1 / 69

Le matériel

Le matériel. CODEP 34 Michel Bastergue. Le matériel. 1° COMPRESSEUR Diagnostic des pannes simples et entretien courant. 2° MANOMETRE Principes simples du fonctionnement. 3° ROBINETERIE. 4° B LOC. Entretien & petites opérations courantes.

misha
Download Presentation

Le matériel

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Le matériel CODEP 34 Michel Bastergue

  2. Le matériel 1° COMPRESSEUR Diagnostic des pannes simples et entretien courant 2° MANOMETRE Principes simples du fonctionnement 3° ROBINETERIE 4° BLOC Entretien & petites opérations courantes Principe de fonctionement et sécurité

  3. 6° TIMER & ORDINATEUR Principes très simples du fonctionnement des calculateurs Lecture analyse comportement 5° DETENDEUR Principe de fonctionnement Le matériel

  4. Circulation / arrêt de l’air Siège/clapet & étanchéité

  5. Volume qui > ou qui < Modification de volume intérieur = modification de la pression

  6. . Le rôle des ressorts Dans le matériel de plongée, les ressorts poussent toujours des pièces

  7. Le but compresseur Fournir de l’air de bonne qualité grâce à de bon système de filtration • Les systèmes de filtration : • La prise d’air placé à l’abri de source polluante (trafic routier)

  8. La qualité de l’air Filtre séparateur d’huile & d’eau • L’air impur est dirigé vers l’intérieur du filtre. • Un mouvement rotatif est imprimé à l’air comprimé par l’intermédiaire d’une buse. La force centrifuge projette les gouttes d’huile et d’eau sur les parois du réservoirs au fond duquel elles finissent par tomber. • Le tamis moléculaire retire la vapeur d’eau contenue dans l’air comprimé. • La couche de charbon actif lie les vapeurs d’huiles et les impuretés organiques. • Le filtre à particules retire les impuretés et particules résiduelles. • L’air ressort propre et sec du filtre Les filtres en moyenne se changent chaque 20h/30h, les condensats purgent ~toutes les 15 mn

  9. Différents compresseur Les compresseurs fixe sont souvent à moteur électrique, les portables sont à moteur thermique Les fixes offrent souvent une meilleur protection auditive (On ne doit pas dépasser 85 dB / 135 dB)

  10. Le local compresseur Utiliser un compresseur. Interdit à toute personne non formée à l’utilisation de la station de gonflage Affiche concernant : Consignes utilisation Consignes entretien (décret n°99-1046 du 13/12/1999 & arrêté du 15/01/1962) Cahier de suivi de gonflage On trouve de très bonnes infos sur la conception d’une station de gonflage et son entretien sur Le site de Henri LE BRIS : http://hlbmatos.free.fr L’entretien d’un compresseur se fait uniquement sur des choses simples. Exemple : vérification des niveaux d’huile, vidange, changement filtre. Lors d’une anomalie il faut rentrer en contact avec le SAV de l’appareil

  11. Compresseur

  12. Compresseur - principe

  13. Phase 1 Phase 2 Le compresseur 2éme pression & 2éme volume de forme # pour pourvoir comprimer P2 * V2 1 pression & 1 volume P1 * V1 3éme pression & 3éme volume P3 * V3 2éme pression & 2éme volume P2 * V2

  14. Schéma de principe

  15. Les manomètres Manomètre mécanique : Un tube à l’intérieur permet à l’aiguille de se déplacer en fonction de la pression, Très fréquent sur compresseur en voie de disparition sur le scaphandre Avantage : peu onéreux - Inconvénient : mécanisme se dérègle avec le temps Manomètre électronique : Capteur qui restitue la pression avec précision Existe soit uniquement en monomètre (rare) soit avec ordinateur pour calculer l’autonomie

  16. Entretien et panne Rotatif à 360° Fuite d’air possible au niveau de l’axe de rotation Sur le tuyau de H.P Indication de pression fausse Éviter de le faire traîner au fond, penser à le fixer Rinçage après plongée Signaler les fuites et les écarts de pressions

