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J. Rimola, I. Ordas et al Inflamm Bowel Dis 2010

Magnetic Resonance Imaging for Evaluation of Crohn’s Disease: Validation of Parameters of Severity and Quantitative Index of Activity. J. Rimola, I. Ordas et al Inflamm Bowel Dis 2010. Laure Dupont Kazma. Introduction .

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J. Rimola, I. Ordas et al Inflamm Bowel Dis 2010

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Presentation Transcript


  1. Magnetic Resonance Imaging for Evaluation of Crohn’s Disease: Validation of Parameters of Severity and QuantitativeIndex of Activity J. Rimola, I. Ordas et al Inflamm Bowel Dis 2010 Laure Dupont Kazma

  2. Introduction

  3. Intérêt grandissant pour l’évaluation radiologique des atteintes intestinales dans la maladie de Crohn (MC): IRM, scanner, échographie • Intérêts IRM: • Absence d’irradiation • Bonne prise de contraste des tissus mous • Peu d’effets secondaires suite à produits de contraste • Bonne appréciation des lésions luminales et extra-luminales.

  4. Etude préalable: • analyse multivariée pour déterminer les meilleurs signes IRM qui définissent une maladie active et/ou sévère . • Proposition d’un score (MaRIA) fortement corrélé au CDEIS confirmation par une validation externe de la reproductibilité avant l’utilisation de routine Magnetic resonance for assessment of disease activity and severity in ileocolonicCrohn'sdisease J Rimola, et al.Gut 2009 58: 1113-1120

  5. Matériels et méthodes

  6. Patients • Étude prospective, monocentrique • 50 patients diagnostiqués d’avril 2008 à juin 2009 (+ 3 refus ) • IRM non réalisée dans deux cas ( claustrophobie, diarrhée) 48 patients inclus: réalisation d’examen clinique, NFS, CRP, iléocoloscopie, IRM (investigateurs aveugle des données cliniques ou des autres examens), score d’activité clinique de Harvey-Bradshaw

  7. Iléo-coloscopie = méthode de référence d’évaluation • Réalisée dans les 4 à 24 heures avant ou après l’IRM • Sévérité et extension des lésions : CDEIS (global et segment par segment) et création de 3 groupes en fonction des lésions présentes: • Absence de lésion • Lésions inflammatoires sans ulcères: modérées • Ulcérations profondes ou superficielles: sévères • Réalisées par endoscopistes expérimentés et habitués à l’utilisation du CDEIS

  8. IRM • 13 patients n’ayant pas eu la coloscopie le même jour: 1-2 litres de PEG • Distension grêlique: prise orale de 1,5 litres de mannitol • Distension colique basse: instillation d’eau chaude (1-1,2l en fonction tolérance)

  9. Analyse IRM • Par segments ( 6 au total) • Variables quantitatives: • Épaisseur de la paroi • RCE (prise de contraste relative) = (WSI post – WSI prégado)/WSI prégado *100* SD noise prégado/SD noise postgado WSI: prise de contraste de la paroi (moyenne de 3 mesures par segments) SD noise: bruit de fond (moyenne de 3 mesures de SD) correspondant à l’intensité de signal mesuré en dehors du corps

  10. Variables qualitatives: • Œdème ( hyperintensité T2) • Ulcères • Pseudo-polypes • Adénopathies mésentériques >1 cm • Études réalisées par radiologues expérimentés

  11. Analyse statistique • Hypothèse: pour détecter une différence de 20% pour la détection d’activité et 25% pour la présence d’ulcérations avec un risque α 0,05 et β 0,1 Il faut 50 patients, 200 segments étudiés dont 50% normaux, 25% lésions modérées, 25% lésons sévères. • Variables qualitatives testées par Chi2, quantitatives par test Bonferroni • Corrélation entre le score IRM et CDEIS, index Harvey-Bradshaw, CRP par le test non paramétrique du coefficient de Spearman

  12. Pour vérifier que les associations multivariées des variables prédictives d’activité ou sévérité de la MC sont les mêmes dans l’étude initiale et l’étude actuelle: régression logistique binaire avec la classe endoscopique comme variable dépendante et l’œdème, les ulcérations, les pseudo-polypes, l’épaisseur de la paroi et RCE comme variables indépendantes

