270 likes | 356 Views
MIEUX-ÊTRE SOCIAL ET ENVIRONNEMENTAL. Que faisons-nous pour sauver la planète?. RAS. 4.6.1 s’engager à développer et à maintenir des relations saines avec les autres en reconnaissant les conditions d’une vie commune harmonieuse; s’engager à vivre en harmonie avec la planète. 1. Recycler.
E N D
MIEUX-ÊTRE SOCIAL ET ENVIRONNEMENTAL Que faisons-nous pour sauver la planète?
RAS • 4.6.1 s’engager à développer et à maintenir des relations saines avec les autres en reconnaissant les conditions d’une vie commune harmonieuse; • s’engager à vivre en harmonie avec la planète.
1. Recycler Malgré tous les efforts fait en ce sens, malgré toutes les campagnes de sensibilisation, on recycle très peu. Pour le carton et le papier, la situation n’est pas si mal. Ça va moins bien en matière de plastique et d’aluminium. Mais le recyclage, ce n’est pas qu’une question de mettre des objets dans up bac vert: il faut aussi que ce qu’on achète puisse s’y retrouver. Les contenants de jus (et maintenant de vin) sont recyclables, mais ils sont difficiles à traiter pour les remettre en circulation par la suite. Retenez que plus une substance est complexe, come le carton plastifié des boîtes de jus, plus elle est difficile à recycler. Préférez donc les contenants en verre. Rappelez-vous également que la nourriture peut être transformée en compost, mais qu’elle ne se recycle pas. Il est donc important de bien rincer ses contenants et ses boîtes de conserve avant de les mettre au recyclage.
2. Réutiliser Vous avez acheté des tomates cerises ou des fraises dans un petit panier de plastique. Ce panier est bien sûr recyclable, mais on peur aussi s’en servir pour permettre aux enfants de bricoler. C’est cela, réutiliser. Le même principe s’applique aux contenants de margarine, qui servent ensuite à congeler des petits plats, aux contenants à œufs qui deviennent des bateaux, aux cartons de lait qui se transforment en maisons, aux rouleaux de papier essuie-tout qui protègent des dessins ou des documents, etc. Réutiliser, ça consiste aussi à donner des objets dont on ne sert plus afin que quelqu’un d’autre en profite. C’est donc le principe mis de l’avant dans les friperies (ex. Salvation Army) et les commerces de livres ou de meubles usagés. Si vous ne savez pas à qui vous adresser pour vous départir de votre grand sofa un peut défraîchi, vous pouvez toujours faire au Réseau des ressourceries du Québec, un organisme qui vise à transformer les déchets en ressources tout en créant des emplois durables.
3. Réduire à la source Depuis 15 ans, nous recyclons toujours un eu plus. Par contre, nous envoyons aussi plus de déchets dans les dépotoirs! Comment cela est-il possible? C’est simple: nous, Nord-Américains, consommons beaucoup trop. Si les pays émergents comme la Chine et l’Inde se mettaient à consommer comme nous, nous aurions besoin de cinq planètes comme la Terre pour produire puis éliminer tous les produits, denrées alimentaires, voitures, etc. D’ailleurs, saviez-vous que le quart des aliments frais que nous achetons se retrouve à la poubelle sans avoir été consommé? Réduire à la source, c’est agir à titre préventif, car le déchet le plus moins polluant est toujours celui que l’on ne produit pas. En gros, cela signifie donc d’éviter d’acheter des produits jetables, suremballés ou présentés en portions individuelles.
4. Manger moins de viande La consommation de bœuf en Amérique du Nord est problématique, car le bétail à besoin de beaucoup d’eau, d’énergie et de nourriture pour arriver à maturité: pour produire 1 kg de viande, il faut 4 kg de moulée! Par conséquent, prés des deux cinquièmes des surfaces cultivées dans le monde sont dédiées à la culture céréalière, et ce, uniquement dans le but de nourrir les animaux. La situation a quelque chose d’ironique, surtout quand on pense que manger de la viande rouge en trop grande quantité est nocif pour la santé. Et nous, Nord-Américains, mangeons beaucoup trop de viande.
5. Manger moins Un être humain a besoin d’environ 2000 calories par jour pour bien fonctionner. Or, en moyenne, le Nord-Américain consomme 3000 calories et plus. Tout cet apport énergétique superflu, en plus d’avoir un effet néfaste sur la santé publique, a un impact sur l’environnement. Il faut bien les produire, ces denrées! Chaque fois, cela signifie qu’on utilise plus d’eau, plus d’engrais, plus de pétrole pour faire fonctionner la machinerie… Tout cela dans le but de mange plus qu’il faut. Adopter un régime alimentaire sain et équilibré respectant nos besoins a donc un impact direct sur la santé de la planète.
