650 likes | 774 Views
Web 2.0 and Historians – History 2.0 accessing and sharing scholarly information. Serge Noiret History Information specialist. Atelier Multimédia, 27 October 2010 EUI, Villa Schifanoia, Sala Triaria. 1.The web before the web. Organizing Worldwide Information: Paul Otlet, (1868-1944).
E N D
Web 2.0 and Historians – History 2.0 accessing and sharing scholarly information Serge Noiret History Information specialist Atelier Multimédia, 27 October 2010 EUI, Villa Schifanoia, Sala Triaria
1.The web before the web S.Noiret: Web 2.0 for historians - History 2.0
Organizing Worldwide Information: Paul Otlet, (1868-1944) S.Noiret: Web 2.0 for historians - History 2.0
Paul Otlet • Belgian Citizen, born in Brussels, (1868-1944). • Positivist, Utopist and Internationalist • Together with Henri La Fontaine creates the RBU, Répertoire bibliographique universel (1895) with 3 x 5 cm. paper cards: 400.000 in 1895 and 15 millions are available in 1934. • To promote his knowledge with international collaborations, Otlet created the IIB: Institut International de Bibliographie. S.Noiret: Web 2.0 for historians - History 2.0
Paul Otlet - 2 • He invented the “Classification décimale universelle” (CDU), Universal decimal classification between 1904 and 1907 • He contacted Melvyl Dewey which accepted that its own system would be elaborated but only if the CDU would not be translated into English…. • Otlet added to the subject classification an algorhytm to define intersections between subject matters: • Ex: "31:[622+669](485)" are the statistics for extracting minerals in Sweden. S.Noiret: Web 2.0 for historians - History 2.0
The “palais Mondial” or “ville de la connaissance mondiale” which became , before WWI, the Mundaneum S.Noiret: Web 2.0 for historians - History 2.0
Organisation of the Documentation within the Mundaneum S.Noiret: Web 2.0 for historians - History 2.0
The “Répertoire Bibliographique Universel” -Universal Bibliographic Repertory S.Noiret: Web 2.0 for historians - History 2.0
Before the Web • «Nessun libro sul tavolo da lavoro; al suo posto uno schermo e un telefono. Tutti i libri e le informazioni stanno laggiù, lontano, in un immenso edificio.... Da là si farà apparire sullo schermo la pagina da leggere per conoscere la risposta alle domande poste al telefono, con o senza fili» • (Paul Otlet, Trattato di documentazione (1934) p. 342). S.Noiret: Web 2.0 for historians - History 2.0
“Physical Linkage” • Scrive il suo famoso trattato di documentazione “Traité de Documentation. Le livre sur le livre. Théorie et Pratique” in 1934.(Some selected Otlet essays in English) • He invented the “hyperlink” the node through which accessing information on a document • Like Tim Berners-Lee’s “Semantic Web” today, the Mundaneum was not understood only to find documentation on all topics but also to conceptualize the added sense value to these documents through semantic linkage between them. • Otlet was interested to multi-media documents preservation and comunication S.Noiret: Web 2.0 for historians - History 2.0
Otlet’s “material Web” • Il New York Times di giugno 2008 scrive: “Otlet’s version of hypertext held a few important advantages over today’s Web. For one thing, he saw a smarter kind of hyperlink. Whereas links on the Web today serve as a kind of mute bond between documents, Otlet envisioned links that carried meaning by, for example, annotating if particular documents agreed or disagreed with each other. That facility is notably lacking in the dumb logic of modern hyperlinks.” S.Noiret: Web 2.0 for historians - History 2.0
Motore di ricerca multimediale e analogico • Nel 1896, Otlet usava il medium comunicativo di allora –la posta- per trasmettere l’informazione • Dopo pagamento, inviava le schede della sua CDU. • Gli utenti erano avvertiti se le loro domande superavano le 50 risposte ! • Otlet voleva creare dei nodi informativi e mandare una copia fisica della sua CDU in alcune capitali del mondo oltre alla sede di Bruxelles: Paris, Washington, D.C., Rio de Janeiro. • Già nel 1912, Otlet rispondeva a più di 1500 richieste informative all’anno. S.Noiret: Web 2.0 for historians - History 2.0
La rete pensata senza il digitale • Si può dunque parlare di “motore di ricerca analogico”, di “paleo-web” o anche di “web analogico” • Otlet aveva capito che l’informazione oltre la sua classificazione andava comunicata: bisognava fare circolare l’informazione scientifica e lavorare in modo collettivo per raccogliere ed organizzare la documentazione • La struttura organizzativa della conoscenza mondiale voluto da Otlet somigliava più che alla rete -che non si può ne dominare ne controllare dal punto di vista di un indicizzazione completa dei contenuti- all’enciclopedismo sociale della Wikipedia. S.Noiret: Web 2.0 for historians - History 2.0
