apporter un amendement organique (fumier, marc de raisin distillé…) ? important pour les pieds mères Bêcher en profondeur, ajouter des graviers, du sables… ? sol bien drainé (vivaces ont un systèmes racinaire très développé) Limite la pousse des mauvaises herbes : ni espace, ni lumière Peu d’entretien Isolation thermique Protection contre le chaud et le froid stabilise les changements de température Protection du sol = Diminution des phénomènes de battance, d’érosion, de dessèchement Diminution de l’évapotranspiration ? moins d’arrosage Favorise la « vie » du sol (micro et macroscopique) exemple du ver de terre drainage, aération Protection des arbres Contre les risques liés à l’utilisation des pesticides / contre les chocs (outils de fauche) Paysages plus naturels Où? Massifs, aux pieds des arbres, des haies, des panneaux, des poteaux, talus, zones difficiles d’accès ou dangereuses, le long d’un cours d’eau… Comment? Bien préparer le sol : désherber la surface Amender bêcher Installer un paillage au début Planter avec forte densité en terrain difficile Entretien important la première année Elles permettent de limiter les interventions : au pied des murs, des poteaux, des panneaux, des arbres et arbustes ? à conditions de supporter ombre et soleil, les mettre en place dès l’implantation dans les massifs de fleurs, sur les talus, mais aussi dans des zones difficiles d’accès ou dangereuses, comme les abords de routes passantes, les ronds-points, les ilots… Préparation du sol désherbage dans le respect de l’environnement = binage, bâchage, désherbage thermique… Implantation d’engrais vert type phacélie, moutarde… qui évite l’installation d’adventices Apporter un amendement organique (fumier, marc de raisin distillé…) ? important pour les pieds mères Bêcher en profondeur, ajouter des graviers, du sables… ? sol bien drainé (vivaces ont un systèmes racinaire très développé)

    34. Accepter les herbes spontanées

    35. Couvert minéral gravillons, pouzzolane, ardoises… Inconvénients et/ou avantages : retient la chaleur donc attention à leur implantation et aux types de végétaux En dur … Comment faire son choix? Esthétisme : adapter la granulométrie en fonction des plantes (point esthétique mais aussi technique Coût Disponibilité… Privilégier les filières locales ? les coûts seront plus intéressants car c’est le transport qui coûte cher Exemples : déchets de l’industrie agroalimentaires (écorces de fèves de cacao à proximité des chocolaterie…) développement de filière agricole locale : lin, chanvre… illustration : en Bretagne broyat de coquille de Saint Jacques ou les cosses de blé noir Expérimenter avant de passer à des surfaces importantes, ou à des massifs de « prestige ». Mettre en place des tests pour les nouveaux types de paillage et consigner les résultats. Couvert minéral gravillons, pouzzolane, ardoises… Inconvénients et/ou avantages : retient la chaleur donc attention à leur implantation et aux types de végétaux En dur … Comment faire son choix? Esthétisme : adapter la granulométrie en fonction des plantes (point esthétique mais aussi technique Coût Disponibilité… Privilégier les filières locales ? les coûts seront plus intéressants car c’est le transport qui coûte cher Exemples : déchets de l’industrie agroalimentaires (écorces de fèves de cacao à proximité des chocolaterie…) développement de filière agricole locale : lin, chanvre… illustration : en Bretagne broyat de coquille de Saint Jacques ou les cosses de blé noir Expérimenter avant de passer à des surfaces importantes, ou à des massifs de « prestige ». Mettre en place des tests pour les nouveaux types de paillage et consigner les résultats.

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