6. Boire l’eau du robinet L’eau en bouteille vient très souvent… des sources publique. Autrement dit: du robinet! Pourquoi acheter de l’eau en bouteille, alors? Pourtant, selon la Coalition Eau secours!, la consommation mondiale d’eau en bouteille a multipliée part 18,4 de 1990 à 2003, passant de 7,5 milliards de litres d’eau en bouteilles en 1990 contre 138 milliards en 2003. Le plus triste, c’est que les bouteilles d’eau sont conçues dans un type de plastique très difficile à recycler. On les jette ou on les laisse traîner partout. La consommation d’eau en bouteille est un véritable fléau. Idéalement, vous pourriez vous procurer une bonne bouteille réutilisable pour avoir de l’eau à portée de main quand vous êtes loin d’un robinet. Gardez aussi un contenant d’eau au réfrigérateur. Vous éviterez ainsi de laisser couler l’eau du robinet pendant de longues secondes avant d’enfin vous remplir un verre. «Une recherche effectuée en Suisse conclut que l’eau en bouteille n’est souvent pas plus saine que l’eau du robinet, souligne par ailleurs Eau Secours! Dans la moitié des cas, écrivent les chercheurs, la seule différence entre les deux est qu’on a ajouté des minéraux dans l’eau en bouteille, ce qui signifie en rien qu’elle est meilleure pour la santé.»
7. Acheter des produits bio Utiliser moins de pesticides, respecter la terre qui nous nourrit, nourrir le bétail avec de la vraie nourriture, dans des conditions proches d’un état naturel… Acheter des produits biologiques est une façon directe d’aider la nature à se aire une santé. Pour la majorité. Des consommateurs, c’est cependant difficile de se convertir totalement au bio. Toutefois, si tous les ménages achetaient un produit bio de plus chaque semaine, ce sont des centaines de milliers de dollars qui encourageraient le développement de ce monde de production agroalimentaire respectueux de la planète.
8. Acheter des produits locaux Elles ne sont pas nécessairement biologiques, mais les denrées alimentaires produites localement permettent de réduire sensiblement les emballages et les énergies consacrées au transport. Par exemple, il n’y a rien de très sain pour l’environnement à acheter des fraise biologiques cultivés sur une terre déboisée de l’Amazonie. Le pétrole dépensé pour qu’elles arrivent à notre bouche suffit à anéantir les effets positifs de la culture biologique. Sans parler des impacts négatifs du déboisement massif, partout dans le monde.
9. Acheter des produits de saison Les fraises ne poussent pas en hiver. Les beaux fruits rouge que le supermarché vous offre en février viennent donc de très loin. Il a fallu dépenser beaucoup de pétrole pour les apporter jusqu'a vous. Les fruits et légumes de saison ont l’avantage d’avoir meilleur goût et d’avoir voyagé sur une plus courte distance pour arriver sur votre table. N’hésitez pas à faire des provisions, surtout en automne, lorsque se pointent les rudes mois d’hiver. Gardez au congélateur des cubes de pommes, des poivrons taillés en dés, des pousses de brocoli et de chou-fleur, etc. Vous les utiliserez quand vous en aurez besoin et vous éviterez ainsi de devoir importer des denrées alimentaire.
10. Acheter des produits équitables ils ne sont pas toujours bio, mais leur mode de production respecte les travailleurs. Donc, sans être bio, ils ne nuisent pas à la nature et permettent aux gens qui les fabriquent d’obtenir un juste prix pour leurs efforts (pour envoyer leurs enfants à l’école, par exemple) et de ne pas risquer inutilement leurs santé. Si leur prix est habituellement un peu plus élevé, les produits équitables ne sont pas beaucoup plus chers, car on a simplement limité les intermédiaires entre le producteurs et l’acheteur. Attention, pour vous assurer que le produit équitable que vous vous apprêtez à acheter est bel et bien équitable, quelques vérifications s’imposent. Il faut notamment vous assurer que le logo de l’organisme Transfair Canada soit bien apposé. Pout le reste, je vous invite à lire le dossier sur le commerce équitable disponible sur le site Internet d’Équiterre.
