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LES RÉALITÉS DES JEUNES 16-24 ANS AU BSL-GÎM

LES RÉALITÉS DES JEUNES 16-24 ANS AU BSL-GÎM. COLLOQUE FGA 2008 RIMOUSKI 30 OCTOBRE 2008. LES RÉALITÉS DES JEUNES 16-24 ANS AU BSL-GÎM. PLAN DE LA PRÉSENTATION LE PORTRAIT DES JEUNES 16-24 ANS DU BSL-GÎM TÉMOIGNAGE L’APPROCHE ÉCOSYSTÉMIQUE ET LES FACTEURS DE RÉUSSITE

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LES RÉALITÉS DES JEUNES 16-24 ANS AU BSL-GÎM

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Presentation Transcript


  1. LES RÉALITÉS DES JEUNES 16-24 ANS AU BSL-GÎM COLLOQUE FGA 2008 RIMOUSKI 30 OCTOBRE 2008

  2. LES RÉALITÉS DES JEUNES 16-24 ANS AU BSL-GÎM PLAN DE LA PRÉSENTATION LE PORTRAIT DES JEUNES 16-24 ANS DU BSL-GÎM TÉMOIGNAGE L’APPROCHE ÉCOSYSTÉMIQUE ET LES FACTEURS DE RÉUSSITE QUELQUES MOYENS PROMETTEURS

  3. PORTRAIT DES 16-24 ANS 2005-2006 (INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC) 16,7% DES ÉLÈVES QUITTENT LE SECONDAIRE SANS QUALIFICATION (25% DE GARÇONS) AU BAS-ST-LAURENT. 23% FONT DE MÊME EN GASPÉSIE-ÎLES-DE-LA-MADELEINE (30% DE GARÇONS). QUELQUES STATISTIQUES

  4. PORTRAIT DES 16-24 ANS ON REMARQUE DEPUIS QUELQUES ANNÉES QU’UNE GRANDE PROPORTION DE CES JEUNES SE RETROUVENT SUR LES BANCS DE L’ÉDUCATION DES ADULTES. PAR EXEMPLE, AU CENTRE CHAMPAGNAT DE SAINTE-ANNE-DES-MONTS, IL N’Y AVAIT AUCUN 16-17 ANS INSCRIT IL Y A 5 ANS. AUJOURD’HUI, CETTE CLIENTÈLE A FAIT UN BOND DE 300%. QUELQUES STATISTIQUES

  5. PORTRAIT DES 16-24 ANS SUR NOTRE TERRITOIRE, LES JEUNES DÉCROCHEURS SONT DAVANTAGE NOMBREUX DANS LES MILIEUX DÉFAVORISÉS (FAIBLE REVENU FAMILIAL, FAIBLE SCOLARITÉ DE LA MÈRE, ÉCONOMIE CHANCELANTE, ISOLEMENT, ACCÈS LIMITÉ À LA CULTURE, AU SPORT, ETC.) LES COMMISSIONS SCOLAIRES SE RETROUVANT AVEC LE PLUS D’ÉCOLES AYANT DES INDICES DE DÉFAVORISATION LES PLUS ÉLEVÉS SONT LES SUIVANTES: CS DES ÎLES, CS CHIC-CHOCS, CS RENÉ-LÉVESQUE, MONTS-ET-MARÉES, FLEUVES-ET-LACS, KAMOURASKA-RIVIÈRE-DU-LOUP (50% DES ÉCOLES) QUELQUES STATISTIQUES

