Prévenir

1. Prévenir http://www.education.gouv.fr/cid75274/agir-contre-le-harcelement-a-l-ecole.html

3. English for schools est ouvert http://kids.englishforschools.fr/home Ensemble de ressources multimédia Pour élèves (espace kids) Pour enseignants (espace teachers) / préparation des cours et des séquences par objectifs http://teachers.englishforschools.fr/home Utilisable en classe 250 ressources

4. Eduthèqueouvert depuis le 6 novembre S’adresse aux enseignants du second et premier degré Ressources en ligne téléchargeable http://www.edutheque.fr/accueil.html C’est un portail avec pour l’instant 15 partenaires (à développer) : BNF, CNRS, INA, Louvre, Meteofrance, lesite.tv, IGN edugeo… Convention avec l’éducation nationale Connexion à demander Authentification : ressources validée et avec droits Visée pédagogique Dans le futur : moteur de recherche.

5. Les fondamentaux CNDP (Maths MDL) Pas encore ouvert Il s’agit d’une collection de films de 1 à 3 minutes par champ disciplinaire Films pour intéresser, comprendre pour un usage en classe. Visible sur ordinateur, tablettes, Smartphone (avec tactilisation) http://www.cndp.fr/actualites/bientot-une-plateforme-pour-les-fondamentaux-avec-des-films-danimation.html Il est prévu une montée en charge progressive, jusqu’à 500 films à l’horizon 2016

6. Question : toutes ces ressources : quels usages pédagogiques, à quel moment, pour faire quoi ? Quel que soit le matériel, les conditions : qu’est-ce que les élèves vont retenir ? Il faut pour cela construire des scenarios pédagogiques pour aider à la réussite Se poser la question : quelle plus-value pédagogique dans le numérique ? Il faut donc introduire les TICE en respectant l’ingénierie pédagogique. Favoriser les interactions orientées vers l’acquisition de compétences

7. Le projet d’école Circulaire no 90-039 du 15 février 1990 (Education nationale, Jeunesse et Sports) Le projet d'école. NOR : MENW9050098C La loi d'orientation du 10 juillet 1989 fait obligation à chaque école d'élaborer un projet qui définisse « les modalités particulières de mise en œuvre des objectifs et des programmes nationaux ». La présente circulaire a pour objet d'aider à construire ce projet, en précisant certaines modalités et en définissant des procédures.

9. LE PROJET D'ÉCOLE REPOSE SUR UNE ANALYSE DES BESOINS L'analyse des besoins comporte les étapes suivantes : Un recueil de données significatives propres à l'école et à son environnement ; Un tri parmi ces données pour retenir les indicateurs spécifiques relevant du champ d'intervention et d'action de l'école ; Une définition des besoins hiérarchisés par ordre d'urgence, ce qui implique une programmation des actions. A partir du diagnostic ainsi établi, qui permet de passer de la connaissance à l'action, il convient de procéder au choix des priorités et à la formulation d'objectifs opérationnels.

12. Qui sont nos élèves ? Que savent ils ? • Nombre et taux d'élèves en retard à l'entrée en CP ; • Nombre et taux d'élèves maîtrisant en fin de CE1 la compétence « La maîtrise de la langue française » ; • Nombre et taux d'élèves maîtrisant en fin de CE1 la compétence « Les principaux éléments de mathématiques » ; • Nombre et taux d'élèves maîtrisant en fin de CE1 la compétence « Les compétences sociales et civiques » ; • Nombre et taux d'élèves maîtrisant en fin de CM2 la compétence « La maîtrise de la langue française » ; • Nombre et taux d'élèves maîtrisant en fin de CM2 la compétence « Langue Vivante Étrangère » ; • Nombre et taux d'élèves maîtrisant en fin de CM2 la compétence « Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique » ; • Nombre et taux d'élèves maîtrisant en fin de CM2 la compétence « La maîtrise des techniques usuelles de l'information et de la communication » ; • Nombre et taux d'élèves maîtrisant en fin de CM2 la compétence « La culture humaniste » ; • Nombre et taux d'élèves maîtrisant en fin de CM2 la compétence « les compétences sociales et civiques » ; • Nombre et taux d'élèves maîtrisant en fin de CM2 la compétence « L'autonomie et l'initiative » ;

