1 / 63

Ethique et urgences médico-judiciaires

Dr F Questel. Ethique et urgences médico-judiciaires. LES SERVICES MEDICO-JUDICIAIRES. Examen médical à visée . De constat +++ . De soins d’urgence éventuels . D’orientation spécialisée Sur réquisition policière.

melosa
Download Presentation

Ethique et urgences médico-judiciaires

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Dr F Questel Ethique et urgences médico-judiciaires

  2. LES SERVICES MEDICO-JUDICIAIRES Examen médical à visée . De constat +++ . De soins d’urgence éventuels . D’orientation spécialisée Sur réquisition policière

  3. SERVICES MEDICO-JUDICIAIRESACTIVITE UMJ HOTEL-DIEU PARIS Examen Gardés à vue Examen victimes de violences (in)volontaires Examen victimes Agressions sexuelles Détermination Age physiologique Transports de drogues in corpore Examen de comportement, retentissement psychologique, CNA, prélèvements (toxico, empreintes génétiques, ongles)‏ Levées de corps – autopsies : IML‏

  4. La réquisition judiciaire • Injonction faite à tout médecin par une autorité judiciaire d’effectuer un acte médico-légal urgent (différent de l’expertise)‏ • Le médecin est tenu de déférer à la réquisition (Art L 367 CSP), sauf exceptions : ETHIQUE +++ • Médecin requis est médecin traitant (art 85 code déontologie)‏ • Personne à examiner est un parent ou un ami • L’examen n’entre pas dans les compétences habituelles du médecin • La notion d’urgence médicale concomittante (les soins ne pouvant être différés)‏ • Le médecin requis n’a pas à tenir compte du secret professionnel dans le cadre de la réquisition (ne délivre pas pour autant le médecin du secret)‏ • La réquisition peut être orale au début • Circonstances : question d’ordre technique médical dans le cadre d’une enquête : GAV, CBV, AS, maltraitance, alcoolisme (BNA, alcoolémie), conduite sous emprise stup, ILS , âge physiologique, transport de stup in corpore, ex comportement, levée de corps , autopsie medicolégale • CAT devant réquisition : • répondre à la mission, toute la mission,rien que la mission.(art 86 code de déontologie)‏ • Se présenter et expliquer l’objet de la mission. (Art 84 code déontologie)‏ • Rapport à remettre à l’autorité requérante

  5. Age osseuxcirconstances • Mineur isolé • Enfant victime (< ou >15 ans) • Garde à vue (13, 16,18 ans)

  6. Age osseux : poignet (greulich et pyle)intervalle de confiance (95%) : 24 mois dans certaines étudesGarçon 12 ans Adulte

  7. Age dentairePrésence d’un développement complet de la troisième molaire : 90% de chance que l’âge soit supérieur à 18 ans • - Age d'apparition des dents permanentes : • supérieures inférieures • Incisives centrales 07 à 08 ans 06 à 07 ans • incisives latérales 08 à 09 " 07 à 08 " • canines 11 à 12 " 09 à 11 " • premières prémolaires 10 à 11 " 10 à 12 " • deuxièmes prémolaires 10 à 12 " 11 à 12 " • premières molaires 06 à 07 " 06 à 07 " • deuxièmes molaires 12 à 13 " 11 à 13 " • troisièmes molaires • (dents de sagesse) 18 à 25 " 16 à 20 "

  8. Ethique et détermination âge • Détermination imprécise (+/- 2ans) en fonction du résultat : - prise en charge du sujet par l’état français

  9. EXAMEN MEDICAL ET GARDE A VUE Art 63.3 CP : toute personne placée en garde à vue peut , à sa demande, être examinée par le médecin désigné par le procureur de la république ou l’officier de police judiciaire. En cas de prolongation, elle peut demander à être examinée une seconde fois Art 77-1 : S’il y a lieu de procéder à des constatations ou à des examens techniques ou scientifiques qui ne peuvent être différées, le Procureur de la République ou sur autorisation de celui-ci, l’officier de police judiciaire a recours à toutes personnes qualifiées. + 35% entre 2003 et 2008

