1 / 34

mode d ’emploi

mode d ’emploi. Pour passer d ’une vue à la suivante, il faut attendre qu ’en bas de l ’écran le message , écrit en blanc, apparaisse. Il suffit alors d ’un clic sur le bouton gauche pour continuer.

yoland
Download Presentation

mode d ’emploi

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. mode d ’emploi • Pour passer d ’une vue à la suivante, ilfaut attendre qu ’en bas de l ’écran le message , écrit en blanc, apparaisse. Il suffit alors d ’un clic sur le bouton gauche pour continuer. • Pour les vues « animées », ce message n ’apparaît qu ’à la fin des animations. • Si les animations vous semblent longues à attendre, il suffit d ’un clic sur le bouton gauche pour déclencher la phase suivante. • Sur chaque diapositive un bouton est présent, il permet de faire apparaître le plan du cours par thèmes et de pouvoir ainsi accéder directement à telle ou telle partie du cours en cliquant sur le bouton correspondant au thème voulu. • La touche « Esc » ou « Echap » vous permet d ’arrêter à tout moment. • Le bouton droit de la souris vous fait apparaître un menu vous permettant de naviguer dans les diapositives. Fin de la vue Fin de la vue

  2. Présentation Ce cours traite des principes généraux de l ’interconnexion (ou de l ’intégration) des réseaux (ou systèmes) hétérogènes, vue à la lumière des couches OSI. Il a été réalisé par: Alain LE NABOUR formateur TSIG production/exploitation option CARL à l ’AFPA de Chevigny St Sauveur (DIJON) établissement de Quétigny. Fin de la vue

  3. Pré-requis ? Fin de la vue

  4. Remerciements Ce travail a pu être réalisé grâce au soutien du Fond Social Européen (F.S.E.) Fin de la vue

  5. Intégration des systèmes hétérogènes • La communication entre ordinateurs • Les couches OSI • Les systèmes intermédiaires (S.I.) Fin de la vue

  6. LA COMMUNICATION Faire communiquer des ordinateurs c ’est assurer certaines fonctions: * savoir à qui est envoyé le « message », * être sur qu ’il est arrivé à bon port et en bon état, * que doit en faire l ’ordinateur récepteur. Fin de la vue

  7. LE DECOUPAGE EN COUCHES Les raisons: Les problèmes complexes tels que, par exemple, la construction d ’un immeuble, sont scindés en une succession de tâches plus simples afin d ’être mieux comprises et mieux maîtrisées techniquement par des spécialistes de chacune des tâches (système électrique, menuiserie, gros œuvre, etc…). La communication entre systèmes informatiques (SI) différents est un problème complexe. Tout ceci a donc été découpé en fonctions élémentaires qui doivent être assurées à différents moments d ’une connexion. C ’est le découpage en couches Fin de la vue

  8. LE DECOUPAGE EN COUCHES chaque couche se chargeant: * d ’assurer des fonctions définies, * de transmettre les informations nécessaires à la couche suivante, inférieure ou supérieure suivant que l ’on soit en émission ou en réception, * de transmettre les informations nécessaires à la couche correspondante à l ’autre bout de la connexion. Fin de la vue

  9. LE DECOUPAGE EN COUCHES Fonctionnement: Quand un SI envoie des données à un autre SI, chaque couche ajoute ses propres informations à celles ci afin de réaliser les trois fonctions décrites dans la vue précédente. Ceci s ’appelle l ’encapsulation. Chaque couche du système récepteur, lit les informations à son intention, réalise ses tâches, puis élimine ces informations et fait passer ce qui reste à la couche supérieure. C ’est le démultiplexage. Fin de la vue

  10. L ’ISO & L ’OSI En 1977 l ’ISO (International Organization for Standardization), composée de représentants de l ’industrie, créa un sous-comité pour définir des standards en matière de communication de données dans le but d ’établir l ’interopérabilité entre les différents vendeurs ainsi que des règles d ’accessibilité universelle aux données. Le résultat de ces travaux est le modèle de référence d ’interconnexion des systèmes ouverts (Open Systems Interconnection). C ’est le modèle de référence OSI. On appelle système ouvert, tout système conforme au modèle de référence OSI. Fin de la vue

  11. LES COUCHES OSI 7 Application émission 6 Présentation 5 Session 4 Transport 3 Réseau 2 Liaison de données 1 Physique réception Numéro des couches Fin de la vue

  12. ENCAPSULATION émission 7 Application Data 6 Présentation Data 5 Session Data 4 Transport Data 3 Réseau Data 2 Liaison de données Data 1 Physique Data Fin de la vue

