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Les grandes théories éthiques

Les grandes théories éthiques. avec exemples et applications. Discussion.

prudence
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Les grandes théories éthiques

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Presentation Transcript


  1. Les grandes théories éthiques avec exemples et applications

  2. Discussion Une usine chimique pollue constamment un fleuve avec des déchets toxiques. Plusieurs villages qui utilisent l'eau du fleuve pour usage domestique sont affectés.Les villageois ont fait plusieurs plaintes et ont essayé de discuter directement avec la direction. Pas de résultat.

  3. Discussion Une agence gouvernementale qui contrôle l'impact des activités industrielles sur l’environnement a amendé l’usine plusieurs fois, pour faillir d'adopter une technologie de production moins agressive sur l'environnement. Néanmoins, l’usine continue de polluer le fleuve pour une raison très simple : il est moins cher de payer les amendes que d'investir dans un système pour neutraliser et recycler les substances toxiques. La gestion doit maintenant faire face à une éventuelle suspension de l'activité de l'entreprise. Cela laisserait de nombreuses personnes sans emploi.Beaucoup d'employeurs vivent dans les villages bordant la rivière. D'une part, ils ont une bonne raison de garder leur emploi, car il n'y a pas d'autres possibilités d'emploi dans la région. D'autre part, leur santé est gravement menacée par la pollution constante.

  4. Éthique de la vertu dispositions de comportement, traits de personnalité • Éthique déontologique devoirs (imposes sur soi-même et suivis volontairement) • Éthique consequentialiste conséquences des actions

  5. 1. Ethique de la vertu • L'éthique de la vertu insiste sur l'importance des traits caractéristiques d'une personne (honnêteté, empathie, prudence, sagacité, douceur, courage) qu’on considère important et cultive tout au long de la vie. • Ces vertus sont promues parce qu'elles permettent la réalisation de soi et la bonne vie. • Le développement des vertus est le chemin vers le vrai bonheur, qui est le bien intrinsèque. Le bonheur, en ce sens, corresponde à une vie accomplie, qui est vécue rationnellement et guidé par la modération. Ça implique la réalisation du potentiel de l'être humain dans la vie individuelle et sociale, sous la conduite de la droite raison et des vertus.

  6. Le bonheur • Quand on pense à ce qui motive exactement nos actions, on constate que nous avons des objectifs différents qui peuvent être comparés et ordonnés; certains objectifs sont simplement un moyen d'atteindre d’autres objectifs, qui sont à leur tour des moyens d’atteindre d’autres objectifs… • On peut subordonner tous les objectives à un objectif final, par rapport à quel tous les autres sont eux-mêmes des moyens: finalement, tout le monde cherche le vrai bonheur. Le bonheur constitue le but naturel de la vie humaine. Le bonheur n'est pas perçu comme opposé à la raison, il est sa finalité naturelle. • Le manque d’un perspective globale sur le vrai bonheur peut nous rendre sur une piste false: on traite les moyens comme s’ils étaient les fins, on considère les objectives intermédiaires comme des objectifs finaux.

  7. La cultivation des vertus • Il est dans l’intérêt de chacun à poursuivre le bonheur. Mais le vrai bonheur ne peut être atteint sans le développement des vertus cardinales (courage, justice, températion), qui nécessite leur cultivation tout au long de la vie. • Le développement des vertus implique un effort constant pour les intégrer dans la pratique, en ce que l'on pense, décide et fait.La raisonnement pratique consiste à sélectionner les mieux moyens pour atteindre certains fins.

  8. La vertu • La vertu(grecque arete) peut signifier non seulement la vertu morale (loyauté, générosité etc.), mais l'excellence ou performance humaine dans un sens général. Il y a une arete, ou excellence, pour chaque type d'activité - nous pouvons rechercher l'excellence dans les relations personnelles ainsi que dans l’activité professionnelle et les relations d'affaires. • La vertu est une disposition acquise par apprentissage et pratique constante: tout comme les hommes deviennent bâtisseurs en construisant et des musiciens en jouant la lyre, nous devenons plus justes en faisant de choses justes, plus tempérées par l'accomplissement d'actes tempérées, plus courageux en accomplissant des actes courageux. • Elle représente le juste milieu entre un défaut et un excès, l’usage mesuré de la passion, la juste proportion entre trop et trop peu dans toutes les sphères d’action humaine.

  9. La vertu • Pour mettre cela dans un contexte d'Aristote, pensez à ce que nous comprenons en appelant quelqu'un une personne morale. Il ne s’agit pas de faire occasionnellement ou accidentellement un acte moral: même les personnes immorales font des choses morales parfois. • Une personne vraiment morale, c'est celui qui a développé une disposition morale, en développent des habitudes de comportement.