13. • En quoi et comment le fonctionnement de l'école permet d'expliquer ces résultats ? ◦ Organisation pédagogique retenue : ▪ Décloisonnement ▪ Échanges de service ▪ ... ◦ Composition des classes : ▪ Quels sont les critères retenus pour la composition des classes ? ▪ Comment se répartissent les élèves sur les différentes classes ? Des enseignants font-ils le choix de suivre les élèves ? ◦ Organisation des dispositifs d'aides.

14. Quelles sont les ressources de l'école ? Comment sont-elles employées ? ◦ Mobilisation des professeurs des écoles pour le décloisonnement en faveur des élèves en difficulté ; ◦ Moyens spécifiques à une école, un secteur d'écoles : enseignant surnuméraire, RASED, autres personnels de l'école ( ATSEM, AVS-Co, EVS...). • Comment l'action de la communauté éducative contribue-t-elle à produire les effets observés ? ◦ Pratiques pédagogiques développées ; ◦ Coordination des dispositifs d'aides ; ◦ Choix des projets pédagogiques. • Comment l'école communique-t-elle ? Transmission de l'information : ◦ au sein de l'équipe éducative ; ◦ avec les différents partenaires ; ◦ avec les parents d'élève

15. Éléments de contexte • CSP • Structure culturelle et/ou sportive • matériel • environnements • …

16. Aide aux élèves en difficulté • Aides personnalisées • stages de remise à niveau • demandes d'intervention RASED • Aides spécialisées RASED • PPRE • Projets individuels • PPS • CASNAV

17. Les points forts, les points à améliorer : L'équipe retient les éléments qui lui semblent les plus pertinents. Il ne s'agit pas d'une liste exhaustive de chacun mais de retenir des points qui nécessitent une amélioration, des points sur lesquels l’École possède des leviers d'action, des points qui sont prioritaires au regard de la réussite des élèves. Il faut aussi privilégier les points qui expriment une réussite.

18. Circulaire n° 2013-073du 3 mai 2013sur le parcours d'éducation artistique et culturelle

19. le parcours d'éducation artistique et culturelle • Avoir une expérience sensible des pratiques artistiques ; • Rencontrer des œuvres et des artistes ; • Fonder une culture artistique personnelle ; • S'initier aux différents langages de l'art ; • Diversifier et développer ses moyens d'expression ; • Se fonder sur une culture commune.

20. le parcours d'éducation artistique et culturelle • L’éducation artistique et culturelle est encore trop inégale d'un jeune à l'autre, pour des raisons diverses (socioculturelles, géographiques, etc.) et en fonction des écoles ou établissements fréquentés. • Il faut donc viser un égal accès de tous les jeunes à l'art et à la culture, dans le respect de la liberté et des initiatives de l'ensemble des acteurs concernés. • Sa mise en œuvre résulte de la concertation entre les différents acteurs d'un territoire afin de construire une offre éducative cohérente à destination des jeunes, qui aille au-delà de la simple juxtaposition d'actions, dans tous les domaines des arts et de la culture.

21. le parcours d'éducation artistique et culturelle • mettre en cohérence enseignements et actions éducatives. • Il faut donc viser un égal accès de tous les jeunes à l'art et à la culture, dans le respect de la liberté et des initiatives de l'ensemble des acteurs concernés. • La mise en place du parcours doit à la fois formaliser et mettre en valeur les actions menées, en leur donnant une continuité.

22. le parcours d'éducation artistique et culturelle : contenu • Durant son parcours d'éducation artistique et culturelle, à l'école, au collège et au lycée, l'élève doit explorer les grands domaines des arts et de la culture dans leurs manifestations patrimoniales et contemporaines, populaires et savantes, nationales et internationales • Se fonde sur les enseignements, tout particulièrement les enseignements artistiques et l'enseignement pluridisciplinaire et transversal d'histoire des arts, • Démarche de projet, dans le cadre des enseignements et des actions éducatives.

