1 / 106

Les Acacias le15/01/2011

Une animation instructive, éducative, PEDAGOGIQUE !. Plaisante Divertissante Poilante Bidonnante Hilarante ! ! !. Tais-toi ! Ça donne pas envie de rester !. Les Acacias le15/01/2011. Au sommaire. De quoi parle-t-on ? Comment le lexique vient aux enfants ? Que doit-on enseigner ?

pearly
Download Presentation

Les Acacias le15/01/2011

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Une animation instructive, éducative, PEDAGOGIQUE ! Plaisante Divertissante Poilante Bidonnante Hilarante ! ! ! Tais-toi ! Ça donne pas envie de rester ! Les Acacias le15/01/2011

  2. Au sommaire De quoi parle-t-on ? Comment le lexique vient aux enfants ? Que doit-on enseigner ? Des principes et des attentions Les contenus à enseigner Le dictionnaire numérique des écoliers

  3. Il faudrait que leurs maîtres ne mâchent pas leurs maux ! Pour que les élèves fassent mieux en vocabulaire… À la manière de Philippe Geluck. Le Chat. Aux grands mots, les grands remèdes

  4. De quoiparle-t-on ? Le lexique Le vocabulaire Le mot

  5. Le lexique ou le vocabulaire ? En linguistique on fait généralement la différence entre les deux : Le lexique, notion théorique, ensemble complet des mots d’une langue. Le vocabulaire , ensemble des mots effectivement employé par une personne pour parler et écrire. C’est l’actualisation du lexique pour une personne. Néanmoins les deux mots sont considérés comme des synonymes dans le langage courant.

  6. Le vocabulairepassif et actif Le vocabulaire passif est constitué par les mots compris plus ou moins bien en réception. On parle de vocabulaire compris. Le vocabulaire actif (produit) est constitué par les mots connus et utilisés spontanément. On parle de vocabulaire produit. On travaillepour rendre le vocabulairepassif plus clairafinqu‘ilsoitutiliséactivement.

  7. Qu’est-ce qu’un mot ? Un mot graphique est isolé par deux blancs. Linguistiquement, un mot est un signe, il a un signifiant (sa prononciation à l’oral, son orthographe à l’écrit et un signifié (sa signification). Les blancs ne suffisent pas toujours : Maison bâtie ici. Mais on bâtit ici. Mais ils ont bâti ici. Maison BATY ici. Des cas particuliers : Timbre-poste. Tout à coup. Aller.

  8. Vocabulaire : ensemble non autonome, élément de la grammaire • Le lexique est placé au carrefour d’autres secteurs : • La phonologie pour la prononciation : divin, divinité ; • La morphologie pour la forme des mots : courage, courageux, décourager, découragement ; • La sémantique pour la signification ; • La syntaxe pour les propriétés combinatoires et les flexions. L’environnement syntaxique peut faire changer le sens d’un mot : je marche, la marche à pieds, le marche-arrêt, j’exécute une marche, la marche est haute, ça marche…

  9. Chat Vocabulaire : ensemble non autonome, élément de la grammaire [Ka] unsignephonétique (la parole) unsignegraphique (l’écriture) uncontenusémantique(culturel/contexte) Mammifèrecarnivoredomestique de la famille des félidés. J‘aiunchatdans la gorge. J‘achètechat en poche. Il n‘y a pasunchat. Elle enfilasonfildans le chas de l'aiguillepuisraccommodasajupedéchirée. Le derniershahrégna en Iran de septembre 1941 à janvier 1979. Mammifèrecarnivoredomestique de la famille des félidés.

  10. Le lexique est ouvert La langue vit et varie selon : Le temps : des mots se déforment évoluent, apparaissent, s’infléchissent, disparaissent, se créent, s’empruntent… Les lieux : les Québécois parlent d’une sacoche d’école pour le cartable, d’un cartable pour un classeur ; en vieux normand on dit unecarte. Les milieux socio-culturels : adapter les registres de langues. Les cultures : le lexique influe sur la vision du monde. Importance de l’étymologie, de l’attention portée aux représentations des élèves.

