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Bondage Addiction Dossier de Presse. Présentation Démos et Shows en soirées, clubs et salons Articles de Presse Emissions TV Ce que nous proposons pour votre club. PRESENTATION.
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Bondage AddictionDossier de Presse • Présentation • Démos et Shows en soirées, clubs et salons • Articles de Presse • Emissions TV • Ce que nous proposons pour votre club
PRESENTATION • Je suis passionné de bondage depuis plus de vingt ans, intrigué et fasciné par les images de John Willie, et je n'ai eu la véritable révélation qu'à la quarantaine. Comme quoi certaines idées font leur chemin aussi doucement que le passage des cordes sur la peau. • Mon admiration allait vers les maîtres japonais car à mon sens le Kinbaku était un art à part entière et devenir un Nawashi un doux rêve. Quand je regarde le parcours de certains grands tel que Nureki, je suis rempli d'admiration. J'aimerais attacher 1000 femmes et rendre ainsi hommage à leur féminité et à leur beauté par le biais des cordes. • Au cours d'un passage au Japon pour aller en Nouvelle-Calédonie, j'ai pu toucher de près ce monde et il ne m'a plus quitté. Nous avons la chance de posséder plusieurs conditions afin d'exercer cet art magnifique : des modèles qui nous aiment et qui, par amour et passion, nous font entièrement confiance, des gens qui nous croisent et qui nous permettent de nous exprimer pleinement ... et un bon sens pratique et de l'observation. • Merci à toutes celles qui se laissent aller dans nos cordes ainsi qu'à ceux qui grâce à leur ouverture d'esprit et à leur intérêt pour diverses formes de ce monde érotique nous laissent exprimer notre passion. • Mention spéciale pour Clo et sa patience lorsque je teste des nouvelles suspensions, et que je sollicite lorsque l'inspiration me vient. • Dr Phil • Pour les contacter : contact@bondage-addiction.com
DEMOS ET SHOWS PROCHAINES PERFORMANCES EN 2010 LONDON FESTIVAL OF ART OF JAPANESE BONDAGE du 2 au 5 avril 2010 à Londres, UK : Shows et Workshops SHIBARICON, du 28 au 31 mai 2010 à Chicago, USA : Bondage Instructeur FESTIVAL LES FEEROTIQUES, Rennes, Décembre 2009 ( article de presse page 7)
DEMOS ET SHOWS • UBA CLUB, Perpignan, octobre 2007 • SALON EROTIQUE, Mulhouse, novembre 2007 • SALON EROS, Genève, Septembre 2007 • SOIREE LUTETIA NOIR au KLUB, Paris, juin 2009
DEMOS ET SHOWS TOKYO JAIL, Tokyo, mai 2007 L’EXTASIA (34), août 2006 GALERIE D’ENFER, Bruxelles, octobre 2006 NUIT DEMONIA, LA LOCO, Paris, déc. 2006 L’ACANTHUS (77), avril à juin 2007 SOIREE PERVARTY, LE KLUB , Paris, juin 2006
Démonia Magazine PHIL : BONDAGEUR PAR AMOUR POUR CLO Par Agnès Giard, mardi 24 octobre 2006 « J'ai 48 ans. Je suis un passionné de bondage depuis l'àge de 28 ans. Je suis autodidacte et ai commencé plutôt par l'observation et la mise en pratique ensuite... influencé par ce que je nommerai plus le bondage "anglo saxon".Je n'ai eu la révélation du bondage Japonais que sur le tard grâce notamment à internet et le fait d'avoir vu et croisé des pratiquants lors de voyages en océanie via le Japon.Je ne pensais pas à l'époque rejoindre des groupes et j'étais plutot "isolé"... De plus à l'époque, je ne fréquentais pas vraiment le monde fetish et SM ni de près, ni de loin.J'ai rencontré Clo qui est devenue depuis mon épouse et ma muse. Clo m'a énormément motivé dans cette pratique et j'ai la chance de l'avoir à mes côtés à la fois en tant que modèle et partenaire.Notre parcours commun est celui de diverses soirées publiques et privées...la création d'un site internet très bientôt... et surtout continuer à progresser au travers d'échanges, de rencontres telles que nous le faisons actuellement. »Ils seront à la Nuit Dèmonia 2006. ARTICLES DE PRESSE L’Est Républicain, page 2, édition du 17 novembre 2007
