1 / 69

Modèle Relationnel de Données

Modèle Relationnel de Données. Witold Litwin. Base de données relationnelle. Fichier = . table . ou . relation. Donnée = . ligne . ou . attribut . atomique . Opérations = transformations de tables en . une . table. Opération relationnelle. Base de données relationnelle.

montgomery
Download Presentation

Modèle Relationnel de Données

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Modèle Relationnel de Données Witold Litwin

  2. Base de données relationnelle Fichier = table ou relation Donnée = ligne ou attribut atomique Opérations = transformations de tables en une table Opération relationnelle

  3. Base de données relationnelle • Une collection d'objets : Relations réelles (tables de base) Contraintes d'intégrité (surtout référentielle) • intra-relationnelles • monoattribut et multiattribut • inter-relationnelles (et multiattribut) Déclencheurs (ang. triggers) notamment pour maintenir l'intégrité Autres (procédures stockées…) • Schéma conceptuel = Définition de la collection

  4. Schéma de BD Entreprise clé Empl (E#, Nom, Prénom, Né, Rue, CodePost, Ville, Dep#) ; E# Counter ; Nom Text ; Né Date ; Dep# Int... :Syst-date - Né < 65 * Contrainte de validation Dep# Not Null ; * Contrainte d'existence Taches (T#, Description) ; Planning (E#, T#, Date-fin, Avancement) ; Dep (Dep#, Name) ; Trigger on EmplOn Insert Check-Ref-Int (Dep, Empl.Dep#) ; • Autres Déclencheurs utiles ? • Ce schéma est possible sous MsAccess, bien que exprimé différemment

  5. Schémas Externes • Schéma (vue) externe = Collection de vues relationnels (tables virtuelles dérivées de relations réelles) • Un usager ne voit pas de différence entre une vue relationnelle et une table réelle • En principe ! • Une vue relationnelle n'est pas une vue externe au sens ANSI-SPARC • Celle-ci serait une base virtuelle

  6. P

  7. P Create View P1 as select P#, PNAME, COLOR from P; P1

  8. P Create View P1 as select P#, PNAME, COLOR from P; Create View P2 as select P#, PNAME, COLOR from P where CITY = 'London'; P1 P2

  9. P

  10. P P1 P2

  11. Base relationnelle Tables réelles

  12. Base relationnelle Tables réelles et vues

  13. Relations • Di ; i = 1,2..n des ensembles dits domaines • Une relation R est un sous-ensemble de produit cartésien: • Di RDi,1 x Di,2 ... x ... Di,k k n • Dans une BD relationnelle, on n’a que des relations finies • Les Di,j sont les attributs de R ; les rôles de domaines (Codd)

  14. Schéma d'une relation • Les noms R et Di,j constituent le schéma de la relation • Ce schéma et l'ensemble des éléments possibles de R constituent une intention de R. • Les éléments de R y présent à un moment donnée constituent une extension de R. • Une mise à jour modifie une extension et change l'état de la base

  15. Un état de la base S-P Intention de S SP S Une extension de S P

  16. Egalité de relations • Deux relations R et R' sont égales si elles diffèrent seulement par ordre : • d'attributs (colonnes) • de tuples (lignes) • Il n'y a pas de tuples égaux dans une relation

  17. Une même relation S

  18. MAJ / Restructuration • Une mise à jour est correcte si la nouvelle extension est dans l'intention de R • C'est le rôle des contraintes d'intégrité de ne permettre que les mises à jour correctes • Un changement de schéma de R est une restructuration

  19. SQL : MAJ / Restructuration ? Emp (E#, Nom, Prénom, Age, Rue, CodePost, Ville, Dep#) ;Age < 65 * Contrainte de validation Dep# Not Null ; * Contrainte d'existence Update Emp Set Age = 35 Where E# = '123' ; Update Emp Set Age = 75 Where E# = '456' ; Alter Emp Add Tel Integer ; Alter Emp Drop Ville ;Create Table CP - V CodePost Int Ville Text Primary key (CodePost, Ville) ; • C'est une décomposition d'une relation

