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L’accolade Celui qui pose sa main sur l’épaule de son interlocuteur est celui qui détient le pouvoir ou souhaite faire passer ce message.
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L’accolade Celui qui pose sa main sur l’épaule de son interlocuteur est celui qui détient le pouvoir ou souhaite faire passer ce message. La main (gauche) qui vient se poser sur l’épaule droite est une façon de limiter l’ambition de celui qui reçoit l’accolade. Quant à la main qui se pose sur l’épaule gauche, elle est un message d’affection ou de reconnaissance à un ami.
Le vendeur passe sa pince pouce-index de chaque côté de ses lèvres en promettant à son client de livrer la commande dans le délais. Il vient de MENTIR.
La position de ses jambes infirme sa pseudo-adhésion. « je suis absolument d’accord avec vous,» renchérit le faux-cul qui croise résolument sa jambe droite sur la gauche »
Une bouche en assiette de potage renversée. Les lèvres vérouillées, il ne commente pas, ne réagit pas. On constate que son regard est éteint. • On parle à un mur.
Quand on croise les doigts, coudes en appui, tandis que la personne écoute religieusement. • Le personnage représenté est dit cognitif (le pouce droit domine le gauche), l’on a affaire à un individu rationnel et carré dans son approche intellectuelle.
L’optimisme • Quand la main droite se réfugie régulièrement sous l’épaule gauche, paume plaquée sous l’aisselle gauche. • Le geste est rassurant, car la paume entre en contact avec les battements du cœur. L’aisselle gauche est le siège symbolique de l’optimisme. Tant que le cœur bat tout va.
Le pessimisme • La main gauche se réfugie sous l’épaule droite, paume coincée sous l’aisselle droite. (le sujet à le sentiment d’être mal perçu par son entourage) • Il croise les bras pouces en érection, paumes collées sous les aisselles. Une bonne façon de se remonter les épaules pour donner l’impression qu’on a de la carrure. Mais chez l’adulte, cela montre un état dépressif
La langue des ancrages (les avants bras) • Vous agrippez votre avant-bras droit de votre main gauche. • Ce type d’ancrage révèle un bon niveau de superstition, s’il est produit de manière constante. • L’inverse (vous agrippez votre avant-bras gauche de votre main droite) votre hyperémotivité devrait se voir à l’œil nu.
La langue des ancrages (chevilles) • L’ancrage de la cheville droite • Il y a clairement un rapport indirect entre la cheville droite et la peur de l’échec. En agrippant la cheville droite, jambe en équerre, le sujet met sa motivation à l’abri. • L’ancrage de la cheville gauche • A l’opposé, les individus de sexe masculin souffrant de troubles sexuels ont plutôt tendance à effectuer le même geste en entrecroisant leurs doigts sur la cheville gauche. Cela indique dans tous les cas un sentiment d’angoisse. (la jambe gauche est en appui sur le genou droit).
La langue des ancrages (les coudes) • L’ancrage du coude gauche : échec affectif redouté ou confirmé. • L’ancrage du coude droit : échec scolaire ou professionnel redouté ! Les personnes qui reproduisent cette attitude régulièrement privilégient l’inertie à l’action.
La langue des ancrages (Les coudes) • L’ancrage des deux coudes : • Ils sont enveloppés par les mains, bras croisés. Cette variante est révélatrice d’une vraie frilosité face aux difficultés de la vie.
La langue des ancrages (les doigts) • Vous retenez les doigts de votre main gauche dans la main droite, vos bras sont cachés dans le dos. • Les doigts des deux mains sont source de créativité. Quand ils sont immobilités par l’autre main, le message non verbal se traduit par le refus du dialogue. • Il arrive que l’ancrage se fasse sur un ou deux doigts. Index et majeur droits bloqués par la main gauche trahissent un déficit d’affirmation et de confiance en soi.
La langue des ancrages (Les épaules) • Le double ancrage des mains aux épaules • Cette posture très glamour trahit un tempérament hyperémotif de la part d’un individu qui tire volontiers des plans sur la comète.
La langue des ancrages (Les épaules) • L’ancrage de l’épaule gauche • Votre main droite est accrochée à l’épaule gauche, le bras replié sur lui-même. Quand l’enthousiasme se dégonfle, la main droite s’accroche souvent à l’épaule gauche. • L’ancrage de l’épaule droite • L’épaule droite est le siège symbolique des ambitions. On y accroche sa main gauche pour se protéger du mauvais œil.
La langue des ancrages (Les genoux) • Le croisement des doigts sur l’un des genoux est un refrain classique. • « j’ai peur d’un coup de pied à ce niveau » est le sens symbolique de cette attitude. • Le genou droit est le siège de la mobilité et du progrès. • Le genou gauche est la siège symbolique de la fuite.( vous défiler)
La langue des ancrages (Le stylo) • La plupart des leaders d’opinion conservent un stylo entre leurs doigts, stylo auquel ils se raccrochent. • Il s’agit là d’un geste barrière typique chez les hommes d’influence (politiciens, journalistes, animateurs). Leur stylo est une arme symbolique qui est censée les protéger contre le harcèlement de leurs détracteurs.
La langue des ancrages • L’atémi • La main gauche retient la main droite au niveau de la tranche externe de la paume et vice-versa. • Le tranchant de la main est équivalent au tranchant du couteau, de la hache ou du sabre. L’ancrage au tranchant est un geste d’agressivité latente. Cela traduit une colère non exprimée.
Applaudissement • Ce type d’applaudisseur (critique) n’est pas forcément bon public dans la mesure où sa raison inhibe son émotion. A l’inverse, quand la main gauche percute la main droite, l’émotion domine la raison (admirateur).
