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METIC Actus. NCD (Start-up marocaine) Symantec IBM Oracle Microsoft. 5 janvier 2005 André Dan andre@dan-place.com. NCD, la petite société marocaine qui suscite l'intérêt de Microsoft Les Echos du 4/01/05.

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  1. METIC Actus • NCD (Start-up marocaine) • Symantec • IBM • Oracle • Microsoft 5 janvier 2005 André Danandre@dan-place.com

  2. NCD, la petite société marocaine qui suscite l'intérêt de Microsoft Les Echos du 4/01/05 • Basée sur une clef USB, offrant un « bureau informatique complet, sécurisé et mobile », la solution de cette société rend l'utilisateur indépendant de son ordinateur. Son site Web a été abondamment consulté par Microsoft. • Vos applications informatiques, en plus de vos données, dans une clef USB, ces petits accessoires de stockage de plus en plus répandus : c'est la solution a priori inédite que commercialisent depuis hier dans leur pays Mehdi et Réda Belkhayat, deux frères marocains à la tête de la société NCD. Le principe est assez simple - rendre l'utilisateur indépendant de la machine -, à tel point qu'il a visiblement suscité l'« intérêt » du géant Microsoft, à des milliers de kilomètres de là. « On n'avait parlé de notre solution à presque personne. Or, nous nous sommes aperçus que notre site Web a été l'objet de visites de plus en plus fréquentes de la part de Microsoft, notamment autour de Noël », assure Mehdi Belkhayat. • Le concept de « couteau suisse informatique » défendu par NCD est, il est vrai, le type d'idée qui ne peut que déplaire à Microsoft. Sur une clef USB, accessoire jusque-là utilisé pour y conserver des données uniquement, NCD installe une vingtaine de logiciels libres : mails, bureautique, graveur de CD, navigateur Internet, antivirus... Tous configurés selon un procédé maison, et ne laissant aucune trace sur l'ordinateur, et permettant de consulter ses courriers électroniques ou d'écrire un document au format Word depuis n'importe où. Le tout vendu pour 60 euros TTC. Bref, un « bureau informatique complet, sécurisé, mobile, et indépendant », assurent ses promoteurs, qui cherchent des partenaires. Du coup, « les gens ne dépendent plus de leur ordinateur », poursuit Mehdi Belkhayat. Il suffit de se déplacer avec sa clef USB sur soi pour retrouver son environnement de travail numérique. En poussant plus loin le raisonnement, une PME peut se passer complètement de logiciels sur les ordinateurs de ses employés, pour n'y conserver que Windows* et des données. D'où peut-être la curiosité de Microsoft, qui doit regarder de près toute « menace » potentielle sur les ventes de ses logiciels de bureautique. • ALAIN RUELLO

  3. Symantec, nouveau numéro quatre mondial du logiciel • L'éditeur de logiciels de sécurité, connu pour son antivirus Norton, rachète Veritas, le spécialiste du stockage informatique, pour 13,5 milliards de dollars. Le nouvel ensemble se situera derrière Microsoft, Oracle et SAP. • En rachetant Veritas pour 13,5 milliards de dollars en actions (10,1 milliards d'euros), Symantec, spécialiste des antivirus et de la sécurité, deviendra le quatrième éditeur de logiciels du monde et un poids lourd des solutions de stockage de données et de gestion des réseaux informatiques. Avec un chiffre d'affaires combiné de 4 milliards de dollars, le nouvel ensemble se situera derrière Microsoft, Oracle et SAP, et passerait devant Computer Associates. • C'est une fusion record pour le secteur des logiciels, encore plus importante que celle d'Oracle et PeopleSoft, annoncée lundi, et qui atteignait 10,3 milliards. Le chiffre d'affaires du nouvel ensemble devrait atteindre 5 milliards de dollars pour l'exercice prochain, ont annoncé les sociétés. Les trois quarts des revenus viendront de la clientèle entreprises, et le reste du grand public - Symantec édite notamment le logiciel antivirus Norton. Elle opérera sur un marché estimé à 35 milliards de dollars par IDC, et qui devrait atteindre 56 milliards d'ici à 2007.

