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On ne pratique pas la plume de bois !!!. Né au mois de novembre 2009, l’atelier écriture s’est réuni tous les jeudis entre 12H45 et 13H25.
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Né au mois de novembre 2009, l’atelier écriture s’est réuni tous les jeudis entre 12H45 et 13H25. • Sans ambition particulière pour la première année, se nourrissant des désirs d’écrire d’une douzaine d’élèves inspirés, l’atelier est fier de vous présenter l’ensemble des textes écrits sous la forme de ce diaporama. • Plus de la moitié de ces textes ont été présentés lors du 20ème anniversaire de l’exposition VarietasFlorum, célébrant la naissance de la rose de Saint-Sever ; ceci explique la thématique de la rose présente dans de nombreux textes. • Bonne lecture. Et à l’an prochain pour tous ceux qui ne pratiquent pas la plume de bois !
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Les Haïkus Poèmes courts d’origine japonaise formés de 3 vers.
La Nipponne à la tasse Dans ses cheveux noirs Brille la rose pourpre De la Nipponne à la tasse minijackson
Vive la rose! Senteur du printemps Les abeilles sur les fleurs Vive la rose ! Minijackson
Senteur et douceur Parfum d’une rose Douceur d’un papier Je tire la chasse Anaïs
Dans la jeune rosée Dans la jeune rosée S’ouvre le cœur d’une rose, Bordée de gouttes Laurine Sauwens
Au zoo Accroché aux barreaux de ma cage au zoo Grimaçant et gesticulant pour que je le voie L’homme est source de rire Alaury Orliange & Marine Spatafora
Je veux être comme lui Vert, grand et feuillu Avec son gigantesque tronc Voilà Géant Vert Marine Spatafora & Alaury Orliange
Les Nouvelles Récits courts se terminant souvent par une chute.
La fortune cachée Il était une fois, un vieil homme qui était fort pauvre. Ce monsieur avait soixante dix-sept ans et ne voulait pas arrêter de travailler car sinon il ne pourrait plus subvenir aux besoins de sa famille. Sa femme était mourante et avait besoin de beaucoup de soins. Ces vieillards ne s’entendaient pas avec leurs trois enfants qui n’avaient jamais voulu les aider quand les moments difficiles arrivaient. Un jour alors que le vieillard allait à la pharmacie acheter les cachets de sa femme, il trouva un papier en bordure de route, un papier particulier. C’était un ticket gagnant à un jeu d’argent. Il y avait trois cents milliards de francs à gagner. Le vieillard se crut sorti de tout problème d’argent et crut qu’il pourrait payer l’opération pour que sa femme aille mieux. Le vieillard alla chercher sa bourse. Il entra chez lui, fit faire des travaux à sa maison qui tombait en ruines, paya l’opération de sa femme. La nouvelle de cet argent trouvé passa dans le journal du village, et un jour les vieillards virent arriver leurs enfants qui tout d’un coup n’avaient plus d’argent et qui aimaient soudain beaucoup leurs parents. Le vieil homme ne voulant rien leur refuser leur donna une somme égale à chacun. Un beau jour les vieillards virent arriver des notaires pour saisir leurs biens car le billet gagnant ne leur appartenait pas. Les vieillards se virent encore dans l’embarras financièrement et leurs enfants les abandonnèrent une fois de plus. Les pauvres vieux moururent et les enfants refusèrent l’héritage. Même si, sur un compte à part, il y avait quelques millions de francs. Ludovic Cuzacq
Allez de l’avant Octobre 2009, le jour de mes 19ans, l’orage grondait ; tout se passait comme d’habitude mais, alors que je dansais avec ma sœur, je vis mes parents qui avaient l’air à bout de nerfs. J’étais triste de les voir ainsi, mais je ne pouvais rien faire. Le lendemain, vers 8 heures, je descendis préparer le petit-déjeuner. Puis, comme je n’entendais aucun bruit, je fus curieuse de voir comment mes parents allaient, car, cela faisait deux semaines qu’ils ne fermaient pas l’œil de la nuit. Je regardais, la porte était entre-ouverte comme à son habitude, ce qui me sembla tout à fait normal. Mais, tout à coup, je hurlai dans la maison ; je ne pouvais m’arrêter car ma peine était si grande… Je venais d’apercevoir mes parents allongés sur leur lit ; sur la table de nuit gisait une bouteille dans laquelle se trouvaient des extraits de la Palista (cette rose de couleur or mais mortelle, un seul de ses pétales vous faisant mourir en deux secondes) et une lettre sur laquelle était écrit à l’encre noire :
« Mes chéries, Nous savons que ces derniers temps, nous n’étions pas beaucoup avec vous, car des tonnes de problèmes s’abattaient sur nous. La seule solution pour que vous soyez heureuses et en sécurité était ce poison. Nous nous excusons de vous causer ce chagrin, mais cela ne pouvait plus durer. Nous vous aimons. Prenez soin de vous. Bisous Maman et papa qui vous aiment plus que tout »
Je me dis que cela n’était pas possible, alors je posai la lettre, écoutai leur cœur, mais aucun petit souffle n’était là. Je compris alors que mes parents avaient de gros problèmes et que le seul moyen qu’ils avaient envisagé pour qu’on soit heureuses et en sécurité était de partir. Je fus très triste certes, mais je me dis qu’au fond nos parents nous aimaient vraiment beaucoup. Je me demandai cependant comment j’allais m’occuper de ma sœur et qui nous donnerait de l’argent pour vivre. Peu de temps après, ma sœur se réveilla ; je montai la voir et elle me demanda où étaient maman et papa. Alors, même si je n’avais pas envie, je fus obligée de lui dire la vérité. Les mots avaient du mal à sortir, tant ma détresse était grande.
