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« LE SOCIAL ET L ’ ŒDIPE

« LE SOCIAL ET L ’ ŒDIPE. Le temps ŒDIPIEN.

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Presentation Transcript


  1. «LE SOCIAL ET L’ŒDIPE

  2. Le temps ŒDIPIEN L’enfant de quatre ans s’étant auto terrorisé de sa tentative de séparation d’avec sa mère avec le fantasme de MATRICIDE tente de se rassurer et revient à un désir de FUSION avec la mère encore plus violent qu’il n’a PAS appris accepter aucune frustration, aucune limite, aucun interdit. Les émotions se bousculent.

  3. Le temps ŒDIPIEN Œdipea quitté le rêve enfantin del’éternitéde toute puissance, mais tente de revenir dans un rêve HORS du temps dans lequelil tente de poursuivrele rêve enfantin d’un lien d’amour total avec la mère.

  4. Le temps ŒDIPIEN L’enfant de quatre ans commeŒdipe accepte le déroulement du temps, la mort, la mortalité des autres, des étrangers, du père mais pas celle intolérable de sa mère, ni la mort du lien à sa mère. La PEUR et l’angoisse de la perte de ce lien sécuritaire le domine devenant la source de ses violentes rivalités.

  5. Le temps ŒDIPIEN Les troubles relationnels avec les parents induisent et aggravent la PEUR et la VIOLENCE fixant l’enfant dans l’impasse d’un mécanisme de défense ŒDIPIEN.

  6. Œdipe REFUSE de se séparer Œdipedans la peur de perdre sa mère, il oublie son désir de MATRICIDE, il régresse et reprend le désir de ne faire qu’UNavec elle… Ce fantasme est un désir qui prend une couleur pseudo sexuelle, chez l’enfant qui est dans l’identification à son sexe…

  7. La fragilité de l’identité de l’enfant Œdipien peut être interprétée de bien des manières. Dans le mythe, Œdipe ce qui l’habite au niveau inconscient, c’est LA RÉALITÉ intolérable d’un père homosexuel assassin terrorisé à l’idée d’avoir un fils et d’une mère INFANTICIDE pour qui les rapports homme/femme ou les rapports entre hommes se réduisent à des rapports de POUVOIR, c’est dire comment elle conçoit ses RAPPORTS À UN ENFANT.

  8. UN CONDITIONNEMENT Œdipe est un enfant mis dans des conditions épouvantables au moment où l’enfant a tellement besoin de comprendre que ses parents l’on désiré, que le désir lié à l’amour est à l’origine de sa vie ce qui éclaire pour lui les prémices de la compréhension de la sexualité, de sa différenciation sexuelle, de ses rapports aux autres, de sa conception de la sexualité et du rapport aux femmes. Erreurs ET CONVICTIONS Et nos mécanismes de défense

  9. La fragilité de l’identité de l’enfant Œdipien peut être interprétée de bien des manières. Il va régresser vers le fantasme de perfection lié à un même fusionnelle, celui des LIENS MÈRE/ENFANT qui entraîne le refus des séparations, des renoncements, des castrations symboliques, des limites. Or la création des écarts est ce qui autorise la différenciation moi/autre et le renforcement de la fonction psychique conduisant à l’autonomie. Tolérer l’existence d’insatisfactions devient source de créativité et n’ouvre plus sur le NÉANT et la PERTE INGÉRABLE, ou sur le MANQUE TOTALITAIRE mais sur le pouvoir du DÉSIR dans la réalité.

  10. Les PRÉLUDES d’une nouvelle conception de l’espace /temps C’est le moment des GRANDS PARENTS, le moment où la famille fait découvrir les albums de famille, l’existence des délais, des écarts, de la patience facilitant la maturation du temps à celui ou celle qui ANTICIPE son avenir en se posant la question de ses origines et du déroulement des générations et de son avenir. Il va entrer dans l’ESPACE HORS de la FAMILLE, dans l’espace social des rencontres.