Applaudissement • L’enthousiasme est au rendez-vous.
Appui (prendre) • Les avant-bras posés à plat sur la table signalent un entrepreneur. • Les avants-bras en appui indique un bon niveau de confiance en soi.
Appui (prendre) • Les gestionnaire : • Il pose ses poignets ou ses mains sur le bord de la table, ce refrain révèle un tempérament soumis aux règlements ou à la hiérarchie, plus gestionnaire qu’entreprenant.
Appui (prendre) • Le penseur • Les coudes en appui. • Une manie propre à tous ceux qui pensent plus souvent qu’ils n’agissent. Et ceux qui pensent sont bien utiles à tous ceux qui agissent et aux autres qui gèrent. Il faut donc de tout pour faire un monde.
Assise (la position) • La manière dont nous nous asseyons traduit le climat ponctuel qui règne dans l’attitude mentale. Il faut observer vos interlocuteurs en position assise. S’il est projeté en avant, il a peur d’être récusé ou censuré. S’il est en arrière, il exprime son besoin de liberté ou de fuite. S’il est incliné à droite, il trahit une volonté d’aboutir. Penché alternativement à gauche et à droite, il tente de vous séduire, au sens large du terme.
Assise (la position) • Ici les individus timides adoptent souvent cette attitude.
Assise (la position) • Elle pose l’un de ses talons sur le bords de son siège, cuisse ramenée contre le tronc. • Quand un pied quitte le sol, l’apesanteur se manifeste au niveau intellectuel et l’assurance fait trois pas en arrière.
Assise (la position) • Les pieds posés sur le coin du bureau • L’attitude est typique de ces minus qui se prennent pour des patrons cool. C’est aussi une posture méprisant pour celui qui se trouve en face.
Assise (la position) • Elle croise une jambe sur l’autre tout en glissant l’une de ses mains entre ses cuisses. • Il ou elle attend de votre part une potion magique qui lui permettrait de réaliser ses rêves. • Peur d’échouer.
Assise (la position) • Bras et jambes croisés, il se penche en avant sur sa chaise. • Double croisement et attitude d’enfermement imposée par la méfiance.
Assise (la position) • Elle s’assoit en ramenant un de ses pieds sous ses fesses. • Les pieds en apesanteur expriment le manque total d’emprise sur la réalité. • C’ est une jolie rêveuse.
Assise (la position) • Elle s’appuie sur ses coudes sur la table, le corps penché en avant vers son interlocuteur • Viol du territoire de l’autre, pour la bonne cause en cas de parade amoureuse et pour la mauvais quand il faut persuader à tous prix un client récalcitrant.
Assise (la position) • Il se sent le bienvenu et exprime ce sentiment en se mettant à l’aise
Assise (la position) • La posture fœtale par excellence ! Se protège-t-elle ou au contraire attend-elle que vous la preniez dans vos bras ? • La posture foetale équivaut à une forteresse vide dans laquelle elle se réfugie.
Assise (la position) • Posture assez courante qui révèle un esprit obtus et un beau degré de naïveté
Assise (la position) • Attitude héritée de l’enfance, il est possible que le ton trop pédagogique d’un interlocuteur induise une relation de maître à élève qui influence le climat mental et provoque cette séquence gestuelle particulière.
Assise (la position) • Cette séquence gestuelle est une attitude contestataire de type adolescent. Votre interlocuteur a littéralement coupé le courant qui le relie à la terre.
Il se sure l’écartement entre les incisives avec l’ongle de son auriculaire. • Un réflexe typique d’une personnalité narcissique. • Ou il se gratte les commissures des lèvres de l’auriculaire droit ou gauche • Il n’a pas la conscience tranquille ou vous le mettez mal à l’aise.
Les avants bras • Siège symbolique des moyens défensifs naturels, de la méfiance et de la prévention. • L’avant bras gauche du droitier est son bouclier. • L’avant bras droit est celui de la suggestibilité et de la superstition.
Les avants bras • Leur corps penche du côté du cœur. Ils sont parfaitement inconscients de l’effet de protection que cela procure, et pourtant tous les grands tribuns la reproduisent.
Il s’agit d’une attitude de fausse désinvolture de la part d’une simulatrice. • En les superposant hors contexte de violence, vous anticipez une hostilité larvée.
Le baiser • Le baiser fait partie de la panoplie des conventions sociale. Hiérarchiquement, le baiser représente le degré au-dessus de la poignée de main. • Pourquoi 4 bisous et non pas 2, 3… • Embrasser l’autre, c’est créer les conditions d’un pacte de non-agression. D'où la manie d’embrasser tout le monde y compris les inconnus.
Bas-ventre • Il s’agit d’un geste inconscient coutumier chez les individus enrobés, ceux qu’on nomme aussi les bons vivants. Il révèle effectivement un besoin de protéger le bas-ventre d’une agression éventuelle.
Le double ancrage des biceps • Est un signal fort, une demande de protection massive face à une situation perçue comme étant désespérée.
L’ancrage unique du biceps gauche de la main droite est un aveu quand il est reproduit avec constance : « je suis un perdant » est le sens symbolique de ce geste.
La main en cornet est une sorte d’entonnoir destiné à empêcher les pensées de se verbaliser. Ce refrain gestuel alternatif trahit une hostilité authentique et parfaitement prédictive. • Sens critique très négatif.
Le bras caché Si c’est la main gauche qui est cachée, il tente de contrôler ses émotions S’il s’agit de la main droite, il craint de perdre le contrôle de la situation.