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II. Athènes au Ve siècle av. J.C.

II. Athènes au Ve siècle av. J.C. A. Athènes est une démocratie. B. Athènes est une cité puissante. C. Athènes est un centre culturel. Athènes est une cité grecque située en Attique, au bord de la mer Egée. Attique. Athènes. A. Athènes est une démocratie. 1. Le pouvoir change de mains.

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II. Athènes au Ve siècle av. J.C.

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  1. II. Athènes au Ve siècle av. J.C. A. Athènes est une démocratie B. Athènes est une cité puissante C. Athènes est un centre culturel

  2. Athènes est une cité grecque située en Attique, au bord de la mer Egée. Attique Athènes

  3. A. Athènes est une démocratie

  4. 1. Le pouvoir change de mains

  5. Les cavaliers Les hoplites Les rameurs ( et les hoplites) La « classe moyenne » ( entre les riches et les pauvres) Le peuple ( dont les pauvres) Les riches La démocratie L’oligarchie

  6. Les rameurs ( et les hoplites) Les cavaliers Les hoplites La « classe moyenne » ( entre les riches et les pauvres) Le peuple ( dont les pauvres) Les riches La démocratie L’oligarchie • A partir du VIIe siècle av. J.C., la manière de combattre évolue : • les petits paysans défendent leur cité comme hoplites • Les pauvres comme rameurs. • Ils ont l’avantage à la guerre  ils ont donc le pouvoir à Athènes Les riches possèdent les chevaux. Cela leur donne l’avantage à la guerre  ce sont eux qui ont donc le pouvoir à Athènes Le citoyen est celui qui défend sa cité.

  7. 2. Le fonctionnement de la démocratie

  8. 10 stratèges : • commandent l’armée ( ex. Périclès Les instruments de la politique élit • Le tribunal ou Héliée : • Rend la justice • L’Assemblée des citoyens ou Ecclésia: • vote les lois • Décide de la paix et de la guerre • Vote l’ostracisme * • Le conseil ou Boulé: • Prépare les lois Tire au sort Tire au sort Participent 4 fois par an * Ostracisme : un vote qui condamne à l’exil un citoyen dangereux pour la démocratie • Les citoyens ( 40 000 personnes) • Nés d’une mère et d’un père athénien • Eux seuls ont des droits politiques graphique Lesnon-citoyens ( environ 260 000 personnes) • Les métèques (étrangers ) • Libres • Mais sans droits politiques • Les femmes et enfants de citoyens : • Libres • Mais sans droits politiques • Les esclaves : • Non libres • n’ont aucun droit

  9. Etre citoyen, c’est avoir des devoirs dans les domaines : • Politique : participer à l’ecclésia; voter les lois… • Militaire : défendre sa cité • Judiciaire : possibilité d’ être juge • Religieux: participer aux fêtes en l’honneur des dieux de la cité • Athènes est le 1er Etat dans l’Histoire à mettre en place une démocratie mais celle-ci est incomplète car peu d’habitants sont citoyens.

  10. 3. Les lieux de la vie des citoyens

  11. Athènes est une cité grecque située en Attique, au bord de la mer Egée. Attique Athènes

  12. Athènes 1 Acropole Longs Murs Port de commerce 2 3 Port de guerre Vin, huile, céramique Le Pirée Blé, bois, métaux

  13. CERAMIQUE Place entourée de bâtiments publics ( tribunal, bouleteurion, bâtiment des stratèges) AGORA ACROPOLE Lieu de culte d’Athena PNYX Lieu de réunion de l’Ecclesia

  14. B. Athènes est une cité puissante

  15. Récit de la bataille de Marathon 490 av. J.C. Les Athéniens se préparaient au combat. Après les sacrifices, les dieux leur semblaient favorables. Ils chargèrent les barbares en courant. Huit stades ( 178m) au moins séparaient les deux armées. Quand les Perses les virent arriver au pas de course, ils se préparèrent à soutenir le choc. A leur petit nombre, à cette manière d’attaquer en courant, ils les jugèrent atteint d’une folie qui allait les perdre, d’autant plus qu’ils n’avaient ni cavalerie ni archers. Bien groupés, les Athéniens assaillirent les Perses et combattirent avec une bravoure admirable. Au centre, les Barbares l’emportèrent mais ils furent enfoncer sur leurs ailes. Menacés d’encerclement, ils s’enfuirent. Les Athéniens les poursuivirent et les taillèrent en pièces jusque sur le rivage. D’après Hérodote ( historien grec), Histoires, Ve siècle av. J.C. • Quels sont les deux camps qui s’opposent ? • Où à lieu le combat ? • Comment l’auteur appelle-t-il les adversaires des Athéniens ? • Quelle technique de combat et quelle qualité permettent aux Athéniens de perdre leurs adversaires ? • De quel type de combattants est formée l’armée grecque ?