  6. PORTRAIT DES 16-24 ANS LA POSSIBILITÉ DE DÉCROCHER DU SECTEUR « JEUNE » À 16 ANS JOUE UN RÔLE EN CE QUI A TRAIT À LA PRÉSENCE DE PLUS EN PLUS NOMBREUSE DES 16-24 ANS DANS LES CENTRES. LA FAMEUSE IDÉOLOGIE « C’EST PLUS FACILE À L’ÉDUCATION DES ADULTES », « J’AVANCE À MON RYTHME », CONSTITUE UN APPÂT DE TAILLE POUR PLUSIEURS. L’EFFET D’ENTRAÎNEMENT (« JE VEUX SUIVRE MES AMIS »). L’INCAPACITÉ DU JEUNE À S’ADAPTER AU SECONDAIRE. L’AUGMENTATION DES PROBLÉMATIQUES SOCIALES. LA CULTURE DE L’ÉDUCATION DE MOINS EN MOINS PRÉSENTE DANS NOS MILIEUX (VALEURS, MODÈLES). ETC. POURQUOI A-T-ON PLUS DE JEUNES QU’AVANT DANS NOS CENTRES

  7. PORTRAIT DES 16-24 ANS LES JEUNES QUI FRÉQUENTENT NOS CENTRES ONT VÉCU ET VIVENT DES PROBLÉMATIQUES DE DIVERS ORDRES, SOUVENT MULTIPLES ET PROFONDES (EX.: TOXICOMANIE, PROBLÉMATIQUES FAMILIALES, PAUVRETÉ, MANQUE D’ESTIME, VIOLENCE, ABUS, ABSENCE DE SOUTIEN PARENTAL, DIFFICULTÉS D’APPRENTISSAGE, ETC.). CES JEUNES ONT PEU DE MODÈLES POSITIFS DANS LEUR ENTOURAGE. ILS ARRIVENT SOUVENT À L’ÉDUCATION DES ADULTES AVEC PEU DE MOTIVATION. ILS ONT EN GÉNÉRAL UNE VISION NÉGATIVE DE LEUR AVENIR DANS LEUR RÉGION (« Y’A PAS DE JOB ICITTE »). ILS ONT UN GRAND BESOIN DE SENTIR QUE DES GENS CROIENT EN EUX. LES JEUNES SONT TROP PRIS PAR LEURS DIFFICULTÉS PERSONNELLES POUR PERFORMER AU NIVEAU SCOLAIRE. LES JEUNES 16-24 FRÉQUENTANT LES CENTRES ONT BESOIN D’ÉCOUTE, D’ACCOMPAGNEMENT ET DE SUPPORT. QUI SONT CES JEUNES?

  8. PORTRAIT DES 16-24 ANS • L’AUTRE CÔTÉ DE LA MÉDAILLE • LES ÉLÈVES QUI RÉUSSISSENT • Les principales caractéristiques des élèves qui réussissent sont: • • DES EFFORTS SOUTENUS; • • LE DÉSIR D’APPRENDRE; • • LA CONSCIENCE DE L’IMPORTANCE DE LA RÉUSSITE SCOLAIRE; • • LA PERSÉVÉRANCE; • • LE SENS DE L’ORGANISATION, L’AUTONOMIE ET LA MOTIVATION; • L’INVESTISSEMENT DE L’ÉLÈVE DANS SES APPRENTISSAGES. QUI SONT CES JEUNES?

  9. LA RÉSILIENCE Certains élèves, malgré le fait qu’ils évoluent dans un contexte difficile comportant des facteurs de risque, arrivent à se protéger des éléments conduisant au décrochage ou à l’abandon scolaire et à s’ajuster. Ce processus dynamique mis en branle par ces enfants se nomme RÉSILIENCE. En psychologie, la résilience est l’« aptitude à faire face avec succès à une situation représentant un stress intense en raison de sa nocivité ou du risque qu’elle représente, ainsi qu’à se ressaisir, à s’adapter et à réussir à vivre et à se développer positivement en dépit de ces circonstances défavorables ». QUI SONT CES JEUNES?

