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Plan de la présentation. La Veille technologique Les sujets de veille présentés XML Évolution et applications Prototypage et développements Architectures orientées services. La veille technologique. Objectif :

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  1. Plan de la présentation • La Veille technologique • Les sujets de veille présentés • XML • Évolution et applications • Prototypage et développements • Architectures orientées services

  2. La veille technologique • Objectif : • Rester à l’affût de nouvelles technologies qui pourraient être utilisées dans le domaine de la géomatique • Comprendre ces technologies et voir leur applicabilité dans notre domaine • Un temps d’arrêt pour voir ce qui se passe ailleurs

  3. Les sujets de veille (1/2) • XML (Daniel Pilon, Sylvain Vallières et Yves Choquette) • Formation « XML and Databases »(Ronald Bourret) • Recherche sur le WEB et autres lectures • Conférence xTech 2007 • Formation « XPath 2.0, XQuery 1.0 & XSLT 2.0 Explained » • Contrat de prototypage XQuery(Ronald Bourret) • Évaluation des logiciels libres eXist et Cocoon • Conférence « XML Boston 2007 » en décembre

  4. Les sujets de veille (2/2) • Architecture orientée service (Marc Lemaire et Yves Choquette) • Formation « Mieux comprendre l’architecture orientée service » (Michel de Champlain) • Recherche sur le WEB et autres lectures • Formation sur des outils conçus pour implanter des services WEB selon le « framework J2EE » (Éclipse, Hibernate, axis, maven) • Implantation du CSW pour les métadonnées du SIM-PNA

  5. Évolutionetapplicationsdu XML

  6. Qu’est-ce que le XML • Langage de codage de données dont l'objectif est, dans un échange entre systèmes informatiques, de transférer, en même temps, des données et leurs structures • Langage permettant de coder n'importe quel type de donnée, depuis l'échange de données informatique (EDI) jusqu'aux documents les plus complexes (livres, tables de BD, etc.), son potentiel est de devenir le standard universel et multilingue d'échange d'informations. • XML (Extensible Markup Language ou langage de balisage extensible) est un standard du World Wide Web Consortiumqui sert de base pour créer des langages balisés spécialisés (GML, KML, WML, MathML, MusicML, XHTML, etc.)

  7. Les objectifs du XML • Utilisable sur Internet • Séparer la donnée de sa représentation HTML • Assurer un certain degré d’interopérabilité • Les documents doivent être lisibles par l'homme et le raisonnement clair • Être supporté par une grande variété d'applications • La rédaction de programmes traitant les documents doit être facile • Conception rapide, formelle et concise

  8. SVG XML V1.0:1998 Scalable Vector Graphics V1.0:2001 GML MathXML Geography Markup Language V1.0:2000 V1.01:1999 MusicXML MusicXML V0.6:2002 V0.6:2002 XHTML V1.0:2000 L’évolution du XML 1960 1970 1980 1990 2000 GML SGML Generalised Markup Language Standard Generalised Markup Language ISO 8879 1986 HTML HyperText Markup Language V0.9:1991 ISO/IEC 15445:2000 Le XML est dérivé de la norme internationale ISO 8879

  9. XML - un début modeste Jon Bosak, Jean Paoli, et Michael Sperberg-McQueen, trois membres du premier groupe de travail XML montrant la spécification initiale d’environ 20 pages de 1998 (conférence XML Boston 2006) But du XML : permettre à du SGML générique d'être transmis, reçu et traité sur le Web de la même manière que l’HTML d’aujourd'hui

  10. XML – fortement implanté Le 23 janvier 2007, le W3C a publié huit nouveaux standards de la famille XML pour prendre en charge l’accès aux données et documents XML ainsi que leurs requêtes et transformations. Les principales spécifications sont :XPath 2.0, XQuery 1.0 & XSLT 2.0 L’implantation de ces standards sous forme de plug-ins, d’APIs, de librairies, etc. vient renforcer la position du langage XML

  11. Que sont ces spécifications ? • XQuery 1.0 • Langage de requête permettant d'extraire des informations d'un document XML • XPath 2.0 • Une syntaxe (non XML) pour désigner une portion d'un document XML • XSLT 2.0 (eXtensible Stylesheet Language Transformations) • Langage de transformation XML