  10. Application • En termes aristotéliciens, nous devrions nous demander: Quelles sont les vertus cardinales qui doivent être poursuites et développés dans la pratique des affaires? • Quels sont les traits de personnalité, les dispositions et habitudes qui déterminent les actions des participants? Est-ce que leur actions reflètent leur dispositions morales? Ou sont-ils tout simplement le résultat des différents intérêts et circonstances? • Une autre question importante est de savoir si leurs actions sont guidées par la modération et le bon jugement, s'ils parviennent à trouver le juste équilibre entre extrêmes.

  11. Application • Par exemple, nous pourrions demander si les gestionnaires ont pris en compte les intérêts et le bien-être de leurs employés et de la communauté locale. Ont-ils agi par compassion et bonté? Ont-ils été dirigés par leur sens de la justice? Cela implique un jugement équilibré de divers éléments: ils doivent conserver les emplois, mais ils doivent aussi s'assurer que la communauté locale n’est pas constamment affectée par leur activité. • Imaginons que les gestionnaires ont été contraints par les autorités à investir dans des nouvelles technologies pour limiter la pollution. Ce ne serait pas considérée une action morale de leur part, parce que ce n'était pas leur intention et décision volontaire. S’ils ont décidé d'investir car ils craignaient une nouvelle amende ou la suspension de leur activité, ce n'est pas morale car il n'était pas le résultat d'un jugement guidé par la vertu et par une disposition morale.

  12. 2. Ethique deontologique • Théorie éthique qui affirme que la valeur morale de l’action humaine doit être jugée selon sa conformité (ou non-conformité) à certains devoirs, qui sont rationnellement reconnus et respectés. Il s’agit de respecter certains devoirs qui ont une valeur morale en soi. • Comment procédons-nous habituellement pour déterminer la moralité de nos actions? Est-ce que nous prenons en compte nos intentions? Les conséquences de nos actions? Les normes qu’on a suivi? Ou cela dépend de chaque cas? • Est-il parfois justifié de mentir dans le but de protéger les autres ou d'éviter des souffrances inutiles? Ou est-ce toujours mal de mentir, quoi qu'il arrive? Pour Kant, le fondement de la morale est la bonne volonté, basée sur les impératifs moraux de la raison pratique. Un impératif est un devoir qui est imposé par la raison et qui doit être appliquée universellement.

  13. Immanuel Kant • Par la raison pratique on détermine les principes et normes qui guident notre comportement; le comportement moral implique l’application d'un principe général d'action à une situation particulière. Agir sur la bonne volonté est agir par devoir; c'est l'intention derrière une action plutôt que ses conséquences qui constituent la moralité d’une action. • Pour Kant, la morale du principe qui guide nos actions doit être indépendante de nos désirs, intérêts ou objectifs. L’universalité de loi morale doit provenir de sa forme même, pas de son contenu. Le contenu de la loi morale universelle, l'impératif catégorique, est uniquement dérivé de sa forme.

  14. Immanuel Kant • Ce n'est qu'en agissant sur un impératif catégorique que l'individu, en tant que personne morale, devient libre. La liberté ne signifie pas l'absence de règles, mais l'application des règles qui sont dérivées de la raison pratique. Même si une action a des bonnes conséquences, elle peut être dénué de valeur morale – exemples.

  15. Imperatifs Les motivations essentiels de notre action morale Deux types: • Hypothétiques (faire quelque chose afin d’obtenir une autre chose; si on veut x, on doit faire y) • Catégoriques: principes qui sont intrinsèquement valables, elles sont désirables en eux-mêmes. Elles représentent des obligations inconditionnelles, qui sont indépendantes de notre volonté ou nos désirs. C'est à partir de l'impératif catégorique que toutes les autres obligations morales sont générés.

  16. L’imperatif categorique Différent formulations: • 1 Procéder seulement sur des maximes qu’on peut imposer comme lois universelles. • 2 Il faut toujours traiter une personne comme fin et jamais simplement comme moyen.

  17. L’imperatif categorique La première formulation - le "test d’universalisabilité" des normes morales: 1. Identifiez une norme de comportement qui est volontairement suivi par quelqu’un. Imaginez un monde possible où tout le monde suit cette norme. 2. Demandez-vous si ce serait un monde dont vous aimeriez vivre. Mon comportement serait-il raisonnable et cohérent si je suis constamment cette norme? En particulier, essayer de vous demander si vous seriez d'accord d'avoir la même chose fait à vous (inverser les rôles, de sorte que vous subissez les conséquences maintenant). 3. Si la réponse à la question 2 est négative, alors l'application de cette norme dans le monde réel est inacceptable.

  18. L’imperatif categorique • La seconde formulation affirme que toute personne est une fin en soi et, comme elle a la capacité de libre choix, on ne devrait pas l’utiliser comme un simple moyen pour atteindre ses propres objectifs. On doit traiter les autres comme êtres libres et égaux dans la poursuite de leurs intérêts. • Cela a des conséquences profondes sur la façon dont les gens devraient se traiter mutuellement.En particulier, il semble interdire de profiter de quelqu'un pour faire avancer ses propres intérêts.

