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Le management de l’information stratégique dans les PME-PMI …un moyen pour mieux communiquer et

Le management de l’information stratégique dans les PME-PMI …un moyen pour mieux communiquer et mieux se développer. 1 - Le contexte PPIET…. National. Délégué Interministériel à l’Intelligence Économique. SCIE. Régional. Préfet de région.

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Le management de l’information stratégique dans les PME-PMI …un moyen pour mieux communiquer et

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  1. Le management de l’information stratégique dans les PME-PMI …un moyen pour mieux communiquer et mieux se développer

  2. 1 - Le contexte PPIET… National Délégué Interministériel à l’Intelligence Économique SCIE Régional Préfet de région Préfet Coordonnateur de l’Intelligence Economique SGAR Partenaires extérieurs Préfets de Départ. Comités d’Intelligence Economique BdF, Pôles, Coll. Territoriales Org. Consulaires Org. Profession. Volet 1 : Sécurité Economique Formation Volet 2 : Soutien à la Compétitivité (SC) DRSI DPSD GN GDTA DGA DIRECCTE + DRFIP, Douanes, DRRT

  3. 2 - Rôle du CRIE, chef de file du volet « Soutien à la Compétitivité » En direction du préfet Coordonnateur de l’IE, il est de : • valoriser et promouvoir le territoire, • le doterd’un instrument d’anticipation, • préserver les savoir-faire de celui-ci en organisant la protection du patrimoine immatériel/matériel des PME et P2C, • participerau maintien et à la création d’emplois. En effet-levier, il doit : • favoriser l’accès aux informations des administrations d’État, • mobiliser et mutualiser les compétences et les moyens.

  4. 3 – COMMENT ? :La visite d’entreprise sous l’angle IE • Elle est un travail transversal : • se fait en lien avec les chargés de mission du service DITI (référents sectoriels), • se fait en interaction avec le volet sécuritaire et le préfet via les comités d’IET ; • In fine, c’est la recherche des solutions. • Son but : • connaître le tissu industriel régional et local, • développer la confiance du dirigeant pour favoriser le partenariat • «public-privé» ; • répondreà ses problématiques ; • aider l’entreprise à intégrer la démarche d’IE favorisé par un diagnostic IE et une formation courte à la veille ; • lui apporter un accompagnement, des solutions en terme de dév..

  5. 4 - La gestion de l’informationdans l’entreprise :

  6. 5 - La gestion de l’informationdans l’entreprise : SANS LA VEILLE

  7. 5 - Le dirigeant reste à un niveau informel(pompiers) • Champs d’action • Limité, vision à CT, concentré sur les concurrents ou clients uniqu., • Processus • Analyse des besoins : collecte d’infos à partir de sources externes non vérifiées. Peu ou pas d’analyses de cette information, • Livrables • Sont ponctuels, rapidement élaborés sans travail en amont, • Outils • Les e-mails et les dossiers partagés sur le serveur sont les premiers moyens de partage et de stockage de l’info., • Organisation • Des personnes isolées mènent des actions de recherche d’infos sur une base non structurée • Culture de l’entreprise au sein des équipes : • Non compréhension partagée du rôle et des avantages d’une Veille

  8. 6 - La maîtrise de l’informationdans l’entreprise PAR LA VEILLE : Quels sont les résultats attendus d’une veille ciblée ?

  9. 6 - La pratique de la veille agit sur différentes phase d’un projet: • en phase « orientation d’étude » analyse du produit, des fonctions et des coûts, • en phase « recherche ou élaboration de projet » élargissement des possibles, • en phase « validation & évaluation de solutions », validation des argumentations, recherche d’antériorité, évaluation des intentions de la concurrence, • lors de la rédaction du bilan prévisionnel c’est une aide pour faciliter la prise de décision, • et après la conception et tout au long du suivi du projet : pour la détection de menaces et opportunités.

  10. 7 - Veiller, c’est surtout savoir gérer, prioriser son info. stratégique pour la protéger • c’est penser Propriété Intellectuelle : • connaître ses S-F, • les protéger (brevets ou secrets). Résultat : définir une stratégie de protection de l’innovation. • c’est éviter la contrefaçon : • veille techno. & concur. pour surveiller ses brevets & marques ; • repérer les signaux de contrefaçon ; • bien gérer ses droits de PI, surveiller les titulaires de licence ; • Avoir recours aux services des Douanes (la contrefaçon = délit) • c’est maîtriser la bonne image de son entreprise : • Organiser la collecte permanente de l’info. véhiculée sur l’entreprise, • Contrôler les communications écrites, • Contrôler les sites Web qui pointent vers le site de l’entreprise.