  17. Étrier Din La robinetterie

  18. Le robinet Fuites possible dues à l’usure des joints et à l’usure du clapet EVITER DE FAIRE TOMBER LA BOUTEILLE PARTICULIEREMENT SUR LA ROBINETTERIE

  19. Le bloc PRESSION EN BAR 200 bars 176 bars 200 bars 200 bars 200 bars 230 bars 200 bars 200 bars 200 bars 230 bars 230 bars VOLUME INTERNE 1 200 litres 3 168 litres 2 000 litres 4 000 litres 2 400 litres 2 760 litres 2 400 litres 2 700 litres 3 000 litres 3 450 litres 4 140 litres POIDS vide - plein 7,9 –9,5 20 - 24 12,5- 15 25 - 30 14,7 – 17,7 17,1 – 20,6 11,7 – 14,7 16,9 – 20,03 18,4 – 22,9 17,2 – 21,1 20,6 – 25,7 M3 1,20 3,16 2,00 4,00 2,40 2,76 2,40 2,70 3,00 3,45 4,14 VOLUME BOUTEILLE 6 litres 2 * 9 litres 10 litres 2 * 10 litres 12 litres 12 litres alu 13,5 litres 15 litres 18 litres poids de l'air 1,29 g/dm3 * Le poids des bouteilles peut varié en fonction du constructeur (ROTH, FABER, MANESMANN, IWK…)

  20. Bloc inscrit sur le fichier club Membre adhérent – bloc club Bloc non inscrit sur le fichier club Membre non adhérent – bloc perso Législation bouteille La visite est effectuée par un technicien diplômé. Il peut décider de faire une épreuve plus tôt si le résultat de la visite n’est pas positif.

  21. Législation bouteille Différentes inscriptions sur le bloc : Nom du constructeur Volume intérieur en eau Pression d’épreuve en bars Pression de chargement à 15°c Poids à vide en kilogramme Désignation des gaz contenus Poinçon des mines Numéro de fabrication Lieu et année de fabrication Date de la dernière ré épreuve

  22. Le détendeur

  23. Pression absolue Pression absolue supérieur à la pression intermédiaire le piston se décolle du siége, l’air rentre Pression intermédiaire supérieur à la pression absolue le piston se repositionne sur le siége Mécanisme piston non compensé Sans le ressort la Pression Intermèdiare Serait égale à la pression absolue. Avec cette force supplémentaire, l’air est détendu en 2 étapes

  24. PA * S R HP * S MP * S Rapports de forcepiston non compensé – état équilibre

  25. PA * S R HP * S MP * S Rapports de forcepiston non compensé – ouverture

  26. Mécanisme Le deuxième étage

  27. F P * s La compensationQuel est le problème ?

  28. La compensationNeutralisons la force La force de l’eau appuie sur la surface du bouchon La force de l’eau s’annule autour de la surface du bouchon

  29. H. P H. P M. P M. P La compensation& le détendeur

  30. Mécanisme piston compensé

  31. PA * S HP * S R MP * S Rapport de force piston compensé

  32. Mécanisme membrane compensé

  33. Les détendeursnotions d’étanchéités

  34. Les détendeursDin ou étrier Peu de problème de joint Pression d’utilisation 300 Bars (à compter du 01/01/04) Plus léger & moins encombrant Attention de ne pas abîmer le filetage Non adaptable sur vieille robinetterie Pression d’utilisation 230 Bars Vérifier le joint de la bouteille avant utilisation

  35. Membrane compensée DIN OU ETRIER Piston compensé ou non DIN OU ETRIER Les détendeurs2 familles Très peu d’entretien Pas de pièce au contact de l’eau Idéale pour les plongées en eau chargée Mécanisme sollicitant plusieurs pièces Complexe en entretien et onéreux Ils n’existent presque plus de membrane non compensée. Pourtant il est à l’origine des détendeurs à 1 seul étage : Le Mistral Entretien régulier Pièces au contact de l’eau (ou piston protégé) Mécanisme sollicitant un piston et un ressort Simple en entretien Le piston non compensé est le moins onéreux Les détendeurs compensés souvent du fait de leur forme en « L » permettent de mieux répartir les tuyaux HP & MP