  10. LES FACTEURS QUI INFLUENCENT LE DÉCROCHAGE • Le décrochage et l’abandon scolaire dans nos milieux sont souvent le résultat de facteurs culturels (revenu et scolarité des parents) et structurels (désunion familiale). Le fonctionnement familial peut également être mis en cause par un système d’encadrement déficient sur le plan de la supervision et de la valorisation scolaire ou sur le plan du soutien et de l’encouragement accordés aux jeunes de même que par un style parental trop permissif. • Sur le plan des facteurs interpersonnels, l’isolement et le rejet par les pairs augmentent les risques de décrochage. En effet, les décrocheurs s’associent souvent à des pairs dont les aspirations scolaires sont peu élevées (ils sont eux-mêmes des décrocheurs potentiels) et ils manifestent une plus grande loyauté envers leurs pairs qu’à l’égard de leurs parents. En outre, ils ont souvent plus de relations conflictuelles avec les enseignants et le personnel de l’école que les autres élèves. QUI SONT CES JEUNES?

  11. LES FACTEURS QUI INFLUENCENT LE DÉCROCHAGE Quant aux facteurs personnels, il est énoncé que les garçons sont plus à risque que les filles, bien que des études tendent à démontrer que le sexe perd sa valeur prédictive une fois connus les facteurs de risque scolaires et familiaux. La qualité de l’expérience scolaire est reconnue comme l’un des plus puissants prédicteurs de l'abandon. Il existe un lien entre la probabilité de décrocher, l’échec et le retard, une faible motivation et un sentiment de compétence affaibli, des aspirations scolaires moins élevées, des comportements d’agressivité et d’indiscipline, de l’absentéisme et une faible participation aux activités du centre. Des problèmes d’adaptation sociale et personnelle sont également désignés, tels que la consommation fréquente de drogues, des comportements délinquants et, plus particulièrement sur le plan psychologique, un retard global de maturité interpersonnelle, une moins grande confiance en soi et une perception négative de soi. QUI SONT CES JEUNES?

  12. TÉMOIGNAGE

  13. CE QU’ON PEUT RETENIR DU TÉMOIGNAGE DE VÉRONIQUE • IMPORTANCE DE DÉTERMINER UNE PERSONNE SIGNIFICATIVE DANS SON ENTOURAGE ET D’Y FAIRE APPEL (COMMENT PEUT-ON S’INSCRIRE DANS CETTE DÉMARCHE COMME INTERVENANT SCOLAIRE?) • IMPORTANCE POUR LE JEUNE D’AVOIR UN OBJECTIF CLAIR ET UN PLAN DE MATCH POUR ATTEINDRE CET OBJECTIF. • SI ELLE N’AVAIT PAS EU D’OBJECTIF, VÉRONIQUE AFFIRME QU’ELLE AURAIT CONTINUÉ DE SUIVRE LES AUTRES ET D’«ÉCOEURRER LES PROFS ». • VÉRONIQUE NOUS DIT QU’ELLE A APPRIS À AIMER L’ÉCOLE. IL EST DONC POSSIBLE DE CHANGER LA VISION DES JEUNES PAR RAPPORT À LA FORMATION, À LA VALEUR DE L’ÉDUCATION. • LA RESPONSABILISATION EST AUSSI GAGE DE SUCCÈS. MAIS LE CHEMIN MENANT À CELLE-CI PEUT ÊTRE LONG SELON LES INDIVIDUS. • IMPORTANCE POUR LE JEUNE D’ALLER CHERCHER DE L’AIDE DÈS QUE LE BESOIN SE FAIT SENTIR.