  10. EXAMEN MEDICAL ET GAV OBJECTIFS DE LA GARDE A VUE : Faciliter une enquête Retenir à disposition => Urgence de procédure OBJECTIFS DE L’EXAMEN MEDICAL Attester de l’examen psychique et physique Compatibilité ? Prévenir les violences, assurer les droits élémentaires

  11. EXAMEN MEDICAL ET GAVLEGISLATION 1 Examen médical / 24h: A la demande du GAV, de la famille ou de l’OPJ (état de santé déficient, troubles mentaux, traces de coups)‏ Systématique : femme enceinte, mineur, ILS (personne âgée?)‏ ILS : 48h + 48h de prolongation : 1 ex medical de droit / 24h pendant toute la GAV Lutte anti-terroriste : 48h + 48h de prolongation : 1 ex. médical de droit / 24h pendant la prolongation Vol à main armée : 48h + 48h

  12. EXAMEN MEDICAL ET GAV PATHOLOGIES et PROBLEMES SPECIFIQUES Dépendances : alcool, stupéfiants (cannabis : 90% ILS), mésusage et trafic de psychotropes (Rivotril, subutex, skenan) Traumatismes Troubles mentaux (=> IPPP)‏ Pathologies chroniques : asthme, diabète, épilepsie, pathologies cardio-vasculaires Problèmes spécifiques : Flagrant délit, auteur présumé d’AS (Loi Mars 03), continuité des soins, accès au traitements et ordonnances (fouille), interprète, examen dans les locaux de police… INCOMPATIBILITE => HOSPITALISATION SOUS SURVEILLANCE POLICIERE

  13. Ethique et intervention du médecin en garde à vue • Médecin traitant ou médecin expert ? • Nature de l’ infraction et ressenti médical • Lieu et conditions de l’examen médical • Conditions de rétention : hygiène, alimentation, confort • Contenu du certificat (secret médical) • Continuité des soins • Rénumération • Relation avec police

  14. Toxicomanie et GAV En matière ILS : Durée GAV : 24h+24h+48h Ex médicalsystématique/24h Dépistageurinaire de stupéfiants : -cannabis : 15 j => sang -opiacés (48h) : ne distingue pas héroine, morphine, codeine -cocaine : faux positifs (vasoconstricteurs)

  15. Toxicomanie et GAVAspects éthiques Diagnostic connus des policiers ? Interprétation des toxiquesurinaires Assurer la continuité des soins et respect du secret médical Traitements de substitution +++ Autres (VIH, HVC…)‏

  16. Transport de drogues intracorporel : prise en charge médico judiciaire .Transporteurs interpellés par service des douanes dans aéroports internationaux. .Examinés par service médical de l’aéroport sur réquisition douanière (art 60 bis et 363) à des fins de dépistage urinaire et radiologique. .Infraction constituée => G.A.V. (ILS : 96 h) : en milieu hospitalier, jusqu ’à élimination complète des C.E., récupérés par la police.Au décours, sujet déféré.

  17. J1 ETUDE PROSPECTIVE ENTRE 01/01/04 et 15/12/05 • 372 Body Packers hospitalisés • 10 complications graves (2.7%) • Intoxication cocainique : 3 • Occlusion intestinale : 4 • « Boulettes coincées »: 3 • Aucun décès

  18. Transport intracorporel de stupéfiants Aspects éthiques • Fiabilité de la radiographie standart • Transmission des résultats • Drames humains • Que faire hors réquisition ?

