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Le métier de contrôleur aérien

Le métier de contrôleur aérien . Définition de ce métier . Du décollage à l'atterrissage, le contrôleur aérien guide les pilotes en vol pour que les avions circulent en toute sécurité par tous les temps et en tous lieux. Un métier à haute responsabilité, sans droit à l'erreur !.

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Le métier de contrôleur aérien

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Presentation Transcript


  1. Le métier de contrôleur aérien

  2. Définition de ce métier Du décollage à l'atterrissage, le contrôleur aérien guide les pilotes en vol pour que les avions circulent en toute sécurité par tous les temps et en tous lieux. Un métier à haute responsabilité, sans droit à l'erreur !

  3. Nature du travail • Guider sûrement les pilotes • Le contrôleur aérien règle la circulation des avions, en altitude comme aux abords des aéroports. Depuis sa tour de contrôle, quels que soient le trafic et les conditions météo, il guide les pilotes au moment du décollage, en vol et pendant l'atterrissage. • Un contrôleur par secteur • Responsable d'un secteur pour lequel il donne les autorisations de survol, le contrôleur aérien conseille les pilotes qui le traversent. Les avions sont identifiés tout au long du vol. Quand ils entrent dans son secteur, le contrôleur demande au pilote son niveau, sa vitesse, sa position... conformément à son plan de vol. • Un suivi en temps réel • Quand le trafic est intense, il orchestre le ballet des atterrissages et des décollages avec une grande précision. Il confirme au pilote en temps réel à quel moment il peut décoller ou se poser et quelle piste emprunter. Il suit toutes les manœuvres de l'avion. • Répondre aux urgences • À l'aide d'instruments (radar), il analyse la circulation aérienne avant d'autoriser le pilote à pénétrer dans son secteur. En cas de situation extrême (absence de contact avec l'appareil), le contrôleur prévient son supérieur et déclenche les opérations d'urgence.

  4. Compétences requises • Responsabilités importantes • Ce métier demande un sens aigu des responsabilités, car une erreur d'évaluation dans la trajectoire d'un avion est lourde de conséquences... Au cours de ses missions, le contrôleur fait preuve d'excellentes capacités d'analyse pour gérer plusieurs sources d'informations simultanément. • Calme et réactivité • D'un calme à toute épreuve et très réactif, il anticipe et prend les décisions immédiatement pour guider les avions. Il a l'autorité nécessaire pour imposer ses décisions à des pilotes parfois trop sûrs d'eux. • Un bilingue parfait • Spécialiste de la navigation aérienne et du pilotage d'avion, il possède des compétences scientifiques et techniques de haut niveau. Il parle couramment l'anglais pour échanger des informations avec les pilotes des avions en provenance de l'étranger. • Parfaite condition physique • Pour exercer ce métier, une excellente vue est exigée ainsi qu'une bonne santé générale. Les contrôleurs aériens sont d'ailleurs soumis à des examens médicaux réguliers.

  5. Lieux d’exercice et statuts • Petits ou grands avions • Le trafic aérien français est l'un des plus denses du monde. Le contrôleur est donc responsable des avions de tourisme privés ou des gros porteurs. • Un horaire chargé • Le contrôleur travaille en horaires décalés, à raison de 32 h par semaine. Il peut fonctionner de jour comme de nuit, 7 jours sur 7, 24 h sur 24. Il bénéficie aussi, pendant son service, de plages de repos. • En liaison avec les autres • Le contrôleur travaille en duo avec un collègue : l'un se charge des procédures de vol, l'autre suit le radar. Il est en liaison permanente avec les pilotes et ses homologues chargés des autres secteurs aériens, les services de la météo et, parfois, les services de recherche et de sauvetage. • Statut : fonctionnaire • Ce professionnel est en général un fonctionnaire de catégorie A de la Direction générale de l'aviation civile (DGAC) du secrétariat d'État chargé des Transports. Il travaille dans un aéroport ou dans l'un des 5 centres de contrôle régionaux : Aix-en-Provence, Athis-Mons, Bordeaux, Brest et Reims. •  Mais, parallèlement, l'armée de l'air et la marine nationale emploient des contrôleurs aériens après formation militaire initiale et formation professionnelle.

  6. Salaire • Salaire du débutant environ 2 544€

  7. Intégrer le marché du travail • 65 postes en 2009 • On compte plus de 4 500 contrôleurs aériens en activité. Tous ont été formés à l'École nationale de l'aviation civile (ÉNAC), après réussite à un concours très sélectif. En 2009, 65 places ont été proposées. • Une fois admis à l'ÉNAC, le futur contrôleur ou élève ingénieur du contrôle de la navigation aérienne (ICNA) suit une formation de 3 ans. Il devient élève fonctionnaire et perçoit une rémunération : environ 1 480 euros brut par mois en 1re année ; 2 000 euros en 2e année et 2 330 euros en 3e année. • Centre de contrôle ou aéroport • À mi-parcours et en fonction de son classement, l'élève choisit entre deux voies : les centres de contrôle régionaux ou les aéroports. 40 % des contrôleurs exercent dans les centres de contrôle régionaux, 40 % dans les aéroports et aérodromes et 20 % occupent un poste d'études ou d'encadrement. • Par la voie des concours internes, le contrôleur aérien évolue (suivant son ancienneté) vers des fonctions d'études, d'encadrement ou de management dans les services de l'aviation civile. Il n'y a pas de débouchés en dehors de l'administration.

  8. Accès au métier • En France, les contrôleurs aériens ont la particularité d'être des fonctionnaires. Ils sont tous passés par l'École nationale de l'aviation civile (ENAC) de Toulouse. • Niveau bac + 5 • Accès à l'ENAC : chaque année, un concours est organisé dans les principales métropoles régionales. Il s'adresse aux titulaires d'un bac + 2, ayant moins de 27 ans au 1er janvier de l'année du concours. Un très bon niveau en anglais est indispensable. Les candidats admis subissent un examen médical destiné à vérifier leurs aptitudes physiques et mentales. • Formation à l'ENAC : elle dure 3 ans, dont 18 mois de théorie et de stages pratiques, dont un stage de pilotage (brevet de pilote privé d'avion) et un stage en pays anglophone. Rémunérés pendant leur scolarité, les élèves fonctionnaires s'engagent à travailler 7 ans pour l'État.

  9. FIN

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