  14. CE QU’ON PEUT RETENIR DU TÉMOIGNAGE DE VÉRONIQUE • VÉRONIQUE SE PROJETTE DANS L’AVENIR.  • ELLE DIT « NE PAS ÊTRE LA MÊME VÉRO »: L’ÉCOLE EST DONC UN AGENT DE CHANGEMENT QUI PERMET UNE ÉVOLUTION EN PROFONDEUR. • L’ÉCOLE EST AUSSI RÉVÉLATRICE POUR LE JEUNE: « OUI, JE SUIS CAPABLE, JE SUIS BONNE DANS QUELQUE CHOSE. » • VÉRONIQUE A EU COMME MODÈLE DES PARENTS SUR L’AIDE SOCIALE. SA MÈRE S’EST REPRISE EN MAIN AVANT ELLE. IL Y A EU CHANGEMENT DU MODÈLE, CE QUI A INSPIRÉ VÉRONIQUE. TRAVAILLER AUPRÈS DES PARENTS EST DONC ESSENTIEL.

  15. L’APPROCHE ÉCOSYSTÉMIQUE COMMENT AGIR EFFICACEMENT AUPRÈS DE LA CLIENTÈLE 16-24 POUR QU’ELLE AIT PLUS DE CHANCES DE SUIVRE LES TRACES DE VÉRONIQUE?

  16. L’APPROCHE ÉCOSYSTÉMIQUE ÉTAPE 1 RÉALISER UN PORTRAIT DE LA SITUATION QUI SONT LES JEUNES DEVANT MOI? QUE VIVENT-ILS? QUELS SONT LEURS BESOINS?

  17. L’APPROCHE ÉCOSYSTÉMIQUE ÉTAPE 2 FAIRE L’ANALYSE DU PORTRAIT QUE RÉVÈLENT CES DONNÉES? QUELS SONT LES CONSTATS QUE JE PEUX FAIRE SUR LES 16-24 ANS FRÉQUENTANT MON CENTRE? QUELS SERAIENT LES FACTEURS EXPLICATIFS DE TELLE OU TELLE SITUATION?

  18. L’APPROCHE ÉCOSYSTÉMIQUE ÉTAPE 3 SE DOTER D’UN PLAN D’ACTION QUE FERONS-NOUS AU REGARD DE CE QUE NOUS DIT LE PORTRAIT? QUE FERONS-NOUS COMME CENTRE? QUE FERONS-NOUS COMME PROFESSIONNEL?

  19. L’APPROCHE ÉCOSYSTÉMIQUE Le décrochage et l’abandon scolaire sont la résultante d’un long et lent processus qui peut remonter à aussi loin que la petite enfance. Le décrochage étant le résultat d’un processus systémique, il importe d’adopter une approche elle-même systémique. Les facteurs influençant le décrochage et l’abandon sont variés et complexes. Toutefois, plusieurs recherches désignent les éléments associés au cheminement scolaire (notamment les compétences en lecture et en écriture), à la famille et à l’école en tant que milieu de vie comme étant de forts prédicteurs de l’abandon.

  20. L’APPROCHE ÉCOSYSTÉMIQUE L’APPROCHE ÉCOSYSTÉMIQUE EST NÉE À LA SUITE D’UNE VASTE RECHERCHE DOCUMENTÉE PAR LE MELS. ELLE CHERCHE À SUGGÉRER UNE MÉTHODOLOGIE EFFICACE POUR AGIR AUPRÈS DE LA CLIENTÈLE 16-24 ANS. QU’EST-CE QUE L’APPROCHE ÉCOSYSTÉMQIUE

  21. L’APPROCHE ÉCOSYSTÉMIQUE LE PRINCIPE EN EST SIMPLE. POUR S’ASSURER DU SUCCÈS DE NOS INTERVENTIONS, IL NE FAUT PAS AGIR QU’AUPRÈS DU JEUNE, MAIS BIEN SUR L’ENSEMBLE DES ÉLÉMENTS QUI L’ENTOURENT. QU’EST-CE QUE L’APPROCHE ÉCOSYSTÉMQIUE

  22. L’APPROCHE ÉCOSYSTÉMIQUE AINSI, L’APPROCHE ÉCOSYSTÉMIQUE PROPOSE D’AGIR SUR 5 SYSTÈMES: LE JEUNE LUI-MÊME SA FAMILLE LA CLASSE LE CENTRE LA COMMUNAUTÉ Approche écosystémique QU’EST-CE QUE L’APPROCHE ÉCOSYSTÉMQIUE