  36. Clapet simple Clapet à flux coaxial Clapet compensé Les détendeursDifférents 2éme étage Entretien très complexe Très onéreux Confort respiratoire Entretien facile Economique Entretien complexe Onéreux Confort respiratoire

  37. Les détendeursLes petits plus au 1er étage • Kit CWD :C’est un dispositif qui isole complètement toutes les parties en mouvement du premier étage d’un contact • direct avec l’eau. Le ressort principal est complètement immergé dans l’huile de silicone, l’isolant de • l’environnement extérieur et le protégeant contre la formation de cristaux de givre. La membrane renferme • de l'huile de silicone et transmet les variations de pression ambiante dues aux changements de profondeur • à la membrane principale. L’absence complète de bulles d’air internes permet une sensibilité maximale • aux modifications de la pression de l’environnement, garantissant par là un réglage plus précis de la pression • intermédiaire par rapport aux autres systèmes. • Système Air Turbo:Le Système air Turbo, c'est un orifice situé entre la membrane et une sortie. Il permet à la membrane • de sentir la chute de la Moyenne Pression causée par l'inspiration et d'anticiper L'ouverture du système • siège/clapet du premier étage.Le détendeur est très réactif et fonctionne parfaitement lorsque les conditions • sont difficiles. • Sur-compensé à membrane :Lors d'une plongée avec un premier étage surcompensé à membrane, la valeur de moyenne pression • augmente plus vite que sur les modèles compensés traditionnels. Cette augmentation de moyenne • pression permet de compenser l'augmentation de densité du gaz respirable liée à la profondeur. • Vous avez une meilleur respiration et ce sans vous soucier de la profondeur.

  38. Les détendeursLes petits plus au 2ém étage • V.A.D - Vortex assisted Design :Facilite la respiration à toutes les profondeurs. L'air arrivant du flexible passe dans le deuxième étage • et est envoyé directement dans l'embout via le tube de dérivation. Un "Vortex" est créé dans le flux • d'air lorsqu'il entre dans l'embout. Au centre de cet air tourbillonnant se trouve une zone de basse • pression. Cette basse pression contribue à maintenir le diaphragme du deuxième étage en position basse • pendant l'inspiration, augmentant par là la sensibilité du détendeur et minimisant l'effort respiratoire. • Volet Venturi :La circulation de l'air dans le deuxième étage génère un effet de venturi qui aide à l'inspiration. • La mise en place d'un volet externe de venturi permet d'optimiser la force de cet effet, en fonction • du confort respiratoire recherché. En outre il offre la possibilité de stopper les mises en début continu • en surface. • Réglage molette : • Réglage de l’effort inspiratoire par le plongeur • Embout Jax :Le pont en silicone de cet embout breveté se place sous la voûte palatine et permet de ne pas trop • serrer les dents. Cela permet de réduire la fatigue des muscles maxillaires, et rend la plongée plus agréable.

  39. Les détendeurs & le froid • Chambre sèche : • Une chambre sèche protège le ressort du premier étage de l'eau, ce qui réduit le risque de givrage. • Cette solution peut également être utilisé sur d'autres modèles pour protéger le premier étage lors • de plongées en eaux chargées ou polluées • Échangeur Thermique:Placé sur le deuxième étage, ce système permet d'évacuer les frigories créées par la détente de l'air. • Il préserve le mécanisme en utilisant les calories de l'eau et limite le risque de givrage. • Technologie tout métal:Dans l'eau froide, les deuxièmes étages métalliques ont des performances supérieures et sont plus sûrs • que les deuxièmes étages fabriqués en plastique, grâce à leur haute conductibilité thermique qui limite • l'effet de givre.Les avantages supplémentaires des deuxièmes étages "tout métal" sont les suivants:- Meilleure résistance aux conditions difficiles, traitement rudes, abrasion.- Longévité accrue.- Moins de sécheresse de la bouche, du fait que l'humidité de l'air expiré se condense sur les parois • internes métalliques du second étage et ré humidifie l'air inspiré.