Otlet’s idea of “Collective Work”before Wikipedia ”Le travail de documentation se présente sous un triple aspect : il importe tout d'abord de collectionner et de classer méthodiquement tous les titres de ce qui a été écrit et publié dans les différents pays et aux diverses époques ; puis, l'oeuvre s'élargissant, il y a lieu de réduire en leurs éléments toutes les publications et tous les écrits et de les redistribuer pour en former des dossiers conçus comme les chapitres et les paragraphes d'un unique livre universel ; enfin, devant l'abondance des documents, le besoin s'impose de les résumer et d'en coordonner les matériaux en une Encyclopédie universelle et perpétuelle. Une telle encyclopédie, monument élevé à la pensée humaine et matérialisation graphique de toutes les sciences et de tous les arts est l'étape ultime. Elle aurait en fait pour collaborateurs tous les penseurs de tous les temps et de tous les pays ; elle serait la somme totale de l'effort intellectuel des siècles... » (Paul Otlet) S.Noiret: Web 2.0 for historians - History 2.0
2.Wikipedia at the beginning S.Noiret: Web 2.0 for historians - History 2.0
Les débuts ? Wikipedia et Web 2.0 Wikipedia est née en 2001 avant le Web 2.0 Elle préfigure les caractéristiques du Web 2.0 selon Tim O’Reilly avec son “user generated content” dans le browser Elle est dédiée à l’écriture collaborative et collective Permet l’intégration d’un grand nombre de collaborateurs et d’auteurs Difusion d’un esprit positif pour une collaboration utile et sensée à produire une forme d’intelligence “collective” grâce au grand nombre
Wikipedia ouvre la voie: Tim O’Reilly et le web 2.0 “J’ai longtemps soutenu qu’une des différences centrales entre l’époque des PC et l’ère du Web 2.0 est que lorsque l’internet devient plateforme, plutôt que d’obtenir juste une adjonction de PC, vous pouvez établir des applications qui exploitent des effets de réseau, de sorte que plus les gens les emploient, plus elles s’améliorent. J’ai employé l’expression “exploiter l’intelligence collective” pour désigner ce phénomène.”
3.Passing information in web 2.0 contexts S.Noiret: Web 2.0 for historians - History 2.0
Trajectoire der l’information Débuts: portail générique Yahoo moteurs de recherche Web 2.0: Portail personnalisé (iGoogle) Flux RSS qui informent activement
Web 2.0 ? – RIA -1 Rich Internet Application (RIA) Possible avec le langage AJAX (Asynchronous Java Script et XML) Social software’s Reccomendations Blogs Podcasts Tags Folksonomies
Web 2.0 ? – SOA - 2 Service Oriented Architecture (SOA) Flux RSS Services Web Mash-up (vient de l’art contemporain comme CoBrA) Applications intégrées à d’autres applications
Web 2.0 ? – SA - 3 Le sio-sémantiques: les Social applications: les utilisateurs participent aux contenus Tagging Contribution aux Wikis Podcast - Videocast Blogging L’utilisateur final enrichit et fait corps avec l’application elle-même
Web 2.0 ? – Add Sense -4 Le double click pour obtenir l’info était du Web 1.0 Ajouter du sens (et des “adds” ou placards publicitaires par rapport à ce qui est visualisé: ex.GMAIL traite les mots des messages pour proposer les publicités “utiles”, (google add-sense) Combinaison du système des social networks avec le web sémantique
Web 2.0 ? – Les sites - 5 Le web 2.0 se définit surtout par rapport aux sites de nouvelles compagnies nées entre 2004 et 2005 Google Maps – Flickr – Del.icio.us – Digg – Facebook – MySpace – YouTube Les contenus de ces sites ne sont plus véhiculés par le courriel mais à travers le “browser” dans les sites eux-mêmes. Ces sites sont avant tout dynamiques, mis à jour et interactifs et non plus statiques comme auparavant
Web 2.0 ? – 6 – L’ère des “webacteurs” Les nouveaux outils sont simples à manier comme les Blogs Pas de consommation seulement passive des contenus mais participation active des internautes qui s’impliquent, participent et proposent: des services, des contenus, des mots-clé (tags), des commentaires, des signets, des images, dse vidéos, etc.. On ne surfe plus seulement mais on agit
Web 2.0 – 7 - Savoirs collectifs L'ensemble des services web 2.0 – dont Wikipédia – ne sont pas simplement liés à l'apparition de nouvelles technologies Ils s'inscrivent dans une évolution culturelle fondamentale qui encourage l'explicitation des savoirs de chacun et favorise le développement de l'intelligence collective. Le savoir se démocratise (?) et “naissent des formes hybrides qui relèguent la traditionnelle distinction entre savoirs savants et savoirs profanes. » (Laure Endrizzi)
En résumé: le Web 2.0 selon Gino Roncaglia “User generated content” dans l’hypertexte Web sémantique simplifié et filtré par de nouveaux software’s pour des utilisateurs individuels Filtrage collaboratif et social qui permet de réunir des utilisateurs “similaires” dans les social networking tools “Social networking” et interaction Plateformes collaboratives Design nouveau des sites qui permettent de mieux intégrer l’interaction et la collaboration S.Noiret: Histoire et Web 2.0, ATHIS VII, Rome 6 décembre 2008
Avantages/désavantages du Web 2.0 ? Dan Cohen, historien “digital” et directeur du Center for History and New Media de la George Mason University, se demandait: “How can we maximize the web’s advantages and minimize its disadvantages to create the best forms of online history
Avantages du web 2.0 selon Cohen -1 Le web met en communication “créative” plusieurs webacteurs indépendamment du lieu où il s se trouvent permettant ainsi une communication synchronisée et non-synchronisée La toile est avant tout collaboration facilitée La toile offre l’accumulation d’informations, de compétrences, de connaissances, suite à l’action des internautes Le web c’est la possibilité de charger et de transmettre des quantités très importantes de documents.
