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Remarque liminaire. Pr
E N D
1. Présentation du programme d’appui pour la législation vétérinaire Djerba 7-9 décembre 2010
2. Remarque liminaire Présentation générale
Écarts sensibles possibles pour certains pays
Ne préconise aucun modèle
Le PALV est prévu pour s’adapter
Seul objet : application des normes internationales et promotion du bien public mondial.
3. Introduction Suite logique des PVS
Appui méthodologique
Élément de la « gouvernance »
Respect des particularités
Cohérence avec l’analyse des écarts PVS
4. Plan Un contexte et des principes
Un constat : les évaluations PVS
Une analyse : les missions « législation »
Une réponse : le Programme d’Appui pour la Législation Vétérinaire (PALV)
5. Gouvernance
6. Gouvernance Pour l’OCDE les principaux critères sont:
L'obligation de rendre compte
La transparence
L'efficience et l’efficacité
La réceptivité
La prospective
7. État de droit
8. La séparation des pouvoirs, Article 50
The system of Government is based on the principle of separation of powers functioning in co-operation with each other in accordance with the provisions of the Constitution. None of these powers may relinquish all or part of its competence specified in this Constitution.
C’est bien le cas du KoweitArticle 50
The system of Government is based on the principle of separation of powers functioning in co-operation with each other in accordance with the provisions of the Constitution. None of these powers may relinquish all or part of its competence specified in this Constitution.
C’est bien le cas du Koweit
9. Respect de la hiérarchie des normes Cette hiérarchie est quasi constante dans les systèmes civilistes avec des nom spécifiques pour chaque acte.
Les dénominations sont donc très importantes puisqu’elle fixent la hiérarchie et déterminent les procédures d’adoption.
Nous devrons les identifier pour le pays.Cette hiérarchie est quasi constante dans les systèmes civilistes avec des nom spécifiques pour chaque acte.
Les dénominations sont donc très importantes puisqu’elle fixent la hiérarchie et déterminent les procédures d’adoption.
Nous devrons les identifier pour le pays.
10.
11. Législation vétérinaire Il ne peut pas y avoir UNE loi vétérinaire
Ensemble obligatoirement très complexe
Nécessité d’une définition pour le PALV
12. Diversité des textes
13. Domaine vétérinaire Se déduit des normes de l’OIE et d’une définition de la Santé publique vétérinaire
Le champ de la législation vétérinaire dépend de la définition du domaine et non l’inverse
Le domaine vétérinaire est indépendant du champ de compétence attribué aux Services vétérinaires officiels
14. Construction du domaine vétérinaire
15. Définition stratégique « L’ensemble des actions qui sont en rapport direct ou indirect avec les animaux, leurs produits et sous-produits, dès lors qu'elles contribuent à la protection, à la conservation et à l'amélioration de la santé de l'Homme, c'est à dire son bien-être, physique, moral et social »
16. Objectifs La sécurité alimentaire (food security) par la protection de la ressource que constitue le cheptel ;
La sécurité sanitaire des aliments d’origine animale (food safety) ;
La santé et la sécurité publique (animaux dangereux et zoonoses) ;
Le bien-être des animaux ;
La sécurité sanitaire dans les échanges internationaux.
18. Caractère régalien Toutes ces fonctions participent à la sécurité
Caractère essentiellement « régalien »
Point universel qui débouche sur
la notion de bien public mondial
Le rôle de police (administrative et judiciaire) des Services vétérinaires
19. Les blocs de législation
20. Environnement des « blocs »
21. Place du PALV
22. Plan Un contexte et des principes
Un constat : les évaluations PVS
Une analyse : les missions « législation »
Une réponse : le Programme d’Appui pour la Législation Vétérinaire (PALV)
23. Évaluations PVS La base législative est un élément de la majorité des compétences critiques
Spécifiquement envisagées par les CC IV-1 et IV-2
24. Compétence critique IV-1 Autorité et capacité permettant aux SV de participer activement à l’élaboration de la législation et des réglementations nationales dans leurs domaines de compétence afin de veiller à l’assurance de leur qualité dans leurs aspects légistiques et juridiques (qualité interne), de leur accessibilité et de leur acceptabilité, ainsi que de leur applicabilité aux contextes techniques, sociaux et économiques (qualité externe).