  13. DEMULTIPLEXAGE réception Data 7 Application Data 6 Présentation Data 5 Session Data 4 Transport Data 3 Réseau Data 2 Liaison de données Data 1 Physique Fin de la vue

  14. TRAITEMENT ET COMMUNICATION Au delà du contrôle physique qui s ’effectue au niveau du signal électrique élémentaire (bits 1 ou 0), on regroupe les couches en deux grandes fonctions, le TRAITEMENT et la COMMUNICATION des données qui concernent le contrôle logique du dialogue. Les couches du traitement de l ’information sont: APPLICATION, PRESENTATION et SESSION. Les couches de la communication sont: TRANSPORT, RESEAU et LIAISON. Fin de la vue

  15. LA COUCHE APPLICATION La couche n°7 spécifie les interfaces de communication entre utilisateurs et gère les détails de la communication entre les applications comme ,par exemple, le transfert et l ’accès aux fichiers, le transfert d ’informations vers un terminal virtuel, l ’administration de réseau, les services de répertoires, les messageries. C ’est: L ’INTERFACE UTILISATEUR LE SYSTEME DE FICHIERS L ’ADMINISTRATION DE RESEAU LA MESSAGERIE Fin de la vue

  16. La couche présentation La couche n°6 transforme les données dans un format communément admis par les deux systèmes communicants (syntaxe de transfert). Elle se charge de la compression et la décompression des données, du cryptage et du décryptage des données. C ’est: LE CODAGE LE CRYPTAGE LA COMPRESSION Fin de la vue

  17. La couche session La couche n°5 établit, maintien et synchronise la communication entre deux systèmes. C ’est: LA CONNEXION Elle s ’occupe aussi de « RPC (remote procedure calls) », l ’appel de procédures distantes. Concept qui sera explicité lors de l ’étude de TCP/IP . C ’est: L ’APPEL DE PROCEDURES DISTANTES (RPC) Fin de la vue

  18. La couche transport La couche n°4 établit, quant à elle l ’assurance d ’une certaine qualité de service. Ceci concerne les actions suivantes: Contrôle d ’erreurs (correction et/ou information de l  ’émetteur) Contrôle de flux (informations sur le débit) Le multiplexage des messages C ’est le CONTRÔLE DE BOUT EN BOUT Fin de la vue

  19. La couche réseau La couche n°3 s ’occupe de la circulation des messages (chemin le plus court), et de leur distribution. C ’est: LE ROUTAGE L ’ADRESSAGE LA SEGMENTATION Fin de la vue

  20. La couche liaison La couche n°2 établit le lien entre le système d ’exploitation et le média utilisé (câble…) représenté par son interface physique, la carte réseau. Elle connaît les adresses physiques des NIC (Network Interface Card ou carte réseau) qui sont, pour chacune, unique au monde. Elle réalise aussi une détection d ’erreurs. C ’est : LE DRIVER DE LA CARTE RESEAU L ’ADRESSAGE M.A.C. (Média Access Control) Fin de la vue

  21. La notion de protocole A chacune des couches, est dévolue la responsabilité d ’assurer différentes fonctions dont l ’essentiel a été indiqué dans les vues précédentes. Dans le but d ’assurer ces fonctions on va établir, pour chacune des couches, une succession d ’actions ou procédures à accomplir. Ceci se nomme un « protocole ». L ’ensemble des protocoles définis pour les 7 couches d ’un système, se nomme « pile de protocoles ». Les différents acteurs du marché (universités, constructeurs, organismes publics…) ont construits leur propre système et donc leur propre pile de protocoles correspondant plus ou moins au modèle de référence OSI. Certaines piles de protocoles ou certains protocoles se sont généralisés et sont, de ce fait, devenus ce qu ’on appelle des standards (ex.: TCP/IP), d ’autres, malgré leur importance certaines fois, sont considérés comme propriétaires (ex.: SNA d ’IBM). Généralement l ’utilisation des systèmes propriétaires induit le paiement d ’une licence. Fin de la vue

  22. Les systèmes intermédiaires Quand deux systèmes doivent communiquer, il est nécessaire qu ’ils parlent le même langage. C ’est à dire qu ’à chaque couche, soit utilisée de part et d ’autre la même pile de protocoles. Sinon, il est nécessaire d ’implanter entre les deux systèmes un élément traducteur. LE SYSTEME INTERMEDIAIRE Les différents cas qui peuvent se présenter sont traités dans les vues suivantes. On en montre, pour chacun d ’entre eux, le principe; le détail du fonctionnement n ’est montré uniquement pour le routeur, il suit le même principe dans les autres cas. Fin de la vue