Nouvelles Tentations, le magazine culturel des plaisirs, Décembre 2008 • Féerotiques : un monde fou ! • Succès. • C'est le mot qui résume l'entreprise audacieuse à bien des égards de Ronan Manuel, puisqu'elle consistait à réunir des artistes de tous genres autour du thème de l'érotisme, en un seul lieu Rennais, le Pym's, et sur trois jours, jeudi, vendredi, samedi. Succès de fréquentation, malgré les craintes engendrées le jeudi pour l'inauguration, mais vite dissipées dès le vendredi et carrément oubliées le samedi, et succès qualitatif, parce que le choix des artistes, sur scène comme dans les salles du Pym's, était parfait. Le cabaret du jeudi soir fut un délice, une "revue" mêlant chants, danses, saynètes, les filles de la tribu d'Afavel, la troupe du Lysandore, Sasha (une belle stripteaseuse qui joue avec un serpent et un spectateur… ce soir-là, ce fut l'un de vos humbles serviteurs!), tout cela sous la houlette de l'excellent Maître Solteck - alias Arnaud Leray. Bref, une réussite. • Parmi les invités artistes, nous avons pu apprécier une nouvelle fois Laurent Benaïmet ses œuvres, ainsi que celles de son comparse en édition, Bill Tong (superbes photos stylisées de fellations), Agnès Giard , toujours souriante et décontractée, qui nous gratifia d'une conférence très instructive sur l'érotisme japonais (voir son livre), sans parler des stands de bijoux, corsets et autres parures féminines (voir, entre autres : Les Dentelles d'Arorgwen ). Jean-Yves Ruaux nous a parlé de la Bretagne érotique – une fort intéressante promenade culturelle – et le vendredi soir, place aux "Montantes", qui nous a fait revivre avec quel talent le monde des prostituées, des Apaches du siècle dernier. Mention spéciale pour la délicieuse Cerise Diva Champomy, stripteaseuse "burlesque" et pour Dr Phil et son art du Kinbaku, qui méritera un article complet. Les Féerotiques se sont terminées samedi, tard dans la nuit, en apothéose d'après ce qu'on a su – hélas, nous étions obligés de quitter Rennes le samedi matin. Que Ronan Manuel nous pardonne! En tout cas, chapeau à lui, à l'équipe du Pym's et à tous les participants. Un souhait, donc: que les Féerotiques aient encore lieu l'année prochaine. Et un conseil : faites le voyage. Un petit reproche à Ouest-France qui n'en a pas parlé dans ses colonnes. Pruderie mal placée – pardon pour ce pléonasme.re Solteck - alias Arnaud Leray. Bref, une réussite.
Libération, Les 400 culs, par Agnès GIARD le 11 décembre 2009 L'art de te ligoter, ma chérie... • Au Japon, “bondage” se dit shibari ou kinbaku: l’art d’attacher. Dépassant les frontières de l’archipel, cet art se répand dans le monde entier. En Allemagne, les conventions de shibari rassemblent jusqu’à 3.000 personnes. En France, les cours de shibari obtiennent un succès grandissant.Une fois par an, à Paris, des amateurs et des spécialistes du shibari se rassemblent le temps d’une soirée pour partager leur passion: cette soirée –la Cosy Party (dans le cadre de la semaine Demonia)– commence ce soir, à 20 heures, dans une cave à vin reconvertie en atelier de ligotage. Parallèlement, à Rennes, Dr Phil, un des plus célèbres spécialiste du shibari en France (avec Philipe Boxis et Patrick Vich), donne trois jours de cours dans le cadre d’un événement particulièrement attendu, les «Féérotiques de Rennes», qui se déroule de midi à minuit, les 11-12-13 décembre, dans un club reconverti en boudoir… L’atelier de bondage jouxte un salon de strip. Ce n’est pas un hasard. Au Japon, les premiers spectacles publics de shibari érotique se déroulent dans des clubs de strip: il s’agit, dans l’immédiat après-guerre, de déjouer la censure en dévoilant des morceaux d’anatomie féminine entre deux pans de kimono et quelques tours de corde. Le shibari est-il l’art de transformer les femmes en objet? Oui, d’une certaine manière. Mais au Japon –pays animiste, où l’on prête même aux parapluies une âme– l’objet n’est pas dévalorisé comme en Occident. L’objet n’est ni passif, ni «prostitutif». Il exerce un pouvoir parfois bien supérieur à celui du sujet, qui subit son magnétisme. L’objet se fait désirer. L’objet décide s’il se donnera ou non. Voilà peut-être pourquoi le shibari est devenu un des aspects les plus troublants du féminisme au Japon. Dans l’histoire du Japon, le shibari apparaît d’abord comme un outil de répression… un terrible châtiment. «Souvent dans les films de samouraï, on utilise l’expression “onawa ni naru” (“devenir une corde”), explique