1 / 16

LES FRANCAIS ET LA GUERRE

LES FRANCAIS ET LA GUERRE. Quels sont les principaux acteurs des combats de la guerre de 1914-1918?. Le Maréchal JOFFRE. Joseph Jacques Césaire Joffre est né le 12 janvier 1852 à Rivesaltes , dans les Pyrénées-Orientales .

mimi
Download Presentation

LES FRANCAIS ET LA GUERRE

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. LES FRANCAIS ET LA GUERRE Quels sont les principaux acteurs des combats de la guerre de 1914-1918?

  2. Le Maréchal JOFFRE • Joseph Jacques Césaire Joffre est né le 12 janvier1852 à Rivesaltes, dans les Pyrénées-Orientales. • Fils de viticulteur, il entre à l’école polytechnique en 1869. Et entame sa carrière militaire en 1870 au grade de sous-lieutenant. • Il sert en métropole et est promu capitaine en 1876. • Il est nommé en outre-mer en 1885 pour l’Extrême Orient où il s’illustre en assurant la domination française dans cette région ce qui lui valu d’être promu au grade de lieutenant-colonel. • Il est promu colonel en 1897. Puis général de brigade en 1902 après un séjour à Madagascar. Il a alors 50 ans. • Photo de 1919

  3. Il continue son ascension hiérarchique au sein du Ministère de la Guerre et est nommé membre du Conseil supérieur de la Guerre. • En 1911 il devient chef d’état major général : il réorganise et modernise l’armée. • Il est nommé Commandant en chef des armées pendant les 2 premières années de la Première Guerre Mondiale. • Ses ordres basés sur l'attaque à outrance, sous-estimant la puissance et l'organisation des armées allemandes, conduisent inévitablement à l'échec de l'offensive en Alsace et à la défaite de la France dans la bataille des frontières. • Au moins les deux tiers des 600 000 morts de 1914 et 1915 tombèrent sans aucun effet sur l'issue du conflit

  4. A la suite de quoi, il parvint à se rattraper en organisant magistralement la retraite, en remportant du 6 au 13 septembre 1914, la victoire dans la Marne qui repoussait les armées allemandes sur la vallée de l'Aisne et sauvait Paris. Ce succès lui valut une popularité inouïe Il se vit ôter une partie de ses responsabilités et préféra alors démissionner. Il fut remplacé par le général Nivelle. Il fut fait, toutefois, maréchal de France, le 25 décembre 1916, dignité qui n’avait plus été accordée depuis plus de vingt ans. Jusqu’à la fin des hostilités, son rôle allait dès lors de limiter à des missions à l’étranger (au Japon et en Amérique), qui étaient essentiellement de prestige. Le maréchal Joffre fut élu à l’Académie française le 14 février 1918. Il défila aux côtés de Foch et de Pétain, lors du défilé de la Victoire, le 14 juillet 1919. Il reçu au terme de ses jours, à de superbes funérailles nationales

  5. Le Général NIVELLE • Robert Georges Nivelle est né à Tulle le 15 octobre1856. • Officier français de mère anglaise (ce qui lui vaut d'être bilingue), il est artilleur de formation et diplômé de l'École Polytechnique en 1878. • Il sert à l’étranger et est promu général de brigade en même temps que Pétain, en octobre 1914 au début de la Première Guerre mondiale. • Le 19 avril1916, il succède à Pétain dans la charge de défendre Verdun. Et est victorieux. • À la suite de ses victoires, le 25 décembre1916 il remplace comme commandant en chef des armées le général Joffre.