  23. Les S.I. couche 3 Système émetteur Système récepteur Dans ce schéma, on voit que les deux systèmes ne se différencient qu ’au niveau des couches : Liaison et Physique (couleurs différentes) Application Application Présentation Présentation Session Session Transport Transport La couche physique du système récepteur (jaune clair) ne « comprend » pas l ’en-tête issu de la couche physique du système émetteur (jaune paille). La communication est impossible. Réseau Réseau Liaison Liaison Physique Physique Fin de la vue

  24. Le routeur Système émetteur Système récepteur La solution est d ’installer un système intermédiaire qui permettra aux deux systèmes de dialoguer au niveau de la première couche commune (la couche réseau) en « traduisant » les couches se différenciant. Application Application Présentation Présentation Session Session Transport Transport Réseau Réseau Réseau Réseau Liaison Liaison Liaison Liaison Physique Physique Physique Physique Fin de la vue

  25. Fonctionnement du routeur côté émission Couches du Système émetteur A Data émission routeur P Data S Data Suite: diapo suivante T Data R Data Data L Data Data P Data Data encapsulation démultiplexage Fin de la vue

  26. Fonctionnement du routeur côté réception Couches du système récepteur Data A routeur Data P Data S Data T Data Data R Data Data L Data Data P encapsulation démultiplexage Fin de la vue

  27. Les S.I. couche 2 Système émetteur Système récepteur Dans ce schéma, on voit que les deux systèmes ne se différencient qu ’au niveau de la couche : Physique (couleurs différentes) Application Application Présentation Présentation Session Session Transport Transport La couche physique du système récepteur (jaune clair) ne « comprend » pas l ’en-tête issu de la couche physique du système émetteur (jaune paille). La communication est impossible. Réseau Réseau Liaison Liaison Physique Physique Fin de la vue

  28. Le pont Système émetteur Système récepteur La solution est d ’installer un système intermédiaire qui permettra aux deux systèmes de dialoguer au niveau de la première couche commune (la couche liaison en « traduisant » les couches se différenciant. Application Application Présentation Présentation Session Session Transport Transport Réseau Réseau Liaison Liaison Liaison Liaison Physique Physique Physique Physique Fin de la vue

  29. Les S.I. couche 1 Système émetteur Système récepteur Dans ce schéma, on voit que les deux systèmes ne se différencient pas. Au delà d ’une certaine longueur de câble, le problème qui se pose est l ’atténuation du signal électrique qui devient alors « inaudible ». La communication sera perturbée ou interrompue. Application Application Présentation Présentation Session Session Transport Transport Réseau Réseau Liaison Liaison Physique Physique Fin de la vue

  30. Le répéteur Système émetteur Système récepteur La solution est d ’installer un système intermédiaire qui permettra aux deux systèmes de dialoguer au niveau de la première couche commune (la couche physique) en régénérant le signal électrique. Application Application Présentation Présentation Session Session Transport Transport Réseau Réseau Liaison Liaison Physique Physique Physique Physique Fin de la vue

  31. Un cas particulierLa passerelle Dés que la différence se situe au niveau d ’une couche supérieure à la couche 3 (réseau), le système intermédiaire est une PASSERELLE (GATEWAY) Du point de vue du vocabulaire, il est bon que chaque chose porte un nom et réciproquement. Il faut savoir que ce n ’est pas le cas en ce qui concerne la passerelle. Que ce soit en français ou en anglais, il n ’est pas rare de voir ce terme utilisé soit pour une passerelle (au sens défini ici), soit pour tout autre système intermédiaire (en particulier le routeur). Fin de la vue

  32. La pile SNA « Systems Network Architecture » est l ’architecture réseau propriétaire d ’IBM. Elle fut créée en 1974 et devint l ’architecture réseau la plus complexe,la plus complète et celle qui fut la plus largement utilisée. SNA fut la première a servir de base au modèle OSI apparu 10 ans plus tard. Fin de la vue

  33. SNA et OSI Transaction services Application Présentation Services Présentation Session Data Flow Control Transport Transmission Control Réseau Path Control Liaison Data Link Physique Physique Fin de la vue

  34. Plan des diapositives • Les couches OSI • Le principe du routeur • Le fonctionnement du routeur • Retour à la vue en cours Fin de la vue

More Related