  12. XQuery 1.0 • C’est le SQL du XML • Ne possède pas encore de capacité de mise à jour, ce qui serait très utile pour les BD XML • Il peut aussi bien traiter des documents placés dans des fichiers sur disque que dans une base de données

  13. Bases de donnéesqui supportent le XQuery Deux types d’implantation : • Bases de données XML natives • Berkeley DB XML, eXist, Mark Logic Server, TigerLogic XDMS, X-Hive/DB • Bases de données hybrides relationnelles/XML • Oracle 10g, IBM DB2 version 9, Microsoft SQL Server 2005

  14. Différences entre les 2 types d’implantation • La frontière entre les BD XML natives et les BD hybrides relationnelles/XML s’estompe de plus en plus avec l’arrivée de fonctionnalités et de types qui permettent de conserver le XML de façon native dans les SGBD relationnels • Apparition de table XML plutôt qu’une colonne XML dans une table • Les BD natives n’ont pas de fonctionnalités du monde relationnel

  15. XQuery vs SQL • XQuery exploite plusieurs idées du SQL • Sélection de données, jointures, fonctions, tris, etc. • Certains concepteurs du SQL ont participé à la création de XQuery • Ces deux langages fusionnent de plus en plus dans les BD hybrides relationnelles/XML • Cependant, le XQuery ne replacera pas le SQL • SQL est le langage d’interrogation pour les données hautement structurées (Model centric) • XQuery est le langage d’interrogation pour les données moins structurées (Document centric)

  16. XQuery et XML Schema • XML Schema est un standard du W3C pour définir des schémas qui peuvent être utilisés pour valider des documents XML et assigner des types aux éléments et aux attributs XML • XQuery utilise le système de typage de XML Schema • Un certain nombre de types de données communs sont prédéfinis comme les strings, les dates, les entiers décimaux, etc. • On peut aussi définir nos propres types de données à partir des types prédéfinis • L’utilisation des schémas n’est pas obligatoire • On peut travailler avec XQuery sans faire mention à un schéma • Cependant, il est important de bien comprendre le système de typage pour pouvoir efficacement utiliser l’ensemble de fonctions et d’opérateurs fourni par XQuery

  17. XQuery 1.0 et XPath 2.0 • XPath a été conçu initialement pour parcourir la structure des documents XML tout en sélectionnant certains éléments et attributs afin de filtrer le contenu non désiré • Le degré de superposition entre XQuery et XPath est particulièrement grand • Même modèle de données • Même ensemble de fonctions et d’opérateurs En fait, XPath 2.0 est un sous-ensemble de XQuery 1.0 • Les capacités de sélection se retrouvent dans XPath tandis que les fonctionnalités liées à la structuration et aux tris des requêtes (FLWORs [For, Let, Where, Order by et Return], et constructeurs XML) sont implantées dans XQuery

  18. XPath 2.0 vs 1.0 • XPath 2.0 a été construit avec l’intention d’être le plus rétrocompatible possible avec XPath 1.0 • Presque toutes les expressions XPath 1.0 sont encore valides dans XPath 2.0 avec de légères différences dans la façon de traiter les valeurs retournées À titre d’exemple, les règles utilisées pour convertir des nombres en chaînes de caractères ont changé entre les deux versions Une description détaillée des changements peut être consultée à l’URL suivante : http://www.w3.org/TR/xpath20/#id-backwards-compatibility • Il est possible de rétrograder l’exécution d’un processeur XPath 2.0 dans un mode de compatibilité 1.0 en spécifiant xsl:stylesheet version="1.0" en début de séquence

  19. XQuery 1.0 et XSLT 2.0 • XQuery et XSLT sont deux langages dessinés pour questionner et manipuler des documents XML • Ces deux langages utilisent le même modèle de données • Ils utilisent les «Namespaces» de la même façon • Ils ont la même relation avec les schémas XML et partagent le même système de typage de données • Ils possèdent le même ensemble de fonctions • XSLT utilise intensivement les expressions XPath qui, rappelons-le, est un sous ensemble de XQuery