  16. Récit de la bataille de Marathon 490 av. J.C. Les Athéniens se préparaient au combat. Après les sacrifices, les dieux leur semblaient favorables. Ils chargèrent les barbares en courant. Huit stades ( 178m) au moins séparaient les deux armées. Quand les Perses les virent arriver au pas de course, ils se préparèrent à soutenir le choc. A leur petit nombre, à cette manière d’attaquer en courant, ils les jugèrent atteint d’une folie qui allait les perdre, d’autant plus qu’ils n’avaient ni cavalerie ni archers. Bien groupés, les Athéniens assaillirent les Perses et combattirent avec une bravoure admirable. Au centre, les Barbares l’emportèrent mais ils furent enfoncer sur leurs ailes. Menacés d’encerclement, ils s’enfuirent. Les Athéniens les poursuivirent et les taillèrent en pièces jusque sur le rivage. D’après Hérodote ( historien grec), Histoires, Ve siècle av. J.C. • Quels sont les deux camps qui s’opposent ? • Où à lieu le combat ? • Comment l’auteur appelle-t-il les adversaires des Athéniens ? • Quelle technique de combat et quelle qualité permettent aux Athéniens de perdre leurs adversaires ? • De quel type de combattants est formée l’armée grecque ?

  17. Récit de la bataille de Marathon 490 av. J.C. Les Athéniens se préparaient au combat. Après les sacrifices, les dieux leur semblaient favorables. Ils chargèrent les barbares en courant. Huit stades ( 178m) au moins séparaient les deux armées. Quand les Perses les virent arriver au pas de course, ils se préparèrent à soutenir le choc. A leur petit nombre, à cette manière d’attaquer en courant, ils les jugèrent atteint d’une folie qui allait les perdre, d’autant plus qu’ils n’avaient ni cavalerie ni archers. Bien groupés, les Athéniens assaillirent les Perses et combattirent avec une bravoure admirable. Au centre, les Barbares l’emportèrent mais ils furent enfoncer sur leurs ailes. Menacés d’encerclement, ils s’enfuirent. Les Athéniens les poursuivirent et les taillèrent en pièces jusque sur le rivage. D’après Hérodote ( historien grec), Histoires, Ve siècle av. J.C. • Quels sont les deux camps qui s’opposent ? • Où à lieu le combat ? • Comment l’auteur appelle-t-il les adversaires des Athéniens ? • Quelle technique de combat et quelle qualité permettent aux Athéniens de perdre leurs adversaires ? • De quel type de combattants est formée l’armée grecque ?

  18. Récit de la bataille de Marathon 490 av. J.C. Les Athéniens se préparaient au combat. Après les sacrifices, les dieux leur semblaient favorables. Ils chargèrent les barbares en courant. Huit stades ( 178m) au moins séparaient les deux armées. Quand les Perses les virent arriver au pas de course, ils se préparèrent à soutenir le choc. A leur petit nombre, à cette manière d’attaquer en courant, ils les jugèrent atteint d’une folie qui allait les perdre, d’autant plus qu’ils n’avaient ni cavalerie ni archers. Bien groupés, les Athéniens assaillirent les Perses et combattirent avec une bravoure admirable. Au centre, les Barbares l’emportèrent mais ils furent enfoncer sur leurs ailes. Menacés d’encerclement, ils s’enfuirent. Les Athéniens les poursuivirent et les taillèrent en pièces jusque sur le rivage. D’après Hérodote ( historien grec), Histoires, Ve siècle av. J.C. • Quels sont les deux camps qui s’opposent ? • Où à lieu le combat ? • Comment l’auteur appelle-t-il les adversaires des Athéniens ? • Quelle technique de combat et quelle qualité permettent aux Athéniens de perdre leurs adversaires ? • De quel type de combattants est formée l’armée grecque ?