  6. Il décida de mettre fin à la guerre d'usure menée autour de Verdun et de revenir à « l'attaque brusquée » : il compte emporter la décision par des attaques frontales massives à l’abri d’un rideau de feu. Il charme ses alliés britanniques. Séduit, Lloyd George accepte de placer des troupes britanniques sous son commandement. Comble de malchance, les Allemands saisirent un exemplaire de son plan d’attaque dans une tranchée qu’ils avaient conquise. L'offensive qu'il déclencha n’eut donc aucun effet de surprise contre une très forte défense le 16 avril1917, et la Bataille du Chemin des Dames, se solda par un échec. Elle fut très coûteuse en vies humaines : les Alliés perdirent 350.000 hommes pour un gain de terrain insignifiant. Des mutineries et des refus de monter au front commencèrent. Un mois plus tard il fut remplacé en catastrophe par Pétain et envoyé en disgrâce, en décembre 1917, prendre le commandement des troupes françaises d'Afrique du Nord. Il revint en France après la guerre et prit sa retraite en 1921. Il meurt le 23 mars1924 à Paris.

  7. Le Maréchal Pétain • Il est né le 24 avril1856 à Cauchy à la Tour dans le Pas-de-Calais. • A partir de 1876, il est élève à Saint-Cyr. • En 1904, il occupe un poste de professeur adjoint à l'École de Guerre où il se distingue par des idées tactiques originales. • Humiliés par la défaite de 1870, les états-majors se montrent volontiers bravaches et revanchards. On y prône la guerre à outrance. Pétain, lui, préconise la prudence, la défensive et la guerre de position. • Dès le début de la guerre, à la tête d'une brigade d'infanterie, il se distingue en Belgique. • Nommé général de corps d'armée, il réalise des actions d'éclat tout en se montrant soucieux d'épargner la vie de ses hommes dont il gagne le cœur. • Nommé général de brigade le 30 août 1914

  8. Il est fait officier de la Légion d'honneur, le 8 octobre 1914 pour son héroïsme au combat. Il est promu divisionnaire, le 14 septembre Le 10 mai 1915, il est fait commandeur de la Légion d'honneur Il sauve la place de Verdun, attaquée le 21 février 1916, en organisant, la défense aérienne et terrestre, et en mettant en oeuvre une noria de relèves acheminées par la route de Bar-le-Duc à Verdun, baptisée "La Voie sacrée". Le 15 mai 1917, il est nommé commandant en chef des armées françaises qu'il conduira jusqu'à la victoire. Il est notamment appelé à réprimer les mutineries qui avaient éclaté après l'attaque du Chemin des Dames en avril. Philippe Pétain réduit au minimum les exécutions prononcées par le Conseil de Guerre et rétablit l'ordre et la discipline, en restaurant la confiance des troupes par l'amélioration des conditions matérielles et morales du soldat, ainsi que par la suppression des offensives de grand style, en attendant "les Américains et les chars". Le 8 décembre 1918, Philippe Pétain reçoit le bâton de Maréchal de France. Nommé vice-président du conseil supérieur de la guerre en 1920 et Inspecteur général de l'armée en 1922, le maréchal Pétain se consacre à la réorganisation de l'armée française. Le 22 janvier 1931 il est reçu à l’académie française. Après la débâcle française pendant la Deuxième Guerre Mondiale, Pétain est appelé à la présidence du Conseil le 16 juin 1940. Il demande l'armistice et le 10 juillet 1940, obtient du Parlement, réuni à Vichy, les pleins pouvoirs. Il fonde alors l' "État français" et engage la France dans une politique de collaboration avec l'Allemagne. A la Libération, il est jugé et condamné à mort. Sa peine est commuée en détention à perpétué par le général de Gaulle. Il meurt le 23 juillet1951 à Port-Joinville durant son internement sur l'île d'Yeu en Vendée, où il demeure inhumé.

  9. Le Maréchal FOCH • Ferdinand FOCH est né à Tarbes, le 2 octobre 1851. • Quand éclata la guerre de 1870, il s’engagea dans l’infanterie. • il entra à l’École Polytechnique, et termina ses études en 1873 avec le grade de lieutenant . • Il gravit les échelons de la hiérarchie militaire : lieutenant-colonel en 1898, colonel en 1903, général de brigade en 1907, général de division en 1911, général de corps d’armée en 1913. • Quand éclata la Première Guerre mondiale, il participa à plusieurs batailles clés comme la bataille de Lorraine, puis, la bataille de la Marne ; il prit également part à la « course à la mer». • Nommé à la tête des armées du Nord, il dirigea en 1915 l’offensive d’Artois et, en 1916, la bataille de la Somme.