  11. 8 - C’est aussi la valoriser dans et hors l’entreprise En interne, l’information doit être partagée, comprise et facilement accessible : • classifier l’information en fonction de son degré, • identifier les personnes qui doivent y avoir accès, • définir les supports de l’information, En externe, l’information doit s’appuyer : • sur un réseau identifié à animer, mais veiller à ne dire que le nécessaire, et assurer son suivi, • sur des actions d’influence ou lobbying.

  12. 9 - Les résultats attendus dans l’entreprise • diffuserles bonnes informations aux bons acteurs, afin de percevoir plus rapidement les évolutions de l’environnement et de pouvoir réagir en conséquence, • anticiper encollectant de l’info sur les concurrents, marchés, pdts, • créerdes compétences nouvelles, • stimulerl’innovation, • maîtriserdes réseaux, • permettre decoordonner les acteurs, • comprendreles menaces et les opportunités de son environnement (SWOT), • permettre de mettreen place des actions stratégiques, en analysant le risque informationnel, • inspirerla stratégie, • permettrede soutenir la prise de décisions, • favoriser la gestion de crise,

  13. C’est avant tout amener une VA dans l’entreprisepour protéger ses savoir-faire et mieux communiquer,

  14. 10 - La mise en place d’une Zone à Régime Restrictif(ZRR) Une protection du Patrimoine Scientifique et Technique (PPST) à destination des PME-PMI

  15. Dispositif encadré par la circ. 02/11/2012 • 2 objectifs : empêcher la fuite d’infos et prévenir le détournement d’infos scientifiques, techniques de nos PME-PMI stratégiques, • l’existence des ZRR est mentionnée à l’art. R.431-5-1 du CP ; • Régime juridique permet de • contrôler l’accès des personnes à une ZRR ou locaux sensibles, • contrôler la circulation des infos relatives à des spécialités sensibles, • favoriser l’émergence d’une culture de protection + boîtes à outils, • instituer de fait un espace de confiance entre entités protégées ; • Les 4 risques au titre de la PPST • R1 : traite des atteintes aux « intérêts économiques de la nation », • R2 : concerne le détournement de SF d’« arsenal militaire», • R3 : prend en compte la «prolifération» des armes de destruction massive (NBC), • R4 : concerne le détournement de SF en faveur du « terrorisme ».

  16. La compétence MEFI pour la ZRR • entreprises privées, sauf écoles des Mines et Télécom, • accompagnement des PME-PMI déjà engagées dans une démarche de protection de leur PPST, • effort permanent de sensibilisation, formation, communication, • chef de file en région : le CRIE ; • Intérêt d’être classé ZRR • mesure d’accompagnement de l’entreprise dans la protection de ses propres intérêts économiques, • base légale pour demander des avis sur les personnes pénétrant dans la zone avec sanction renforcées en cas d’intrusion (art 413-7 CP), • opportunité pour la prise en main de la sécurité sur site, • reconnaissance du patrimoine comme intérêt fondamental de la nation, • lien privilégié avec l’administration, • réponse à l’exigence de certains clients.

  17. 11 - Les interventions du CRIE TRAIT D’UNION en direction • de l’INPI, pour faciliter les actions en PI (prédiag PI), • des DOUANES, pour orienter les démarches à l’export (label Opérateur Économique Agréé, veille sur les marchés internationaux, conseils apportés, procédure de retenue de contrefaçons), • du pôle C de la DIRECCTE, pour informer sur des problématiques de contrefaçons rencontrées, • de la DRFIP, pour éclairer les difficultés financières rencontrées ; • du CRP, pour soutenir les entreprises auprès de la cellule régionale de veille et d’alerte, • des différents médiateurs, (des relations interentreprises, marchés publics, et ministères économiques et financiers), • de la DGA (en lien avec le référent DGA de la DIRECCTE : RAPID), • des référents de la DIRECCTE(actions co., opération ETI, AAP), • des services sécuritaires(DRRI, DPSD, Gendarmerie), INTERVENANTpour • la création de Zones à Régime Restrictif (ZRR), • la mise en place de diagnostics de veille, • la formation à la mise en place d’une veille.

  18. Je vous remercie de votre attention Christian SZYPURAChargé de mission Régional à l’Intelligence EconomiqueDIRECCTE Midi-PyrénéesService Développement Industriel Technologique et International (DITI)5, Esplanade Compans CaffarelliBP 9801631080 TOULOUSE Cedex 6Courriel : christian.szypura@direccte.gouv.frSecrétariat DITI : 05 62 89 83 72Ligne directe : 05 62 89 83 30

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