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Camp X . Deuxième Guerre mondiale. Pourquoi établir un camp d’entrainement d’espions ?. En 1940, la Grande-Bretagne et le Commonwealth sont au bord de la défaite. Les États-Unis ne participent toujours pas à la guerre et les Nazis ont envahis une grande partie des pays Européens.
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Camp X Deuxième Guerre mondiale
Pourquoi établir un camp d’entrainement d’espions ? En 1940, la Grande-Bretagne et le Commonwealth sont au bord de la défaite. Les États-Unis ne participent toujours pas à la guerre et les Nazis ont envahis une grande partie des pays Européens. Sir Winston Churchill, premier ministre de la Grande-Bretagne, voit ce qui se produit et décide qu’il faut faire quelque chose. Il somme un ami né au Canada, sir William Stephenson, directeur de la British Security Coordination (BSC), d’établir un endroit au Canada où former des espions. Cet endroit est connu sous le nom d’École d’instruction spéciale no103, mais on le nomme surtout « camp X ». Celui-ci est installé sur 280 acres de terrain à l’est de Toronto, sur le bord du lac Ontario, près de la frontière entre Oshawa et Whitby. L’endroit a été choisi en fonction de son isolement, qui permet de mener des opérations clandestines.
L’entrainement Le camp X ouvre officiellement ses portes le 6 décembre 1941, la veille de l’attaque sur Pearl Harbor. Au camp, l’entrainement était intense et rigoureux(jour et nuit). les agents apprennent les techniques de sabotage, la collecte de renseignements, le crochetage de serrures, le maniement d’explosifs, les communications radio, l’encodage et le décodage, les sauts en parachute, le déguisement, l’art de tuer sans bruit et le combat à mains nues, etc. Au camp X, il n’y a aucun défilé pour les diplômés et personne n’est salué publiquement pour ses réussites. Lorsqu’on ferme l’École d’instruction spéciale no 103 en 1944, près de 2 000 personnes y ont été formés.
Andy Daniels transportait ce peigne lors de ses missions en territoire ennemi. Lors des missions, s’il était désorienté ou perdu, il avait simplement à briser le peigne et une boussole se trouvait à l’intérieur. Andy Daniels (Agent Secret )
Major Fairbairn, un des entraineurs au Camp X, illustre l’art de tuer sans bruit. Dans les quelques secondes suivant le serrement de la main de Fairbairn, la personne cible n’a pas le temps de réagir avant la mort .
Un Halifax Bomber utilisé pour déposer les agents secrets derrière les lignes ennemies
Exercice d’entrainement avec explosifs au Camp X en 1943
Artiste • Barbouze • Boîte à musique • Boîte aux lettres • Brûlé • Cafard • Encresympathique • Filoche • Gorille • Mouche • Oiseau • QC • Taupe • Veilleuse (en) • Pour «quartiergénéral» - sièged’une organisation, par exempled’uneagence de renseignement • Filature – le fait de suivrequelques’un pour le surveiller • Espion, en argot français • Espion, autrefois • Personne qui fabrique de faux documents, par exemple des passeportsou des visas. • Délateurs, indicateur de la police • De dit d’un espion qui mèneune vie ordinaire à l’étranger et qui fait de l’espionnageseulement au besoin • Démasqué; dontl’activité clandestine estconnue de l’ennemi. • Émetteur radio • Personne qui sertd’intermédiaire, dans un échangedelettresou de messages. • Qui resteincolore, et donc invisible, tantqu,on ne la somet pas à un traitementparticulier. • Garde de corps • Personne qui fait l’objetd’uneopération de surveillance. • Espioninfiltrédansuneorganistationou un groupeennemi.