  19. La regle d’or Une éthique de la réciprocité dont le principe est trouvé dans pratiquement toutes les grandes religions et cultures. Deux formulations: • Positive: "traite les autres comme tu voudrais être traité"    • Négative: "Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse".

  20. L’imperatif categorique • Les conséquences de nos actions ne sont vraiment morales si elles ne sont pas le résultat d'un comportement moral, fondé sur la reconnaissance et acceptation libre du devoir moral. • Le principe fondamental de l'éthique, l'impératif catégorique, est une exigence de la raison. Il n'est pas imposée par une autorité (que ce soit l'autorité de l'État, religion ou tradition), mais par la libre acceptation des devoirs moraux universellement applicables.

  21. L’imperatif categorique • Supposons que vous avez désespérément besoin d'argent. Vous demandez à un ami de vous prêter de l'argent, en promettant de payer dans un mois. Toutefois, vous savez déjà que vous ne serez pas en mesure de payer votre dette à la fin du mois. Votre situation financière extrême justifie une mensonge? • Essayons d’universaliser la maxime de cette action: «Il est moralement permis à une personne dans une situation désespérée de faire une fausse promesse." • Essayez d'universaliser cette règle. Serait-il acceptable si tout le monde se comportait comme ça? Seriez-vous prêt à inverser l’application de cette norme (être celui qui a été faussement promis quelque chose)? • Je peux préférer de faire une fausse promesse dans un certain cas, mais pas une règle universelle de faire fausses promesses chaque fois que quelqu'un se sent justifié de mentir. Sans garanties morales et juridiques que les contrats sont respectés, la vie sociale serait réduite à concurrence et conflit.

  22. Application • Du point de vue déontologique, nous devrions nous demander quelles étaient les intentions des participants et les devoirs moraux qu'ils ont suivi. • La première question est si les gestionnaires ont pris en compte de leurs obligations morales et juridiques. Le second question, plus important encore, est de savoir si ces obligations ne concernent que les employés et les actionnaires. Ont-ils aussi pris en compte (comme ils devraient) la communauté locale et l'environnement? • Parfois, même si une certaine action va affecter négativement les employés (par exemple, décider de suspendre l'activité jusqu'à ce que l'entreprise trouve un moyen d'investir dans des nouvelles technologies), elle devrait être considéré juste si c’est la seule option qui peut être universalisée.

  23. Application • Prenons la décision de continuer à payer les amendes et ne pas investir. • La première formulation de l'impératif catégorique dit que nous devrions être en mesure d'universaliser les obligations morales (et les normes de comportement fondées sur eux). Est-ce que les managers ou les employés sont prêts à vivre dans un monde où personne ne voulait prendre la responsabilité ou faire quelque chose pour prévenir ou corriger les dommages produits? • La seconde formulation dit que les gens devraient être traités comme des êtres moralement autonomes, de ne pas être traités comme des moyens pour faire avancer ses propres intérêts. Qu’est ce qu’on peut dire de cette décision? Traiter ceux qui sont affectés comme sujets moraux autonomes nécessiterait une consultation sur ce qui devrait être fait et intérêt pour protéger leur intérêts fondamentaux (comme le droit à une vie saine).

  24. 3. Ethique consequentialiste • La moralité de nos actions est essentiellement basée sur leur conséquences. Même si nous reconnaissons que d'autres critères peuvent être pris en compte, les conséquences d'une action constituent le critère fondamental d’évaluation. • Peut-on considérer une idéologie politique comme fondamentalement bonne, même si elle a produit des millions de morts et de souffrances constantes chaque fois qu'il a été mis en pratique? Pouvons-nous avoir des normes théoriquement bonnes mais pratiquement mauvaises? Non, pas du point de vue du conséquentialisme. On ne peut pas avoir des actions morales avec des conséquences constamment négatives.

  25. 3.1 Le pragmatisme • La valeur morale d'une décision ou action est basée sur leur conséquences pratiques: une opinion est vraie si elle fonctionne d’une manière satisfaisante, une décision sera juste si les conséquences pratiques de la prendre sont positifs • Dans cette perspective, la moralité d'une décision ou action est fondée sur leur capacité à résoudre certains problèmes. • Par conséquent, la morale n'est pas un problème de suivre certains critères abstraits, mais un problème d'efficacité. Le pragmatisme est une forme de conséquentialisme.