  20. Deux façons de faire,même résultat Requête XQuery <ul type="square">{ for $product in doc("catalog.xml")/catalog/product[@dept = 'ACC'] order by $product/name return <li>{data($product/name)}</li> }</ul> Équivalent XSLT <xsl:stylesheet version="1.0" xmlns:xsl="http://www.w3.org/1999/XSL/Transform"> <xsl:template match="/"> <ul type="square"> <xsl:for-each select="catalog/product[@dept = 'ACC']"> <xsl:sort select="name"/> <li><xsl:value-of select="name"/></li> <xsl:for-each> </ul> </xsl:template> </xsl:stylesheet>

  21. S’ils sont si semblablespourquoi deux langages • XSLT est un langage de transformation optimisé pour reformater un document XML complet • Généralement, les documents sont entièrement chargés en mémoire et traités en une ou plusieurs passes • XQuery est un langage optimisé pour sélectionner des fragments de données, possiblement dispersés dans plusieurs documents sauvegardés dans une base de données • Les documents sont généralement brisés en plus petits morceaux et indexés pour en faciliter l’accès • Les requêtes peuvent retrouver des fragments du document XML sans avoir à le charger entièrement en mémoire

  22. Vue d’ensemble Expressions FLWOR Prolog des requêtes (partie déclarative) Constructeurs XML Fonctions définies par l’utilisateur Expressions conditionnelles Expressions arithmétiques Expressions quantifiées Fonctions et opérateurs prédéfinis Modèle de données Some | every$elem inchemin Satisfies (condition) XQuery 1.0 XSLT 2.0 Xpath 2.0 XPath 1.0 Expressions de chemin Expressions de comparaison Quelques fonctions prédéfinies Stylesheets Templates Etc.

  23. L’importance du modèle • La Compréhension du modèle de données de XQuery est similaire à la compréhension des tables, des colonnes et des enregistrements lors de l’apprentissage du SQL • Le modèle de données sert à définir formellement les valeurs utilisées dans les requêtes, les documents d’entrée, les résultats ainsi que les valeurs intermédiaires

  24. séquence article nœud commentaire nœud document noeud nœud sorte valeur (chaîne) valeur atomique type nœud élément nœud instruction d’exécution nœud attribut nœud texte nom type valeur typée nom nom type valeur typée valeur typée Modèle de donnée contiens 0..n

  25. nœud document nœud élément (catalogue) nœud élément (produit) nœud attribut (dept) nœud élément (nombre) nœud texte (784) nœud élément (nom) nœud attribut (langue) nœud texte ("chemise") nœud élément (choixDeCouleur) nœud texte ("bleu/blanc/rouge") nœud élément (description) nœud texte ("Nos ") nœud élément (i) nœud texte ("plus belles") nœud texte (" chemises!") Une hiérarchie XML de noeuds Application du modèle à un document XML • Règles de hiérarchie • Un élément peut avoir comme enfant de 0..n éléments | texte | commentaire | instruction • Un document peut avoir comme enfant un élément (la balise externe) | commentaire | instruction • Les attributs ne sont pas considérés comme des enfants ou des « siblings » • Les descendants d’un même parent sont des « siblings » <catalogue> <produit dept= "homme"> <nombre>784</nombre> <nom langue= "fr">chemise</nom> <choixDeCouleur>bleu/blanc/rouge</choixDeCouleur> <description>Nos <i>plus belles</i> chemises!</description> </produit> </catalogue>

  26. Les premiers pas • Utilisation de CLOB pour conserver des données en XML dans les processus de fusion BDG SELECT DISTINCT identifiant, job_id, ty_trav, SUBSTR(EXTRACTVALUE(XMLTYPE (xml_metadonnees), '/metadata/dataqual/lineage/procstep/procdesc'), 1, 6) nomep FROM ser_reconcile_log WHERE ty_trav = 'charg_bdg' AND statut = 9 La fonction EXTRACTVALUE prend comme paramètres un élément de type XML et une expression XPath pour retourner la valeur scalaire du noeud résultant

  27. Prototypage« eXist » et « Cocoon » • Dans le but de se familiariser avec ces nouvelles technologies, un prototype de service d’accès aux catalogues des données BDG à été créé. • Les catalogues étaient produit en format XML • Ceux-ci furent emmagasiner dans une Base de Donnée XML native « eXist » • La BD « eXist » contenait également les schémas (XSD) et les feuilles de styles (XSLT) associés • L’application « Cocoon » était utilisée afin de servir et présenter les différents catalogues en format XML, HTML et PDF