Quelques jours passèrent, les amis, les voisins et la famille s’occupèrent de l’enterrement de nos parents qui se déroula le jeudi. La famille resta un laps de temps pour nous soutenir. Après leur départ le dimanche soir, nous nous couchâmes : cela faisait une semaine que nous n’avions pas fermé l’œil de la nuit, car les savoir à côté de nous faisait remonter tous les souvenirs, et nos larmes. Ils nous avaient aidés à surmonter cette épreuve douloureuse de la vie. Le lundi, ma sœur se réveilla, cela faisait bizarre car cela était la première fois que nous nous retrouvions seules, toutes les deux. Une discussion s’imposa avec ma sœur, elle était petite mais je voulais qu’elle comprenne qu’il fallait continuer, en lui expliquant que c’est ce que papa et maman auraient voulu. Après la discussion avec ma sœur, nous descendîmes prendre le petit déjeuner. J’installai alors ma sœur devant la télévision pendant que je finissais mes tartines.
Puis, j’appelai ma meilleure amie car j’avais besoin de me confier et d’être réconfortée aussi. Elle vint ; lui parler m’avait considérablement soulagée. Le lendemain, j’amenai ma sœur à la maternelle car la pauvre enfant n’avait que cinq ans ; j’allai essayer de trouver du travail pour pouvoir nous payer les choses indispensables. J’allai donc chez le notaire qui nous aiderait à acheter une maison beaucoup plus petite car notre maison était bien trop grande, et nous avions besoin de changer d’air. Je partis ensuite dans une agence immobilière et je vis une petite maison près de nos deux écoles ce qui était avantageux ; il y avait aussi un petit bout de jardin, il suffisait juste de trouver l’argent nécessaire. Je sortis et allai tenter ma chance à l’Euro millions. Une semaine plus tard j’appris à la télévision que je venais de gagner seize millions d’euros. J’étais si heureuse ! Avec ma sœur j’allais pouvoir recommencer une nouvelle vie en achetant cette petite maison et je pourrais lui offrir plein de choses pour Noël.
Un mois plus tard je signai le contrat pour la maison, il fallait au plus vite aménager car le souvenir de nos parents était là et réduisait nos moments de bonheur.Je demandai un coup de main à tous mes amis, et tous vinrent sans exception ce qui me toucha énormément ; tous les jours pendant une semaine après les cours ils vinrent m’aider à transporter les meubles et à déballer les cartons.Je pus donc m’installer une semaine plus tard dans ma nouvelle petite maison, où, j’espérais que nous serions heureuses.Noël passa, ma sœur reçut plein de cadeaux, ses yeux brillaient devant toutes ces merveilles que j’avais gagnées à l’Euro millions.Les fêtes passées avec nos amis nous rendirent fortes.Mais ce qui rend plus fort encore, c’est de voir toute la solidarité qu’il y eut au bout de cette aventure.Anaïs
La jeune fille et ses amis • On raconte que dans un collège de 396 collégiens, il y avait une jeune fille qui se prénommait Flora. Elle était une bonne élève jusqu’à qu’elle ait un problème : tout le monde se mit à la détester car elle avait une mauvaise réputation à cause de son frère. Elle était pourtant très gentille et très jolie. Elle avait des amies extraordinaires : Marie, Laure, Chloé, Marion, …. Elles étaient toujours là pour la soutenir quand elle avait des soucis. • Quand elle rentrait chez elle, ses parents n’étaient jamais là, car ils travaillaient tard le soir ; sa mère était employée commerciale et son père informaticien. C’était toujours elle qui s’occupait de la maison, des repas, du ménage… Ses parents ne s’occupaient jamais de Flora. Elle était triste tous les jours. Mais elle n’était pas comme les autres. Elle avait une voix magnifique, comme une douce mélodie. Elle voulait participer à la chorale, mais avait peur que tout le monde se moque d’elle. Mais elle voulait accomplir son rêve le plus cher, elle voulait absolument qu’on entende sa voix. Alors, elle décida de se présenter à la chorale pour le spectacle de fin d’année.