  11. Les PRÉLUDES Une relation de conflit parent/enfant. LE REFUS de CHANGER L’enfant entre en lutte avec l’autorité parentale. Il veut imposer sa loi, son bon plaisir, envers et contre tous. Il n’accepte aucune règles. SES FANTASMES sont extrêmes: l’inceste et le parricide. Il va jusqu’au bout. Il cri, hurle, fait des pieds et des mains, se roule par terre, casse des objets, refuse d’obéir, court se cacher ou joue de la séduction, pleure, fait le malheureux qui a peur du noir et de se coucher tout seul… Qui veut lâcher la proie pour l’ombre

  12. Les PRÉLUDES La période ŒDIPIENNE Têtu, il veut n’en faire qu’à sa tête, il va chercher à faire plier la mère et le père à ses 4 volontés. C’est le moment des vifs conflits entre l’enfant qui ne veut pas quitter ses liens à la mère et les parents qui ne savent pas être ferme et rassurant. Pour l’enfant, l’absence de confiance, en raison de ce qui a précédé n’entraine aucune adhésion, mais bien le refus. « On me propose des vessies pour des lanternes, des projets fallacieux» Qui veut lâcher la proie pour l’ombre ?

  13. Les PRÉLUDES A la période ŒDIPIENNE Sous couvert d’introduire la LOI de l’interdit de l’INCESTE. Il s’agit en fait de nombreuses autres problématiques.

  14. Les PRÉLUDES La période ŒDIPIENNE C’est quitter la violence tyrannique des pulsions et des peurs qui conduit à vouloir imposer ses quatre volontés envers et contre tous.. C’est quitter l’angoisse de perdre sa mère. Rassurer!!! C’est mettre de la mesure et détourner ses ambitions, ses envies, sa rivalité au père admiré, modèle de ce qui plait à sa mère dans le but de garder la mère pour lui seul.

  15. Les PRÉLUDES La période ŒDIPIENNE C’est la poursuite de la volonté d’obtenir tout ce qu’il veut, quand il le veut. Un dressage en douceur, celui d’une autorité claire non brutale, non inhibitrice s’impose. Donner des ordres avec fermeté, avec des explications, faire envisager une victoire différente, les yeux dans les yeux, en annonçant une sanction qui sera tenue en cas de refus.

  16. À l’ADOLESCENCE Faire réfléchir sur ce qui caractérise la démarche ŒDIPIENNE QU’EST-CE QUE GAGNER, GAGNER QUOI? QU’EST-CE QUE PERDRE, PERDRE QUOI? QU’EST-CE QUE L’AMOUR ET LE DÉSIR? QU’EST-CE QUI DIFÉRENCIE PULSION ET DÉSIR?

  17. L’ŒDIPE, une Transition complexe et la RÉALITÉ La période ŒDIPIENNE est un moment complexe de la maturation: La fin d’un rêve et l’accès à la réalité, l’identification à son sexe, la maturation du désir, l’interdit de l’inceste, quitter les liens fusionnels à la mère et la peur de la perdre. Entrer en rivalité avec le père sans pourtant entrer dans une imitation sans limite, accepter le déroulement du temps, le respect des générations, les délais à la satisfaction de ses pulsions et découvrir les insatisfactions du désir, la communauté de la condition de mortel…

  18. QUITTER le TOUT ou RIEN PULSIONNEL La période ŒDIPIENNE et la RÉALITÉ Le dieu ÉROSprimitif est le FILS de PÉNIA (carence, manque, indigence, dénuement, pénurie) et de POROS(plein de ressources, actif, entreprenant). Construire la différence entre le MANQUE du BESOIN et de la PULSION et le manque du DÉSIR. Mettre des limites à l’envie, à la convoitise. Permettre de quitter la contrainte de l’Avoir, dans la volonté de posséder pour posséder comme seule défense contre l’angoisse et la misère de la PEUR de ne pas ÊTRE.

  19. QUITTER le TOUT ou RIEN La période ŒDIPIENNE et la RÉALITÉ Le père propose une imitation sélective qui étoffe la construction du MOIprovenant de la capacité d’admettre et de différencier le MANQUE, Faire découvrir les limites au désir de toute puissance, l’art difficile des limites à nos attachements, l’art des renoncements créatifs, étoffer la capacité de lier et de délier, étoffer la capacité de discrimination, l’art de créer des liens mais aussi des écarts, l’art de la séparabilité différenciée.

