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TIMBEDRA Face aux défis . Fait par Tneybe. Chez nous il n’y a pas sociétés minières qui travaillent dans les domaine minier, pour cela on n’entends pas dans les conseils des ministres des autorisations de prospection dans notre sous-sol.
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TIMBEDRAFace aux défis Fait par Tneybe
Chez nous il n’y a pas sociétés minières qui travaillent dans les domaine minier, pour cela on n’entends pas dans les conseils des ministres des autorisations de prospection dans notre sous-sol. • Nous sommes privés des activités engendrées par le secteur de la pêche • L’agriculture est en peu exercée chez nous, négliger par les autorités
L’eau potable و جعلنا من الماء كل شيء حيا • Auparavant la dénomination Mechdouf est interprétée par la formule « ye te chezavoune ala elma » pour montrer l’importance de l’eau dans la vie quotidienne d’un Mechdouf tout comme ses voisins. • Le problème de l’eau potable est un problème crucial qui préoccupe l’ensemble de la population de la région. • Il y a un réseau d’adduction d’eau venant de Bire, mais cette eau engendre systématiquement des problèmes sanitaires énormes, pour cela les gens préfèrent boire l’eau des puits à celle de SNDE • Les timbedriens regardaient au bout du tunnel le projet D’har pour s’approvisionner en eau potable, • Les villageois souffrent du manque de points d’eau, la quasi-totalité des points d’eau sont des puits traditionnels faits par les moyens propres de villageois, pas des sondages, pas des borne fontaine .. • Nous sommes au dessous de la moyenne nationale de la consommation d’eau • Nous représentants ne sont pas capables de poser nos problèmes et en particulier celui de l’eau lors de la dernière séance du Parlement avec le Ministre de l’Hydraulique, il a été posé par le député Jamil Mensour
La santé تمبدق و أفركني فمناحر لبتان • La situation de notre seul dispensaire avec ses trois pièces est complètement dramatique • Le manque de la qualification du personnel sanitaire prends des ampleurs dangereuses • Il y a des quasi cabinets médicaux qui sont très lointains d’être structurés • La région est fortement menacée par le paludisme et parfois par l’épidémie choléra.
L’éducation حفظل ول جمل بارك • Avant de parler à la situation éducationnelle dans la région je voudrais attirer l’attention de mes lecteurs que l’état de l’école 1 signifie que nous n’accordons aucune importance à notre patrimoine et à notre histoire. • Les gens n’ont pas confiance à l’enseignement en général, pour cela la plupart des nos enfants ne continuent pas leur enseignement. • Dans les Adwabas les parents préfèrent que leurs enfants intègrent directement la vie active en les amenant à cultiver la terre ou faire des activités, c’est certainement au détriment de l’enseignement • Les familles maraboutiques conservatrices préféraient l’enseignement coranique
L’élevage أمنيح فكفاه عزب • C’est l’activité traditionnelle de nos ancêtres, mais confronte énormément des problèmes dus essentiellement au faible importance accordée à ce secteur par l’État et par nos mêmes • La problème de la disponibilité d’eau pour le cheptel est un étrave majeur face au développement de ce secteur • Le changement de mode de vie d’une vie nomade à une autre quasi moderne en passant par une phase villageoise engendre des effets néfastes sur le développement du secteur • L’État mettait toujours l’élevage avec l’agriculture dans le même ministère et orientait toutes les ressources vers l’agriculture au détriment d’élevage. • Les incendies quasi annuelles qui brûlaient les pâturages et obligent les éleveurs à traverser les frontières maliennes dans leur quête de zones pastorales à l’étranger • La relation diplomatique du notre pays avec le voisin malien est une relation vitale pour cela il faut maintenir les relations d’amitié entre les deux peuples
L’environnement • D’une façon générale, l’Homme du désert est le plus dangereux à l’environnement que toutes les autres espèces, vue sa mentalité et ses comportements • Pour acquérir les charbons on coupe les arbres et détruit la couverture végétale pour déserter la région et la rendre inhabitable • Dans notre visage qui nous reflète on jette les déchets partout. • Depuis notre existence à cette région jusqu’à nos jours, des hommes montent le matin et arrivent le soir pour chasser les animaux sauvages