  11. Le lexique ensemble complexe et organisé Le lexique comprend des sous-ensembles. Il y a un lexique général et des lexiques spécialisés. A l’école il existe un lexique spécialisé qu’il convient d’enseigner avec rigueur en mathématiques, en histoire, en sciences… Un mot n’est pas isolé. Il prend son sens que par rapport à d’autres termes. La valeur d’un mot est d’être ce que les autres ne sont pas : habitation, immeuble, résidence, villa, appartement, château, cabane, cahute, baraque, bicoque, cabanon, case… Le lexique est une structure et même un ensemble de structures. Les mots ont des relations de sens entre eux (synonymes, antonymes, homonymes…)

  12. Comment le lexique vient-il aux élèves ?

  13. Le développement du lexique Le vocabulaire se déploie avec de fortes variations d’un individu à l’autre. Il y a un important décalage entre le vocabulaire passif et le vocabulaire actif. Une étude a montré qu’un enfant de 16 mois produisait en moyenne 60 mots alors qu’il pouvait en comprendre 200.

  14. Le développement du lexique : Écart entre milieuxsocio-économiquesextrêmes :1 000 mots Les écartsrestentstablesous’accentuent au fur et à mesure de la scolarité.

  15. Quels objectifs vise-t-on ? «L'acquisition d'un langage oral riche, organisé et compréhensible par l'autre (école maternelle, p. 12) confortée par des activités « de mémorisation de mots, de réutilisation du vocabulaire acquis » pour le cycle 1 et son extension jusqu'au CM2. Sa diversification pour des « usages riches et variés » (école maternelle, p. 12), sa structuration à partir du CP jusqu'au CM2. Les mots fonctionnent en système ; il est donc nécessaire d'insister sur les notions qui les mettent en réseaux ; à partir du CE2, l'étude des « relations de sens entre les mots » (p. 22) renvoie aux notions clairement citées de «synonymie, antonymie, polysémie, termes génériques, identification des niveaux de langue » et de « familles de mots » pour les relations touchant à la fois au sens et à la forme. La mise en relation explicite avec l'orthographe lexicale (surtout à partir de la dérivation) : « s'appuyer sur sa connaissance des familles de mots pour écrire sans erreur des mots nouveaux (préfixe in-, im-, il- ou ir-; suffixe -tion...) » (p. 37; progression pour le CM1).

  16. La vocabulaire orthographique La problématique de l’orthographe lexicale. L’échelle Duboise Buyse et EOLE de Béatrice et philippe POTHIER 57 mots pour le CP ; 230 mots en plus pour le CE1, 1113 pour le CE2

  17. Première pause sur la polysémie Je mets dans mon sac … Feuille de papier légère et feuille de chêne découpée, dans mon sac, j’en ai mis deux. Souris, sirène, aiguille, marche, pomme... Souris ripante de mon ordinateur et souris trotte-menu des champs, dans mon sac, j’en ai mis deux.

  18. Que doit-on enseigner ? Les programmes

  19. « L’acquisition du vocabulaire accroît la capacité de l’élève à se repérer dans le monde qui l’entoure, à mettre des mots sur ses expériences, ses opinions et ses sentiments, à comprendre ce qu’il écoute et ce qu’il lit, à s’exprimer de façon précise et correcte à l’oral comme à l’écrit. Ce domaine doit faire l’objet d’un enseignement spécifique, progressif et transversal. » Programmes 2008 cycle 3 L’enseignement du vocabulaire

  20. A l’école maternelle Le vocabulaire un axe essentiel de prévention de l’illettrisme Références théoriques Quel lexique aborder à l'école  maternelle ? Principes pédagogiques Comment travailler le vocabulaire en maternelle ? Quels sont les vecteurs de mobilisation du lexique ? Séquences d'apprentissage Comment construire une séquence d'apprentissage du vocabulaire ? Quelle progressivité de la petite section à la grande section ? Séquence pour la petite section Séquence pour la moyenne section Séquence pour la grande section Activités de classe Quelles situations langagières proposer aux élèves ? http://eduscol.education.fr/pid24346-cid52525/vocabulaire-a-l-ecole-maternelle.html