  19. Récit de la bataille de Marathon 490 av. J.C. Les Athéniens se préparaient au combat. Après les sacrifices, les dieux leur semblaient favorables. Ils chargèrent les barbares en courant. Huit stades ( 178m) au moins séparaient les deux armées. Quand les Perses les virent arriver au pas de course, ils se préparèrent à soutenir le choc. A leur petit nombre, à cette manière d’attaquer en courant, ils les jugèrent atteint d’une folie qui allait les perdre, d’autant plus qu’ils n’avaient ni cavalerie ni archers. Bien groupés, les Athéniens assaillirent les Perses et combattirent avec une bravoure admirable. Au centre, les Barbares l’emportèrent mais ils furent enfoncer sur leurs ailes. Menacés d’encerclement, ils s’enfuirent. Les Athéniens les poursuivirent et les taillèrent en pièces jusque sur le rivage. D’après Hérodote ( historien grec), Histoires, Ve siècle av. J.C. • Quels sont les deux camps qui s’opposent ? • Où à lieu le combat ? • Comment l’auteur appelle-t-il les adversaires des Athéniens ? • Quelle technique de combat et quelle qualité permettent aux Athéniens de perdre leurs adversaires ? • De quel type de combattants est formée l’armée grecque ?

  20. Récit de la bataille de Marathon 490 av. J.C. Les Athéniens se préparaient au combat. Après les sacrifices, les dieux leur semblaient favorables. Ils chargèrent les barbares en courant. Huit stades ( 178m) au moins séparaient les deux armées. Quand les Perses les virent arriver au pas de course, ils se préparèrent à soutenir le choc. A leur petit nombre, à cette manière d’attaquer en courant, ils les jugèrent atteint d’une folie qui allait les perdre, d’autant plus qu’ils n’avaient ni cavalerie ni archers. Bien groupés, les Athéniens assaillirent les Perses et combattirent avec une bravoure admirable. Au centre, les Barbares l’emportèrent mais ils furent enfoncer sur leurs ailes. Menacés d’encerclement, ils s’enfuirent. Les Athéniens les poursuivirent et les taillèrent en pièces jusque sur le rivage. D’après Hérodote ( historien grec), Histoires, Ve siècle av. J.C. • Quels sont les deux camps qui s’opposent ? • Où à lieu le combat ? • Comment l’auteur appelle-t-il les adversaires des Athéniens ? • Quelle technique de combat et quelle qualité permettent aux Athéniens de perdre leurs adversaires ? • De quel type de combattants est formée l’armée grecque ? LES HOPLITES

  21. La bataille de Salamine ( 480 av. JC.) Les rames bruyantes des Grecs frappent l’eau profonde en cadence et l’on entend une longue clameur : «  Enfants de la Grèce, délivrez la patrie ! Délivrez vos enfants et vos femmes, les sanctuaires des dieux de votre père et les tombeaux de vos aïeux ! » Aussitôt, vaisseau contre vaisseau les proues de bronze se heurtent. Un navire grec a donné le signal de l’abordage. Les nombreux vaisseaux perses affluent et résistent d’abord, mais ils s’entassent dans une passe étroite. Les trières grecques les encerclent adroitement, les frappent, les éventrent. La mer disparaît sous un amas d’épaves, tandis qu’une fuite désordonnée emporte à toutes rames ce qui reste de la flotte barbare. D’après la tragédie d’Eschyle, Les Perses, 472 av. J.C. • Pour quelle raison les Grecs combattent-ils ? • Contre quel adversaire les Grecs combattent-ils ? • Où la bataille a-t-elle lieu ? • Comment les bateaux grecs parviennent-ils à vaincre la flotte ennemie ? • De quel type de combattants est formée l’armée grecque ?