  19. Prise en charge médico-judiciaire d’une victime de violences(in)volontaires

  20. PARCOURS DE LA VICTIME AGRESSION : - Dépôt de plainte commissariat - Constat médical (ITT)(pénal)‏ - Soins arrêt de travail (Sécurité Sociale)‏ - Consolidation, expertise finale (civil)‏ - Jugement de l’agresseur, indemnisation - CIVI (agresseur inconnu ou insolvable)‏

  21. Suites de la procédure Décision du Procureur Classement « Sans suite » TRIBUNAL de police ou CORRECTIONNEL JUGE D’INSTRUCTION Chambre d’Accusation Indemnisation de la victime (auteur ou CIVI)‏ Sanction pénale de l’agresseur Cour d’Assises

  22. INCAPACITE TOTALE DE TRAVAIL DEFINITION : Evaluation de la durée (en jours) pendant laquelle une personne suite à une agression , va présenter un état d’incapacité = Perte d’autonomie dans les gestes de la vie quotidienne # arrêt de travail = Altération de la capacité totale de travail personnel Notion pénale : vise à condamner un auteur

  23. L’ITT EN DIX POINTS L’ITT (au sens pénal) signifie incapacité totale de travail(# Incapacité temporaire totale : civil)‏ L’ITT connaît une définition établie par la jurisprudence et non une définition médicale Dans l’ITT, l’incapacité n’est pas totale : ainsi elle n’implique pas nécessairement pour la victime l’impossibilité de se livrer à un effort physique afin d’accomplir elle-même certaines taches ménagères. Dans l’ITT, l’incapacité ne concerne pas le travail au sens habituel du mot, mais les activités usuelles de la victime. L’évaluation de l’ITT s’applique aux troubles physiques et psychiques , sources d’incapacité, c’est à dire à toutes les fonctions de la personne. L’évaluation de l’ITT ne doit pas dépendre du courage ou de la situation sociale de la victime Le médecin doit expliquer à la victime le sens de l’ITT et lui dire que cette évaluation ne remet pas en cause la durée de l’arrêt de travail éventuellement prescrit, qui constitue une incapacité professionnelle

  24. L’ITT EN DIX POINTS Le certificat doit être compréhensible par son destinataire – officier de police judiciaire, magistrat, qui n’est pas médecin : écriture visible, termes simples et précis évitant le jargon médical et les abréviations. Certains cas sont difficiles : les violences essentiellement psychologiques en font partie. Bon sens et expérience cliniques sont alors des aides précieuses; le médecin a intérêt à motiver la durée de l’ITT qu’il établit, en référence à des durées précises de perturbation des actes de la vie courante La rédaction du certificat descriptif et l’évaluation de l’ITT sont pour la victime , un moment privilégié de passage d’ un état de blessé à celui de plaignant. L’écoute par le médecin est essentielle Med Leg Soc (Juin 2002)‏

  25. ITT : CONSEQUENCES PENALES VIOLENCES VOLONTAIRES ITT < ou = 8 J : contravention 0j : amende 4 ème classe < ou = 8j : amende de 5 éme classe < ou = 8j + circ. aggrav.: 3 ans prison ; 45 000 Euros ITT > 8 J : Délit 3 à 5 ans prison ; 45 000 à 75 000 Euros 10 ans ; 150 000 Euros si circ. aggravante VIOLENCES INVOLONTAIRES ITT < ou = 90 j : contravention 0j : 2ème classe < ou = 3 mois : 5 ème classe < ou = 3 mois + circ aggravante:1 an prison;15 000 Euros ITT > 90 j: délit 2 ans prison ; 30 000 Euros 3 ans prison ; 45 000 Euros si circ. Aggravante CIVI : > 30 jours ou IPP