  20. Les PRÉLUDES; la maturation du DÉSIR La période ŒDIPIENNE et la RÉALITÉ LE DEUIL de la plénitude et l’aménagement de l’éphémère et de l’incomplétude de la mortalité avec la lucidité et l’acceptation certes des liens mais des écarts entre les uns et les autres dans le constat tolérant des différencesconduit logiquement à l’indulgence et à la bonté envers les autres qui sont dans la même galère. L’art de conjugué lier et délier, l’art de gérer la bonne distance efficace dans le rapport aux autres. (Un bémol aux attachements dans le TOUT ou RIEN.)

  21. Le MIMÉTISME en SOCIÉTÉ Et l’ OEDIPE René GIRARD

  22. Le MIMÉTISME en SOCIÉTÉ Et l’ OEDIPE L’entreprise qui vise à devenir SOI , à acquérir son autonomie utilise un bien curieux procédé celui de COPIER le père, de copier ceux qui ont l’autorité, le pouvoir pour devenir comme eux pour les remplacer. Ce mimétisme d’acquisition sans nuances, sans limites, simplifiant, porté à l’extrême est OEDIPEN.

  23. AU PLAN SOCIAL Le mythe met en évidence la lutte sans merci pour le pouvoir politique, celle entre Œdipe et CRÉON La manipulation de la violence mimétique dans la lutte pour s’accaparer le POUVOIR conduit à la création d’un bouc émissaire. Le rejet par le peuple de la responsabilité d’une crise sur un bouc émissaire détourne des responsabilités du pouvoir.

  24. Les PRÉLUDES à la VIOLENCE La période ŒDIPIENNE Laisser croire à l’enfant qu’il peut exercer sa toute puissance en ne tenant pas compte du temps, des autres, dans un intérêt à courte vue, c’est ouvrir largement la porte à la violence du chacun pour soi en société comme l’a analysé René GIRARD à propos de l’absence de limitation du processus d’imitation d’apprentissage voué à une concurrence sans merci qui nie la solidarité, le civisme. Les familles en seront les premières victimes puis la société…C’EST LA PESTE

  25. La culpabilité d’ Œdipe. • Il est le BOUC ÉMISSAIRE qui s’offre au bourreau. • « Plus on se dit élu, plus on s’accepte exclu ! » • « Œdipe : On voit maintenant que je suis coupable, fils de coupable.» • Sophocle OR 1396 

  26. La lutte entre deux factions rivales égales dans l’incompétence et la corruption et l’appât du gain conduit à la violence mimétique… L’accusation d’Œdipe par CRÉON est une manœuvre dans la lutte pour le pouvoir. C’est une désinformation du peuple qui désigne un bouc émissaire pour expliquer la PESTE, les crises économiques... Elle va justifier la violence populaire et la détourner de ceux qui sont les responsables.

  27. Œdipe reste sans défense, même plus, il s’accepte coupable tant la honte de l’inceste rendu publique est puissante, coupable de ne pas avoir été aimé, coupable d’être la source de la haine parentale. « Plus l’invention mensongère est proche de la culpabilité de la victime, plus elle s’offre au coups des persécuteurs. » Il admet un lien entre son chaos intérieur et celui de la cité. Il ne résiste pas à l’accusation. Il confirme la pensée grecque qu’il existe un lien entre la pensée d’un décideur et la pensée d’une époque, entre la psychologie intime et le social. Il y a une interférence entre l’une et l’autre.

  28. Chacun pour soi et tous contre tous C’est celle des conflits mimétiques de la rivalité sans fin de type oedipien. LA GUERRE CIVILE

  29. Que le meilleur gagne L’appât du gain et du pouvoir, l’avidité et la cupidité, l’égoïsme, exacerbe la concurrence, ouvre les portes de la corruption... Ainsi s’instaure ce qu’une époque les Hébreux appelait le règne du Veau d’OR

  30. Chacun pour soi et tous contre tous La PESTE, c’est le retour de la violence contagieuse et envieuse de tous contre tous.