Avantages du web 2.0 selon Cohen -2 L’information est aujourd’hui codifiée pour faciliter la recherche et le traitement aussi grâce aux internautes Le web permet d’éliminer les barrières des publications de type traditionnel en facilitant la traduction des contenus, la révision constante et la mise à jour. Ajoutons que le web 2.0 offre des programmes qui permettent de mieux gérer et d’interagir avec les contenus des plateformes directement dans le browsercomme Zotero
Problèmes critiques Instabilité et précariété de l’information Difficulté de présenter des textes d’histoire facilement lisibles avec le computer par rapport aux formes traditionnelles de pubblication des textes Enorme difficulté de discernement entre les “déchets” et l’information de type scientifique dans le web: distinguer the good from the bad … Ajoutons la décentralisation plus forte encore de “l’autorité” La fragmentation ultérieure de la notion d’auteur et de l’autorialité
How to face History 2.0 matters ? Describing “uses and practices” more then talking about web 2.0 technologies themselves Difficult to understand and organize disciplinary changes even for Digital Humanities Specialists The AAHC (American Association for History and Computing) in April 2008 has cancelled its conference on Web 2.0 and History organized at the CHNM, George Mason a year later…. The 2011 AHA (American Historical Association) annual meeting offers 6 panels on 300.. About digital history matters write Dan Cohen in his blog.
Topics of the AAHC meeting in 2008 What does Web 2.0 History involve? How does Web 2.0 History differ from Web 1.0 History? What does it enable us to do that could not be done in Web 1.0? What are the implications of Web 2.0 History for teaching and research? What are the positive and negative aspects of Web 2.0 History?
Digital History 2.0 – What to look at ? Open source programs used to interpret history Tagging and history Wikis and history Blogs and history RSS and history Data ownership: databases and history analysis Mapping history (Google-based documentation) Podcasting and history Digital video (such as YouTube) and history Virtual worlds (such as Second Life) and history Crowdsourcing and history
L’histoire numérique: avènement du “collectif” Particitation des jeunes/vieux, hommes/femmes, experts/dilétants Commentaires collectifs Signets collectifs Ecriture collective Création d’archives collectifs Partages des informations, des savoirs et des commentaires dans de nouveaux types de sites Les nouveaux programmes pour historiens
5.Web 2.0 web sites and their scientific contents S.Noiret: Web 2.0 for historians - History 2.0
History within Web 2.0 social networks • Wikipedia • Facebook • Youtube • Flickr • Google Universe: Blogger, Reader, Picasa • Twitter • Tumblr S.Noiret: Web 2.0 for historians - History 2.0
Looking empirically at History 2.0 contents Access to Disciplinary Information within new networks and with new technologies The Writing of History is becoming sometimes a collective activity, you find co-autors, blogs and wiki’s are asking to contribute contentess Crowdsourcing is used to complete individually collective contents, especially primary sources in born digital formats and/or as meta-sources Teaching History is performed through e-learning platforms (Moodle at EUI)
Podcats S.Noiret: Web 2.0 for historians - History 2.0
Twitter S.Noiret: Web 2.0 for historians - History 2.0
TUMBLR S.Noiret: Web 2.0 for historians - History 2.0
Blogs S.Noiret: Web 2.0 for historians - History 2.0
Wikipedia S.Noiret: Web 2.0 for historians - History 2.0
Facebook: accessing OPAC’s S.Noiret: Web 2.0 for historians - History 2.0
Facebook - 2 S.Noiret: Web 2.0 for historians - History 2.0