  23. L’APPROCHE ÉCOSYSTÉMIQUE L’OBJECTIF EST DE FAIRE INTERAGIR CES 5 SYSTÈMES ENSEMBLE ET D’EN TENIR COMPTE DANS CHACUNE DES ACTIONS QU’ON MET EN PLACE. QU’EST-CE QUE L’APPROCHE ÉCOSYSTÉMQIUE

  24. L’APPROCHE ÉCOSYSTÉMIQUE POURQUOI L’ÉCOSYSTÉMIE? TOUT SIMPLEMENT PARCE QUE L’ACTION PORTÉE UNIQUEMENT SUR LE JEUNE NE DONNERA PAS LES RÉSULTATS ESCOMPTÉS. PARCE QUE CELLE-CI TENTE DE CRÉER UNE COHÉRENCE ENTRE LE DISCOURS ET LES ACTIONS DE CHACUN DES SYSTÈMES. QU’EST-CE QUE L’APPROCHE ÉCOSYSTÉMQIUE

  25. LES FACTEURS DE RÉUSSITE LES FACTEURS DE RÉUSSITE

  26. LES FACTEURS DE RÉUSSITE LES FACTEURS DE RÉUSSITE SONT ISSUS DE LA RECHERCHE. ILS: PERMETTENT DE SAVOIR SUR QUEL(S) ÉLÉMENT(S) AGIR POUR OBTENIR DES RÉSULTATS. LES FACTEURS DE RÉUSSITE

  27. L’APPROCHE ÉCOSYSTÉMIQUE L’APPROCHE ÉCOSYSTÉMIQUE PROPOSE DE CHOISIR UN FACTEUR DE RÉUSSITE PAR SYSTÈME ET DE DÉTERMINER DES ACTIONS POUR CHACUN D’EUX: JEUNE: FACTEUR X FAMILLE: FACTEUR X CLASSE: FACTEUR X CENTRE: FACTEUR X COMMUNAUTÉ: FACTEUR X QU’EST-CE QUE L’APPROCHE ÉCOSYSTÉMQIUE

  28. LES FACTEURS DE RÉUSSITE JEUNE Éléments formels Physiques et démographiques Sexe et genre Habitudes de santé et de vie Ressources financières Socioaffectifs Sentiment de compétence Confiance en soi Appartenance au centre Cognitifs Lieu de contrôle Aspirations/buts/projet de vie Habiletés cognitives Relations Habiletés sociales Réseau social Travail rémunéré Leviers de compétence Acquis et compétences en développement (histoire scolaire) LES FACTEURS DE RÉUSSITE

  29. LES FACTEURS DE RÉUSSITE FAMILLE Éléments formels Statut socio-économique Style parental Relations Implication dans le parcours scolaire Leviers de compétence Attentes LES FACTEURS DE RÉUSSITE

  30. LES FACTEURS DE RÉUSSITE CLASSE/GROUPE Éléments formels Perception des interventants(es) Attitude des intervenants(es) Chaleur, soutien, bonnes relations, etc. Climat Vision commune Traiter les élèves en adultes Relations entre les intervenants(es) Relations Apprentissage en contexte Leviers de compétence Qualité de l’enseignement (méthodes et approches) Élèves actifs dans leurs apprentissages Individualiser l’enseignement, le personnaliser Respecter le rythme d’apprentissage Tutorat Communiquer clairement des objectifs atteignables Développer la confiance en soi Enseigner des stratégies de travail et d’apprentissage Enseigner des stratégies de résolution de problèmes Qualité de l’évaluation Feed-back Renforcement: vivre des réussites/mettre l’accent sur le progrès LES FACTEURS DE RÉUSSITE