  21. Fin de C1/Début de C2 : GS Acquisition du vocabulaire en contexte Dans les divers domaines d'activité En relation avec des activités de lecture Veiller à introduire noms, verbes, adjectifs, chaque semaine adverbes, prépositions des mots nouveaux Séquences spécifiques, activités régulières de classification, de mémorisation de mots, de réutilisation du vocabulaire acquis, d’interprétation de termes inconnus à partir de leur contexte.

  22. Au cycle 2 Pour le cycle 2, les programmes privilégient l’enseignement du vocabulaire par l’accès au sens et au contexte. Pour le C3, ils proposent un enseignement

  23. Au cycle 2 Par des activités spécifiques en classe, mais aussi dans tous les enseignements, l’élève acquiert quotidiennement des mots nouveaux. En étendant son vocabulaire, il accroît sa capacité à se repérer dans le monde qui l’entoure, à mettre des mots sur ses expériences, ses opinions et ses sentiments, à comprendre ce qu’il écoute et ce qu’il lit, et à s’exprimer de façon précise à l’oral comme à l’écrit. La compréhension, la mémorisation et l’emploi des mots lui sont facilités par des activités de classement qui recourent à des termes génériques, par une initiation à l’usage des synonymes et des antonymes, par la découverte des familles de mots et par une première familiarisation avec le dictionnaire.

  24. C2 : CP – CE1 Activités spécifiques de classe Dans tous les enseignements Initiation à l’usage Activités des synonymes et de classement des antonymes Découverte Familiarisation des familles à l'usage du dictionnaire de mots

  25. Une séquence au cycle 2 1. S’interroger sur la signification du mot sentimental -1ère de couverture. (Loup géant, sympathique, qui fait des bisous, qui est amoureux, qui rêve beaucoup…) 2. Revenir sur le sens précis du mot « sentimental » dans le contexte du livre (rechercher, collecter les informations, reprise des épisodes, le départ, les rencontres, les paroles). 3. Produire des écrits en utilisant le champ lexical du mot sentimental (attendri, ému, généreux, gentil, trop gentil, bouleversé) et le champ lexical contraire (méchant, vilain, dur, désagréable, égoïste, odieux…) pour vérifier la compréhension du terme.

  26. Au cycle 3 Pour le cycle 3, enseignement lié au sens et à la forme des mots. L'enseignement du vocabulaireimpliquequel'onreconnaisse le motcommeélément de forme et de sensappartenant au système de la langue, maisaussicommeuneréalitépsychiquecorrespondant à des représentationsd‘ordrelinguisitique, cognitif et affectifdans la conscience des individus.

  27. Au cycle 3 L’extension et la structuration du vocabulaire des élèves font l’objet de séances et d’activités spécifiques, notamment à partir de supports textuels intentionnellement choisis ; la découverte, la mémorisation et l’utilisation de mots nouveaux s’accompagnent de l’étude des relations de sens entre les mots. Cette étude repose, d’une part, sur les relations de sens (synonymie, antonymie, polysémie, regroupement de mots sous des termes génériques, identification des niveaux de langue), d’autre part, sur des relations qui concernent à la fois la forme et le sens (famille de mots). Elle s’appuie également sur l’identification grammaticale des classes de mots. L’usage du dictionnaire, sous une forme papier ou numérique, est régulière. Tous les domaines d’enseignement contribuent au développement et à la précision du vocabulaire des élèves. L’emploi du vocabulaire fait l’objet de l’attention du maître dans toutes les activités scolaires.