Benio : cela veut dire qui si vous commettez une mauvaise action, vous finirez attaché avec une corde. Vous serez anéanti. Vous n’aurez plus d’existence.» Sous le nom de hojojutsu, cette discipline d’origine chinoise est utilisé dans le cadre purement judiciaire, pour désigner un suspect ou punir un criminel. Au XVIIe siècle, la honte d’être ligoté ne s’efface souvent que dans la mort. Pour un homme d’honneur, la mort reste d’ailleurs préférable à cette humiliation suprême. Afin de leur sauver la face, on ne ligote pas les personnes de haut rang. On les emballe, avec art, en respectant des figures de style extrêmement élaborées qui permettent, d’un seul coup d’œil, d’identifier non seulement leur statut, mais la nature de leur faute. La moindre irrégularité dans les nœuds équivaut à un “vice de forme”: si la corde a été mal disposée, le suspect est relâché et le torinawa puni.Le statut de la femme a évolué si vite que certaines Japonaises mettent maintenant un point d’honneur à s’attacher elles-mêmes. Asahi Ageha, par exemple: compagne d’Osada Steve (élève d’Osada Eikichi), cette «bondage model» est devenue une des plus célèbres artistes du jubaku, l’auto-shibari. Elle parvient à se suspendre toute seule et réalise en trapéziste de périlleuses démonstrations d’indépendance. «Quand je m’attache, je suis nue. Mais je ne suis pas nue car la corde me sert de vêtement, explique-t-elle. Dans la culture japonaise, pour s’habiller il faut savoir s’emballer, comme un paquet-cadeau, et se ligoter soi-même, car les kimonos ne possèdent ni fermeture éclair, ni agrafe, ni boucle, ni boutons… Le kimono s’attache uniquement avec des nœuds. Pour couvrir notre nudité, nous n’avons donc pas le choix. Nous devons apprendre l’art des nœuds.» Ageha reprend son souffle, puis ajoute: «Finalement, les femmes sont peut-être les mieux placées pour maîtriser l’art du shibari… Non?» Pour le moment, au Japon, les artistes les plus réputés sont des hommes. Mais leurs élèves sont pour l’essentiel des femmes, qui prennent la relève avec éclat. Cours de bondage : Dr Phil organise, une fois par mois, un atelier shibari à Paris. En Angleterre, Esinem organise aussi régulièrement des rendez-vous.
EMISSIONS TV TPS STAR, magazine « En Attendant Minuit », tournage en Novembre 2006 TF1, LE DROIT DE SAVOIR « Les Français et le Sexe », diffusion en octobre 2007
TF1, LA METHODE CAUET, diffusion le 1er mai 2008 : • Dr Phil attache Cécile de Ménibus sur le plateau TV !!! • Voir l’extrait sur le lien suivant : http://www.youtube.com/watch?v=1_DxpO54aaA
SHOWS POUR VOTRE CLUB • Notre prestation s’articule autour de shows de 30 minutes au cours d’une soirée, qui peuvent par exemple se dérouler entre 23h00 et 1h30. • Nous vous remettrons une bande son spéciale sur CD à diffuser durant ces shows. • Un espace de 15m² est nécessaire à la bonne réalisation de ces shows. Nous l’aménagerons avec un portique de suspension (montage et démontage 1h avant et 1h après les horaires d’ouverture de votre Club). • Cet espace devra bénéficier de l’éclairage de votre établissement pour sa mise en valeur visuelle. • Si toutefois votre Club est déjà équipé d’un point d’accrochage à une hauteur de 2m20 minimum, et après vérification par nos soins de sa fiabilité, nous pourrons directement y installer notre anneau de suspension et ainsi supprimer l’installation du portique. • Enfin, si vous disposez de 2 barres de danse et d’un empattement de 2,5 m entre poteaux, vous pouvez aussi prévoir de les relier par une barre horizontale servant de point de suspension permanent (également à 2m20 de hauteur au minimum). • Pour annoncer cette soirée, nous mettons à votre disposition notre logo Bondage-Addiction pour l’impression de vos flyers, la diffusion de bannières sur votre site web ou l’achat d’espace dans la presse spécialisée par exemple. • Des photos peuvent être prises pendant les shows, mais pour un usage strictement limité à la diffusion sur les documents et moyens de communication de votre Club. • Pour toute information et tarif merci de nous contacter au 06.26.01.83.97 ou par mail : • contact@bondage-addiction.com www.bondage-addiction.net