Elle repartit en cours le lendemain, et lut l’affiche que sa pire ennemie était déjà inscrite à la chorale. Elle n’était pas contente ; mais au moins, et cela rattrapait largement le reste, il y avait celui qu’elle aimait, Gabriel. Flora et Emilie aimaient toutes les deux Gabriel, une guerre les séparait. Mais Gabriel préférait Flora à Emilie car celle-ci était égoïste et méchante. • Le spectacle était deux jours plus tard et Flora avait hâte d’y être. Elle chanterait trois chansons avec ses amis. • Mais quand elle rentra chez elle, ses parents lui dirent qu’ils déménageraient à cause de leur travail ; elle était désolée, mais elle n’avait pas le choix. Donc elle ne pourrait pas chanter pour le spectacle car elle s’en irait au même moment. Elle était triste mais elle se disait que quelqu’un allait la remplacer. Alors elle prévint ses amis qu’elle ne viendrait pas et qu’elle ferait ses adieux, même à Gabriel. Il lui fit un signe de la main et elle s’en alla rejoindre ses parents. Quant à Emilie, elle était ravie que Flora parte enfin de cette ville et qu’elle ait Gabriel pour elle toute seule. Mais lui s’en moquait, il voulait absolument que Flora reste là, et chante, pour la dernière fois. Alors, il se décida à aller chercher Flora pour participe au spectacle.
Au moment où Flora allait partir, et où elle regardait une dernière fois sa maison et sa ville, le garçon de ses rêves apparut ! Elle n’en croyait pas ses yeux. • « Qu’est-ce que tu fais ici ? lui demanda-t-elle. • - Je veux que tu restes ! répondit Gabriel, essoufflé. Je veux t’entendre chanter pour le spectacle, pour tes amis et pour moi. S’il te plaît …» • Alors elle décida d’y aller pour lui. • Elle laissa dans la voiture une lettre pour que ses parents sachent où elle était. • Lorsqu’elle entonna sa première chanson avec son amie Laure, tout le monde avait les yeux fixés sur Flora tant sa voix était magnifique et mélodieuse. Ses parents écoutèrent leur fille avec attention, et décidèrent de s’en occuper un peu plus et de travailler un peu moins.
Et Gabriel était tellement fou de joie qu’il tomba amoureux d’elle, si bien qu’il ne se rendit pas compte qu’il y avait Emilie qui était en train de lui parler ! Mais il s’en moquait, il était à l’écoute de la chanson de Flora et Laure… • Quand le spectacle fut fini, Flora était contente que tout le monde ait apprécié sa chanson avec Laure (et Marie). • Elle alla embrasser ses parents et ses amis, et surtout Gabriel qui lui sauta dans les brase. Elle le remercia et l’embrassa. A présent tout se déroulait à merveille car ses parents ne déménageaient plus, tout le collège l’aimait bien et elle sortit avec Gabriel pour de bon. • Mais ceci est une autre histoire !
Carnet rose ou Les filles naissent-elles dans les roses ? Mr et Mrs Hale étaient dans la salle de travail. Mrs Georgina Hale était en train d’accoucher. Quelques minutes plus tard une magnifique petite fille vint au monde. Georgina et Alfred cherchaient désespérément un prénom pour leur fille. Ils cherchèrent pendant trois jours et trois nuits. Le quatrième jour de la petite fille était déjà bien entamé quand Alfred apporta des roses à sa femme. Georgina les trouva magnifiques, d’une beauté égale à celle de sa fille : Le rouge des roses rappelant les joues rougies de bonheur du bébé, les pétales offrant la même texture que la peau de la petite, le cœur de la fleur reflétant ses yeux de nourrisson. Georgina prit sa fille dans ses bras et lui murmura : • Tu t’appelleras Rosalie Esmée Hale. Marina Roussel
La rose rouge • Tout commence dans une jolie maison des quartiers riches, où tout les gens roulent dans de belles voitures et vivent sans soucis. Dans ce quartier vit une jeune fille du nom de Rose Sermony.. Rose est une jeune fille du quartier-sud, dans la maison n°15. • Rose adorait les chats, les enfants et son collège privé, le collège privé de Richard Hamstink. Quand Rose allait dans son collège, il y avait ses amies des quartiers est, nord et ouest. • Ses amies étaient Marguerite Darienne (quartier nord maison n°14), Violette Faborye (quartier est maison n°16) et Fleur Broche (quartier ouest maison n°17). • Elles étaient toutes les quatre les plus célèbres du quartier et du collège car elles étaient sorties avec plus de dix garçons en moins d’un an, mais elles ne trouvaient jamais l’amour véritable. • Chez Rose, l’amour était le principal atout chez une jeune fille et elle en avait besoin. Rose remarqua un jour un jeune garçon qui lui plut fortement. • Elle s’empressa de passer devant lui et de lui dire bonjour mais le garçon ne la remarqua pas. En fait, le garçon était très timide et dés qu’une personne s’approchait de lui, il rebroussait chemin. Rose s’empressa de dire à ses amies sa découverte d’un nouvel amour et qu’elle avait fait des recherches approfondies sur ce garçon et voici ce qu’elle avait imprimé : Prénom : Valentin Age : 15 ans Nom : Bosquet Adresse : Quartier-centre maison n°14
Ceci dit, elle finissait les cours et se dépêcha de monter dans le même bus que Valentin Bosquet, juste à côté de lui. Elle lui dit alors : « Salut, ça va ? » • Valentin ne répondit pas, alors Rose lui dit pour le rassurer : « Tu sais moi aussi je suis très timide mais il faut que tu apprennes à parler aux autres. » Valentin, rassuré, lui répondit : « Mer…merci beaucoup, comment tu t’appelles ? -Rose Sermony, enchantée ! Et toi ? dit-elle avec enthousiasme. -Valentin Bosquet ! Enchanté aussi ! » dit-il en regardant Rose dans les yeux. • Rose lui demanda, impatiente : « Où est-ce que tu habites ? -Dans le quartier-centre à la maison n°14. Et toi ? lui demanda Valentin. -C’est dingue ! J’habite dans le quartier sud à la maison n°15 ! s’exclama Rose. -C’est super cool ! Pour une fois que j’ai trouvé une amie ! dit Valentin en rougissant. • Mais Rose n’eut pas le temps de répondre car le bus venait d’arriver au quartier-sud. • Rose et Valentin se donnèrent rendez-vous au lendemain et se regardèrent une dernière fois dans les yeux. • Rose se retourna pour rentrer chez elle et murmura : « Yes ! ».