  20. Opérations relationnelles • Une relation est un fichier qui supporte les opérations relationnelles • Une opération relationnelletransforme des relations arguments dans une relation résultat : • une relation temporaire n'appartenant pas au schéma de la base. • une relation de la base (mise à jour) • une vue

  21. Opérations relationnelles Voir aussi le cours sur l’algèbre relationnelle • Sélection : • Projection • Restriction • Jointure • Division • Agrégation • Opération suppl. • Mise à jour • Création d ’une vue

  22. Opérations relationnelles (SQL) Voit (Im#, Pref, Mod, Couleur) Amende (A#, I#, Nom, Addr, Payée) • Select * From Voit ; • Select Mod From Voit Where Couleur = 'rose' ; • Select Nom, Addr From Amende, Voit Where Payé Is Null and Mod = 'Ferrari' and I# = Im# ; • Update Amende Set Payé = '10-01-96' where A# = '123' ; • Create View En-instance AsSelect * From Amende, Voit WherePayé Is Null and Amende.I# = Voit.Im# ;

  23. Relations • Une relation réelle est définie à partir de ses attributs • Une relation virtuelle (vue) est dérivée (héritée) par une opération relationnelle à partir de relations réelles ou de vues

  24. Relations • En théorie, un domaine et donc un attributpeut être un ensemble • Dans les SGBD actuels, ils ne sont considérés pour les opérations relationnelles que comme des éléments (valeurs) atomiques • De telles relations sont dites normales

  25. O NF 1 NF P1 P2 P3 P4 S1 S1 S1 S1 P1 P2 P3 P4 S1 Norm. S2 S2 S2 P1 P2 P3 P1 P2 P3 S2

  26. Normalization en 1-NF • Contrainte très importante ! • Etud (E#, Tel, Hobbies, Dipl, Enfants, Voit) • Etudiant Dupont: • 3 tel, 5 hobbies, 3 diplômes, 3 enfants, 2 voitures • Un tuple d’ue relation en 0-NF suffit • Il faut 3*5*3*3*2 = 270 tuples pour une relation en 1-NF ! • Solution : normalisation en i-NF ; i > 1 • voir le cours sur la normalisation relationnelle

  27. Relations • Opérations relationnelles sont définies par les expressions : • d'algèbre relationnelle • de calcul de tuple (de prédicat) (QUEL, ALPHA) • de calcul de domaine (QBE) • les trois formalismes sont équivalents (Codd) • Un langage de base de données peut mélanger les types d'expression ci-dessus (SQL) • Calcul de tuple et algèbre

  28. Clés • Dans toute relation R il existe une combinaison C d'attributs dite clé telle que • dans tout tuple t d'intention de R, la valeur C(t)identifie t, • il n'y a pas de sous-combinaison de C avec cette propriété • Démontrez cette assertion ! • Exemples: N° SS, N° Étudiant, Nom de pays, (Nom, Prénom, Tel), Oid,... • Catomiqueconsiste d’un attribut • Ccomposite en contient plusieurs

  29. Clés • Le choix de C est dicté par l'intention de R • Soit R = Pers (Nom, Prénom, SS#, Tel) • Dans une famille Pers (Nom, Prénom, SS#, Tel) • A la SSPers (Nom, Prénom, SS#, Tel) • A l'état civilPers (Nom, Prénom, SS#, Tel) • Les valeurs d'un attribut d'une extension peuvent à un moment donné être toutes différentes sans qu'il s'agisse d'une clé !