  31. LES FACTEURS DE RÉUSSITE ÉCOLE/CENTRE Éléments formels Mode d’organisation souple et personnalisé Permet de concilier travail et études Offrir du transport Jeune adulte peut établir son cheminement particulier Suivi Absence Assistance Ressources scolaires Centre de documentation Organisation de la classe Projet d’orientation du centre Programmes qui permettent d’allier apprentissages et développement de carrière Amener l’élève à établir son projet de formation Relations Réseau d’entraide pour les parents et les élèves Activités extracurriculaires Générales Offrir un service de garde de qualité Leviers de compétence Développement professionnel LES FACTEURS DE RÉUSSITE

  32. LES FACTEURS DE RÉUSSITE COMMUNAUTÉ Éléments formels Ethnoculture Rural/urbain Relations Lien Jeune adulte/Centre de formation/Communauté Leviers de compétence Soutien LES FACTEURS DE RÉUSSITE

  33. COMMENT ASSURER LA RÉUSSITE DES ÉLÈVES Par: La qualité de l’environnement scolaire (est déterminante). L’usage étendu des pratiques pédagogiques et des stratégies de gestion de classe efficaces et par l’implantation d’un système d’encadrement et d’un système de reconnaissance qui privilégient le renforcement plutôt que la punition. Une direction qui s’efforce de soutenir les élèves. Apprendre à communiquer avec les parents ou les adultes significatifs.

  34. QUELQUES MOYENS PROMETTEURS JEUNE ADULTE 16-24 Confiance en soi Diffusion de témoignages des success stories (objectif: promotion régulière des réussites des jeunes) Chronique Pleins feux sur nos jeunes

  35. 1. PLEINS FEUX SUR NOS JEUNES

  36. PLEINS FEUX SUR NOS JEUNES

  37. PLEINS FEUX SUR NOS JEUNES

  38. PLEINS FEUX SUR NOS JEUNES ESTIME DE SOI DU JEUNE GRANDEMENT REHAUSSÉE. LIEN PROF/ÉLÈVE AMÉLIORÉ. REJOINT TOUS LES SYSTÈMES: JEUNE, FAMILLE, CLASSE, CENTRE, COMMUNAUTÉ. MET EN ÉVIDENCE DES MODÈLES POSITIFS. IMPACTS SUR LES DEMANDES D’INFORMATION PORTANT SUR NOS SERVICES. IMAGE DE L’ÉDUCATION DES ADULTES REVALORISÉE DANS LE MILIEU. LES IMPACTS

  39. 2. COMMUNICATION POSITIVE AUX ADULTES SIGNIFICATIFS ÉTAPES: IDENTIFIER LE OU LES ADULTES SIGNIFICATIFS ENTOURANT LE JEUNE. COMMUNIQUER AVEC CES ADULTES SIGNIFICATIFS AFIN DE LEUR PARTAGER LES RÉUSSITES VÉCUES PAR LE JEUNE.

  40. COMMUNICATION POSITIVE AUX ADULTES SIGNIFICATIFS CHANGE LA VISION SOUVENT NÉGATIVE QU’ONT LES PARENTS OU ADULTES SIGNIFICATIFS DE L’ÉCOLE. OUTILLE LES PARENTS OU ADULTES SIGNIFICATIFS EN LEUR OFFRANT DES MOYENS DE VALORISER LE JEUNE. FAVORISE L’IMPLICATION DES PARENTS OU ADULTES SIGNIFICATIFS DANS LE PARCOURS ENTREPRIS PAR LE JEUNE. AMÉLIORE LE LIEN ENTRE L’INTERVENANT, L’ENSEIGNANT, LE DIRECTEUR, ETC., ET LE JEUNE. FAVORISE L’IMPLICATION DES PARENTS OU ADULTES SIGNIFICATIFS DANS LES ACTIVITÉS DU CENTRE. CONTRIBUE À CE QUE LE JEUNE SE CONSTRUISE UNE MEILLEURE ESTIME DE SOI PAR LE BIAIS DU RENFORCEMENT POSITIF.