Le lendemain matin, Rose dormait paisiblement dans son lit quand tout à coup, sa mère cria : « Rose !! Tu es en retard au collège !!! » • Rose se réveilla en sursaut et regarda son réveil : 8h30.Elle se dépêcha de s’habiller et partit en courant comme une folle. C’était la première fois qu’elle était en retard. Elle se dit que c’est sûrement à cause de la veille et de sa rencontre avec Valentin Bosquet. Arrivée au collège à 8h55, elle prit une retenue car elle aurait dû avoir contrôle général parce que des garçons de sa classe avaient insulté le prof de maths ; ils avaient dû calculer la masse d’un polygone dix fois. • L’heure de la récré venue, elle expliqua son aventure de la veille et du matin à ses amies. « Hé bien tu en as de la chance !! dit Marguerite en prenant les mains de Rose. -Parle pour toi, elle s’est pris une retenue ! coupa Violette. - Rose a de la chance d’avoir trouvé un futur mec et pas de s’être pris une colle, cria Fleur, la plus intelligente du groupe. -Je suis super contente et super déprimée, ça vous va les filles ?? s’esclaffa Rose, qui en avait assez de voir ses amies se disputer. -Oui ! » répondirent-elles en chœur. • Un instant de silence… • Soudain, Marguerite donna un coup de coude à Rose : « Eh Rose, regarde qui arrive pour te dire bonjour ! » • Effectivement, Valentin Bosquet s’approchait de Rose pour lui dire bonjour. « Salut les filles, salut Rose, dit-il en rougissant.
Les amies de Rose lui lancèrent un regard soupçonneux : « Salut Valentin ! Rose nous a beaucoup parlé de toi. » • Rose donna un coup de coude à Marguerite qui bouscula Fleur qui bouscula Violette à son tour. • Valentin laissa un petit rire s’échapper et dit à Rose : • « Euh Rose, dans deux jours, c’est la fête du collège. Il y aura des slows alors je voulais te demander si tu voulais être ma partenaire de danse ? • -Bien sûr, pourquoi pas ! Ce serait amusant d’y aller avec toi ! répondit-elle très joyeuse. • - Ok ! Vivement dans deux jours alors ! dit-il en rougissant. • - Oui, vivement ! » murmura Rose en rougissant à son tour. Les deux amis se regardèrent une dernière fois dans les yeux et partirent en cours. • Le jour tant attendu est arrivé. C’est le dernier jour de collège ! • Décorations, boissons, gâteaux, micros, et jeux toutes la journée ! • Rose mit sa plus belle tenue d’été pour l’occasion et pour le soir, sa plus belle robe rouge à paillettes. Valentin mit un tee-shirt blanc et rouge psychédélique, un jean à la mode et pour le soir, son plus beau smoking. • Le soir venu, Rose et Valentin se partagèrent leurs boissons et leurs chips. Rose devait chanter « un amour pour toujours » devant tout le collège, elle avait le trac, peur de faire de fausses notes, angoissée à l’idée de chanter devant cinq cents personnes.
Les deux amis se regardèrent une dernière fois dans les yeux et partirent en cours. • Le jour tant attendu était arrivé. C’était le dernier jour de collège ! • Décorations, boissons, gâteaux, micros, et jeux toute la journée ! • Rose mit sa plus belle tenue d’été pour l’occasion et pour le soir, sa plus belle robe rouge à paillettes. Valentin mit un tee-shirt blanc et rouge psychédélique et un jean à la mode et pour le soir, son plus beau smoking. • Le soir venu, Rose et Valentin se partagèrent leurs boissons et leurs chips. Rose devait chanter « un amour pour toujours » devant tout le collège, elle avait le trac, peur de faire de fausses notes, angoissée à l’idée de chanter devant cinq cents personnes. • « Ne t’inquiète pas Rose, tu n’auras qu’à me regarder pendant que tu chanteras., dit Valentin qui voulait rassurer sa copine. - Merci Valentin. Tu sais, je… » Mais Rose n’eut pas le temps de finir sa phrase car le metteur en scène l’appela pour monter sur scène. Rose, pour se calmer, regarda Valentin et se calma aussitôt.