  10. Tandis que le général Pétain prenait le commandement en chef de l’armée française, le général Foch était nommé « chef d’État-major général ». • Au printemps 1918, les Anglais acceptèrent que lui soit confié le commandement unique des troupes alliées. • Surpris en mai par l’offensive allemande au Chemin des Dames, il sut reprendre l’initiative et mener les troupes à la victoire. • Signataire de l’armistice à Rethondes, le 11 novembre 1918, il défila à la tête des armées alliées, lors du défilé de la Victoire, le 14 juillet 1919. • Foch reçu son bâton de maréchal le 6 août 1918. • Il fut élu le jour même de l’armistice à l’Académie des sciences et, dix jours plus tard, le 21 novembre, à l’Académie française. • Mort le 20 mars 1929, le maréchal Foch fut inhumé aux Invalides.

  11. Le Général Mangin • Charles Mangin est né à Sarrebourg en 1866. • Ancien élève de l'école militaire de Saint-Cyr, il sert au Soudan à la tête des tirailleurs sénégalais. • Pendant la Première Guerre mondiale, devenu général, il commande en 1914-15 une brigade d'infanterie puis une division. • En 1917, il participe à la désastreuse offensive de Nivelle, sur le Chemin des Dames. • Partisan de l'offensive à tout prix, il est surnommé « le boucher » par ses hommes. • L'attaque s'enlisant, il est limogé.

  12. Il ne revient qu'au printemps 1918, suite à la nomination de Ferdinand Foch, pour participer à la seconde bataille de la Marne. • Au cours de celle-ci, il dirige la célèbre contre-attaque du 18 juillet à Villers-Cotterêts où il brise l'ennemi. Vainqueur dans l'Aisne à l'automne, il rompt le front allemand, libère Soissons et Laon. • L'armistice annule son offensive prévue en Lorraine. • Il meurt en 1925. • On érige une statue à son effigie à Paris. Elle sera détruite en 1940 par les forces d'occupation allemandes, sur l'ordre d'Adolf Hitler, puis reconstruite après la guerre de 1939-1945.

  13. La mémoire des soldats • Pour honorer la mémoire des belligérants de 1914-1918, de nombreux monuments aux morts furent construits. • Comme celui de Vallauris, Place de la Libération, construit en 1923 par Delfoly. • Ces photos montrent le monument de différents angles. • Malheureusement, la place de la Libération était en travaux.

  14. J’ai choisi d’étudier ce monument car la statue est particulièrement travaillée. • Elle a été sculptée dans une roche calcaire. • Elle représente un ange qui tient entre ses bras un soldat agonisant, le visage déformé par la douleur. • Cette image est très forte, car rappelle à tout ceux qui admire cette œuvre la souffrance des soldats de 1914-1918.

  15. Ce monument est financé en grande partie par une souscription effectuée parmi les habitants de Vallauris pour rendre hommage aux morts de la Première Guerre mondiale. • Les noms des soldats défunts originaires de la commune figurent sur les deux autres faces de la stèle.

  16. Sources • Encyclopédie online Wikipédia (articles et photos): www.wikipedia.fr • Sites Internet sur Vallauris Golfe Juan: http://membres.lycos.fr/collegeppicasso/pages/vallauris.htm http://vallauris.golfejuan.free.fr • Hist-géo.com: http://www.hist-geo.com • http://www.marechal-petain.com/ • Le site de l’Académie Française: www.academie-francais.fr • Pour les photos de certaines biographies: www.military-photos.com • Les photos du monument aux morts ont été prises par moi-même.

More Related