  41. COMMUNICATION POSITIVE AUX ADULTES SIGNIFICATIFS AIDE À LA MOTIVATION DU JEUNE CONTRIBUE À DONNER AUX PARENTS, ADULTES SIGNIFICATIFS ET JEUNES UNE VISION PLUS POSITIVE DU MILIEU EN GÉNÉRAL.

  42. 3. BONIFIER L’ACCOMPAGNEMENT OFFERT AUX 16-24 ANS LES JEUNES 16-24 ANS QUI VIVENT DES DIFFICULTÉS ONT BESOIN D’UN ACCOMPAGNEMENT SOUTENU. POUR SUSCITER SA MOTIVATION, IL FAUT QUE LE JEUNE SE DÉTERMINE UN PROJET ET QU’IL PRÉVOIT LES ÉTAPES À FRANCHIR POUR LE RÉALISER. IL FAUT AUSSI QUE TOUS LES INTERVENANTS SCOLAIRES QUI GRAVITENT AUTOUR DE LUI CONNAISSENT CE PROJET ET QU’ILS LE SUPPORTENT DANS SA DÉMARCHE.

  43. BONIFIER L’ACCOMPAGNEMENT OFFERT AUX 16-24 ANS LES ÉTAPES À FRANCHIR FAIRE L’INVENTAIRE DES RESSOURCES ACCOMPAGNATRICES DU CENTRE. PRÉCISER LES RÔLES DE CHACUNES D’ELLES. DÉTERMINER DES STRATÉGIES POUR ACCOMPAGNER LE PLUS DE JEUNES POSSIBLES DE FAÇON EFFICACE ET CONTINUE. QUELLE RÉFLEXION DOIT-ON FAIRE?

  44. BONIFIER L’ACCOMPAGNEMENT OFFERT AUX 16-24 ANS LES ÉTAPES À FRANCHIR (SUITE) 4. DÉVELOPPER L’ACCOMPAGNEMENT INFORMEL. CHAQUE JEUNE A BESOIN D’ENCOURAGEMENT CHAQUE JOUR! FÉLICITER LE JEUNE QUI PROGRESSE, ENCOURAGER SES EFFORTS, LUI DIRE QU’IL EST CAPABLE, ETC., SONT DES GESTES SIMPLES QUI, À COURT TERME, ONT UNE GRANDE PORTÉE. 5. DÉVELOPPER SA CONNAISSANCE DU MILIEU POUR ÊTRE EN MESURE DE RÉFÉRER AU BESOIN. L’EXEMPLE DE PHÉNIX

  45. 4. SYSTÈME D’ÉVALUATION AXÉ SUR LE POSITIF LES ÉTAPES À FRANCHIR METTRE EN PLACE UNE MÉTHODE D’ÉVALUATION POSITIVE. AU LIEU DE METTRE EN VALEUR LES ERREURS DANS LA CORRECTION, METTRE EN RELIEF CE QUI EST COMPRIS. « TU AS 40%, MAIS TU COMPRENDS 40% DE LA MATIÈRE ». ON REMARQUE MOINS DE DÉCOURAGEMENT CHEZ LES ÉLÈVES 16-24 QUI REÇOIVENT DES RÉTROACTIONS AXÉES SUR LE POSITIF. ILS PRENNENT CONSCIENCE QUE SOUS LA NOTE À PREMIÈRE VUE DÉSASTREUSE, IL Y A DU BON.

  46. 5. QUELQUES MOYENS DE VALORISATION INSCRIPTION DU NOM DES ÉLÈVES QUI RÉUSSISSENT UN EXAMEN AU TABLEAU DANS LES CLASSES. REMISE DE MÉRITAS MENSUELS PAR LA DIRECTION DEVANT LES PAIRS ET AFFICHAGE DES PHOTOS DES MÉRITANTS SUR LE MUR ET SUR LE SITE WEB. PRÉSENTATION DE TÉMOIGNAGES DE JEUNES DU MILIEU QUI VIENNENT PARLER DANS LES CLASSES DE LEUR CHEMINEMENT. PORTFOLIO.

