1 / 10

Introduction: L’architecture grecque

Introduction: L’architecture grecque L’architecture qreque a prospéré presque a l’époque du Barclays 444-429 BC et a l’époque du roi Philipe et son fils ALEXANDER LE GRAND .

Download Presentation

Introduction: L’architecture grecque

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Introduction: L’architecture grecque L’architecture qreque a prospéré presque a l’époque du Barclays 444-429 BC et a l’époque du roi Philipe et son fils ALEXANDER LE GRAND . cette période est connu comme « hellénistique » , Où l'orde corinthien est apparu, qui est un compilation d'order dorique et d'order ionique   Qui est apparu entre 1100-330 BC dans les époques  Archaïque et classiques.

  2. -1-Les epoquesdu Grèce antique. 1- Epoque archaïque : 800 – 500 avant notre ère Au viiie siècle av. J.-C., la Grèce commence à émerger de la période sombre qui suit la chute de la civilisation Mycénienne. L'écriture et les écrits Mycéniens en général sont perdus et oubliés mais les grecs adoptent l'alphabet phénicien tout en le modifiant ce qui deviendra l'alphabet grec. Au ixe siècle av. J.-C., les premiers textes proprement grecs apparaissent. Le pays est alors divisé en une multitude de petites communautés indépendantes, situation imposée par la géographie grecque, où chaque île, vallée ou plaine est totalement coupée de ses voisins par la mer ou les montages. Il semble qu'à partir du viiie siècle av. J.-C. apparaissent les cités, de petits territoires indépendants et politiquement structurés. La population augmente fortement et des colonies grecques sont créées, dans les îles de la mer Égée et en Asie mineure, puis dans d'autres régions méditerranéennes. Les grands penseurs vivent souvent outre-mer : Thalès et Xénophane vivent en Asie ; Pythagore fonde une école en Italie du Sud. C'est la naissance de la Grande Grèce. La guerre lélantine (de -710 à -650) fut un conflit continuel entre cités grecques qui présente la particularité d’être un des premiers affrontements de la Grèce antique documenté. Cette guerre voit s’affronter les cités-état de Chalcis et d’Érétria sur la Lélantine, plaine fertile de l’Eubée. Une classe marchande se développe dans la première moitié du viie siècle av. J.-C. comme le démontrent l'apparition de monnaies grecques vers -680, ce qui ne manque pas de susciter des tensions entre les villes. Les classes aristocratiques qui gouvernent les cités sont menacées par cette nouvelle bourgeoisie de marchands qui souhaitent se lancer dans la politique. À partir de -650 cette même classe aristocratique doit lutter afin de ne pas être renversée par des tyrans populistes. Le mot tyran étant d'ailleurs lui-même issu du grec τύραννος (tyrannos) signifiant « dirigeant illégitime » indifféremment qu'il soit bon ou mauvais.

  3. 2-Epoque classique : 500 – 336 avant notre ère • Au début du ve siècle av. J.-C., les Grecs parviennent à repousser les troupes de l'immense Empire perse lors des guerres médiques. La bataille de Salamine (480 av. J.C.) assure l'hégémonie de la Grèce en mer Égée. La Grèce connaît alors un « âge d'or ». Certains penseurs, Parménide, Empédocle, Leucippe inaugurent de nouvelles manières d'envisager le monde. Athènes, où une démocratie s'est mise en place, occupe une place prépondérante sur les plans politique et artistique. La tragédie s'y développe. Socrate ne quitte presque jamais la ville. • Après la guerre du Péloponnèse (de -431 à -404), les cités grecques sont affaiblies, mais la vie intellectuelle reste vivace (Platon, Aristote). • Vers -338, la Macédoine domine la Grèce. Entre 336 et 323, son roi, Alexandre le Grand, conquiert un • -3-Epoque hellénistique : 336 – 31 avant notre ère • À la mort d'Alexandre le Grand, son empire est partagé entre ses anciens généraux ou diadoques : Ptolémée, Séleucos, Lysimaque, Antigone le Borgne, qui règnent en souverains absolus sur de vastes régions. • Les Antigonides conservent la Macédoine. Les Séleucides règnent en Asie, sur l'ancien Empire perse. On ressent des influences grecques jusque dans les sculptures bouddhiques d'Afghanistan. Les Ptolémées, qui dominèrent l'Égypte, nous sont toutefois mieux connus. Alexandrie y est un haut lieu du savoir. En Grèce même, de nouvelles philosophies se développent : l'épicurisme et le stoïcisme.

