1 / 21

Soins palliatifs et fin de Vie en E.H.P.A.D. et à domicile Partie 1 – version courte

Mazoyer A. Formation continue des équipes ouverte aux professionnels ambulatoires Janvier 2013 EHPAD Boucard - 79 340 Ménigoute. Soins palliatifs et fin de Vie en E.H.P.A.D. et à domicile Partie 1 – version courte. Soins palliatifs et fin de vie en EHPAD et à domicile.

sven
Download Presentation

Soins palliatifs et fin de Vie en E.H.P.A.D. et à domicile Partie 1 – version courte

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Mazoyer A. Formation continue des équipes ouverte aux professionnels ambulatoires Janvier 2013 EHPAD Boucard - 79 340 Ménigoute Soins palliatifs et fin de Vieen E.H.P.A.D. et à domicilePartie 1 – version courte

  2. Soins palliatifs et fin de vie en EHPAD et à domicile IINTRODUCTIONet définitions

  3. Comprendre clairement ce que sont les soins palliatifs. Comprendre la loi Léonetti. Voir que «soins palliatifs» ne veut pas dire « arrêt des soins ». Avoir des connaissances pour accompagner au mieux la fin de vie. Entre médecine, idéologie, loi voire politique, spiritualité et religion… Quels objectifs ?

  4. Soins palliatifs – idées fortes: Soins actifs pour maladie grave ou terminale. Prise en charge des patients et de leur entourage. Éviter ce qui est déraisonnable. Ne pas donner la mort intentionnellement. De quoi on parle ?

  5. Dès le diagnostic d’une maladie incurable évolutive. Parfois des années avant le décès. Prise en charge individuelle et adaptée : elle sera différente selon l’espérance de vie et l’état clinique du patient. Se poursuit après le décès vis-à-vis de l’entourage. Quand commence le soin palliatif ?

  6. 85 % des décès après 60 ans. Poly-pathologies avec atteinte en cascade. Pathologies démentielles : évaluation de la volonté du patient délicate. Pronostic vital très difficile à évaluer de par l’alternance d’épisodes aigus et de périodes de stabilité. Spécificités gériatriques

  7. Une prise en charge toujours complexe: • Accompagnement de l’entourage qui est dans l’aide au nursing et dans une souffrance affective. • Projection et charge affective du soignant dans un soin de durée avec transfert/contre transfert. • Prise en charge pluridisciplinaire. ET les aidants ; et soignants…

  8. Qu’est-ce ? EUTHANASIE : Ce n’est pas du soin palliatif.

  9. « L’acte d’un tiers qui met délibérément fin à la vie d’une personne dans l’intention de mettre un terme à une situation jugée insupportable » Définition du Comité Consultatif National d’éthique CCNE, Avis n°63 Janvier 2000 L’arrêt de traitements qui n’apportent aucun espoir réel d’amélioration n’est pas une euthanasie. C’est différent de soulager la souffrance en prenant le risque d’abréger la vie. EUTHANASIE :

  10. Comment faire face à une demande d’euthanasie ? • Peut arriver à tout professionnel. • Signe en général une souffrance. • Si elle vient de la famille, c’est surtout un appel à l’aide. • La proximité avec le patient peut mettre en porte à faux le professionnel qui peut être amené à faire un choix aux lourdes conséquences. • Quoiqu’il arrive, à ne pas se gérer seul. Euthanasie : Que veut vraiment dire cette demande ? « De nombreuses études montrent qu’il est possible de soulager cette souffrance autrement qu’en la faisant taire par un geste d’euthanasie. En écoutant le patient et son entourage, en repérant les motifs sous-jacents à sa demande, en reprenant le dialogue avec des propositions adaptées, en associant le patient à son projet de soins, la quasi-totalité de ces demandes disparaît. » SFAP

  11. IILa loi Léonetti22-4-2005 Soins palliatifs et fin de vie en EHPAD et à domicile

  12. Renforce les droits du malade. Probablement révisée en 2013 ou 2014 À connaître pour comprendre les enjeux (ou non) d’un nouveau texte de loi La loi léonetti

  13. Droit d’interrompre ou de ne pas entreprendre des traitements jugés inutiles, disproportionnés ou n’ayant d’autres effet que le maintien artificiel de la vie. Non acharnement thérapeutique. Non obstination déraisonnable. La loi léonetti

  14. Droit du refus de tout traitement : • Information indispensable sur les conséquences si le patient est conscient. • Peut porter sur tout traitement. • Triple faute si le médecin s’affranchit du refus : déontologique, pénale et civile. • En matière de refus : pré-constituer la preuve de celui-ci, réitérer les explications et noter que le refus est réitéré. La loi léonetti

  15. Devoir de sauvegarder la dignité. Devoir de prise en charge adaptée de la souffrance et de la douleur. Possibilité de soulager la souffrance même si risque d’abréger la vie : en informant le malade et/ou la personne de confiance. La loi léonetti

  16. IIILa PERSONNE DE CONFIANCE et les directives anticipées Soins palliatifs et fin de vie en EHPAD et à domicile

  17. Tout majeur peut la désigner. Peut être consultée au cas où le patient ne pourrait pas exprimer sa volonté. Alors, son avis prévaut sur tout autre avis non médical à l’exclusion des directives anticipées. Personne de confiance

  18. Elle peut : • assister aux entretiens médicaux • accompagner et soutenir le patient. • Elle n’a pas accès au dossier médical. • Elle n’est pas une personne morale. Personne de confiance

  19. Nom – prénom - lieu et date de naissance. Possible pour tout majeur. Le patient peut les dicter pour qu’un tiers les rédige. < 3 ans. Ne doit pas mettre les professionnels hors la loi. Garantie pour médecin. Directives anticipées

  20. Opposable si le patient est conscient. Non opposable si le patient inconscient. C’est un souhait mais pas une volonté. Elles entrent dans un faisceau d’informations (avec personne de confiance et famille) pour connaitre le choix du patient lorsqu’il est inconscient ou incapable de donner son avis. Directives anticipées

  21. Texte de la loi Léonetti : loi N°2005-370 du 2 avril 2005 relative aux droits des malades en fin de vie www.legifrance.gouv.fr • Cours de capacité de gérontologie grand ouest – années 2010/2012 • Site de la Société Française d’Accompagnement et de soins Palliatifs : www.sfap.org REFERENCES :

More Related