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Tibet19, Manastirea Sera

Sera Monastery is one of the most important monasteries of the Gelugpa (Yellow Hats) Buddhist school founded by the great reformer Tsongkhapa (1357-1419), a school that became the main religious and spiritual power and the most important monks chose the Dalai Lama and the Panchen Lama.

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Tibet19, Manastirea Sera

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Presentation Transcript


  1. Mănăstirea SERA

  2. SERA este una dintre cele mai importante mănăstiri ale şcolii budiste Gelugpa (Pălăriile Galbene) înfiinţată de marele reformator Tsongkhapa (1357-1419), şcoală care a devenit principala putere religioasă şi de mir iar cei mai importanţi călugări au ales pe Dalai Lama şi Panchen Lama Construită la 1419 de un discipol al lui Tsongkhapa, avea o academie faimoasă şi odinioară adăpostea 5.000 de călugări (în 2007 mai erau 330) est l'un des monastères les plus importants de l'école bouddhiste Gelugpa (chapeaux jaunes) fondée par le grand réformateur Tsongkhapa (1357-1419), une école qui est devenue la principale puissance religieuse et myrrhe et les moines les plus importants ont choisi le Dalaï Lama et le Panchen Lama.Construit en 1419 par un disciple de Tsongkhapa, il possédait une célèbre académie et abritait autrefois 5000 moines (il y en a encore 330 aujourd'hui – 2007)

  3. Mănăstirea ocupă 114.964 m²

  4. Le monastère de Sera est l'une des trois grandes universités monastiques gelugpa du Tibet. Les deux autres grands monastères gelugpa sont Drepung et Ganden. «Séra» signifie «L’enclos des Roses». Le monastère est à 5 km au nord du Jokhang à Lhassa. Il est toujours en activité aujourd'hui mais un monastère de même nom a été refondé en exil, en Inde du Sud, à Bylakuppe Selon un témoignage sous pseudonyme présenté par la journaliste Ursula Gauthier dans le Nouvel Observateur; après les troubles au Tibet, en juin 2008, il ne restait plus qu'une poignée de moines. En décembre 2008, il n'y en aurait qu'une centaine, les autres se trouveraient peut-être en prison à Nyintri dans le Kongpo (Est du Tibet)

  5. Mănăstirea Sera se află la 5 km de centrul oraşului Lhasa

  6. Le clou de toute visite au monastère de Sera sont ses débats bouddhistes ouverts aux touristes. Les séances de débats des moines ont lieu dans une cour fermée et commencent à 15 heures du lundi au vendredi. Le monastère peut être noir de monde à ce moment-là, alors assurez-vous d'arriver plus tôt pour trouver une bonne place à l'ombre. Le débat est bruyant et en tibétain, il est donc peu probable que les visiteurs comprennent ce qui se dit, mais il est intéressant de voir les moines discuter ostensiblement et avec vigueur des doctrines bouddhistes. En plus des débats des moines, le monastère lui-même présente une belle architecture, des statues, et des peintures murales, qui valent également le détour. Veuillez noter que le monastère est situé sur une colline en pente douce mais qu'il faut marcher.

  7. Plus de cent Tibétains, la plupart moines ou nonnes, se sont immolés par la feu depuis 2009. Pékin y voit une sombre manœuvre de la «clique du dalaï-lama», M. Tenzin Gyatso. Lequel assure pourtant qu’il «refuse d’encourager» ces gestes «de profond désespoir ».

  8. L'après-midi, les moines se réunissent dans le jardin du monastère et, pour le plus grand plaisir des visiteurs, débattent des textes bouddhistes qui leur sont enseignés à l'université

  9. Dezbaterea scolastică Dezbaterea scolastică necesită o perfectă cunoaştere a textelor, o logică ascuţită şi multă prezenţă de spirit. Practicată zgomotos de călugări în grup, ea are loc în curtea mănăstirii, la adăpost de vânt. Ledébat de la doctrine nécessite une parfaite connaissance des textes, une logique pointue et beaucoup de présence d'esprit. Bruyamment pratiquée par les moines en groupe, elle se déroule dans la cour du monastère, à l'abri du vent Cel ce pune întrebările stă în picioare în faţa celui întrebat, care e aşezat. Gesturile şi mai ales mimica sunt importante, căci cel care întreabă trebuie să-şi descumpănească adversarul, şi nu doar prin întrebări! Sunetul rozariului, plesnirea palmelor şi zgomotul pietrişului sunt tot atâtea mijloace de a-i tulbura concentrarea. Această întrecere nu există în şcolile religioase Kagyupa şi Nyingmapa Deux interlocuteurs se font face: Le messager de la tradition, défendeur d’une thèse, est assis. Le challengeur, clarificateur du raisonnement, ne défend aucune thèse et se tient debout face à lui. Pour débuter le débat, le Challengeur se rapproche et s’arrête à quelques pas du défendeur, il fait un léger claquement de main et prononce une formule consacrée: «Dhih!» Locution se référant à Manjusri, manifestation de la sagesse de tous les bouddhas, représenté avec l’épée de l’intelligence et de la vivacité d’esprit dans la main droite et le livre de la doctrine dans la main gauche

  10. Le challengeur fait des claquements de mains, tape des pieds, crie des moqueries lorsqu’il argumentetandis que le défendeur assis, se maintient, stoïque et imperturbable. La main gauche représente la sagesse. La main droite représente la méthode et la volonté de libérer tous les êtres humains de l’ignorance. Le claquement représente l’union de la sagesse et de la méthode qui permet d’atteindre l’état du bouddha. Tendre la main gauche après chaque claquement, c’est fermer la porte au cycle des renaissances

  11. Ces synchronisations verbales et gestuelles, la théâtralité et la dramatisation accompagnant les argumentations des adversaires, fabriquent une chorégraphie

  12. Les 4 nobles vérités du Bouddhisme sont: La souffrance, l’origine de cette souffrance manifestée par l’ignorance due à une perception défaillante de la réalité, la cessation de la souffrance et le vrai chemin de la cessation de la souffrance par l’expérimentation de ce que serait une vraie nature des phénomènes. Comme toute pratique bouddhiste, le but de la pratique du débat est de dépasser les deux premiersécueils: la souffrance et l’origine de la souffrance par la recherche intellectuelle d’une vraie nature des phénomènes

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