  26. Le pragmatisme • Mais ce qui fonctionne dépend d’un certain contexte (intérêts, objectifs, désirs des participants). Si la moralité de nos actions dépend du contexte, nos critères d'évaluation morale ne sont pas nécessairement universelles. • La décision de s'enrôler dans l'armée et aller à la guerre ne fonctionne pas du point de vue de la sécurité et du bien-être personnel, mais on peut dire qu’il fonctionne s’il s’agit de défendre certaines valeurs communes et le bien-être collectif.

  27. Application • Du point de vue pragmatique, nous devrions nous demander si la décision de ne pas investir a fourni une meilleure solution au problème. D'une part, elle a assuré que la production n'est pas arrêtée et que les gens conservent leur emploi. D'autre part, elle continue de produire un dommage (pollution, risques pour la santé) qui touche plus que les employés. • Donc, la question « quelle est la meilleure solution à ce problème » dépend de la façon dont nous définissons le problème. Si nous le définissons d’une manière restrictive, comme un problème d’emploi, alors la solution des managers est correcte. Mais c'est évidemment un problème plus vaste, qui devrait prendre en compte le bien-être de tous ceux qui sont affectés par l'activité de l'usine.

  28. 3.2 L’utilitarisme • Doctrine éthique qui prescrit d'agir (ou ne pas agir) de manière à maximiser le bien-être du plus grand nombre des êtres sensibles. • La valeur morale d'une action est déterminée uniquement par sa contribution à l'utilité générale, qui est donné par la totalité de ses conséquences. L’utilitarisme est donc une forme de conséquentialisme. • C'est en ce sens particulier qu'on peut parler du calcul de l'utilité d'un acte, ou qu'on peut comparer les utilités de différentes actions ou décisions.

  29. Utilitarisme • L’approche utilitariste consiste donc à peser les avantages et désavantages d'une décision et les comparer aux avantages et désavantages des décisions alternatives. • L'utilitarisme ne peut pas être réduite à une simple recherche de plaisir individuel. Est utile tout ce qui contribue à maximiser le bien-être d'une communauté. • Le plus grand bien ne peut être évaluée sur la base de quelques critères simples. Tout ce que peut améliorer le bien-être des individus ou des groupes doit faire partie de l'évaluation.

  30. Utilitarisme • Jeremy Bentham (1748-1832) et John Stuart Mill (1806-1873) ont donné une forme systématique au principe d'utilité et ont entrepris de l'appliquer à des questions concrètes — système politique, législation, justice, politique économique etc. • Bentham - Introduction to the Principles of Morals and Legislation (1789): Par principe d'utilité, on entend le principe selon lequel toute action, quelle qu'elle soit, doit être approuvée ou désavouée en fonction de sa tendance à augmenter ou à réduire le bonheur des parties affectées par l'action. [...] On désigne par utilité la tendance de quelque chose à engendrer bien-être, avantages, joie, bien ou bonheur.

  31. Principes de l’utilitarisme • Conséquentialisme Les conséquences d'une action sont la seule base permettant de juger de la moralité de l'action. Les qualités morales de l'agent n'interviennent pas dans le calcul de la moralité d'une action. Il est donc indifférent que l'agent soit généreux, intéressé, ou sadique, ce sont les conséquences de ses acte qui sont morales ou immorales. Dans des circonstances différentes, la même action peut être morale ou immorale selon ses conséquences. • Principe de maximisation. L'utilitarisme demande de maximiser le bien-être général. • Rationalisme. La moralité d'un acte est basée sur l’évaluation de sa utilité. Ce calcul prend en compte les conséquences de l'acte sur le bien-être du plus grand nombre de personnes. Il suppose donc la possibilité de calculer les conséquences d'un acte, et d'évaluer son impact sur le bien-être des individus.

  32. Application • Dans une approche utilitariste, on devrait examiner les options disponibles et d'évaluer leur utilité globale. Le calcul de l'utilité doit tenir compte d’une diversité des éléments qui sont considéré importantes par ceux qui sont affectés: l'emploi, la sécurité du travail, la sécurité environnementale, la santé publique etc. • Il est clair que les avantages de poursuivre la production et de maintenir les emplois ne sont pas comparables avec les inconvénients créés pour la communauté locale et l'environnement. Il y a tout simplement beaucoup plus de personnes affectées.Toutefois, si cette usine était le seul employeur dans la région et la suspension de l'activité élèverait considérablement le niveau de chômage et de pauvreté, on devrait revoir son jugement.

  33. Application • Nous devons également tenir compte du fait que de nombreux avantages à long terme ne sont pas immédiatement visibles. Dans le même temps, poursuivant un avantage à long terme crée souvent des inconvénients à court terme (par exemple, investir temps et énergie dans son formation professionnelle implique moins de temps et d'énergie pour les loisirs). • L'utilitarisme ne recommande pas à tenir compte que des avantages immédiatement visibles et à court terme. Nous avons à juger nous-mêmes quels sont les objectifs personnels qui méritent d'être poursuivis.

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