  47. 6. IDENTIFIER LES INTÉRÊTS DES JEUNES QUI FRÉQUENTENT LE CENTRE OBJECTIFS MIEUX RÉPONDRE AUX BESOINS INDIVIDUELS ET COLLECTIFS DES JEUNES. FAVORISER L’APPROCHE ET L’APPRENTISSAGE INDIVIDUALISÉ. RACCROCHER LES ÉLÈVES 16-24 POUR QUI LA FORMATION N’A PLUS DE SENS. DÉVELOPPER LE PLAISIR D’APPRENDRE CHEZ LES 16-24. UN QUESTIONNAIRE A ÉTÉ PRODUIT À CET EFFET À LA CS CHIC-CHOCS

  48. 7. ADAPTER NOS PRATIQUES PÉDAGOGIQUES LES JEUNES 16-24 ANS QUI FRÉQUENTENT NOS CENTRES ONT BESOIN DE CONCRET. L’APPRENTISSAGE EN CONTEXTE EST UN FACTEUR DE RÉUSSITE IMPORTANT. EXPÉRIMENTER DE NOUVELLES APPROCHES PÉDAGOGIQUES (JEUX, UTILISATION DES TIC, ENSEIGNEMENT MAGISTRAL, SORTIE AVEC LES ÉLÈVES DANS LE CADRE D’UN COURS, TRAVAIL EN ÉQUIPE, ETC.) EST JUGÉ PROMETTEUR AUPRÈS DE CETTE CLIENTÈLE. IL FAUT AUSSI, COMME ENSEIGNANT, CHOISIR DES APPROCHES QUI NOUS MOTIVENT ET AVEC LESQUELLES NOUS SOMMES À L’AISE. LES BÉNÉFICES DE TELLES EXPÉRIMENTATIONS SONT INCONTOURNABLES.

  49. 8. DÉVELOPPEMENT PROFESSIONNEL DES ENSEIGNANTS IL EST PRIMORDIAL DE DÉTERMINER QUELS SONT VOS BESOINS COMME ENSEIGNANT EN TERMES DE DÉVELOPPEMENT PROFESSIONNEL. IL VOUS FAUT DÉVELOPPER VOS COMPÉTENCES POUR INTERVENIR AUPRÈS DE LA NOUVELLE CLIENTÈLE DES CENTRES AFIN D’ASSURER VOTRE ÉPANOUISSEMENT PROFESSIONNEL.

  50. 9. TRAVAILLER LA LECTURE PARTICULIÈREMENT AUPRÈS DES GARÇONS LA LECTURE EST À LA BASE DES PROBLÈMES D’APPRENTISSAGE DES JEUNES QUI FRÉQUENTENT NOS CENTRES. PLUSIEURS D’ENTRE EUX ACCUSENT DES RETARDS EN LECTURE DEPUIS LE PRIMAIRE. CES RETARDS, PLUS MARQUÉS CHEZ LES GARÇONS DES MILIEUX DÉFAVORISÉS, INFLUENCENT LES PERFORMANCES DANS TOUTES LES MATIÈRES. LA LECTURE DOIT DONC SE TRAVAILLER PARTOUT. LA RECHERCHE CONSEILLE DE DONNER AUX GARÇONS DES LECTURES PLUS CONSISTANTES AFIN QU’ILS DÉVELOPPENT LEURS COMPÉTENCES. C’EST À CHAQUE CENTRE QUE REVIENT LA TÂCHE DE DÉTERMINER LES MOYENS LES PLUS APPROPRIÉS À LEUR SITUATION.

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