  4. Quelques dates repères...

  5. -2-Les ordres • 1. L’ordre dorique • Selon Vitruve, l’ordre dorique est le plus ancien des ordres • grecs. Il a été élaboré en Grèce entre le 7ème et le 6ème • siècle avant notre ère. L'ordre dorique correspond à un idéal de simplicité (selon Vitruve, il représente l'homme), le chapiteau n'est pas décoré, la frise est une alternance de triglyphes (trois rainures) et de métopes (sculptures), • C’est une architecture qui procède par juxtaposition et empilement. • Description (de bas en haut) : • - Le stylobate : plate forme continue • - La colonne épaisse, striée de 20 cannelures verticales • Un chapiteau simple, formé d’une échine que domine un • tailloir carré • - L’architrave : poutre • - Frise : alternance de triglyphes et métopes • - Entablement

  6. Temple de Selinonte 630-623 avant notre ère - Le krépis se compose de 3 marches qui fait ici le tour du temple - Le krepis supporte les colonnes doriques - Les colonnes sont composées d’un fût (partie verticale) et d’un chapiteau (partie qui permet la transition avec la partie horizontale). Le chapiteau comprend une partie tronconique et une partie parallélépipédique. - Les colonnes sont surmontées d’un entablement formé d’une architrave et d’une frise alternant triglyphes et métopes - L’ensemble est surmonté du fronton : partie la plus haute de la façade, de forme triangulaire Temple de la Concorde à Agrigente 5ème siècle avant notre Temple d’Athéna Aphaia à Egine 480-320 avant notre ère

  7. 2. L’ordre ionique L’ordre ionique s’est d’abord développé dans les villes d’Asie Mineure aux environs de 560 avant notre ère. Caractéristiques : - Colonnes plus grêles, plus sveltes et striées de cannelures en nombre variables (en générale : 24 / mais elles peuvent varier entre 16 et 48) - La base est formée d’une pile de disques - Le chapiteau s’étale en volutes - L’architrave est composée de 2 ou 3 plates-bandes en saillie - L’ensemble est surmonté d’une frise L’ordre ionique affirme son originalité à travers son chapiteau. En effet, à la rigueur épurée du chapiteau dorique, s’oppose la souplesse des volutes latérales. L’ordre ionique se caractérise par une grande sensibilité décorative. En effet, la colonne et l’entablement ont associé aux simples structures architecturales des éléments de décoration empruntés à d’autres domaines : palmettes, volutes, fleurs de lotus qui décorent les meubles, vases, sarcophages, stèles funéraires, objets de métal… Le décor s’introduit dans l’architecture comme dans les autres productions de l’art ou l’artisanat.

  8. Temple d’Athéna Niké Athènes 427-424 avant notre ère Cette petite chapelle est l’expression la plus pure de l’esprit ionien. Les colonnes reposent sur une base et sont couronnées d’un chapiteau à volutes. L’architrave composée de deux faces lisses en saillie, est surmontée d’une frise continue. Celle-ci représente ici un évènement historique : la bataille des Platées contre les Perses, en 479 avant notre ère. Ce qui est rare, dans la mesure où les scènes sculptées sont en général issues de la mythologie.

  9. 3. L’ordre corinthien L’intrusion progressive de motifs décoratifs favorisa le développement de l’ordre corinthien, aux dépens de l’ordre ionique. Le premier chapiteau corinthien serait dû à un artiste athénien, sculpteur et orfèvre, Callimaque. Ce dernier aurait été frappé un jour, dans une nécropole de Corinthe, par le spectacle d’une corbeille déposée en offrande sur une tombe, enveloppée de feuilles d’acanthe. Il faut noter que la colonne est identique à la colonne ionique. Seul le chapiteau diffère. Le chapiteau corinthien est composé de deux rangées de feuilles (8 feuilles d’acanthe), surgissant de tiges qui s’enroulent vers l’extérieur, en volute. Il semble indéniable que ce travail précis soit dû à un sculpteur. La grâce et l’harmonie de la feuille d’acanthe créent un ordre plus élancé et décoratif que l’ordre ionique. Tholos d’Epidaure (une tholos est un lieu circulaire) La ville d’Epidaure possédait un temple dédié à Asclépios, dieu de la médecine. A l’extérieur de la tholos : colonnes ioniques A l’intérieur de la tholos : 14 colonnes en marbre, coiffées de chapiteaux corinthiens

  10.  Chapiteaux corinthiens Maison carrée à Nîmes

More Related