  30. Relations • La clé C définie comme auparavant peut-être appelée aussi clé minimale • Tout ensemble C' d'attributs de relation R incluant C est alors appelée clé • Alternativement, si C est appelé clé, alors tout C' est appelé super-clé • Dans notre base S-P, S# est une clé (minimale) de S, donc (S#, SNAME) est une super-clé de S. • Et les attributs (SNAME, STATUS) ne sont même pas une super-clé

  31. Relations • R peut avoir plusieurs clés. Dans ce cas: • Une clé est arbitrairement choisie est dite primaire • Les autres deviennent clés candidates • La clé C d'une relation R peut être des attributs F d'une autre relation R' • F deviennent uneclé étrangère dans R’ • F n'est pas en général une clé de R'

  32. Clé candidate Clé candidate Clé candidate composée Clé primaire Voit (Châssis#, Moteur#, Plaque#, Mod, Poids, Coul ) Etud (E#, Nom, Prénom, Tel, Adresse ) Participants (C#, E#, Note) Clé étrangère

  33. Relations • L'égalité C = F constitue le lien sémantique entre les relations correspondants • Dans un SGBD de 2-ème génération ces liens étaient les références explicites (pointeurs) • Entre C et F il peut exister la contrainte d'intégrité référentielle • En général: pas de F sans C • pas de participant qui ne serait pas un étudiant connu • Les SGBD majeurs gèrent désormais de telles contraintes, • MSAccess : • L'intégrité ref. 1:1 et 1:N • Jointures implicites

  34. Intégrité référentielle Produit P# Femme F# Mari F# 1 1 1 1 N N PP#, PS# Produit Composé Femmes M#, F# Mari M# N 1 Amie A# Ami A# ? ?

  35. Relations • Les clés C et F peuvent aussi être dans une même relation: Emp ( E#, Enom, Tel, Chef#) Personne ( SS#, Nom, Mère#, Père#) • De tels liens génèrent les récurrences exigeant le calcul de fermetures transitives • Les opérations relationnelles ne permettent pas de calculer les fermetures transitives

  36. Valeurs nulles • Une valeurnulle est un abus de langage pour designer une absence de valeur d’un attribut • On dit aussi un nul

  37. Types de nuls • Valeur inconnue • Ville de fournisseur inconnue • Valeur inapplicable • Fournisseur connu pour être sans statut • Cette distinction est rarement appliquée en pratique

  38. Types de nuls • Comment faire alors s’il le faut ? • Pour l’attribut #TEL faut distinguer entre: • # tel portable inconnu • on relancera la personne pour connaître son numéro • Personne sans téléphone portable • L’utilisation d’un nul pour un attribut peut être interdite

  39. Les nuls et les clés • Pourquoi ? • Peut-on néanmoins en pratique • Sur MsAccess, Oracle, DB2… • Autoriser une valeur nulle pour un attribut-clé ? • Créer des relations sans clé ? Un attribut-clé ne peut être nul

  40. Les nuls en perspective On peut interdire en pratique la présence d’un nul pour un attribut • Dans la définition de l’extension de la relation • La théorie initiale du modèle relationnel ne prévoyait pas de nuls • Leur introduction (par les praticiens) a crée de nombreux problèmes • beaucoup restent non-résolus • voir les cours sur SQL

  41. Modélisation relationnelle (démarche intuitive) • Une base est un modèle d'une entreprise (ANSI-SPARC) • Une entreprise est une collection structurée • d'objets réels • éléments identifiables de l'univers de l'entreprise • un fournisseur, une pièce, une fourniture, un nom, une ville... • de types d'objet • ensembles d'objets ayant une intention commune • les fournisseurs, les pièces, les villes... • de propriétés des objets • applications de types d'objet en types d'objet • ville de fournisseur, fournitures d'un fournisseur... Paris Villes Fournisseur Villes

  42. Modélisation relationnelle (démarche intuitive) • Un objet sans propriétés est un objet atomique • Son OID est sa valeur • Nom, Poids, Un nombre entier… • Un objet avec les propriétés est un objet structuré • Il a un OID qui n’est pas sa valeur • un fournisseur... Nom Code postal S# Code postal S City Name Status

