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PROGRAMME « JOUSSOUR » Rencontre de bilan - FICR 29 avril 2010 CENTRE CULTUREL AZEDDINE MEDJOUBI – ALGER. www.pcpalgerie.org. Objectifs. Pour rappel, le FICR vient en appui aux programme des activité communes et transversales
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PROGRAMME « JOUSSOUR »Rencontre de bilan - FICR29 avril 2010CENTRE CULTUREL AZEDDINE MEDJOUBI – ALGER www.pcpalgerie.org Programme Concerté Pluri-acteurs ALGERIE Joussour Ce programme bénéficie du soutien du ministère des Affaires étrangères et européennes français
Objectifs Pour rappel, le FICR vient en appui aux programme des activité communes et transversales Dont l’objectif global est de contribuer au renforcement des capacités collectives des associations, de favoriser les échanges et les synergies entre elles et d’encourager leur dialogue avec les pouvoirs publics. • Encourager les associations à travailler ensemble sur des thèmes qu’elles jugent prioritaires dans leurs domaines ; • Faciliter l’élaboration de positions communes entre associations travaillant sur les mêmes thèmes ; • Favoriser le fonctionnement en réseau et en plate-forme ; • Encourager les rencontres et les réflexions communes entre société civile et pouvoirs publics.
Les actions soutenues • rencontres de partages et d’échanges de pratiques au niveau local, régional et/ou national afin de permettre une large participation des acteurs qui travaillent dans le domaine de l’enfance et/ou de la jeunesse ; • capitalisation collective (permettre aux acteurs d’enrichir et de partager leurs expériences pour les transformer en savoirs) ; • organisation de forums de discussion (séminaires, conférences, tables rondes) pour favoriser le dialogue entre les organisations de la société civile et les pouvoirs publics; • mise en réseau des acteurs œuvrant dans le domaine de la jeunesse (associations, animateurs, éducateurs, maison de jeunes, APC, etc.) pour renforcer le maillage existant ; • élaboration d’études et d’états des lieux sur les questions de l’enfance et de la jeunesse ; • échanges de pratique terrain.
Règles financières • Le budget global est de 120 000 € (11 095 068 DA). • Le FICR finance des projets dont le budget se situe entre 5 000 € (462 295 DA) minimum et 15 000 € maximum (1 386 884 DA). • La répartition du financement de l’action collective est la suivante : • subvention maximale par le fonds de 75 %, • apport valorisé de 10 % maximum • apport en cash de 15 % minimum. • L’apport en numéraire des associations peut provenir de leurs ressources propres ou • d’autres partenaires publics ou privés à l’exception de l’Ambassade de France. • Dans ce cadre, une attention prioritaire est accordée aux projets en partenariat algéro-français/européens.
Mise en œuvre • Un appel à manifestation d’intention a été lancé le 17 décembre 2008. 14 associations ont répondu soit de manière individuelle soit en réseau par des propositions autour des thématiques suivantes: • Les politique enfance et jeunesse, • Le phénomène des haraga, • L’échec scolaire, • Le volontariat, • La prévention SIDA et MST, • Le projet associatif, • Les droits de l’enfant myopathe, • L’insertion sociale des jeunes, • L’échange de pratiques autour du travail social). Ces propositions ont été l’objet d’un traitement et d’un accompagnement/orientation
Mise en œuvre Cette consultation a été suivie d’un appel à projets le 4 février 2009. 09 projets ont été soumis sur les 14 de l’AMI. Instruction et attribution Deux experts ont instruit les dossiers. Deux consultants externes ont été sollicités pour participer au comité d’attribution. Cinq projets ont été retenus après levée de certaines réserves et ce pour une durée de 9 mois (Avril 09 à décembre 2009). Projets retenus • « Cycle de rencontres franco-algérien à Boumerdes et à Belfort » porté par AEFPPS/CUF/Francas autour des politiques enfance et jeunesse. • « Création d’un réseau pour jeunes et enfants atteints de myopathie, capitalisation et état des lieux » porté par ADEM/ALCM/AFM • « Mise en réseau d’acteurs de la société civile et du monde de l’éducation autour d’un travail sur la prévention de l’échec, l’exclusion scolaire » portée par AEC/AFAK/CISP • Mise en réseau des acteurs de la société civile autour de la thématique migration irrégulière des jeunes « harragas » porté par ANEJ/FASDE/CISP • Echange de pratique autour du projet associatif porté par FAHM/ SOS Bab El Oued/APCS/Santé Sud/IFAID
Suivi et accompagnement De manière générale l’accompagnement s’est effectuée et à la demande des porteurs autour des points suivants: • Ecriture du projet • Identification des associations du PCPA à associer aux activités • Médiation entre les partenaires • Aide à l’élaboration des bilans techniques et financiers du projet avec l’association chef de file • Des échanges téléphoniques • Aide dans les réponses aux réserves du comité d’attribution • Démarche pour l’obtention des visas • Contractualisation d’expert et réunion d’ajustement quand il s’est avéré nécessaire • L’organisation séminaire de clôture • Participation aux rencontres organisées par les porteurs
Les acquis • Tous les projets ont permis: • la participation d’un grand nombre d’associations et pouvoirs publics membre ou non membre du programme • La visibilité de l’action et du programme « Joussour » • La création de synergie et une meilleure connaissance des associations impliquées dans la mise en œuvre • La création de synergie et une meilleure connaissance des associations membres de « joussour » associées aux activités • La réalisation de publications liées à la problématique enfance et jeunesse, largement diffusées • L’élaboration de perspectives quant aux thématiques abordées • La constitution d’un réseau élargi Tous les projets ont été menés à terme sauf un. En effet , le projet portant sur l’Echange de pratique autour du projet associatif a été annulé par le porteurs qui ont rencontré de difficultés de communication dues à la distance. La durée de l’action prévue sur 09 mois n’a pas été respectée. Sur les 04 projets 03 ont sollicité un avenant et on clôturé leur projet entre janvier et février 2010.
Les difficultés • Le travail à distance • Les associations qui montaient un projet ensemble pour la première fois ne se connaissent pas suffisamment • La confusion dans l’identification du chef de file • Les rapports et autres compte-rendu des événements sont transmis de manière individuelle sans consultation préalable entre les entités impliquées dans la mise en œuvre de l’action. • La faiblesse dans le rapporting