11. Acheter des électroménagers performants les coût très bas de l’électricité est un frein important à l'essor des électroménagers «écolos». C’est donc par principe qu’on en achète, bien plus que les quelques dollars qu’ils nous font économiser en énergie. Quoi qu’il en soit, moins on consomme d’électricité, moins on a besoin de détruire l’environnement et de mettre des espèces en péril pour bâtir des barrages. C’est pourquoi des logos comme celui d’Energy Star et d’Energuide sont si importants: ils nous permettent, en un clin d’oeil, de bien comprendre la différence entre deux appareils en apparence identiques. Grâce à de tels programmes, les électroménagers sont devenus de plus en plus performants. Par exemple, les réfrigérateurs et les congélateurs d’aujourd’hui consomment en moyenne 60% moins d’énergie e les modèles fabriqués en 1984, tandis que cette baisse se chiffre à 50% pour les lave-vaisselle. Notez par ailleurs que l’entretien de vos appareils est important pour qu’ils fonctionnent au maximum de leurs efficacité. Par exemple, plus votre congélateur accumule de grive, plus son moteur sera sollicité pour conserver les aliments à la température désirée. Un réfrigérateur mis à nouveau sera aussi plus efficace. En Europe, l’électricité coûte plus cher, ce qui permet de mettre de l’avant des technologies moins énergivores.
12. Couvrir pour bouillir un chaudron d’eau arrivera à ébullition 20% plus vite si on y a déposé un couvercle. C’est autant d’énergie économisée! Sans parler du temps… Par ailleurs, une fois que l’eau bout, réduit le feu. La température de l’eau ne peut pas dépasser 100 °C, mais elle baisse très lentement. L’eau n’a donc pas besoin du maximum d’énergie pour rester au point d’ébullition, même si elle ne fait pas de gros bouillons. Notes par ailleurs que les nouvelles tables de cuisson à induction réduisent considérablement le temps de cuisson des aliments. Pour l’instant, elles sont encore chères, mais leur prix devrait baisser au fur et à mesure que la demande augmentera.
13. Éviter le lave-vaisselle • Il consomme beaucoup d’eau. • Attention au détergeant utilisé. Certains entraînent la prolifération des algues bleues toxiques dans les cours d’eau. • Vous pouvez remplacez une partie du détergeant par du bicarbonate de soude. • La quantité de détergeant n’influence pas énormément le lavage. En mettre trop c’est comme jeter on argent par les fenêtres.
14. Éviter de gaspiller l’eau • On laisse souvent couler l’eau pour qu’elle se rafraîchisse, on prends quelques gorgées et on jette le reste. • Un pot d’eau laissé au frigo pourrait éviter cette gaspille inutile. • S’il reste de l’eau dans le verre, pourquoi ne pas s’en servir (animaux, fleurs…).
15. Manger frais • Chaque fois que l’on mange un repas préparé et/ou allant au micro-onde, on jette l’emballage. Le moins d’emballage possible s.v.p.! • Si on se prépare des repas avec des aliments frais, ca fais moins de déchets et des repas de bien lus grande qualité (vitamines, sucres, gras…).
Utiliser du bicarbonate de soude. • Remplace bon nombre de détergeants à la maison et n’a pas la conséquence négative de l’algue bleue. • Nettoyer les comptoirs, planchers, baignoire, éviers, premier rinçage de lave-vaisselle, bol de toilette, cendriers… • Enlève taches et odeurs! • Saupoudrer sur tapis avant la balayeuse… • Avec un acide comme le vinaigre (aussi avec sel), il devient un puissant agent nettoyant pour les tuyaux! • Pas de produits chimiques hautement nocif.
21. Prendre sept minutes pour se doucher • La douche permet d’économiser des dizaines de litres d’eau par rapport au bain. • Si on a une douche à débit réduit, c’est encore mieux.
22. Réparer les robinets défectueux Goutte à goutte, des litres d’eau sont gaspillés à cause des robinets qui fuient. En un an, c’est l’équivalent d’une petite piscine hors terre qui y passe. Vérifiez vos robinets, ainsi que la toilette. Les réparations ne vous coûteront pas les yeux de la tête, mais vous éviterez ainsi de gaspiller de l’eau qui a été traitée pour être propre à la consommation.