  40. Les débits • Les détendeurs non compensé ont en moyen un débit de 800 à 900 litres/mn • Les détendeurs compensés proposent des débit supérieur en moyenne de 2500 à 3000 litres/mn En moyenne un plongeur respire 15lmn à un bar. Soit à 40 m 75l/mn En cas de problème ont peu s’imaginer à deux sur un détendeur Les inflateurs des stabs ont des débits en moyenne de 200l/mn Les constructeurs communiquent peu les débits, il assure surtout un débit suffisant ou un gros débit.

  41. Timer · Profondeur maxi atteinte · Durée de plongée · Température · Vitesse de remontée(# de celle des MN90)· Intervalle de surface affiché pendant 24h · Plongées en mémoire · Compensation automatique de l'altitude Ne pas espérer que le timer puissent prendre le relais sur un ordinateur qui tombe en panne. Les temps des plongées ordi ont souvent trop important pour être retrouvé sur des tables immergeable

  42. Les grandes familles d’ordinateurs Sur les tables Buhlmann ZH-L8 ADT MB Sur les tables : RGBM Vitesse de remontée entre 7 et 20 mètres/min selon la profondeur Vitesse de remontée fixe à 10 mètres/min Profondeur palier de 3 mètres en 3 mètres Profondeur palier mètre par mètre.

  43. Ordinateurs Avec ou sans gestion d’air Durée de plongée Profondeur maximale atteinte Durée de plongée sans palier (courbe de sécurité) Profondeur & durée du palier le plus profond. Temps de remontée Vitesse de remontée variable ou fixe suivant constructeur Alarme de palier omis & instruction Température ambiante Durée de désaturation Durée et icône "sans avion" Intervalle de surface Compensation automatique de l'altitude Durcisseur palier (Ex par niveaux de micro-bulles) Compatible NITROX Communication P.C. pour réglages et exploitation des plongées Affichage de la pression de la bouteille en bar Autonomie restante à la profondeur actuelle (RBT) Alarme de réserve & si rythme respiratoire élevé Calcul paliers en fonction de la consommation

  44. Les ordinateurs « entrée de gamme » AIR et NITROX (suivant les modèles) de 21% à 50% ou jusqu’à 100% Température et profondeur maxi alternées Moins d’infos, moins d’alarmes, moins d’historique. Assure toujours une sécurité Vous ne plongez pas souvent, rarement avec paliers, la majorité de vos plongées se font dans l’espace médian.

  45. Les ordinateurs « milieu de gamme » AIR et NITROX (jusqu’à 100%). Possibilité de faire varier la PPO2, température, profondeur, alarmes….Les écrans sont plus clairs, programme plus restrictif, interface PC, plus d’infos Vous plongez souvent en autonome, faites parfois des semaines de plongées, faites des paliers, comptez faire une formation nitrox, gardez vos plongées sur votre PC.

  46. Les ordinateurs à gestion d’air AIR et NITROX (jusqu’à 100%), température, profondeur, alarmes… Ils gèrent l’autonomie en air. Les écrans sont plus clairs. La gestion d’air se fait par sonde ou par flexible. Ces ordinateurs assurent une grande sécurité, ils prennent notamment en compte notre rythme respiratoire Vous êtes autonome, guide de palanquées, plongez en mers chaudes & vous faites des plongées longues. Le nitrox fait partie de votre univers & gardez vos plongées sur votre PC.

  47. La montre ordinateur AIR et NITROX (jusqu’à 100%), température, profondeur, alarmes… Petit écran. Très en vogue actuellement. Certaines montres/ordi font également gestion d’air Toutes les infos dans la taille d’une montre.

  48. Les teks Intègrent plusieurs mélanges gazeux. De 2 à 7 pour le trimix Certains font également gestion d’air par sonde (une sonde sur chaque mélange) Vous plongez souvent avec 2, 3 mélanges différents. Vous allez faire le trimix.

  49. Les nouveautés Une boussole numérique à mémoire de cap sur les derniers modèles, et maintenant cardio-fréquencemètre intégré. Demain prise en compte du froid, etc… Vous êtes high tech. et aimez bien les nouveautés.

More Related