110 likes | 208 Views
Création d’une enseigne hôtelière écologique. Les grandes lignes du projet Le métier d’hôtelier Le métier au prisme de l’hospitalité Le métier au prisme de la technique. 1. Présentation du projet. projet de vie et projet vivant ;
E N D
Création d’une enseigne hôtelière écologique
Les grandes lignes du projet • Le métier d’hôtelier • Le métier au prisme de l’hospitalité • Le métier au prisme de la technique
1. Présentation du projet • projet de vie et projet vivant ; • exercer le métier d’hôtelier par la création d’une enseigne hôtelière “écologique” sans restaurant (petite restauration le cas échéant) d’une capacité maximum de 30 chambres ; • plus exactement par la création d’une enseigne hôtelière “non industrielle” dans une logique de renversement de la normalité : la régle devrait être celle d’un habitat sain ; • Travail sur le contenu d’un qualitatif : bon, beau, bien, bio.
2. Le métier d’hôtelier • Étymologie de Métier : • mystère : verticalité • ministère : horizontalité • Ces deux dimensions irriguent toutes les dimensions que l’on qualifierait aujourd’hui de part notre raisonnement analytique de culturelles, sociales, économiques, architecturales … • Elles fondent une cohérence, une unité qui est celle de la vie. • Le domaine de l’hôtelier est celui de l’hospitalité (vivante).
3. L’hospitalité au crible du métier 3.1 : La dimension du mystère quête mystérieuse de l’hospitalité approchée davantage comme un objectif que comme une donnée préalable la parabole du Samaritain et ses enseignements ; le mystère approché au cours d’hospitalités successives, où l’homme se raconte et écoute les histoires (datées ou présentes) de ses semblables.
3. L’hospitalité au crible du métier • 3.2 : La dimension du ministère • l’hospitalité du corps ne vaut que par celle de l’esprit : • figure du père • figure de la mère • Recherche d’une ritualisation de l’accueil, d’un art de recevoir
3. L’hospitalité au crible du métier • 3.3 : Les écueils et les impasses mortifères du travail • Une hospitalité institutionelle : un non lieu, un lieu vide, désincarné, hygiénique bref inhumain ; • Une mise en scène de l’accueil et une instrumentation de l’hospitalité • L’hospitalité, la question de l’autre, en vient même à ne plus être la question, à ne plus être le sujet ; l’autre n’est en fait qu’un pouvoir d’achat ambulant qu’il s’agit d’intercepter.
4. La technique au crible du métier • L’important est le type de réponse donnée aux besoins plus que les besoins eux mêmes : • Des bâtiments qui ne soient pas de simples contenants mais qui portent sens et fassent écho au métier ; • Des bâtiments qui ne soient pas de simples boîtes techniques, mais des espaces et des matériaux en liaison étroite avec leur environnement ; • Concevoir des batiments avec comme principe qu’une tâche doit être menée à bien de la façon la plus simple, la plus discrète et la plus directe possible ;
5. L’état d’avancement du projet • Le fait accélérateur du projet : le 1er appel à projet Développement Durable lancé par la Région Rhône Alpes en 2006 qui nous a compté parmi ses lauréats ; • Travail avec la MITRA pour la rédaction de deux cahiers des charges • Recherche et sélection d’un architecte en groupement avec un économiste de la construction : pas de benchmark dans le bioclimatique pour du collectif hôtelier • Recherche en parallèle d’une assiette foncière sur les départements Drôme er Ardèche ; • A venir : étude de faisabilité économique
En guise de conclusion • Un projet innovant ? • Retisser, régénérer un petit peu d’hospitalité ou de lien social : pas à pas avoir pour objectif de diffuser l’hospitalité; • aspect marketing : vendre un concept, une marque, une enseigne : le moyen d’une fin; • problématique du financement en phase avec la durée (y compris d’amortissement) dans laquelle s’inscrit ce type de projet
Et si vous ne dormiez pas à l’usine ce soir ?...