25. Compétence critique IV-2 Autorité et capacité permettant aux SV de s'assurer que les acteurs concernés respectent la législation et la réglementation pour les questions relevant de leur domaine de compétence.
26. Enseignements des PVS Bases juridique de l’action : existence de textes
Sécurité de l’action :
qualité juridique des textes
Pertinence de l’action : disponibilité des textes et compétences des acteurs
Il existe un besoin important sur ces sujets.
27. Plan Un contexte et des principes
Un constat : les évaluations PVS
Une analyse : les missions « législation »
Une réponse : le Programme d’Appui pour la Législation Vétérinaire (PALV)
28. Échantillon
29. Couverture du domaine variable Manque de textes
30. Sur le plan qualitatif Beaucoup de bons éléments mais aussi :
Du mauvais,
Du superflu,
De l’inutile,
Du néfaste
Du dévoiement
31. Causes Technocratie vétérinaire (s’isole du politique)
Mauvaise définition du besoin
Insuffisance de la réflexion stratégique
Insuffisance de formation juridique
Insuffisance des infrastructures
32. Définition du besoin Sur ou sous estimation de la qualité des textes
Analyse technique et juridique rare
Réponses partielles et orientées
Surestimation de la puissance des textes
On veut une législation sans définir les objectifs à atteindre
33. Vision stratégique insuffisante La pression conjoncturelle (crises et projets)
La réaction à chaud
Le sous effectif (quantitatif et qualitatif)
Le cloisonnement (empilement de textes)
Font que les aspects pratiques prédominent sur les aspects stratégiques et que la demande porte plus sur la mise en conformité à court terme que sur un développement à long terme.
Phénomène accentué par les projets
34. Culture juridique … Méconnaissance des fonctions de la norme
Mélange des domaines exécutifs et législatifs et atteinte à l’État de droit
Négligence des droits fondamentaux (saisie, inspection, abattage, recours…)
Méconnaissance de l’état du droit et insécurité juridique (SGBD, diffusion…)
Méconnaissance des procédures
35. Technique et structures Les services vétérinaires ne disposent pas de services juridiques propres ou d’un soutien externe efficace
Les procédures de création législative et réglementaires sont mal connues
Peu de participation formelle des bénéficiaires
Manque de statistiques
Abrogations “à la volée” auto-destructrices
Manque de moyens matériels et surtout humains
36. Plan Un contexte et des principes
Un constat : les évaluations PVS
Une analyse : les missions « législation »
Une réponse : le Programme d’Appui pour la Législation Vétérinaire (PALV)
37. Évolution du programme Initialement : élaboration d’un cadre général
Mais les situations sont trop différentes
Infrastructures souvent inadéquates
Approche par objectif : lignes directrices
Nécessité de méthodologie
Définition d’une « qualité »
Programme PALV
38. Limites du programme Le PALV est techniquement délimité par :
Un champ d’action : le domaine vétérinaire
L’objet de l’action : la législation vétérinaire
Les outils : appui méthodologique et mise en œuvre des concepts
39. Définition d’une qualité Utile
Pertinente
Acceptable
Applicable
Appliquée
Objectifs du PALV
40. Qualité interne a- Une conception et un positionnement hiérarchique respectueux du système juridique en vigueur ;
b. La conformité aux dispositions internationales de la formulation juridique ;
c. La rigueur de la légistique et la sécurité juridique qui en découle;
d. L’intelligibilité
e. L’accessibilité
41. Qualité externe a. La pertinence de la solution technique encadrée par le texte ;
b. La conformité aux dispositions internationales de la solution technique ;
c. L’intelligibilité
d. L’accessibilité
e. L’acceptabilité
f. L’applicabilité (technique et juridique)
g. L’application
h. Le coût pour l’administration et pour les bénéficiaires.
