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1. National Lung Screening Trial (NLST). Patients âgés de 55 à 74 ans, fumeurs persistants ou ayant arrêté il y a moins de 15 ans lors de l’inclusion, au moins 30 paquet-année (moyenne de 48 paquet-année) Pas d’antécédents de cancer dans les 5 années précédentes
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1 National Lung Screening Trial (NLST) • Patients âgés de 55 à 74 ans, fumeurs persistants ou ayant arrêté il y a moins de 15 ans lors de l’inclusion, au moins 30 paquet-année (moyenne de 48 paquet-année) • Pas d’antécédents de cancer dans les 5 années précédentes • Randomisation radiographie pulmonaire annuelle versus tomodensitométrie low dose • Caractéristiques des patients identiques dans les deux bras et relativement semblables à la population des États-Unis • Surveillance de septembre 2002 à juillet 2009 • Plus de 53 454 patients inclus, avec une compliance de 95 % D’après Eberle D. et al., session spéciale actualisée
2 National Lung Screening Trial (NLST) • Un dépistage positif est un examen durant lequel est trouvée une anomalie qu’elle soit suspecte de cancer ou non • Une telle anomalie stable sur trois examens successifs est considérée comme bénigne • 649 cancers dépistés en 3 ans par tomodensitométrie (3,6 % des tomodensitométrie positives) et 279 par la radiographie (5,5 % des radiographie pulmonaire annuelle positives) D’après Eberle D. et al., session spéciale actualisée
3 National Lung Screening Trial (NLST) • Analyse intérimaire 10/2010 • Arrêt de l’essai par le comité de pilotage, du fait de la différence significative dès la troisième année • 6,7 % de réduction de la mortalité « toute cause » dans le bras tomodensitométrie • Le cancer bronchique représente 24 % des décès dans le suivi des patients et 63 % des 123 décès « en excès » dans le bras radiographie des poumons • Le nombre de patients devant être screennés pour sauver une vie : 320 patients (à titre d’exemple, il faut 400 patientes pour les mammographies) D’après Eberle D. et al., session spéciale actualisée
4 National Lung Screening Trial (NLST) • Première étude démontrant un intérêt en termes de réduction de mortalité d’un dépistage par scanner thoracique annuel dans une population à risque • Néanmoins, cette population était « idéale », avec un fort risque de cancer avec une imagerie standardisée, une revue centralisée rapide des examens d’imagerie (moins de 1 mois) et une prise en charge rapide et optimale des patients. • On ne peut transposer les résultats à une autre population à risque (amiante, tabagisme moindre, antécédents de cancer, autre système de santé etc...) D’après Eberle D. et al., session spéciale actualisée