  28. C3 : CE2 – CM1 – CM2 Séances et activitésspécifiques de classe notamment à partir de supportstextuels intentionnellementchoisis Dans tous les domainesd'enseignements Etude des relations qui concernent à la fois la forme et le sens (famille de mots) Étude des relations de sens synonymie/antonymie/polysémie/ regroupement de mots sous des termesgénériques/ Identification identification des niveaux grammaticale de langue des classes de mots Usage du dictionnaire

  29. Comprendre un mot à partir de sa famille • Comprendre et définir les notions de radical, de préfixe, de suffixe ; • Repérer les affixes et les nuances sémantiques qu’ils apportent ; • Connaître la signification des affixes courants ; • Elargir le corpus d’affixes connus ; • Identifier le processus de formation des mots. Demander aux élèves de relever le mots peu ou mal compris : Malodorantes, encercler ; pêle-mêle ; enfourner ; gagne-pain ; déglinguer ; grisâtres , ; informe ; empiler ; présentoir ; inaperçu ; enrhubannés ; innombrables… Une vie de toutes les couleurs J. TEISSON • Chercher les procédures pour arriver à une meilleure compréhension. Entourer le mot simple (le radical) et souligner préfixes et suffixes. • Elaborer une affiche collective. (Le cas particulier de pêle-mêle et gagne-pain.)

  30. Comprendre un mot à partir de sa famille • Comprendre et définir les notions de radical, de préfixe, de suffixe ; • Repérer les affixes et les nuances sémantiques qu’ils apportent ; • Connaître la signification des affixes courants ; • Elargir le corpus d’affixes connus ; • La formation des mots • Il existe deux sortes de mots: • Les mots simples (mot de base ou radical): four. • Les mots construits sont formés à partir des mots simples, ils sont aussi de deux types: • Soit des mots dérivés : formés en ajoutant soit un préfixe (informe), soit un suffixe (grisâtre), soit les deux (enrubanné). Les préfixes et les suffixes ajoutent une information au mot de base. Tous les mots construits à partir du même mot simple sont de la même famille, ils parlent de la même chose : glisser, glissade, glissement, glissant. • Soit des mots composés : formés de deux mots simples séparés par un tiret, par exemple pêle-mêle, gagne-pain.

  31. Quels objectifs vise-t-on ? «L'acquisition d'un langage oral riche, organisé et compréhensible par l'autre (école maternelle, p. 12) confortée par des activités « de mémorisation de mots, de réutilisation du vocabulaire acquis » pour le cycle 1 et son extension jusqu'au CM2. La diversification pour des « usages riches et variés » (école maternelle, p. 12),

  32. Quels objectifs vise-t-on ? La structuration à partir du CP jusqu'au CM2. Les mots fonctionnent en système ; il est donc nécessaire d'insister sur les notions qui les mettent en réseaux ; à partir du CE2, l'étude des « relations de sens entre les mots » (p. 22) renvoie aux notions clairement citées de «synonymie, antonymie, polysémie, termes génériques, identification des niveaux de langue » et de « familles de mots » pour les relations touchant à la fois au sens et à la forme. La mise en relation explicite avec l'orthographe lexicale (surtout à partir de la dérivation) : « s'appuyer sur sa connaissance des familles de mots pour écrire sans erreur des mots nouveaux (préfixe in-, im-, il- ou ir-; suffixe -tion...) » (p. 37; progression pour le CM1).

  33. Avec quels moyens ? La littérature : la richesse du texte littéraire permet des apports spécifiques. « Ces textes sont choisis pour la qualité de leur langue : correction syntaxique, vocabulaire précis, varié et employé à bon escient. La lecture-écriture : l’apprentissage du lexique est conduit avec le souci de mettre en évidence ses liens avec l’expression , la compréhension et la correction rédactionnelle. Les champs disciplinaires : tous les domaines d’enseignement contribuent au développement et à la précision du vocabulaire. L’exemple magistral : dès la maternelle, « l’enseignant veille à offrir constamment à ses jeunes élèves un langage oral dont toute approximation est bannie ». Au-delà de ces apprentissages implicites, il convient de mener des activités spécifiques, systématiques et régulières. Le recours au dictionnaire est recommandé avec une première familiarisation au CP-CE1 et un usage du dictionnaire pour le cycle 3.

