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Existe-il un impact négatif de la mobilité d’emploi involontaire sur la carrière salariale : Analyse appliquée au marché du travail thaïlandais Par Jongkon Kumlai Université Montesquieu-Bordeaux IV LARE- Efi / GDR-CNRS Okrajong@yahoo.fr http://kumlai.free.fr. Introduction.
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Existe-il un impact négatif de la mobilité d’emploi involontaire sur la carrière salariale: Analyse appliquée au marché du travail thaïlandaisParJongkonKumlaiUniversité Montesquieu-Bordeaux IVLARE-Efi/ GDR-CNRSOkrajong@yahoo.frhttp://kumlai.free.fr
Introduction Formes des carrières salariales→ mobilité interne / mobilité externe / promotion des carrières→mobilité salariale Complexité de la relation mobilités d’emploi et salariale →mobilité d’emploi volontaire (emploi-emploi) / involontaire (emploi-chômage) Hypothèse:mobilité professionnelle pour l’ensemble →croissance salariale : changement d’emploi par le chômage →une baisse salariale Exemple : Pertes salariales des mobiles atteignent 8 % au Portugal, 19 % en Allemagne, 9 % en Espagne et 9 % en France [Pérez et Sanz (2005) p.549] Question : Combien les personnes involontairement mobiles perdent-elles les salaires consécutive à la mobilité professionnelle passant par le chômage ?
Cadres théoriques(modèles néoclassiques) • Blumentet al. (1955) → mover-stayer • Mortensen (1978)→ la probabilité de se séparer de l’emploi actuel dépend négativement de la part du capital humain spécifique prise dans l’appariement emploi-salarié • Jovanovic (1979) → l’efficacité de l’appariement de l’emploi (modèle de l’appriement de l’emploi) • Burdett (1978) → l’efficacité de recherche d’emploi a un impact positif sur les gains (modèle de la recherche d’emploi)
Cadres théoriques(théorie de la segmentation) • Approche institutionnaliste et de la sociologie • Secondaire et primaire • Mobilités fréquentes →défavorable aux pauvres dans le secteur secondaire (emplois « atypiques ») • Mobilités d’emploi →la situation d’auto-renforcement à l’enfermement, dans le segment à bas salaire • Trajectoires professionnelles se divergent et le processus de la polarisation des emplois à haut et à bas salaire
Sources statistiques et analyse descriptive • Enquêtes socio-économiques de panel (HSEPS) sur la période allant de 2005 à 2006 • Par définition, la mobilité d’emploi s’assimile à la séparation de l’employeur à une date donnée (changement d’emploi, du département, d’une zone géographique ou d’un secteur de production) sans mobilité intra-firme • Sélection de données → 15 ans et plus en 2005 → vivant en milieu urbain → travailleurs non indépendants → salaires positifs
Spécification du modèle et sélection des variables • Estimation des fonctions de gains à l’aide des méthodes de moindre carré ordinaire →coefficients biaisés de variables estimées • Modèle à deux étapes d’estimation →corriger l’auto sélection • Méthode de maximum de vraisemblance →estimateurs plus robustes, axiomatiquement convergents et relativement plus efficaces • Modèle Probit multinomial à changement de régime endogène
Résultats des estimations du modèle (Equations de sélection)
Conclusion • Certains changements professionnels →une perte salariale ( mobilité d’emploi involontaire ) • Minimiserle nombre et la durée du chômage • Renforcerl’efficacité de la recherche d’emploi • Mesures d’aide aux chômeurs (indemnité de chômage ou autres ) • Impact de la mobilité d’emploi des travailleurs à bas salaire sur les carrières salariales (http://kumlai.free.fr/)
Existe-il un impact négatif de la mobilité d’emploi involontaire sur la carrière salariale: Analyse appliquée au marché du travail thaïlandaisParJongkonKumlaïUniversité Montesquieu-Bordeaux IVLARE-Efi/ GDR-CNRSOkrajong@yahoo.frhttp://kumlai.free.fr