  28. XQuery pour la production • Afin d’uniformiser les traitements et leurs résultats à travers les différentes équipes, nous regardons la possibilité d’utiliser tous la même librairie, soit « Saxon » • La librairie « Saxon » suit de très près les normes du W3C • Celle-ci est disponible en JAVA et en .NET • Elle contient les processeurs: • XSLT 1.0 • XPath 1.0 • XSLT 2.0 • XPath 2.0 • XQuery 1.0 • XML Schema 1.0

  29. XML4Suite • Une plateforme de développement de logiciel libre pour le XML • Développé en python et en C (pour la rapidité) • 4 Suite permet de tirer avantage des technologies normalisées autour du XML pour développer rapidement divers types d’applications • Permet des transformations XSLT • Supporte les structure de recherche XML SAX et DOM • Supporte XPath, RELAX NG, XUpdate • Fait partie du déploiement python standard au CIT-S • Beaucoup utilisé par l’équipe de diffusion

  30. Architectureorientéeservices(AOS)

  31. Est-ce la suite logique des architectures distribuées ? • Il y a environ 10 ans, le système d'information sur la BNDT (SIB) était une application client-serveur • Une étude de l'époque nous a conduits vers une architecture distribuée de type n-tiers codée en Java sur la plateforme J2EE • C'est le début de ce que nous appelons les services de transactions • De plus en plus, le besoin se fait sentir pour utiliser ces services à distance Devons-nous migrer vers une AOS?

  32. Pour répondre... Il faut comprendre ce qu'est une AOS • C'est une forme d'architecture en flot de données distribuée qui met en œuvre des composants logiciels • Les concepts clés des AOS sont : • Faible couplage - Dépendance minimale entre les services • Sans état - minimise la rétention d'information spécifiant une activité • Autonomie - contrôle sur la logique métier encapsulée • Abstraction - représente et camoufle la logique métier • Réutilisation - la logique est bien divisée pour promouvoir sa récupération • Composition - coordination et assemblage d'une collection de services • Contrat de service - accord sur les termes de la communication (description du service) • Découvrable - possède un mécanisme de description disponible et retrouvable

  33. l'AOS,une forme d'architecture en flot de données distribuée Registre Trouver Publier Fournisseur de services Consommateur de services Accéder

  34. L'implantation la plus populaire UDDI UDDI : Universal Description Discovery and Integration WSDL : WEB Services Definition Language SOAP : Simple object access protocol. Les services WEB Registre Supporte la diversité des manufacturiers (.NET, J2EE, etc.) via une interopérabilité neutre de communication XML Trouver Publier WSDL WSDL XML SOAP Fournisseur de services Consommateur de services Accéder

  35. XML Français Registre (UDDI, Registre ebXML) Carnet d'adresses (pages blanches, jaunes, vertes) Description (WSDL : WEB Services Definition Language) Une inscription (description et mode de communication) Accès (SOAP : Simple Object Access Protocol) Enveloppe (adresse, message) Communication (HTTP, SMTP, autres protocoles) Communication (les services postaux) Analogie avec la poste

  36. Les dangers des AOS • Ne pas considérer les requis de performance • Le volume de messages augmente avec la croissance de fonctionnalités • Création de services non composables • Utilisation à outrance de patrons de communication synchrone • Essayer de développer l'architecture de service comme une architecture distribuée traditionnelle • Le modèle des AOS nécessite un changement de mentalité et technologique pour être pleinement adopté

  37. Revenons aux questions du début • Est-ce la suite logique des architectures distribuées ? • C'est plus une spécialisation qu'une suite logique • Ouvre les portes au « grid computing » et au WEB sémantique • Devons-nous migrer vers une AOS ? • Ça dépend du contexte (les bonnes choses aux bons endroits) • Dans le cas du CSW, le service est bien défini par l'OGC et est déjà utilisé • Dans un contexte de production, il peut être préférable d'utiliser une architecture distribuée afin de maximiser les performances

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