  26. ITT : circonstances aggravantes Infraction commise sur Mineur de 15 ans Personne vulnérable (âge, maladie, infirmité, ascendant légitime ou naturel, parents adoptifs)‏ magistrat, juré, avocat, officier public ou ministériel ou toute personne dépositaire de l’autorité publique ou chargé d’ une mission de service publique. Témoin, victime ou partie civile soit pour l’empécher de dénoncer les faits, de porter plainte, ou de déposer en justice, soit en raison de sa dénonciation, de sa plainte ou de sa déposition. Infraction commise par Le conjoint, le concubin, le « pacsé » de la victime (ou ancien…)‏ Une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargé d’une mission de service publique dans l’exercice ou a l’occasion de l’exercice de ses fonctions ou de sa mission, personnel de santé Plusieurs personnes agissant en qualité d’auteur ou de complice Infraction commise avec préméditation ou usage d’une arme

  27. CERTIFICAT MEDICAL DESCRIPTIF D’ UNE VICTIME DE VIOLENCES ALLEGATIONS ORIGINE EVENTUELLE DES LESIONS DATER LES LESIONS SOINS PRATIQUES OU A PREVOIR RETENTISSEMENT FONCTIONNEL CARACTERES NEGATIFS RESULTATS DES EXAMENS COMPLEMENTAIRES ANTECEDENTS MEDICAUX / ETAT ANTERIEUR RETENTISSEMENT PSYCHOLOGIQUE ITT SOUS RESERVE DE COMPLICATIONS OU D’ EXAMENS COMPLEMENTAIRES ( REVALUATION POSSIBLE) les lésions constatées ce jour et leur retentissement fonctionnel justifie une INCAPACITE TOTALE DE TRAVAIL (ITT) de …. Jours à compter de la date des faits (art 222-7 à 222-16 du CP) sous réserve de complications. « COMPATIBLE AVEC LES ALLEGATIONS » SEQUELLES EVENTUELLES OU RESERVES SUR AVENIR => sert à réévaluer l’imputabilité dans le cadre des séquelles

  28. Exemple de certificat Monsieur P., 54 ans : consulte aux UMJ Hôtel Dieu le 24/11/05 Selon ses dires : a subi une agression physiquele 21/11/05 vers 20h, sur son lieu de travail par 2 individus cagoulés Dit avoir reçu plusieurs coups de batte de base-ball et une projection de gaz lacrymogène sur le visage, le tronc, les 4 membres A été conduit aux urgences de l’hôpital Saint-Antoine après transport par les pompiers. Le certificat médical initial rapporte : trauma crânien avec perte de connaissance. Scanner cérébral normal. Doléances actuelles: 3 jours après les faits = douleur main droite et au crâne Examen (a 3 jours des faits)‏ Fracture de la styloide radiale gauche avec présence d’une manchette plâtrée Hématomes péri-orbitaires droit et gauche sans occlusion palpébrale, sans lésion du cadre orbitaire Kératite érosive bilatérale Plaie frontale médiane suturée par 7 points Erythème cervical correspondant à une brûlure du 1er degré Hématomes bras droit et gauche , 18 cm x 13 cm et 10 cm x 6 cm Multiples hématomes face dorsale du tronc, genou droit, face dorsale main droite avec impotence fonctionnelle ( flexion du pouce diminuée )‏ Par ailleurs: Conscient, bien orienté Occulomotricité normale, pas de trouble de la vision Pas de signe de localisation Conclusion: Traumatisme cranien avec perte de connaissance + Fracture radiale gauche + Hématomes péri-orbitaires droit et gauche + Multiples contusions post-traumatiques d’allure récente, compatibles avec les faits allégués +Retentissement psychologique notable, à type de trouble du sommeil ( insomnie ), à réévaluer éventuellement par la suite Les lésions constatées ce jour justifient une ITT de 33 ( trente-trois ) jours, sous réserve de complications ophtalmologique, orthopédique, et / ou neurologique

  29. CONCLUSIONS Importance primordiale du constat initial Pour la procédure engagée à l’encontre de l’agresseur Pour l’indemnisation éventuelle ultérieure des préjudices subis par la victime => Le bilan lésionnel initial fera référence pour l’expertise finale

  30. Ethique et constat de coups et blessures - Expert : bienveillance mais neutralité objective - Constat médical ≠ enquête fausses allégations, surévaluation ITT (retentissement psychologique) vulnérabilité ? aspects sociaux place du soin (psychologique ?) - Hors réquisition : maltraitance et signalement ?

