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A D N M A R I N H A U T E M E N T P O L Y M É R I S É. I N T É R Ê T D ’ U N A N T I O X Y D A N T P O U R L E S P O R T I F. S T R E S S O X Y D A N T À L ’ E F F O R T. Production de radicaux libres par l’exercice physique (I)
E N D
A D N M A R I N H A U T E M E N T P O L Y M É R I S É I N T É R Ê T D ’ U N A N T I O X Y D A N T P O U R L E S P O R T I F
S T R E S S O X Y D A N T À L ’ E F F O R T • Production de radicaux libres par l’exercice physique (I) • Vie en aérobiose => chaîne respiratoire mitochondriale • nécessaire au stockage de l’énergie sous forme d’adénosine triphosphate (ATP) • succession de phénomènes d’oxydoréduction : transferts d’électrons • ces électrons peuvent réagir avec une molécule avoisinante pour former un radical libre • lors de la respiration mitochondriale • 98 % de l’oxygène moléculaire aboutissent à la formation d’eau • 2 % de l’oxygène moléculaire deviennent radicalaires • Autour du noyau électroniquement neutre, gravitent des électrons • normalement réunis par paires de charges négatives égales à celles positives du noyau • Radical libre • espèce chimique contenant un ou plusieurs électrons non appariés sur l’orbite électronique la plus externe • capable d’existence indépendante • très instables et très réactives • pouvant être formées par perte ou gain d’électron à partir d’un composé non radical • pouvant apparaître au moment de la rupture symétrique d’une liaison covalente • après laquelle chaque atome conservant un électron devient un radical libre
S T R E S S O X Y D A N T À L ’ E F F O R T • Production de radicaux libres par l’exercice physique (II) • activité radicalaire • activité contractile des muscles striés et du myocarde —> • exercice physique intense 100 à 200 x consommation d’O2 • consommation d’O2 —> 2 - 5 % flux d’O2 intramitochondrial • 2 à 3 x production radicalaire du muscle et foie après exercice épuisant • 70 % signal radicalaire d’un muscle électro-stimulé • production radicalaire dans le sang veineux par exercice aérobie maximal • atteinte des organites et membranes cellulaires • quantité de mitochondries endommagées par exercice de longue durée • taux de lipoperoxydation + fluidité membranaire de la mitochondrie • dommages aux réticulums endoplasmique et sarcoplasmique
S T R E S S O X Y D A N T À L ’ E F F O R T • Production de radicaux libres par l’exercice physique (III) • activation d’enzymes et facteurs de transcription • phénomène d’ischémie reperfusion -> activation de l’enzyme xanthine oxydase • xanthine oxydase à l’entraînement > chez souris âgées / souris jeunes • blocage de l’activité de la xanthine oxydase par l’allopurrinol empêche • oxydation induite par l’exercice Du glutathion chez le rat et l’homme • LDH, ASAT et CPK survenant après un exercice épuisant • MPO après un exercice intense ou un exercice d’endurance • MPO dans le muscle, le foie et le cœur de rats à l’exercice d’endurance • activation de nF-B lymphocytaire par exercice d’une heure à 80 % V02 max
S T R E S S O X Y D A N T À L ’ E F F O R T • Effets radicalaires de l’exercice physique aigu (I) • dommages musculaires • activité LDH plasmatique • activité CPK plasmatique par nécrose cellulaire • chez un marathonien 24 à 60 h après un marathon • par des exercices excentriques • par une course en descente sur un plan incliné de 10 % versus à plat • 24 à 48 h après une course de 45 minutes • corrélée aux degrés • d’infiltration musculaire par les neutrophiles • d’atteinte de fonction musculaire • des signes histologiques de blessures • altérations ultrastructurelles • exercice sous maximal suivi d’un exercice execentrique, exercice contre résistence –> • lésions myofibrillaires • taux plasmatique de neutrophiles • CPK • 4 x chez sujet âgé / sujet jeune pour exercice exentrique de 70-90 % de la Pmax • dommages érythrocytaires
S T R E S S O X Y D A N T À L ’ E F F O R T • Effets radicalairesde l’exercice physique aigu (II) • activation leucocytaire • lactoferrine • élastase • GM-CS • dommages protéiques • glutamine synthase • carbonyles protéiques • Immédiatement après exercices anaérobies épuisants • dans les 24-48 heures d’exercices isométriques • sulfhydryles protéiques • dans le muscle cardiaque après un effort épuisant • après un marathon • allantoïne • corrélation négative entre uricémie au repos et TBARS excrétés en période de récupération • concentration musculaire x 3, plasmatique x 2 par exercice physique épuisant de 4,4 min • concentration urinaire en période de récupération post exercice à 100 % VO2 max • meilleur marqueur du stress oxydant : rapport acide urique / allantoïne
