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VAROA DESTRUCTOR. Acarien parasite de l'abeille adulte. Larve : se nourrit de la nourriture apportée aux larves d'abeille dans les cellules de celles-ci. Adulte : attaque l'abeille et se nourrit de son hémolymphe (sang de l'abeille).
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VAROA DESTRUCTOR Acarien parasite de l'abeille adulte Larve : se nourrit de la nourriture apportée aux larves d'abeille dans les cellules de celles-ci. Adulte : attaque l'abeille et se nourrit de son hémolymphe (sang de l'abeille). Pas de molécules pour s'en débarrasser actuellement, Seulement des moyens mécaniques ou des essences de plantes mais cela n'éradique pas l'acarien
GAUCHO Insecticide commercialisé par BAYER utilisé pour protéger les cultures (tournesol, riz, maïs, légumes, céréales d'automnes) en temps que traitement de semence. Particulièrement efficace, persiste longtemps dans les cultures. Toxicité : surexcitation des récepteurs nicotiniques d'acétylcholine du système nerveux des insectes. Début d'utilisation en France en 1994. Début syndrome de « Marie Céleste » en 1996. Regent TS Insecticide commercialisé par BASF pour le traitement du maïs. Même toxicité que le gaucho. A été supprimé en 2004 en France pour protéger les abeilles mais de nombreux pays l'utilisent encore.
OGM Les Organismes Génétiquement Modifiés sont des organismes vivants dont le patrimoine génétique a été modifié par l’homme. On pratique ces modifications sur les cultures de façon à les rendre résistantes face aux dangers qui les menacent. Cela évite l’utilisation de pesticides qui est blâmée par les consommateurs. Cependant ces organismes produisent eux-mêmes leur propre pesticide : la toxine bactérienne transgénique Bacillus thuringiensis (Bt) qui semble être néfaste pour les abeilles.
MONOCULTURE Les abeilles ont besoin d'une certaine diversité de plantes de façon a pouvoir butiner toute l'année et de plus leur alimentation doit être diversifiée pour leurs besoins, comme chez les hommes. Aussi la diminution de fleurs à nectar dans les jardins est dangereuse, ce sont celles-ci qui sont butinées par les abeilles.
Le transport des ruches Les apiculteurs transportent leurs ruches sous demande d’un paysan sur les champs de celui-ci pour une pollinisation plus active. Cela peut être néfaste pour les abeilles qui en effet n’ont plus leurs repères et peuvent ne pas revenir dans la ruche. Aussi des apiculteurs parcourent des fois des distances gigantesques avec leurs ruches (David Hackenberg traverse les États-Unis), les conditions climatiques favorables aux abeilles sont donc parfois chamboulées. On peut ajouter que les champs peuvent être traités aux pesticides ou OGMs, cela amène toutes les conséquences de ces deux dangers pour les abeilles et les exposent aussi à la monoculture.
LA POLLUTION ÉLECTROMAGNÉTIQUE Les ondes boulversent le sens de l'orientation des abeilles. Elles ne retrouvent plus la ruche. Des chercheurs de l’Université de Coblence ont étudié l’effet de certains champs magnétiques sur les abeilles. Ces scientifiques ont soumis un certain nombre de ruches au rayonnement de stations de téléphonie sans fil. Cette étude-pilote montre que le poids acquis des cadres d’alvéoles de colonies irradiés est inférieur de 20 % à celui de colonies non irradiées. Par ailleurs, le nombre d’abeilles irradiées de retour en ruche est très inférieur à celui des abeilles non irradiées.
POLLUTION ENVIRONNEMENTALE Durant leur activité de butinage, les abeilles prospectent d'importantes surfaces autour de leur ruche. Les abeilles parcourent leur environnement d’une façon systématique pour collecter du nectar, du pollen, du miellat, et de l’eau. Les abeilles sont, par conséquent, en contact avec les différents polluants présents dans l’environnement, qui peuvent être retenus à la surface de leur corps. La cire, le miel, le pollen des abeilles en contact avec la pollution environnementale sont contaminés par les hydrocarbures aromatiques polycycliques, polychlorobiphényles, substances néfastes pour elles.
LES TRAITEMENTS LA NUTRITION ARTIFICIELLE Le nourrissement d’hiver, riche en miellat, souvent issu d’une miellée de forêt tardive, n’est pas approprié pour l’hivernage et peut entraîner des symptômes tels que la dysenterie et/ou d’importantes pertes de colonies. Une autre cause avérée de mortalité correspond au manque de nourriture durant la période hivernale. En effet, après que l’apiculteur ai récupéré le miel, il est indispensable d’apporter aux abeilles un substitut car un déficit en nourriture entraîne la mort de la colonie.
Toutes ces causes ne sont pas certifiées, et la véritables cause de cette disparition n'est pas déterminée. Le mystère demeure, aucune trace de disparition n'est trouvée ou assez valable pour déterminer avec précision la cause responsable de ce désastre.