  22. La bataille de Salamine ( 480 av. JC.) Les rames bruyantes des Grecs frappent l’eau profonde en cadence et l’on entend une longue clameur : «  Enfants de la Grèce, délivrez la patrie ! Délivrez vos enfants et vos femmes, les sanctuaires des dieux de votre père et les tombeaux de vos aïeux ! » Aussitôt, vaisseau contre vaisseau les proues de bronze se heurtent. Un navire grec a donné le signal de l’abordage. Les nombreux vaisseaux perses affluent et résistent d’abord, mais ils s’entassent dans une passe étroite. Les trières grecques les encerclent adroitement, les frappent, les éventrent. La mer disparaît sous un amas d’épaves, tandis qu’une fuite désordonnée emporte à toutes rames ce qui reste de la flotte barbare. D’après la tragédie d’Eschyle, Les Perses, 472 av. J.C. • Pour quelle raison les Grecs combattent-ils ? • Contre quel adversaire les Grecs combattent-ils ? • Où la bataille a-t-elle lieu ? • Comment les bateaux grecs parviennent-ils à vaincre la flotte ennemie ? • De quel type de combattants est formée l’armée grecque ?

  23. La bataille de Salamine ( 480 av. JC.) Les rames bruyantes des Grecs frappent l’eau profonde en cadence et l’on entend une longue clameur : «  Enfants de la Grèce, délivrez la patrie ! Délivrez vos enfants et vos femmes, les sanctuaires des dieux de votre père et les tombeaux de vos aïeux ! » Aussitôt, vaisseau contre vaisseau les proues de bronze se heurtent. Un navire grec a donné le signal de l’abordage. Les nombreux vaisseaux perses affluent et résistent d’abord, mais ils s’entassent dans une passe étroite. Les trières grecques les encerclent adroitement, les frappent, les éventrent. La mer disparaît sous un amas d’épaves, tandis qu’une fuite désordonnée emporte à toutes rames ce qui reste de la flotte barbare. D’après la tragédie d’Eschyle, Les Perses, 472 av. J.C. • Pour quelle raison les Grecs combattent-ils ? • Contre quel adversaire les Grecs combattent-ils ? • Où la bataille a-t-elle lieu ? • Comment les bateaux grecs parviennent-ils à vaincre la flotte ennemie ? • De quel type de combattants est formée l’armée grecque ?

  24. La bataille de Salamine ( 480 av. JC.) Les rames bruyantes des Grecs frappent l’eau profonde en cadence et l’on entend une longue clameur : «  Enfants de la Grèce, délivrez la patrie ! Délivrez vos enfants et vos femmes, les sanctuaires des dieux de votre père et les tombeaux de vos aïeux ! » Aussitôt, vaisseau contre vaisseau les proues de bronze se heurtent. Un navire grec a donné le signal de l’abordage. Les nombreux vaisseaux perses affluent et résistent d’abord, mais ils s’entassent dans une passe étroite. Les trières grecques les encerclent adroitement, les frappent, les éventrent. La mer disparaît sous un amas d’épaves, tandis qu’une fuite désordonnée emporte à toutes rames ce qui reste de la flotte barbare. D’après la tragédie d’Eschyle, Les Perses, 472 av. J.C. • Pour quelle raison les Grecs combattent-ils ? • Contre quel adversaire les Grecs combattent-ils ? • Où la bataille a-t-elle lieu ? • Comment les bateaux grecs parviennent-ils à vaincre la flotte ennemie ? • De quel type de combattants est formée l’armée grecque ?

  25. La bataille de Salamine ( 480 av. JC.) Les rames bruyantes des Grecs frappent l’eau profonde en cadence et l’on entend une longue clameur : «  Enfants de la Grèce, délivrez la patrie ! Délivrez vos enfants et vos femmes, les sanctuaires des dieux de votre père et les tombeaux de vos aïeux ! » Aussitôt, vaisseau contre vaisseau les proues de bronze se heurtent. Un navire grec a donné le signal de l’abordage. Les nombreux vaisseaux perses affluent et résistent d’abord, mais ils s’entassent dans une passe étroite. Les trières grecques les encerclent adroitement, les frappent, les éventrent. La mer disparaît sous un amas d’épaves, tandis qu’une fuite désordonnée emporte à toutes rames ce qui reste de la flotte barbare. D’après la tragédie d’Eschyle, Les Perses, 472 av. J.C. • Pour quelle raison les Grecs combattent-ils ? • Contre quel adversaire les Grecs combattent-ils ? • Où la bataille a-t-elle lieu ? • Comment les bateaux grecs parviennent-ils à vaincre la flotte ennemie ? • De quel type de combattants est formée l’armée grecque ?