La chanson se termina et l’heure des slows arriva. Rose et Valentin se regardèrent dans les yeux et commencèrent à danser. Ils étaient en plein milieu de la scène, prêts à enflammer la piste de danse. Le bal terminé, Rose et Valentin se dirent au revoir. « -Euh, Valentin, je voulais te dire que… » Mais la mère de Rose l’appela pour rentrer à la maison car, le lendemain, ils devaient partir dans un hôtel luxueux au bord de la mer. Valentin lui dit avec désolation : «Ce n’est pas grave Rose, tu me diras ça un autre jour. Allez, à plus tard ! » Rose était un peu triste et lui répondit tout bas : « Oui… à plus tard. » Rose rentra chez elle, déçue de ne pas avoir dit à Valentin ses sentiments pour lui depuis le début. Pendant le voyage, elle se sentie délaissée, seule et complètement perdue. La jeunesse est remplie d’amour, d’espoir et d’ennuis. Ces trois choses étaient enfouies dans Rose, très loin dans un coin sombre de son cœur. La petite famille Sermony était arrivée à l’hôtel qui paraissait à Rose très charmant. Elle s’empressa de mettre son maillot et d’aller se baigner. vagues semblaient l’accueillir en la caressant avec des petites vaguelettes. Rose trouvait cela très agréable. Elle ne sortit de l’eau qu’au coucher du soleil. Pendant le dîner, elle demanda à sa mère :
«Maman, si tu étais à ma place, tu laisserais tout tomber pour un garçon ? • Madame Sermony répondit à sa fille avec un petit sourire : - Ma chérie, il faut avant tout que tu sois sûre que ce garçon t’aime et t’écoute. C’est comme ça que j’ai rencontré ton père et que nous t’avons eue... » • Rose coupa sa mère et hurla : « Pitié maman, ne me raconte pas ce passage, ça me dégoûte ! » • Madame Sermony pouffa : « D’accord, mais c’est l’heure d’aller au lit. Bonne nuit ma chérie ! » • Rose se mit au lit et repensa aux dernières heures qui lui avaient été données de vivre. • Le lendemain, elle se réveilla la tête pleine d’images de Valentin. Elle essaya de pensait à autre chose mais elle n’y arriva pas. Elle mit son maillot et plongea dans l’eau. Mais elle n’y resta pas longtemps car sa mère l’appelait car elle avait reçu une lettre. Une lettre de Valentin ! • Elle s’empressa de l’ouvrir et vit une magnifique rose rouge. Elle lut la lettre : Chère Rose, J’espère que tes vacances se passent bien. Moi, je ne suis pas loin de toi, je suis juste sur la montagne à côté de la mer. Elle est bien enneigée, tout est super mais il manque quelque chose. Je pense que ce qu’il manque, c’est ta présence. Oui, je suis amoureux de toi. Depuis que je t’ai vu, je n’ai cessé de penser à toi. C’est comme si ton image ne voulait pas partir. Ta beauté est incroyable et c’est ça qui m’a fait tomber amoureux de toi. Cette rose rouge est un cadeau exceptionnel, car elle préserve l’amour entre deux personnes. J’espère que tu penses à moi autant que je pense à toi. Je t’aime énormément, Valentin.
Rose resta la tête en l’air et s’assit sur le sable. Tout ce qu’elle espérait devenait réalité ! Elle s’allongea et cria à s’en vider les poumons : Ouais !!! • Elle avait une folle envie de revoir Valentin. Mais sa mère ne permettrait pas qu’elle aille sur la montagne. Mais c’est comme si son corps voulait courir vers le bien-aimé. • Elle concocta un plan et retourna dans sa chambre d’hôtel. • La nuit, elle prépara un sac, des vêtements chauds, des couvertures, de la nourriture et la rose rouge. Rose prévoyait de rejoindre Valentin sur la montagne ! • Mais le problème, c’est qu’elle ne savait pas du tout où se trouvait l’endroit où Valentin habitait ! • Elle prit un morceau de papier, écrivit un mot pour ses parents et prit la route. • La nuit était froide et inquiétante, Rose en eut la chair de poule. Elle prit une couverture et s’endormit. Le lendemain, elle vit la montagne et reprit espoir. • Lorsque Rose se trouva au pied de celle-ci, elle vit une personne minuscule se promener dans la neige. Mais pour Rose, courir dans la neige pour rejoindre cette personne s’avérait difficile. Elle tomba à plusieurs reprises et ne vit plus la personne. Plusieurs minutes après, elle avait gravi la moitié de la montagne. Mais au loin, elle aperçut une tempête de neige qui arrivait droit vers elle. Elle vit une grotte et s’y installa. Elle n’aurait jamais pensé que cette aventure terminerait dans une tempête !