23. le parcours d'éducation artistique et culturelle : continuités • À l'école primaire et au collège, au moins une fois par cycle, il est souhaitable qu'un des grands domaines des arts et de la culture soit abordé dans le cadre d'un projet partenarial conjuguant les trois piliers de l'éducation artistique et culturelle. • Le volet culturel du projet d'école ou d'établissement, élaboré par les équipes éducatives, est le garant de la cohérence du parcours d'éducation artistique et culturelle de chaque élève

24. le parcours d'éducation artistique et culturelle : traces • Chaque élève doit pouvoir conserver la mémoire de son parcours pour qu'il se l'approprie pleinement. Les actions auxquelles l'élève a participé, notamment celles menées dans le cadre défini par le projet d'école ou d'établissement, pourront être recensées dans un document individuel sous forme papier ou sous forme électronique.

25. le parcours d'éducation artistique et culturelle : continuités • Le conseil école-collègedoit permettre de réfléchir à la complémentarité et à la progressivité des parcours sur l'ensemble de la scolarité obligatoire, afin notamment d'éviter des redondances ou des manques.

27. PROJET ÉDUCATIF TERRITORIAL Les activités ont vocation à s’adresser à tous les enfants. Elles doivent favoriser le développement personnel de l’enfant, de sa sensibilité et de ses aptitudes intellectuelles et physiques, son épanouissement et son implication dans la vie en collectivité. Elles ne doivent pas se limiter à des activités dites d’éveil, mais prendre en compte l’enfant dans toutes ses dimensions et dans son environnement. Elles doivent rechercher la cohérence et la complémentarité entre elles et avec le projet d’école.

28. Procédure d’embauche Rôle du directeur L’entretien de carrière Questionnaire projet professionnel

29. Le tuteur Les missions du tuteur selon l’article R.5134-39: · participer à l’accueil, aider, informer et guider le salarié en contrat aidé · contribuer à l’acquisition des savoir-faire professionnels · assurer la liaison avec le référent mentionnée à l’article R. 5134-37 · participer à l’établissement de l’attestation d’expérience professionnelle prévue à l’article L.5134-28-1 avec le salarié concerné et l’employeur.

30. Dès sa prise de fonctions, Avertir la circonscription de son arrivée sur l’école Remplir avec ce personnel, le questionnaire « projet professionnel et vœux de formation ». Ce document doit être complété et retourné impérativement avec le CV de votre EVS. - au GIP FTLV-IP : evelyne.proust@ac-orleans-tours.frou fax 02 47 60 77 67- à l’établissement employeur : Lycée Jean de Berry, Bourges contrats@ac-orleans-tours.fr Le retour dans les délais de ce document est la condition indispensable de l’installation de votre EVS. A défaut du respect de ces consignes, le contrat ne pourra pas être validé. Envoyer au lycée Jean de Berry et à la circonscription l’emploi du temps de l’EVS. Contrat de 20 heures, fixer en accord avec lui un emploi du temps au mieux de vos besoins et des siens. Vous pouvez organiser sa présence sur 4 jours en finissant ou commençant en décalé par rapport aux horaires de l’école (moyenne de 5 heures par jour), sur 3 jours ½ ou sur 3 jours avec du temps de travail sur la pause méridienne, avant ou après les horaires de classe (6h40 par jour avec 1 heure de pause pour le repas). L’EVS ne peut être seul dans l’école sans présence d’enseignant(s).

31. Un mois avant la fin de son contrat (que celui-ci soit renouvelable ou non) • Remplir une attestation d'expérience professionnelle au plus tard un mois avant la fin du contrat d'accompagnement dans l'emploi. (Art. L. 5134-28-1. - Loi n° 2008-1249 du 1er décembre 2008) Ce document valorise les compétences développées dans le cadre du contrat aidé. Il est rempli conjointement avec le tuteur quelques semaines avant la fin du contrat. Un exemplaire complété de cette attestation de compétences est remis au contrat aidé ainsi qu’àson établissement employeur et à Pôle Emploi.