  26. La bataille de Salamine ( 480 av. JC.) Les rames bruyantes des Grecs frappent l’eau profonde en cadence et l’on entend une longue clameur : «  Enfants de la Grèce, délivrez la patrie ! Délivrez vos enfants et vos femmes, les sanctuaires des dieux de votre père et les tombeaux de vos aïeux ! » Aussitôt, vaisseau contre vaisseau les proues de bronze se heurtent. Un navire grec a donné le signal de l’abordage. Les nombreux vaisseaux perses affluent et résistent d’abord, mais ils s’entassent dans une passe étroite. Les trières grecques les encerclent adroitement, les frappent, les éventrent. La mer disparaît sous un amas d’épaves, tandis qu’une fuite désordonnée emporte à toutes rames ce qui reste de la flotte barbare. D’après la tragédie d’Eschyle, Les Perses, 472 av. J.C. • Pour quelle raison les Grecs combattent-ils ? • Contre quel adversaire les Grecs combattent-ils ? • Où la bataille a-t-elle lieu ? • Comment les bateaux grecs parviennent-ils à vaincre la flotte ennemie ? • De quel type de combattants est formée l’armée grecque ? LES RAMEURS

  27. Au début du Ve s. av. J.C., la Grèce est attaquée par les Perses ( ou Mèdes) pour étendre leur immense empire : ce sont les guerres médiques ( Marathon et Salamine = victoires grecques). Athènes joue un rôle important dans la lutte contre les « Barbares ». Elle organise alors la Ligue de Délos ( alliance de cités grecques pour se défendre contre une possible invasion perse). Durant le Ve s. av. J.C., Athènes est puissante au combat grâce : - ses hoplites ( soldats citoyens armés d’un bouclier et d’une lance) - ses trières ( bateaux de guerre à trois rangs de rameurs) Elle arrive donc à bâtir un empire autour de la mer Egée. A la fin du Ve s. av. J.C., Sparte et d’autres cités grecques se révoltent contre cette domination d’Athènes. C’est la guerre du Péloponnèse qui aboutit à la fin de la puissance athénienne.

  28. C. Athènes est un centre culturel

  29. La méthode historique de Thucydide «  j’ai cherché à rapporter les faits exacts ; je n’ai raconté que ceux dont j’ai été moi-même spectateur ou sur lesquels je me suis procuré des renseignements précis d’une entière exactitude. J’ai eu de la peine à y parvenir parce que ceux qui ont assisté aux évènements ne les rapportent pas tous de la même manière. Peut-être mes récits, qui ne sont pas des fables, perdront-ils de leur intérêt; il me suffit qu’ils soient trouvés utiles par celui qui voudra se faire une juste idée des choses passées. » D’après Thucydide, Histoire de la guerre du Péloponnèse, fin Ve s. av. J.C. • Qui est l’auteur et quand écrit-il ? • Comment l’auteur procède-t-il pour rapporter des faits exacts ? • Quelle difficulté rencontre-t-il ? • Quelle est l’utilité de ces récits ? • Quelle différence relèves-tu entre les récits de Thucydide et d’Homère ?

  30. La méthode historique de Thucydide «  j’ai cherché à rapporter les faits exacts ; je n’ai raconté que ceux dont j’ai été moi-même spectateur ou sur lesquels je me suis procuré des renseignements précis d’une entière exactitude. J’ai eu de la peine à y parvenir parce que ceux qui ont assisté aux évènements ne les rapportent pas tous de la même manière. Peut-être mes récits, qui ne sont pas des fables, perdront-ils de leur intérêt; il me suffit qu’ils soient trouvés utiles par celui qui voudra se faire une juste idée des choses passées. » D’après Thucydide, Histoire de la guerre du Péloponnèse, fin Ve s. av. J.C. • Qui est l’auteur et quand écrit-il ? • Comment l’auteur procède-t-il pour rapporter des faits exacts ? • Quelle difficulté rencontre-t-il ? • Quelle est l’utilité de ces récits ? • Quelle différence relèves-tu entre les récits de Thucydide et d’Homère ?