Soudain, elle entendit un bruit qui venait du fond de la grotte. Rose se crispa de peur, peur de voir une bête sortir et l’attaquer. • Mais ce qu’elle pensait être une bête était un humain ! Et cet humain était… Valentin ! « Valentin ?! dit-elle avec stupéfaction. -Rose ?! Mais qu’est ce que tu fais ici ? » lui demanda-t-il. • Rose lui dit, le cœur empli d’amour : « Je voulais absolument te voir après avoir lu ta lettre ! Et toi, que fais-tu ici ? » • Valentin lui expliqua sa situation : « Je faisais une randonnée et j’ai été pris de plein fouet par la tempête... » • Mais leur conversation fut stoppée par un bruit sourd venant de la montagne. Effectivement, la tempête avait causé une avalanche qui ensevelit Valentin et Rose. • La neige avait bloqué l’entrée de la grotte et les deux adolescents ! • L’inquiétude les envahit. Rose avait fermé les yeux et lorsqu’elle les rouvrit, elle avait sauté dans les bras de Valentin. Elle se recula rapidement et regarda l’ancienne entrée de la grotte. La température de leur combinaison commençait à chuter. • Valentin avoua à Rose : « Rose, je suis extrêmement heureux de te voir ! Mais nous voilà dans une grotte et nous ne pouvons plus sortir. Si tu n’étais pas venue, il n’y aurait que moi coincé dans cette grotte ! » • Rose devint toute rouge et baissa la tête : «Oui mais je préfère être avec toi plutôt que de te laisser mourir de froid tout seul !
Ils se regardèrent un court instant et avancèrent vers la masse de neige qui bloquait l’entrée. • Valentin eut une idée : «Et si on essayait de creuser ? -Bonne idée ! Faisons vite, je veux sortir d’ici à tout prix ! s’exclama Rose. • Et de leurs mains froides, ils commencèrent à creuser et à creuser mais la neige qu’ils enlevaient était automatiquement remplacée par la neige d’au-dessus. • Rose et Valentin s’assirent dans un coin de la grotte en claquant des dents. Un peu plus tard, la grotte était devenue si glaciale que les deux jeunes pensèrent qu’ils étaient perdus. « Je pp…pense que c’est la ff…fin pour nous deux. Tu sais Rose, je t’ai aimée et je t’aimerai toujours. Tu vas énormément me manquer, » dit Valentin en claquant des dents. • Rose lui répondit : « La première ff…fois que je t’ai vv…vu, j’ai su que nous mourrions ensemble mais peut-être pp…pas de cette manière … » • Et comme dernier signe d’adieu, ils s’embrassèrent de leurs lèvres glacées. Et c’est alors qu’ils entendirent un genre de moteur et la barrière de neige s’écroula vers les adolescents effrayés. • Il s’agissait d’un chasse neige conduit par un homme de la police et derrière ce chasse neige, étaient regroupés les parents de Valentin, la mère de Rose et plusieurs policiers. « Maman ! Comment avez-vous fait pour nous retrouver?
Madame Sermony dit à sa fille : « Grâce à ton mot, j’ai tout de suite appelé les parents de Valentin et ils m’ont dit que leur fils était parti pour la montagne, et juste avant j’ai vu qu’il y aurait une tempête. Alors je suis allée jusqu’à leur chalet et on a prévenu la police. » • Rose se jeta dans les bras de sa mère. Mais elle et Valentin devaient partir à l’hôpital car ils étaient en état d‘hypothermie. • Plusieurs semaines plus tard, ils étaient toujours ensemble et toujours aussi heureux. Pendant que les deux adolescents étaient à l’hôpital, la mère de Rose avait ramassé la rose rouge qui était dans le sac et l’avait mise dans un vase. L’histoire des deux adolescents piégés avait fait le tour du monde et tout le monde connaissait Valentin et Rose les deux amoureux intrépides. • Depuis ce jour, la rose rouge de l’amour continuait toujours de vivre, même par la plus accablante des chaleurs d’été, même par le plus glacial des hivers, elle était toujours resplendissante et d’un rouge si vif que cela signifiait que l’amour de Rose et Valentin ne s’éteindrait jamais. Célia Benoist
Je suis unique, comme celui qui m’a donné son nom. Je n’ai que deux épines dont je ne me sers que pour me défendre occasionnellement contre les parasites (pucerons paparazzis !). Malheureusement, la plupart du temps, je me referme sur moi-même, mes pétales étant mon cocon protecteur. Mon cycle est très particulier : je naquis noire et maintenant je suis blanche. Ce n’est que la nuit que je me révèle car je ne veux pas reprendre ma couleur initiale. Lorsque la lune se lève, sa lumière fait scintiller le bout d’une de mes épines. Alors seulement, j’entame mon spectacle, avec juste les étoiles comme témoins. La lune paraît nouvelle, plus vivante, quand je commence à glisser, faisant le pas de la lune.
Mon pas, plutôt son pas, était célèbre. Le moonwalk, vous en avez certainement entendu parler. Bientôt, d’ autres fleurs se joignent à moi et mon pas se transforme en danse dont nous sommes les seules à entendre la musique. Quand le soleil se lève, les gens de passage m’admirent et d’autres me méprisent, tout comme les fleurs d’ailleurs. Certaines sont jalouses de mon talent et je suis tombé plusieurs fois sous le poids de leur mépris. Mais grâce au soutien de beaucoup d’autres végétaux et à ma volonté de fer, j’ai toujours réussi à me relever pour aller vers de nouvelles choses admirables. Je continuerai à briller de par le nom de Michael Jackson. Oui… Je suis la rose de Michael Jackson.