42. Problèmes des Modèles 1. Ils font abstraction des inter-relations avec les autres domaines du droit
2. Ils ne peuvent pas prendre en compte l’ordre juridique de tous les pays.
3. Ils imposent des choix techniques et juridiques là où d’autres solutions localement plus pertinentes pourraient exister.
4. Ils n’intègrent pas les facteurs de coût et de temps.
5. Ils ne peuvent pas prendre en compte le critère d’applicabilité.
43. Modèles versus LD
44. Les lignes directrices : généralités Approche régalienne
Pas de proposition de répartition des compétences
Conception de la fourche à la fourchette
Niveau hiérarchique des textes indéfini
Vocabulaire neutre et à adapter
45. Une première partie générale Objectifs généraux
Qualité de la législation et la légistique
Autorité compétentes et chaîne de commandement
Pouvoirs des agents
Les pénalités
Le financement
Etc. …
46. Une deuxième partie spéciale Les professions vétérinaires
Les laboratoires
Les délégations
Les dispositions sanitaires relatives à l’élevage
Les maladies des animaux
Le bien être animal
La pharmacie vétérinaire
La chaîne alimentaire
Les échanges internationaux
47. Idées forces du PALV Analyse quantitative et qualitative préalable
Définition d’une stratégie technique
Conception dans l’ensemble et dans le temps de la législation en vue d’une application réelle
Responsabilités du pays bénéficiaire et respect de ses spécificités
48. Objectif du PALV Apporter un appui méthodologique et des références pour :
Couvrir le domaine vétérinaire
Construire une législation de qualité
49. Pays cibles
50. Économie générale du programme Expression du besoin
Mission d’identification
Mission d’assistance
51. Expression d’un besoin
Expression spontanée
Mission PVS
GAP analysis
Expertise indépendante
52. La mission d’identification Format moyen de 4-5 jours
Objectifs : préciser la situation du pays, ses besoins et les conditions de l’amélioration.
Précédée d’une phase de préparation reposant sur des questionnaires.
Sur place,
première partie : partage de l’ensemble des concepts et des outils utilisés dans le programme. Évaluation de la situation générale.
deuxième partie : étude de textes et de la couverture du domaine vétérinaire.
Troisième partie : évaluation des besoins, notamment méthodologiques.
53. Conventions d’assistance Condition préalable : PVS et préidentification
Demande formelle du pays = engagement
Engagement sur un plan stratégique et sur un responsable de projet (annexes obligatoires)
L’OIE apporte un appui méthodologique et des références extérieures avec un expert attitré.
Suivi par correspondance et missions d’ajustement sur place (1 ou 2)
Mission d’information du chef de projet (si nécessaire)
L’OIE ne fait pas « à la place » et ne finance pas
La responsabilité reste au pays
54. Organisation
55. Administration et experts Responsable du programme
Coordonnateur du programme
Représentation régionales
Experts (Les expert agissant pour l’OIE doivent s’en tenir strictement à la position de l’OIE et faire abstraction de leur sensibilité)
Sélectionnés
Formés (Premier atelier à Djerba)
Évalués
56. Formalisme Un manuel du programme
Généralités
Administration du programme (gestion experts)
La mission d’identification
L’assistance
Les lignes directrices commentées
La boîte à outils
La communication
57. Financement Pris en charge par l’OIE
Fonctionnement du programme
Formation et suivi des experts
Déplacement des experts pour les mission d’identification et d’assistance
A la charge des États bénéficiaires
Logistique sur place
Mise en œuvre dans le pays
TRADUCTIONS
58. Conclusions Importance de la législation vétérinaire et de sa cohérence pour la gouvernance des SV et la sécurité sanitaire internationale.
Développement d’une référence (LD) mais pas de modèles.
Mise à disposition d’un appui méthodologique dans le respect du contexte de chaque bénéficiaire
Consolidation du bien public mondial