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Fernando. par Văn Đức Trí (ne pas cliquer, attendre, mais attendre). Can you hear the drums, Fernando ? I remember long ago Another starry night like this. In the firelight, Fernando, You were humming to yourself
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Fernando par Văn Đức Trí (ne pas cliquer, attendre, mais attendre)
Can you hear the drums, Fernando ?I remember long ago Another starry night like this.In the firelight, Fernando,You were humming to yourself And softly strumming your guitar.I could hear the distant drumsAnd sounds of bugle calls Were coming from afar.
Les ABBA habillés en révolutionnaires mexicains. Ils ne criaient pas : « ABBA Zapata ! » mais « Viva Zapata ! », comme de bien entendu . They were closer now, Fernando. Every hour, every minute Seemed to last eternally.I was so afraid, Fernando.We were young and full of life And none of us prepared to die.And I'm not ashamed to sayThe roar of guns and cannons Almost made me cry.
There was something in the air that night, The stars were bright, Fernando. They were shining there for you and me, For liberty, Fernando.
Though we never thought That we could lose, there's no regret. If I had to do the same again, I would, my friend, Fernando. If I had to do the same again, I would, my friend, Fernando.
Now we're old and grey, Fernando. Since many years, I haven't seen a rifle in your hand.Can you hear the drums, Fernando ?Do you still recall the fateful night We crossed the Rio Grande ?I can see it in your eyesHow proud you were to fight For freedom in this land.
There was something in the air that night, The stars were bright, Fernando. They were shining there for you and me, For liberty, Fernando.
Though we never thought That we could lose, there's no regret. If I had to do the same again, I would, my friend, Fernando.
There was something in the air that night, The stars were bright, Fernando. They were shining there for you and me, For liberty, Fernando.
Though we never thought That we could lose, there's no regret. If I had to do the same again, I would, my friend, Fernando. Yes, if I had to do the same again, I would, my friend, Fernando.
If I had to do the same again, I would, my friend, Fernando. Chanson : Fernando Interprètes : ABBA Photos : Internet et clip vidéo « Fernando » Présentation : Văn Đức Trí (9 novembre 2007)
L’idée du diaporama Un soir du mois de juin 2007, sur le site « Music Selection », j’écoutais la chanson « Fernando » du groupe ABBA en lisant les paroles. Et là, je découvris, pour la première fois, l’histoire racontée par la chanson. Je la lisais et la relisais, et j’en avais la larme à l’œil. Ça parle d’un couple de vieux grisonnants, la femme se souvient d’une nuit étoilée, il y a longtemps, lorsqu’ils étaient jeunes et pleins de vie ; ils étaient là autour d’un feu de camp, à la veille d’une bataille décisive et aucun des jeunes révolutionnaires n’était préparé à mourir et jamais ils ne pensaient pouvoir perdre. Hélas, la nuit fut fatale, la bataille inégale et ils durent s’enfuir en traversant le Rio Grande (frontière entre le Mexique et les Etats-Unis). Mais ils étaient fiers de combattre pour la liberté et s’ils devaient refaire la même chose, ils le feraient. La musique nous accroche par le refrain : There was something in the air that night, the stars were bright, Fernando. They were shining there for you and me, for liberty, Fernando. Mais le reste de la mélodie est tout aussi remarquable, il faut apprécier la ligne mélodique de la phrase : Though we never thought that we could lose, there’s no regret. Alors, je me suis dit qu’un jour je ferai le diaporama de « Fernando ». Voilà qui est fait ! (cliquer pour continuer)
Traduction de la chanson : Entends-tu les tambours, Fernando ? Je me souviens, il y a longtemps, d’une autre nuit étoilée comme celle-ci. A la lumière du feu, Fernando, Tu chantonnais pour toi-même et grattais doucement ta guitare. Je pouvais entendre les tambours au loin Et les sons des appels du clairon me parvenaient de loin. Ils étaient plus près maintenant, Fernando. Chaque heure, chaque minute semblaient durer une éternité. J’avais si peur, Fernando. Nous étions jeunes et pleins de vie et aucun de nous n’était préparé à mourir. Et je n’ai pas honte de dire Que les rugissements des fusils et canons me faisaient presque pleurer. Il y avait quelque chose dans l’air cette nuit-là. Les étoiles étaient brillantes, Fernando. Elles brillaient là pour toi et moi, pour la liberté, Fernando. Bien que nous n’avions jamais pensé que nous puissions perdre, nous n’avons aucun regret. Et si je devais refaire la même chose, je le ferais, mon ami, Fernando. Maintenant, nous sommes vieux et grisonnants, Fernando. Depuis de nombreuses années, je n’ai pas vu de fusil entre tes mains. Entends-tu les tambours, Fernando ? Te souviens-tu encore de la nuit fatale où nous traversions le Rio Grande ? Je peux le voir dans tes yeux A quel point tu étais fier de combattre pour la liberté de ce pays. (cliquer pour quitter)