  31. LE SECRET MEDICAL

  32. LE SIGNALEMENT

  33. Prise en charge d’une victime d’agression sexuelle

  34. VIOLENCES SEXUELLES : DEFINITIONS PENALES • Agression sexuelle (Art 222-22 CP) : constitue une agression sexuelle toute atteinte sexuelle commise avec violences, contrainte, menace ou surprise (prescription : 3 ans. Si victime mineure : 10 ans à partir de la majorité; 20 ans si auteur est ascendant ou personne ayant autorité)‏ • Viol (Art 222-23 CP) : tout acte de pénétration sexuelle , de quelque nature qu’il soit , commis sur la personne d’autrui par violence , contrainte ou surprise est un viol. (prescription : 10 ans. Si victime mineure : 20 ans à partir de la majorité)‏ • Atteinte sexuelle (art 227-15) sur mineur de 15 ans : le fait pour un majeur d’exercer sans violence, contrainte, menace ou surprise, une atteinte sexuelle sur la personne d’un mineur de 15 ans , est puni de 5 ans d’emprisonnement et 75 000 Euros d’amende

  35. Le signalement à l’autorité judiciaire L’art 226-14 CP : l’art 226-13 du CP (relatif au secret médical) n’est pas applicable à celui qui informe les autorités judiciaires, médicales ou administratives de sévices ou privations dont il a eu connaissance et qui ont été infligés à un mineur ou à une personne qui n’est pas en mesure de se protéger en raison de son âge ou de son état physique ou psychique Au médecin qui avec l’accord de la victime porte à la connaissance du procureur de la république les sévices ou privations qu’il a constatés sur le plan physique ou psychique dans l’exercice de sa profession et qui lui permette de présumer que des violences physiques , sexuelles ou psychiques ont été commises. Lorsque la victime est mineure son accord n’est pas nécessaire.

  36. Agression sexuelle : la procédure pénale Dépôt de plaintePas de plainte ( 10 ans)‏ Examen médical sur Examen médical Réquisition judiciaire « simple » (certificat remis à (certificat remis à la l’autorité requérante) victime)‏ Enquête policière (parquet)‏ Juge d’instruction Procès

  37. AGRESSION SEXUELLE : L’ EXAMEN MEDICAL Buts de l’examen : constat médical (préservation de preuves) et psychologique Soins L’agression sexuelle de moins d’1 semaine est une urgence médicolégale +++ Interrogatoire : « Mme…rapporte : » Circonstances : date , heure, lieu Auteurs (nb, connus, toxicomane, endémie ?) Type de pénétration (protégée, éjaculation externe ou interne , CE) Ingestion de produits psycho- actifs, traitement en cours (pilule, psychotropes ?)‏ Toilette, changement de vêtements ?(ne pas se laver ; garder vêtements séchés dans sac papier => police) Date du dernier rapport, DDR ATCD médicaux, gynéco, psychiatriques (vulnérabilité)‏

  38. AGRESSION SEXUELLE : L’EXAMEN MEDICAL EXAMEN CLINIQUE (préciser le délai) Traces de violences ? : cou, face interne des cuisses, bouche, poitrine (schéma) , zones de défense, zones de prise Signes d’intoxication; état de conscience Examen buccal (fellation) : recherche de pétéchies (palais, joues)‏ EXAMEN GYNECOLOGIQUE (en présence d’une tierce personne) Recherche ecchymoses ou plaies OGE Examen de l’hymen (colposcope chez vierge; sonde de Folley) : contours hyménéaux, déchirures, saignement, diamètre orifice Spéculum : parois vaginales, cul de sac vaginaux, col (sang, plaies, liquide spermatique)‏ => Décrire ; schéma+++

More Related