  31. La méthode historique de Thucydide «  j’ai cherché à rapporter les faits exacts ; je n’ai raconté que ceux dont j’ai été moi-même spectateur ou sur lesquels je me suis procuré des renseignements précis d’une entière exactitude. J’ai eu de la peine à y parvenir parce que ceux qui ont assisté aux évènements ne les rapportent pas tous de la même manière. Peut-être mes récits, qui ne sont pas des fables, perdront-ils de leur intérêt; il me suffit qu’ils soient trouvés utiles par celui qui voudra se faire une juste idée des choses passées. » D’après Thucydide, Histoire de la guerre du Péloponnèse, fin Ve s. av. J.C. • Qui est l’auteur et quand écrit-il ? • Comment l’auteur procède-t-il pour rapporter des faits exacts ? • Quelle difficulté rencontre-t-il ? • Quelle est l’utilité de ces récits ? • Quelle différence relèves-tu entre les récits de Thucydide et d’Homère ?

  32. La méthode historique de Thucydide «  j’ai cherché à rapporter les faits exacts ; je n’ai raconté que ceux dont j’ai été moi-même spectateur ou sur lesquels je me suis procuré des renseignements précis d’une entière exactitude. J’ai eu de la peine à y parvenir parce que ceux qui ont assisté aux évènements ne les rapportent pas tous de la même manière. Peut-être mes récits, qui ne sont pas des fables, perdront-ils de leur intérêt; il me suffit qu’ils soient trouvés utiles par celui qui voudra se faire une juste idée des choses passées. » D’après Thucydide, Histoire de la guerre du Péloponnèse, fin Ve s. av. J.C. • Qui est l’auteur et quand écrit-il ? • Comment l’auteur procède-t-il pour rapporter des faits exacts ? • Quelle difficulté rencontre-t-il ? • Quelle est l’utilité de ces récits ? • Quelle différence relèves-tu entre les récits de Thucydide et d’Homère ?

  33. La méthode historique de Thucydide «  j’ai cherché à rapporter les faits exacts ; je n’ai raconté que ceux dont j’ai été moi-même spectateur ou sur lesquels je me suis procuré des renseignements précis d’une entière exactitude. J’ai eu de la peine à y parvenir parce que ceux qui ont assisté aux évènements ne les rapportent pas tous de la même manière. Peut-être mes récits, qui ne sont pas des fables, perdront-ils de leur intérêt; il me suffit qu’ils soient trouvés utiles par celui qui voudra se faire une juste idée des choses passées. » D’après Thucydide, Histoire de la guerre du Péloponnèse, fin Ve s. av. J.C. • Qui est l’auteur et quand écrit-il ? • Comment l’auteur procède-t-il pour rapporter des faits exacts ? • Quelle difficulté rencontre-t-il ? • Quelle est l’utilité de ces récits ? • Quelle différence relèves-tu entre les récits de Thucydide et d’Homère ?

  34. La méthode historique de Thucydide «  j’ai cherché à rapporter les faits exacts ; je n’ai raconté que ceux dont j’ai été moi-même spectateur ou sur lesquels je me suis procuré des renseignements précis d’une entière exactitude. J’ai eu de la peine à y parvenir parce que ceux qui ont assisté aux évènements ne les rapportent pas tous de la même manière. Peut-être mes récits, qui ne sont pas des fables, perdront-ils de leur intérêt; il me suffit qu’ils soient trouvés utiles par celui qui voudra se faire une juste idée des choses passées. » D’après Thucydide, Histoire de la guerre du Péloponnèse, fin Ve s. av. J.C. Le combat d’Achille contre Hector « Achille, balançant la javeline, la lança devant lui. L’illustre Hector la vit et l’évita. La javeline vola par-dessus-lui et se planta dans le sol. Athéna la saisit, l’enleva et la rendit à Achille sans qu’Hector s’en aperçût.. Tout le corps d’Hector était protégé par les armes dont il avait dépouillé Patrocle après l’avoir tué. Un seul point se laissait voir : celui où la clavicule sépare l’épaule du cou. Ce fut là qu’Achille lança sa javeline. Hector mourut » Homère, d’après l’Iliade • Qui est l’auteur et quand écrit-il ? • Comment l’auteur procède-t-il pour rapporter des faits exacts ? • Quelle difficulté rencontre-t-il ? • Quelle est l’utilité de ces récits ? • Quelle différence relèves-tu entre les récits de Thucydide et d’Homère ? Chez Thucydide, refus du mythe comme explication de l’Histoire

  35. Qui assiste au spectacle ? • Pourquoi un autel est-il présent au centre du théâtre ? • Quel est le rôle du chœur? • Où les acteurs jouent-ils ? • Qui sont les acteurs et que portent-ils ?

