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Le départ des hirondelles

Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument.

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Le départ des hirondelles

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  1. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  2. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  3. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  4. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  5. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  6. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  7. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  8. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  9. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  10. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  11. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  12. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  13. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  14. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  15. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  16. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  17. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  18. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  19. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  20. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  21. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  22. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  23. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  24. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  25. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  26. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  27. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  28. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

  29. Le départ des hirondelles « L’automne est à notre porte, dit grand-père, les hirondelles vont bientôt nous quitter ! » Brunette lève le nez et les aperçoit, alignées sur les fils électriques. Leurs têtes s’inclinent à droite, à gauche ; elles gazouillent et pépient éperdument. Un beau matin, en ouvrant la fenêtre, Brunette constate que le nid sous le toit est abandonné. La nuit a engloutit ses petites amies. Mystérieusement elles ont disparu. « Sans me dire au revoir ! » s’attriste la petite fille. Mais peut-être ont-elles frappé au carreau avec leur bec, avant de s’envoler vers le soleil… Qui sait ? Et Brunette rêve. Elle imagine le départ avant l’aube, le ciel froid et silencieux peuplé de milliers d’hirondelles, qui montent, montent, toujours plus haut, toujours plus loin. Elles survoleront les plaines bariolées et les fleuves d’argent, les sommets où scintillent la neige, et la mer sans limites. Puis, un soir, elles atteindront le rivage de ce pays lointain qui est leur seconde patrie. « Mais au printemps, elles reviendront ! » se console Brunette.

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