Lelangagedesroses • Nous sommes le 3 janvier 1989, j’ai 36 ans et j’aime fortement mon épouse et mes trois enfants. Je suis riche mais je n’aime pas le montrer car je trouve ça honteux … mais là n’est pas le sujet. Ce que je préfère le plus c’est de faire plaisir à ma petite famille qui à mes yeux est la plus belle. • Comme tous les matins et sans exception je pars en vélo acheter des roses à ma femme, bien sûr ce sont ses fleurs préférées, par contre à mes enfants je ne vais pas leur offrir des roses. Donc je les gâte en leur achetant tout ce qu’ils veulent au moment voulu, même si ce n’est pas bien pour leur éducation. Ma femme aime beaucoup la couleur et donc je lui achète des roses de différentes couleurs tous les jours !!! Des roses pour lui dire à quel point je l’aime, des jaunes pour lui dire à quel point je tiens à elle, des violettes pour lui dire à quel point elle est belle, des bleues pour lui dire que ses yeux sont les plus beaux …
Le journal de Mégane Les Journaux Intimes De caractère autobiographique, le journal intime permet à son auteur de confier son quotidien, ses sentiments…
Dimanche 14 février 2009 • Petit journal, je m’appelle Mégane, j’ai presque 15 ans. Je n’ai jamais encore écrit dans un journal alors je ne sais pas trop comment m’y prendre, mais j’ai pour but de t’écrire pour pouvoir avoir quelqu’un à qui parler, quelqu’un qui ne répétera rien à personne et surtout pour que je puisse comme “vider“ mes pensées. J’ai déjà essayé de le faire en me parlant à moi-même mais je me faisais souvent avoir et cela commençait à peser sur ma réputation !!! Si pendant plusieurs jours je ne te sors pas de ta cachette ce sera sûrement parce que je n’ai pas le temps, que je suis trop fatiguée ou qu’il n’y a rien de nouveau à raconter. Alors ne te sens pas abandonné. Je fais des études pour plus tard être ingénieur. Il faut que je te dise aussi que j’ai un faible pour les difficultés du monde. Par exemple je fais partie d’une association pour les jeunes qui aident les petits Africains et je compte bien plus tard monter plusieurs associations pour plusieurs causes différentes (la famine, les maladies, la pauvreté…) Il est tard, je te laisse, je te présenterai ma famille demain.
Lundi 15 février 2009 • Salut ! Tu sais, aujourd'hui à la cantine, j’ai mangé avec Julien (l’homme de ma vie !!). Oui je sais ce n’est pas très intelligent mais c’est seulement la deuxième fois de l’année. Mais tu vas vite remarquer que je change souvent. Ma mère m’appelle même « cœur d’artichaut »… Je t’avais dit que je te parlerais de ma famille alors je vais le faire : j’ai un grand frère, Kevin, que j’adore, il est toujours là pour moi. Ma mère s’appelle Josiane et mon beau père Alain. Mon père est décédé il y a bientôt un an et il se nommait Pascal, je l’aimais plus que tout au monde. En fait, il a été assassiné, mais je ne sais pas comment. J’ai essayé de me renseigner, mais la police dit que c’est confidentiel et ma mère ne veut pas m’en parler. Mon frère, lui, dit qu’il ne sait rien. Tu sais, tous les soirs je lui parle à mon père, et ça me soulage. Mon beau père en revanche, je ne l’aime pas. Il a pris la place de mon père et je ne l’accepte pas. J’ai aussi longtemps reproché à ma mère de s’être mise avec cet homme. Maintenant il faut que je te laisse. A demain.
Mardi 16 février 2009 • Cet après-midi je me suis disputée avec une de mes meilleurs amies, Caroline, le pire c’est que la dispute est partie d’une miette de pain. Tu sais depuis que Priscilla est arrivée au Lycée, Caroline est devenue agressive. Julie et moi on a l’impression de ne plus exister, elles restent toujours toutes les deux. Mais demain j’irai parler à Caroline et j’espère que je vais pouvoir arranger cela, même si au fond je ne pense pas que c’est à moi de m’excuser. Je suis désolée mais là il faut que je te laisse, j’entends Alain et maman se disputer et ça a l’air plutôt tendu.