  43. Modélisation relationnelle(démarche intuitive) • Une propriété • est nommée • SNAME, WEIGHT • peut être • fonctionnelle (non-transitive ou transitive) • elle évalue à une valeur atomique • nom d'un fournisseur... • non-fonctionnelle binaires 1:1, 1:N ou M:N • évalue à un ensemble de valeurs atomiques • père d’une personne • fournitures d'un fournisseur • hobbies d’une personne • pièces fournies par un fournisseur • non-fonctionnelle m-aires ; m > 2 • fournitures d'un fournisseur pour des projets • patients soignés dans des services et suivis par des médecins

  44. Modélisation relationnelle (Réel -> Schéma Conceptuel) • Identifie les objets, les types et les propriétés • pas de règles formelles • les propriétés non-fonctionnelles doivent être toute de type 1:N • Un typeT d'objets structurés O  une relationR • Un type d'objets atomiques  un domaine D • Noms, Entier, Texte,... • Une propriété fonctionnellenon-transitive de tout O  un attribut de R • une application nommée d'un objet dans un domaine • SNAME, WEIGHT, COLOR...

  45. Modélisation relationnelle (clé primaire) • Un O  une valeur d'une clé primaire C de R • un ou plusieurs attributs constituant une clé candidate de R • SS#, (Nom, Tel), E#... • un attribut nouveau dont la valeur constituera l'OID • si aucune clé candidate de R n'est un identifiant possible ou souhaitable pour O • il s'agit de OID au sens : valeur sans sémantique • définie automatiquement ou manuellement • S#, P#, SP# ?

  46. Modélisation relationnelle (clés étrangères) • Une propriété non-fonctionnelle 1:N d'un objet O  une référence à O dans la table de l'objet cible • une valeur de l'attribut qui constitue la clé étrangèreF =C • C est la clé primaire de la table-source de la propriété • On verra plus tard les propriétés M:N • La cible peut être la source elle-même • Une relation peut être la cible de plusieurs propriétés • fonctionnelles ou pas • SP (S#, P#...) Propriétés (Pnom,SS#... Pers (SS#,..

  47. Modélisation relationnelle (propriétés transitives) • Une propriété fonctionnelle de O peut se révéler transitive • Il s'agit en fait d'une propriété de O' qui est lui même une cible d'une propriété de O • SP' (S#, P#, QTY, PNAME, COLOR...) • QTY est une propriété non-transitive de SP • PNAME, COLOR sont des propriétés transitives de SP • car il s’agit en fait de propriétés non transitives de P • Les propriétés transitives doivent être éliminées • elles donnent lieu aux duplications et anomalies de mise à jour • PNAME, COLOR sont inutilement répétés pour toute fourniture d ’une même pièce P# • on reverra ce concept en détail plus tard

  48. Modélisation relationnelle (démarche intuitive) • Il faut mettre une telle propriété dans R où elle est directe (non-transitive) • SP (S#, P#,QTY) P (P#, PNAME, COLOR) • On retrouve la restructuration par décomposition • Et une référence 1:NP.P# -> SP>P# • On sépare "les torchons et les serviettes" • On fait intuitivement une normalisationrelationnelle • formelle, en 2NF, 3NF et BCNF...

  49. Modélisation relationnelle (propriétés binaires M:N) • Une propriété P non-fonctionnelle de O peut s'avérer M:N • Les pièces fournies par un fournisseur quand une pièce peut avoir plusieurs fournisseur • S (S#, SNAME..P#, QTY..) • Alors, on a omis d'identifier un type d'objet tel que P correspond à deux (ou plus) propriétés 1:N • les fournitures SP, l'amitié… • peut avoir ses propres propriétés (QTY) Amitié SP P S Amis S P

  50. Démarche intuitive (limites pratiques) • Ces règles sont en général suffisantes en pratique • Jusqu'à 4 NF (incluse) • Cependant, elle ne sont pas en général univoques • elles peuvent donner lieu à plusieurs schémas différents • elles ne sont pas non plus suffisantes pour tous les cas • Ex. mise en 1-O NF (à voir plus tard), puis 5NF • Il ne semble pas qu'il existe des réglés universelles

More Related