  36. LES CITOYENS • Qui assiste au spectacle ? • Pourquoi un autel est-il présent au centre du théâtre ? • Quel est le rôle du chœur? • Où les acteurs jouent-ils ? • Qui sont les acteurs et que portent-ils ?

  37. LE THEATRE EST DEDIE AU DIEU DIONYSOS • Qui assiste au spectacle ? • Pourquoi un autel est-il présent au centre du théâtre ? • Quel est le rôle du chœur? • Où les acteurs jouent-ils ? • Qui sont les acteurs et que portent-ils ?

  38. GROUPE QUI COMMENTE L’ACTION DE LA PIECE • Qui assiste au spectacle ? • Pourquoi un autel est-il présent au centre du théâtre ? • Quel est le rôle du chœur? • Où les acteurs jouent-ils ? • Qui sont les acteurs et que portent-ils ?

  39. SUR L’AVANT SCENE • Qui assiste au spectacle ? • Pourquoi un autel est-il présent au centre du théâtre ? • Quel est le rôle du chœur? • Où les acteurs jouent-ils ? • Qui sont les acteurs et que portent-ils ?

  40. CE SONT UNIQUEMENT DES HOMMES QUI PORTENT UN MASQUE EN RAPPORT AVEC LEUR PERSONNAGE • Qui assiste au spectacle ? • Pourquoi un autel est-il présent au centre du théâtre ? • Quel est le rôle du chœur? • Où les acteurs jouent-ils ? • Qui sont les acteurs et que portent-ils ?

  41. Athènes est « l’école de la Grèce ». Elle est en effet un modèle pour les autres cités grecques dans les domaines : • de la pensée : les grands historiens ( Thucydide) et philosophes ( Réflexion sur l’Homme et le monde par Socrate et Platon) sont athéniens • du théâtre grâce à ses auteurs de tragédie ( Eschyle) et de comédie ( Aristophane) • des arts ( Le Parthénon, sculptures, céramiques)

  42. Le vote de la loi sur la colline de la Pnyx au Ve siècle av. J.C. La Pnyx

  43. L’Acropole L’Erechteion, temple dédié à Athéna et à Poséidon L’Acropole est une des collines d’Athènes qui devint à partir du VIe siècle un espace sacré dédié aux dieux et plus particulièrement à Athèna, déesse poliade, déesse protectrice de la cité. L’espace aménagé mesure 270 m dans sa plus grande longueur, 156 m dans sa plus grande largeur Le Parthenon Les Propylées: l’entrée de l’Acropole Le Temple d’Athéna Niké, Athéna victorieuse

  44. Les instruments politiques des citoyens Une machine à tirer au sort, utilisée pour attribuer certaines magistratures aux citoyens Marbre du Ive siècle Musée de l’Agora. Athènes Les jetons fournis aux héliastes, membres de l’Héliée. une tige pleine signifie l’acquitement, une creuse, la condamnation. Le vote est confidentiel Musée de l’Agora. Athènes La clepsydre est une horloge à eau qui permet de mesurer le temps de parole Musée de l’Agora. Athènes Un « ostrakon » est un morceau de céramique sur lequel un citoyen peut inscrire le nom d’une personne qu’il souhaite bannir. Si la majorité des citoyens se prononce, le personne est ostracisé, c’est à dire qu’elle doit quitter, sans jugement, le territoire athénien Musée de l’Agora. Athènes Une scène de vote. Coupe attique du Ve siècle. Musée des beaux arts de Dijon

  45. PERICLES : • Élu stratège plus de 30 fois de 462 à 429 av. J.C. • - Un des principaux dirigeants d’Athènes au Ve siècle av. J.C.

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