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Les résistances. DOCUMENT 3. Consignes : 1) Identifie les sources documentaires ( la nature des documents). 3) Relève les différents actes de résistance dans les textes en les soulignant. 4) Classe les types d’actions menées. 5) Réalise un organigramme à partir du classement effectué.

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  1. Les résistances DOCUMENT 3. Consignes : 1) Identifie les sources documentaires ( la nature des documents). 3) Relève les différents actes de résistance dans les textes en les soulignant. 4) Classe les types d’actions menées. 5) Réalise un organigramme à partir du classement effectué. 5) Quelles sont les deux formes de résistance principales. 6) Construis un plan où seront mis en évidence le développement et l’organisation progressive des formes de résistance. DOCUMENT 2. Pierre Feschotte est élève au Lycée Anatole Le Braz à Saint-Brieuc de 1940 à 1943. Il est le fils du préfet des Côtes du Nord et ne partage pas les idées de son père qui exerce ses fonctions dans la stricte ligne vichyste. Il témoigne : «  A onze ou douze ans , l’enjeu du combat m’échappait encore : on était « pour les Anglais » ou « pour les Allemands ». Mes camarades de classe comptaient bien plus que mes parents. J’ai oublié le coup de l’union Jack, mais je me vois encore multiplier les croix de lorraine à la craie sur les vieux contreforts de la cathédrale ». De la nuit à l’aurore. Des lycéens dans la guerre 1939/1945,Association des anciens du lycée Annatole Le Braz, Les Presses Bretonnes, Ploufragan, 1996, page 135. DOCUMENT 1. DOCUMENT 4. Le docteur Erling Hansen, est mobilisé en 1939. Après la guerre, il se souvient : «  Je me suis engagé dans l’armée secrète , dirigée à Saint-Brieuc par le commandant Adolphe Vallée, ancien lycéen. Médecin inspecteur départemental du travail, j’ai la charge d’examiner les jeunes affectés au S.T.O.*. Ils sont très nombreux à se présenter à mon cabinet médical, place Saint-Michel, pour la simple raison que je multiplie les certificats de complaisance, en les déclarant inaptes. Mais j’ai aussi dissimulé des parachutistes alliés et adressé des messages à Londres contenant des renseignements sur l’organisation de la défense de la côte ou sur les agents de la Gestapo. » De la nuit à l’aurore. Des lycéens dans la guerre 1939/1945, Association des anciens du lycée Annatole Le Braz, Les Presses Bretonnes, Ploufragan, 1996, page 176.

  2. DOCUMENT 7. DOCUMENT 5. Monsieur Delépine est professeur de lettre classique au lycée Anatole Le Braz avant la guerre et résistant. Il rapporte dans un discours du 12 juillet 1945, qu’une organisation clandestine existait au lycée dès 1941 et qu’elle se composait d’une trentaine d’adhérents en 1943 (au moment où elle était dotée d’une structure efficace). Il se rappelle de l’année 1943 :   « Croyez qu’ils ne se contentaient pas de mettre à sac l’officine du RNP. Ils diffusaient tracts et journaux, les affichaient, surveillaient les suspects, les miliciens, dépistaient les agents de la police française, procuraient de faux-papiers. Mieux ! Salaün offrait à notre collègue Lavoquer, sans qu’il le sollicitât un document d’une extrême importance qu’il voulait se procurer depuis quel temps : le plan détaillé du terrain d’aviation. » De la nuit à l’aurore. Des lycéens dans la guerre 1939/1945,Association des anciens du lycée Annatole Le Braz, Les Presses Bretonnes, Ploufragan, 1996, page 110. DOCUMENT 6. « Du 6 au 17 juin 1944, environ 9000 maquisards s’étaient succédé à Saint- Marcel, près de Malestroit (dans le Morbihan), pour y recevoir leurs armes parachutées chaque nuit par les avions anglais. Un tel mouvement pouvait difficilement passer inaperçu par les Allemands, aussi l’ordre de dispersion est-il signé depuis Londres pour le 18 juin. Mais il est trop tard. Au matin de ce même 18 juin, la base morbihannaise est défendue par 2400 hommes lorsque les Allemands avec des moyens considérables : infanterie, blindés, artillerie de campagne, décident de l'anéantir. » De la nuit à l’aurore. Des lycéens dans la guerre 1939/1945, Association des anciens du lycée Annatole Le Braz, Les Presses Bretonnes, Ploufragan, 1996 page 264.

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