L’assainissement • C’est le grand problème qui se pose à notre seul milieu urbain, la ville de Timbedra. • Il faut signaler que la ville de Timbedra est notre visage à travers laquelle les gens vont nous évaluer, il faut l’accorder une importance particulière pour que nous avions un façade convenable et acceptable • Dans la période de pluies la ville deviens inhabitable à cause des eaux qui stagnent devant les maisons, boutiques, marchés et bureaux • Le marigot qui est un plein centre ville déforme la ville et engendre des graves problèmes sanitaires • Si le problème de l’assainissement n’est pas résolu, je prévoie qu’il y aura toujours des problèmes sanitaires courants et ambigus avant d’arriver une saison pleine de pluies et faire disparaître le magnifique ville, semblable à ce qui arrivait à Tintan
Les infrastructures • En ce qui concerne les infrastructures, c’est le retard absolu en comparaison avec les autres régions • Pas des routes, le seul qui traverse la ville souffre du manque de maintenance et à ses deux cotés on a mis des boutiques partout pour vendre en oubliant que si on ne laisse pas un passage pour les acheteurs on ne pas vendre, c’est l’esprit commercial qui envahit la pensée de tous mauritaniens • Le lieu du dispensaire n’est plus valable, il faut le transférer ailleurs, • Pas de stade pour le football • Pas de maison de jeune • Pas des espaces vertes • La ville n’est pas planifiée les rues sont pèle mêle.
Les supra structures • Le degré d’ignorance est très élevé est presque constant à cause du dysfonctionnement du système éducatif • La modernisation est en évolution timide, malgré que la ville accueillait des nouveaux résidents, d’une façon générale les gens sont en peu civilisés. • La plupart des timbedriens n’est pas outillé des connaissance juridiques, ils ne savent leurs droits ni leurs devoirs
L’intégration nationale • Au niveau national, notre région est connu par: • L’élevage qui était notre richesse et à travers lequel on se distingue est devenu entre-temps une source de complexité chez certains; • L’histoire de la musique traditionnelle des maures, et la connaissance parfaite de la nomenclature musicale; • Nos fameux poètes qui ont enregistré notre histoire dans leurs œuvres;
Face à la mondialisation • Nous avons un ratio très élevé des illettrés, ce qui pose un grand problème devant notre intégration mondiale; • Nos résidents à l’étranger sont des commerçants en majorité résidants dans des pays moins avancés comme la côte d’ivoire et Mali, • Nous sommes envahi par les opérateurs de télécommunication, mais on les utilise d’une manière sauvage et irrationnelle; • Pas des sybers Internet dans notre capitale faute de quoi, pas des internautes; • Notre région est la région la moins intègre dans le tissu économique, social et culturel du notre pays, qui est un pays sous développé, vit à la marge de la mondialisation;
Perspectives • Si la région ne connaît pas une émergence d’une classe nouvelle, d’une intelligentsia qui est capable de mener les changements espérés, notre avenir est ambigu. • Le développement du clientélisme et de la culture de MOURWATT qui est devenu très répandu dans ces jours, • Une mobilité rapide de la polarisation politique qui pourrait engendrer des affrontassions. • Un jour certains de nos fils vont rejeter cette donne et essayeront de changer la situation à travers, un coup ou une rébellion, histoire du Darfour.
Recommandations • Changer le mode des pratiques politique; • Casser les règles du trubalisme et clientélisme et faire émerger des classe politiques neuves dont les liens de mobilisation sont la pensée et les points de vus. • Travailler ensemble pour bâtir un développement économique et social sain et viable • Rejeter les préjugés et les attitudes agressives envers l’autrui. • Impliquer nos intellectuels et sortants des universités dans la gestion des nos affaires politiques et culturelles, car ils sont mieux que nous, il faut les donner une chance.