23. Acheter de la peinture recyclée. les restes de peinture qu’on recycle ont une seconde vie. On n’a qu’à aller porter ses vieux pots de peinture chez un recycleur (plusieurs quincailliers offrent ce service), puis acheter les produits recyclé là où ils sont disponibles. En 2003, près de 2700 tonnes de peinture et de contenants ont ainsi été détournés des sites d’enfouissement et revalorisés. Par ailleurs, il ne faut jamais jeter de la peinture dans les égouts, car ce produit est toxique et non biodégradable.
26. Utiliser des piles rechargeables. Au moins, elles durent plus longtemps que les piles jetables. Plus la technologie le permet, plus elles sont efficaces longtemps. Mais souvenez-vous que, tôt ou tard, elles devront elles aussi être recyclées. Les piles rechargeable sont néanmoins incontournables en ce qui concerne les petits appareils électroniques portatifs. L’exemple des caméras numériques est frappant: à cause du flash, on peut changer de pilles après seulement une dizaine de clichés! Quand on sait que ces appareils peuvent enregistrer des centaines de photos sur une petite carte mémoire, on se rend compte de la quantité impressionnante de piles qui seront utilisées et jetées. En plus, les appareils électroniques ont besoin d’un apport énergétique soutenu pour fonctionner. Des piles encore bonnes pour d’autres objets mais trop faibles pour activer les appareils électroniques sont donc jetées prématurément. Les piles rechargeables vous permettront d’économiser des milliers de piles ordinaires.
27. Réparer les « vieux» appareils électroniques. Avant d’acheter de nouveau appareils électronique, vous êtes-vous demandé s’il était possible de faire réparer ceux que vous possédiez déjà? Souvenez-vous que ce n’est pas seulement le fait de jeter un produit aux ordures qui crée de la pollution; la production de ces appareils aussi en engendre une grande quantité. C’est pourquoi il est si important de réduire à la source la demande de nouveaux produits de consommation. Ça ne veut pas dire de ne jamais s’en acheter. Ça signifie simplement de se poser la question, avant chaque achat: «En ai-je réellement besoin?»
29. Limiter la climatisation À la maison, la climatisation ne devrait être utilisée qu’en cas de force majeur. À moins que vous ne soyez malade, faites le test de supporter la chaleur un jour ou deux. Prenez un bain frais, buvez beaucoup d’eau, actionnez les ventilateurs, allez vous baigner, magasiner… Tous les moyens sont bons pour éviter la climatisation dans votre maison. Ironiquement, la chaleur que dégagent les climatiseurs ajoute à la chaleur ambiante dans les villes. C’est pire en période de smog, où la chaleur ne peut être évacuée et transforme la ville en véritable four!
31. Mieux isoler sa maison… En principe, une maison bien isolée est fraîche en été et chaude en hiver. Il y a cependant des cas extrêmes. J’ai habit. Dans un appartement dans lequel la fenêtre de la salle de bain ne fermait tout simplement pas. En hiver une couche de glace servait d’isolant! Évidement, j’ai été ravi de voir ma propriétaire corriger la situation en faisant installer un nouveau châssis. Il reste que, dans plusieurs habitations, on sent bien l’air passer autour des fenêtres et des portes. Dans ce cas, installer un coupe-froid ou appliquer un calfeutrage temporaire vous évitera de chauffer le dehors!
35. Construire un toit vert Avez-vous déjà entendu parler des toits verts? Ce genre d’aménagement paysager sur les toits des édifices fait de plus en plus parler de lui, car il améliore l’efficacité énergétique du bâtiment, rehausse son esthétisme et contribue à rafraîchir la ville et à améliorer la qualité de l’air urbain en été. Les toits vert peuvent être aménagés partout où il y a un toit plat. Il faut bien sûr s’assurer que la structure de l’édifice pourra supporter cette charge supplémentaire. Une fois cela fait, il ne reste plus qu’à créer un espace de végétaux qui pourra capter le CO2 et évitera, comme le fout les matériaux comme le béton et l’asphalte, d’emmagasiner de la chaleur. C’est d’ailleurs ce qui fait que les nuits d’été sont si chaudes dans les grandes villes.
36. Profiter de la géothermie La géothermie, c’est l’utilisation de la chaleur qui cache sous nos pieds: dans la cadrent bien dans un projet de rénovation. Ils sont plus faciles à installer et permettent des économies substantielles. «La géothermie peut faire économiser les 2/3 de votre facture de chauffage et de climatisation électriques, est-il mentionné. Dans les Guides Perrier d’habitation et d’écodesign. C’est de loin le mode de chauffage et de climatisation le plus efficace au monde.»