  4. IBM : près de 1 milliard de dollars de pertes dans les PC depuis 2001Les Echos du 3/1/05) L'activité PC d'IBM, dont la vente au chinois Lenovo va donner naissance au numéro trois mondial du secteur, a cumulé près de 1 milliard de dollars depuis 2001, selon un document remis par le groupe informatique à la SEC. Au 30 juin 2004, cette activité a perdu 965 millions de dollars en trois ans et demi : 139 millions sur le premier semestre de l'année dernière (pour 5,2 milliards de chiffre d'affaires), 258 millions en 2003, 171 en 2002, et 397 en 2001. Tirant les leçons de son incapacité à remédier à cette hémorragie financière dans un marché de volume aux marges de plus en plus fines, le groupe a conclu un accord avec Lenovo en fin d'année dernière, se retirant d'un marché qu'il avait créé dans les années 1980 (« Les Echos » du 9 décembre).

  5. Oracle fait le ménage chez PeopleSoftLes Echos du 3/01/05 Suite à sa prise de contrôle de PeopleSoft, Oracle a remplacé les principaux dirigeants par des hommes à lui. Le directeur financier et coprésident Kevin Parker a été remplacé par Harry You. Le coprésident Phillip Wilmington a été remplacé par Safra Catz et Charles Phillips. Le secrétaire général James Shaughnessy a été remplacé par Daniel Cooperman. Ces quatre responsables d'Oracle ont aussi été nommés au conseil d'administration. La directrice marketing Nanci Caldwell a aussi été remerciée. La démission des deux derniers membres du conseil d'administration non encore remplacés est « prévue ». Le PDG et fondateur David Duffield avait précédemment démissionné.

  6. Une décision qui complique le développement de WindowsLes Echos du 23/12/04 • Même si elle ne crée pas de précédent, l'ordonnance d'hier remet en cause la possibilité, pour Microsoft, de lier de nouvelles applications à son système d'exploitation. • Maintenant que Microsoft s'est vu refuser la suspension des mesures infligées par Bruxelles, le groupe n'a plus qu'à se mettre en conformité. Pour le volet interopérabilité, le groupe de Redmond, qui a eu le temps de se préparer, depuis mars dernier, a, dès hier, ajouté à son site Internet une page d'explications à destination des sociétés qui souhaiteraient acheter sous licence les spécifications de ses protocoles de communication client-à-serveur et serveur-à-serveur. Cette nouvelle donne oblige très certainement Microsoft à repenser le schéma de développement de Longhorn, le successeur de Windows XP encore en gestation. • Sur le volet Windows Media Player (WMP), Brad Smith, le directeur juridique de Microsoft, a indiqué que le groupe proposerait aux équipementiers une version expurgée du logiciel d'accès aux fichiers audio et vidéo, dès le mois de janvier, au même prix que la version complète. Les revendeurs devraient pouvoir la proposer aux consommateurs dès février. « Cela va complexifier et modifier structurellement le marché et la distribution des produits », assure-t-on chez Microsoft. • Les constructeurs devront-ils proposer deux types de machines aux distributeurs ? « Cela serait un peu compliqué d'un point de vue industriel, reconnaît Eric Greffier, directeur produits PC chez HP France. Si nous ne pouvons pas mettre de nous-mêmes le Media Player, nous pouvons mettre la version expurgée et proposer le téléchargement au consommateur, comme nous le faisons pour certains logiciels additionnels. » • La mise à disposition d'une version expurgée n'est pas véritablement problématique : étant donné le nombre de fichiers encodés selon le format Microsoft, beaucoup d'internautes finiront par télécharger le logiciel WMP ou acheter une version de Windows complète, notent les analystes d'Ovum.

  7. Microsoft : Les Echos du 23/12/04Autres enquêtes en cours • Ce qui pose réellement question à Microsoft, c'est sa capacité à lier de nouvelles applications à son système d'exploitation, comme un moteur de recherche ou des logiciels antivirus ou antispyware, comme il l'a fait dans le passé avec les navigateurs de recherche ou le Media Player. C'est de cette manière qu'il a tué en quelques années Netscape, navigateur leader entre le milieu et la fin des années 1990. Même si la décision d'hier ne crée pas de précédent au sens où elle ne se prononce pas sur le fond de l'affaire, elle crée une incertitude juridique pour Microsoft dans ses plans de développement. Le groupe de Redmond sait maintenant qu'il doit avancer en tenant compte des possibles objections des autorités antitrust de l'Union européenne, qui mènent actuellement des enquêtes sur d'autres pratiques commerciales de Microsoft.

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