  13. Pour évaluer la concordance inter-observateurs: test statistique kappa (qualitatives) et coefficient de corrélation intra-classe (quantitatives)

  14. Résultats

  15. Rémission clinique (score Harvey-Bradshaw ≤4): 19 patients Maladie active: 29 patients CRP élevée: 33 patients (69%) Évaluation endoscopique complète: 37 patients (77%) Incomplète en raison sévérité maladie (n=4), sténose (n=2), difficultés techniques (n=6) Nombre segments: 258 143 sans lésions 53 avec lésions modérées 62 avec lésions sévères Données cliniques

  16. Corrélation lésions IRM et endoscopie • Ulcères, œdème, adénopathies, épaisseur paroi et RCE: différence entre segments normaux et avec lésions modérées et entre segments avec lésions modérées et sévères • Pseudo-polypes: différence entre segments normaux et avec lésions sévères

  17. Validation des indices prédictifs • Paramètres prédictifs d’activité de la maladie (identiques à l’étude préalable): • épaisseur de la paroi • RCE • Paramètres prédictifs d’ulcères à l’endoscopie: • Ulcères à l’IRM • RCE • Œdème (non présent dans l’étude préalable: épaisseur de la paroi à la place)

  18. Bonne précision du score pour l’identification des ulcères dans les 2 études: Épaisseur paroi*0,852+RCE*0,0137+ulcères*2,479 • MaRIA (par segment): index quantitatif pour catégoriser l’activité de MC en inactive, modérée et sévère: 1,5*épaisseur(mm)+0,02*RCE+5*œdème+10*ulcères Bonne corrélation CDEIS et MaRIA (80% et p<0,001).

  19. Précision du score MaRIA pour l’évaluation de l’activité et la sévérité • Index MaRIA: bonne sensibilité et spécificité pour différencier segments avec MC active et/ou inactive (>0,8) et MC sévère ou non (>0,9). • Cut-off pour MC active: MaRIA ≥ 7 • Cut-off pour MC sévère: MaRIA ≥ 11

  20. Concordance inter-observateur • Très bonne pour • œdème (index kappa=0,86, p<0,001), • ulcères (index kappa=0,91, p<0,001), • épaisseur de la paroi (r=0,96 p<0,001) • Moins bonne pour • adénopathies (index kappa=0,78, p<0,001) • pseudo-polypes (index kappa=0,66, p<0,001)

  21. Comparaison IRM et autres index • MaRIA global: addition des valeurs pour les différents segments • Bonne corrélation MaRIA global et : • CDEIS (r= 0,837) • Index Harvey-Bradshaw • CRP

  22. Discussion

  23. Bonne précision de l’IRM pour l’évaluation de l’activité et de la sévérité de la MC • MaRIA: mesure quantitative, objective et reproductible de l’activité: validation externe grâce à cette étude. • Bonne corrélation entre les 2 études sans résultats meilleurs dans l’étude initiale (contrairement à la plupart des études): même légèrement meilleure prédiction de l’activité (courbe ROC dans l’étude actuelle (0,93) que l’étude initiale (0,89))

  24. MaRIA: index de mesure avec: • Cut-off pour MC active: MaRIA ≥ 7 • Cut-off pour MC sévère: MaRIA ≥ 11 pour l’analyse segment par segment et globale (avec une bonne concordance avec CDEIS) • Pas de meilleure détection des lésions des couches profondes par IRM par rapport à l’endoscopie (1 segment en tout avec œdème seulement à l’IRM)

  25. Limites • Monocentrique • Nombre limité d’endoscopistes et radiologues (réduction des variations inter-observateurs) • Utilisation IRM 3T: peu disponible mais résultats similaires avec IRM 1.5T • Choix RCE: variable relative, permet de diminuer les variations entre IRM 1.5 et 3T en améliorant la généralisation entre les différents équipements et opérateurs

  26. Conclusion

  27. Validation externe de l’évaluation par IRM de l’activité et de la sévérité de MC • Souligne la nécessité de l’évaluation systématique de ces paramètres en routine • Possibilité à terme d’automatiser le calcul de cet index

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