  34. Deuxième pause sur le sens des mots à partir d’un texte. Lorsqu’il revint à lui, il était couché dans la neige, paralysé par le froid glacial. Impossible de bouger bras et jambes. Le froid intense faisait son œuvre. Il eut peur de mourir là, sur des terres lointaines, abandonné de tous… C’est alors qu’il aperçut l’homme qui lui souriait. Celui-ci approcha de sa bouche une gourde et il sentit au fond de sa gorge l’aquavit couler et le rechauffer. La boisson était si forte qu’il eut l’impression d’exploser… Aquavit De l’aquavit c’est … Ecobue une écobue c’est … Depuis des années, ce jardin n’avait pas été entretenu. : des herbes folles le recouvraient, des touffes de plantes sauvages y avaient poussé. Avant de songer à semer, planter, à faire pousser, quoi que se soit, il faudrait tout nettoyer, retirer toutes ces plantes inutiles, ces herbes sauvages qui étouffaient tout. Il prit son écobue, la leva, la baissa pour couper et arracher.

  35. Les notions à connaître et à maîtriser Programmations - Progressions Du côté de l’enseignant  La notion est exigée par les progressions 2008 dans une classe donnée.  La notion peut être étudiée dans la classe Notion considérée comme essentielle par le Socle Commun, paliers 2 et 3

  36. Sémantique - Etude du sens des mots - Etude du sens d’un mot

  37. Sémantique - Etude du sens d’un mot – relations de sens entre les mots

  38. Morphologie - Etude de la formation des mots – Aspect historique

  39. Les notions à enseigner Programmations - Progressions Du côté des élèves  La notion est exigée par les progressions 2008 dans une classe donnée.  La notion peut être étudiée dans la classe

  40. Outil dictionnaire

  41. Sens des mots

  42. Champ lexicalet associatif

  43. Registre de langue – Synonymie, antonymie, homonymie

  44. Termes génériques

  45. Dérivation

  46. Composition - Vocabulaire spécifique

  47. Quelles attentions ? Quels principes ? Pour quels enjeux ?

  48. Pour être performant en lecture Pour certains élèves l’écart entre le vocabulaire rencontré à l’écrit et celui maîtrisé à l’oral est tel, qu’ils peuvent avoir l’impression de lire une langue mal connue ou étrangère. La plupart des mots que l’apprenti lecteur s’efforce de lire doivent être connus à l’oral. Des activités de lexique préalable à la lecture doivent être développées. Les mots connus à l’oral, une fois rencontrés à l’écrit dans la lecture peuvent constituer un premier dictionnaire ou un premier lexique. Il est nécessaire d’élargir le lexique de mots à contenus (noms, verbes, adjectifs) qui seront travaillés de manière différente de celle utilisée pour les mots-outils (articles, prépositions, connecteurs).

  49. Le vocabulaire enraciné dans l’écritLier le dire, lire et écrire Le notion de mot n’est pas soutenue par l’oral comme en anglais ou en espagnol (accent tonique). « Il fait beau, je vais faire un tour », on ne peut repérer que deux « mots » : [ilfébo] et [jevéfèrGtBr] Les mots n’existent, sous la forme connue, qu’à l’écrit. Apprendre à lire, c’est, entre autres, découvrir la notion de mot, inconnue sous cette forme à l’oral. Le mot n’est pas une étiquette pour noter le réel. Il a un effet structurant sur le réel.

  50. Travailler le vocabulaire en contexte Enseigner le vocabulaire va bien au-delà de la mémorisation d’un stock de mots dont le sens serait connu. Les mots en français ont besoin de leur contexte pour signifier quelque chose. En dehors de tout contexte, ils n'ont que des potentialités de sens, et pas toujours de rôle grammatical. aux enfants d’entrer. les employés contre les bandits. leur but. leur point de vue. leur bifteck. d’avoir frappé cet homme. d’y penser. mollement. Les gardiens se défendent Les gardiens défendent

More Related