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STUPEFIANTS. A l’inverse des drogues « dures » qui empêchent bien souvent de conduire, il ne faut pas croire que les drogues dites « douces » n’ont pas d’effet néfaste sur la conduite. Une perception déformée: Champ de vision rétréci Instabilité de l’image
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STUPEFIANTS • A l’inverse des drogues « dures » qui empêchent bien souvent de conduire, il ne faut pas croire que les drogues dites « douces » n’ont pas d’effet néfaste sur la conduite.
Une perception déformée: Champ de vision rétréci Instabilité de l’image Mauvaise appréciation des distances et des vitesses Difficulté de reconnaissance des objets Troubles du comportement ( surexcitation, agressivité ou désintérêt) Hallucinations… Des décisions incohérentes: Euphorie qui peut entraîner un sentiment d’invincibilité Notion du temps et de l’espace décalée Analyse erronée des situations Décisions inadaptées Prises de risques fréquentes… STUPEFIANTSDes effets sur la conduite
STUPEFIANTS • Conduire c’est décider d’être en possession de tous ses moyens • Des conséquences: On estime qu’environ 10 à 15% des accidents mortels seraient dû à une conduite sous l’empire de produits stupéfiants, avec un pic de 40% les nuits de week-end. • A savoir: 2 000 000 de consommateurs réguliers de cannabis en France, 5 000 000 de consommateurs occasionnels.
STUPEFIANTS • Conduire c’est décider d’être en possession de tous ses moyens • Des conséquences: On estime qu’environ 10 à 15% des accidents mortels seraient dû à une conduite sous l’empire de produits stupéfiants, avec un pic de 40% les nuits de week-end. • A savoir: 2 000 000 de consommateurs réguliers de cannabis en France, 5 000 000 de consommateurs occasionnels.
STUPEFIANTS • Comme l’alcool, la drogue met du temps avant d’être éliminée par l’organisme. • Les effets peuvent durer de 2 à 7 heures pour le cannabis mais jusqu’à plusieurs jours pour les drogues dures. • Il n’y a pas de drogues douces au volant. Toutes induisent des effets plus marqués que ceux qui proviennent d’une alcoolémie à 0,5 g/l. Elle présente un danger potentiel important car leur consommation s’accompagne d’effets psychomoteurs incompatibles avec la conduite.
STUPEFIANTS • Le cannabis: N’est pas un produit « soft ». Il entraîne une dépendance physique et provoque de véritables ivresses. Il altère la vision et les capacités de coordination, émousse les réflexes et entraîne chez le conducteur un désintérêt pour son environnement.
STUPEFIANTS • L’Ecstasy: Volontiers associé à l’alcool dans le cadre des rave-parties, il altère la vision et provoque un état euphorique, qui entraîne une sous-estimation des risques, et des troubles proches de l’hallucination.
STUPEFIANTS • Depuis le 01 octobre 2001, tous les conducteurs impliqués dans un accident mortel font l’objet d’un dépistage systématique de stupéfiants. Les sanctions: Le refus de se soumettre à ces examens est passible de deux ans de prisons, de 4500€ d’amende, d’une suspension de permis de 3 ans maximum et d’un retrait de 6 points.
STUPEFIANTS • Depuis le 04 février 2003, voici les sanctions possibles: • 2 ans de prisons • 4500 € d’amende • 3 ans de suspension ou d’annulation • T.I.G. • Immobilisation du véhicule • Retrait de 6 points du permis de conduire. A la différence de l’alcool, il n’y a pas de taux intermédiaire; toute utilisation de stupéfiant est interdite quelque soit le type de drogue et quelle que soit la quantité utilisée. Voir les articles du code de la route: L-235.1 à L-235.4
MEDICAMENTS • Certains médicaments ont des effets qui ne sont pas compatibles avec la conduite d’un véhicule: Effets affaiblissants: • Endormissement • Perte d’équilibre • Trouble du raisonnement • Temps de réaction allongé Effets stimulants: • Euphorie • Oubli du risque Logo sur boîte médicament Le facteur médicament interviendrait pour 8% des accidents.
MEDICAMENTS Diagramme effet médicament + Alcool