S T R E S S O X Y D A N T À L ’ E F F O R T • Effets radicalairesde l’exercice physique aigu (III) • péroxydation lipidique • diènes conjugués • en corrélation avec la distance de course à vitesse maximale • pentane exhalé • en corrélation avec l’intensité de l’exercice • du repos au seuil d’acidose lactique • du seuil d’acidose à l’intensité maximale • TBARS et MDA • à la fin d’un exercice musculaire maximal et 6 h après un exercice intense • en corrélation avec la VO2 max • en corrélation avec LDH • Après une course de 80 km à 72 % de la VO2 max • en corrélation avec CPK • après marche de 80 km • après exercice intense de 90 min • MDA dans les muscles squelettiques, cardiaques de rats après un exercice d’endurace • MDA urinaires et hydroxyproline d’une course de cheval jusqu’à épuisement • isoprostanes • en corrélation avec CPK et avec vitamine E • après un test d’effort ou un ultramarathon
S T R E S S O X Y D A N T À L ’ E F F O R T • Effets radicalairesde l’exercice physique aigu(IV) • Oxydation de l’ADN • 8-OHDG leucocytaire et urinaire • après effort intense et favorisée par l’hypoxie de haute altitude • 8-OHDG musculaire • après répétition d’exercices excentriques • fragments d’ADN leucocytaire • dans les 24 heures après un semi-marathon ou un exercice épuisant • corrélé au nombre de neutrophiles une heure après semi-marathon • au bout de 6 h et à bout de 24 ha • après exercices d’intensitécroissante -> épuisement • fragments d’ADN lymphocytaires + apoptose lymphocytaire • après exercice épuisant • Altérations des mitochondries • altérations ultrastructurelles • délétion de grande échelle de paires de bases d’ADN
A D N - H P, U N A N T I O X Y D A N T D E C H O I X P O U R L E S P O R T I F • Structure • biopolymére naturel hydrosoluble d’origine marine extraite de la laitance de saumon sauvage • par des techniques non dénaturantes • • protégeant la superstructure du polymère • • préservant son activité physiologique • Métabolisme • l’intestin paraît retenir des fractions polymérisées de l’ADN et se saturer rapidement en fraction de bas poids moléculaire • le tissu lymphatique semble accumuler les fractions polymérisées de l’ADN puis les libérer rapidement dans le sang veineux • dégradation hépatique en mononucléotides • élimination biliaire et urinaire
A D N - H P, U N A N T I O X Y D A N T D E C H O I X P O U R L E S P O R T I F • Propriétés antioxydantes (I) • retarde et diminue la formation de diènes conjugués, par • son activité antiradicalaire vis-à-vis du radical hydroxyl (OH°–) • conduit en capturant OH°– • à la formation d’un produit stable le 8-hydroxydeoxyguanosine (8-OHDG) • évitant la formation d’un nouveau radical libre • terminant le processus de peroxydation • => l’ADN-HP protège la cellule vis-à-vis des agressions oxydatives extracellulaires
A D N - H P, U N A N T I O X Y D A N T D E C H O I X P O U R L E S P O R T I F • Propriétés antioxydantes (II) • Effet protecteur contre la lipoperoxydation (1)
A D N - H P, U N A N T I O X Y D A N T D E C H O I X P O U R L E S P O R T I F • Propriétés antioxydantes (III) • Effet protecteur contre la lipoperoxydation (2)
A D N - H P, U N A N T I O X Y D A N T D E C H O I X P O U R L E S P O R T I F • Propriétés antioxydantes (II) • Effet protecteur contre l’oxydation de l’ADN • Taux de survie après irradiation • proportionnel au degré de polymérisation • de l’ADN hétérologue injecté chez le rat
A D N - H P, U N A N T I O X Y D A N T D E C H O I X P O U R L E S P O R T I F • Effet sur la performance physique chez l’animal • Étude sur la souris • ADN-HP 200mg/j + acide ascorbique 500 mg/j pendant 5 j => amélioration de l’épreuve de la nage • Étude cas témoins sur le chien • ADN-HP 400 mg/j ± acide ascorbique 1 g/j avant effort standardisé • 50 % fréquence cardiaque à l’effort par ADN-HP + vit. C • tps de récupération après effort de la fréquence cardiaque basale • 50 % par ADN-HP seule • 83 % par ADN-HP + vitamine C • élévation de la cortisolémie 50 minutes après l’effort • – 71% par ADN-HP seule • – 100 % par ADN-HP + vitamine C
A D N - H P, U N A N T I O X Y D A N T D E C H O I X P O U R L E S P O R T I F • Effet sur la performance physique chez l’homme (I) • ADN-HP 800 mg/j + vitamine C 2000 mg/j pendant 21 j • 30 sportifs d’âge moyen de 20 ans • indice de récupération mesuré par le test de Ruffier-Dickson,
A D N - H P, U N A N T I O X Y D A N T D E C H O I X P O U R L E S P O R T I F • Effet sur la performance physique chez l’homme (I) • ADN-HP 800 mg/j + vitamine C 2000 mg/j pendant 21 j • 30 sportifs d’âge moyen de 20 ans • consommation maximale d’oxygène (VO2 max) évalué par le test de Cooper
A D N - H P, U N A N T I O X Y D A N T D E C H O I X P O U R L E S P O R T I F Le sport : une activité très prooxydante, altérant nos protéines, nos lipides, notre ADN, nos globules rouges, nos muscles … L’ADN-HP : un ADN marin Haute Performance à fort pouvoir antioxydant, protecteur de nos lipides et de notre ADN, pour améliorer • la récupération à l’effort • la VO2 max