Vendredi 19 février 2009 • Mardi je t’ai laissé un peu précipitamment mais j’ai eu raison quand je suis sortie de ma chambre j’ai vu Alain pousser ma mère par terre et après il est parti en voiture. Le pire c’est qu’il est revenu dix minutes plus tard et que maman lui a pardonné. Là j’avoue que je ne comprends plus rien à ma mère. Personnellement, moi je lui aurais jeté ses affaires dehors (en même temps je ne me serais jamais mise avec lui, alors au moins je n’aurais pas eu ce problème !!!). • En plus il m’énerve, quand on l’écoute on se croirait au Moyen Age où les femmes étaient soumises. Non mais, sans rigoler, il nous prend pour des esclaves à moi et à ma mère. En plus Kevin n’est même pas là pour me défendre (ce qu’il fait habituellement) car il est parti à Paris avec sa future femme hier matin et je ne peux même pas l’appeler parce qu’Alain m’a supprimé mon portable jusqu'au jour où il voudra bien me le rendre (ce qui signifie dans une éternité) tout cela car je n’avais pas fini de préparer le dîner quand il est rentré !!! Le pire c’est que comme d’habitude, maman l’a défendu en disant que c’était normal après une journée de travail comme la sienne. En tout cas moi j’en ai ras le bol de ce bonhomme. Ah ! oui aussi, j’ai parlé à Caroline mais je crois que c’est fichu, pour te dire elle m’a traitée de moulin à paroles complètement paranoïaque. Alors que ça faisait au moins vingt minutes que je lui parlais de nous, et d’elle et de Priscilla et voilà les seuls mots qu’elle m’a dits avant d’aller rejoindre sa Priscilla. Oups !! Il est presque minuit. Je vais aller me coucher… A plus tard…
Samedi 20 février 2009 • Cet après-midi je m’embêtais, alors je suis allé faire un tour en ville, et à un moment, j’ai croisé une fille. Je n’oublierai jamais son regard, elle avait à la fois un regard vide et des yeux remplis de larmes. Je me suis arrêtée et j’ai bavardé avec cette pauvre petite fille toute l’après-midi. Nous avons discuté de tout et de rien, mais quand elle s’en est allé ,elle ne pleurait plus ; comme quoi il suffisait de pas grand-chose pour rallumer la lumière de la joie chez cette jeune fille, et quand elle allait disparaître derrière les bâtiments, elle s’est retournée et m’a fait un sourire qui m’a réchauffé le cœur.
Dimanche 21 février 2009 • Lala et lulu 12 mars 2008 Bravo !!! Vous avez accompli votre mission à la perfection. Je ne m’attendais pas à recevoir cette lettre de confirmation aussi tard sachant que je vous avais confié cette mission il y a presque 25 ans. La naissance de Kevin, suivie de celle de Mégane m’a fait perdre l’espoir que vous remplissiez cette mission à bien. Mais maintenant que vous avez tué Pascal, j’ai eu ma revanche et comme promis la somme de 100 000 000 d’Euros vous sera transmise. Pour les gosses je m’en occupe ; vous ne les aurez plus dans les pattes. Et une fois que tout cela sera fait, je m’arrangerai pour que vous puissiez partir à l’étranger sous une nouvelle identité car une taupe de la police m’a dit qu’ils avaient des doutes sur vous et que, quand l’affaire serait légèrement étouffée, dans un an ou deux, ils relanceraient l’enquête. En attendant que vous me recontactiez, je vous donne toutes mes félicitations. P.S. : mes coordonnées : 0667892345 Philipe • J’ai trouvé cette lettre cachée dans les papiers pour essayer d’en savoir plus sur la mort de mon père. Pourquoi cette lettre était-elle chez nous ? Qui sont Lala et Lulu ? Que dois-je penser ? Que dois-je faire ? Je ne sais plus.
Lundi 22 février 2009 • Je suis… En fait il n’y a rien d’assez puissant pour définir ce sentiment horrible. J’ai demandé à Kevin s’il connaissait des personnes qui s’appelaient Lala et Lulu et il m’a dit que c’était le surnom de maman et Alain. Qu’est-ce que je fais maintenant ? Est-ce que je dois en parler à Kevin ? Non il ne faut pas, il se ferait trop de souci. Tu te rends compte ils ont tué mon père. C’est affreux. Je ne sais pas quoi dire, quoi penser mais surtout quoi faire. Je ne peux pas m’empêcher de pleurer…
Lundi 22– Mardi 23 Février • Il fait nuit et je ne sais pas exactement quelle heure il est, mais j’ai pleuré toute la soirée et je ne pourrais pas vivre avec ça. C’est pour cela que c’est la dernière fois que je t’écris. J’espère que Kevin pourra lire ce journal quand je serai partie, comme ça il pourra savoir pourquoi je vais faire ce geste et comme ça il pourra lire ce message : Kevin, je voulais te dire que tu es la personne à qui je tiens le plus au monde. Tu as toujours été là pour moi, quand j’étais triste ou quand j’étais déprimée. Tu te rappelles la fois où j’avais perdu mes chaussettes préférées, tu n’es pas allé au lycée juste pour rester avec moi sans oublier toutes les autres choses que tu faites pour moi, chaque jour. Mais je n’oublie pas la fois où tu es allé parler à mon premier amoureux et qu’il ne m’a plus jamais adressé la parole. En fait, je voulais juste dire que j’espère que tu ne m’oublieras jamais et que je t’aime fort. Adieu.
Histoire d’horreur : meurtre au collège Lettre à mon amour véritable Les Lettres Ecrits permettant de correspondre (genre épistolaire)
Lettre à mon amour véritable Cher A. J’espère que tu vas bien ! Je t’envoie cette lettre pour te dire qu’il me tarde de te revoir. Je te connais depuis la rentrée, et quand je ne te vois pas, je ne cesse de penser à toi. Et maintenant voilà quatre mois que je t’aime et qu’on est ensemble. Pour te prouver mon amour, je te fais part de mon poème (que j’ai inventé bien sûr) : T ’aimer c’est facile, Te le dire c’est difficile, T’oublier c’est impossible !!!! Quand je te vois je suis folle de toi. Mon cœur te dit « je t’aime » car il ne sait te dire que ça !! Je t’embrasse très fort, ta chérie qui t’aime