  31. Chacun pour soi et tous contre tous La PESTE, c’est le refus dela LOI, de laMORALE, le refus de la soumission à une autorité corrompue, la perte de confiance dans les rapports aux autres, la perte des civilités, le retour de la loi du plus fort, de la dominance puis au bout du compte on abouti auDÉNI de l’autre…

  32. L’ENFANT traverse DES ÉMOTIONS FORTES ET DES RÊVES angoissants, des séparations intolérables, des désirs de VICTOIRES, des admirations torrides, des rivalités féroces dans la loi du tout rien tragique

  33. Le Meurtre du père Le désir de l’enfant, c’est celui de l’autonomie mégalomaniaque, c’est le désir de grandir qui prend modèle sur celui qui plait à sa mère, le père. Dans la loi du tout ou rien de la petite enfance cette imitation se résume à remplacer le père auprès de la mère, à l’évincer pour garder sa mère toute à soi… Dans ce moment d’immaturité, le MIMÉTISME est de type TOTALITAIRE, sans nuances, conçu comme le seul moyen d'accès au désir et à l’identité. IL NIE LA RÉALITÉ, le temps! IL RÊVE

  34. L’imitation du père La période Œdipienne quitte la confusion moi/autre et inaugure chez l’enfant la maturation de l’imitation de l’autre dans la rivalité envieuse au père comme moyen d’acquisition, d’appropriation, comme curieux procédé permettant d’accéder à l’autonomie de son désir. La maturation du mimétisme du « Au nom du père » n’est pas proportionné par le discours du père absent, indifférent, Œdipien lui-même, ni par LE DISCOURS prudent des étrangers au couple familial, ni par d’autres modèles ce qui n’entre pas dans les possibilités de l’enfant traumatisé QUI RESTE CENTRÉ SUR SA VIE DE FAMILLE. Les attachement lui font espérer une solution de ses ennemis intra familiaux, tant l’angoisse de l’abandon l’habite et la peur !!!

  35. L’imitation du père L’Œdipe est une étape très ambiguë de la maturation psychique. Le désir mimétique est contradictoire puisqu’il conduit sans le vouloir au refus de se séparer de sa mère contredisant ainsi son désir d’autonomie. L’AMBIVALENCE tient à l’angoisse de représailles par le père, au risque de la castration mais le désir de garder la mère est si fort qu’il pousse à nier la réalité en faveur de son désir vers le parricide. Qui oriente l’enfant ? Qui l’apaise ? Qui pose l’interdit

  36. L’imitation du père L’Œdipe est une étape très PARTICULIÈRE de la maturation psychique de l’amour du même sexe que le sien comme identification à son sexe. La question est multiple !!! Suis-je né du désir et de l’amour que mes parents se sont porté ? Qu’est-ce que la reproduction dans le temps de la filiation ? Pour le garçon, l’amour, l’admiration du père prend une place essentielle. Puis-je lui ressembler, le dépasser pour qu’il soit fier de moi ? Quel père autorise l’expression de la vitalité, voire de la rivalité de son fils en mettant des limites à l’imitation en orientant sa vitalité?

  37. L’imitation du père Plus on prend exemple sur le père pour être aimé de la mère, plus on risque de vouloir être le seul aimé de la mère, plus les attachements fusionnels pré oedipiens tentent de se maintenir. Cette erreur est favorisée quand l’enfant n’est rien pour la mère et quand le père est désavoué ou absent.

  38. L’imitation du père LA PESTE, c’est l’indifférenciation, le REFUS de la fin des liens fusionnels à la mère.

  39. Désirs et volontés La peur de l’enfant venant de sa fragilité, de sa dépendance aggrave son besoin d’un soutien, son attachement aux liens à sa mère, Il veut rester dans les vallons des rêves avec sa mère HORS du TEMPS dans l’illusion de L’UN magique là où tout est douceur, unité…là où peut s’ébattre la mégalomanie des pulsions polymorphes…

  40. Déficit de lien et défense Le fantasme incestueux tente de compenser le désarroi solitaire, la peur alors qu’il ne fait que souligner la fragilité de l’enfant. Il est Sans mère maternante, ni père paternant, mais confronté à des ennemis . Nous retrouverons cette violence et cette fragilité tout au cours de l’histoire de la vie d’ Œdipe dans ses comportements avec les autres… L’angoisse de voir de voir s’effondrer son mécanisme de défense ce qui s’exprime par la force de sa CONVICTION, par la violence à vouloir maintenir son équilibre pathologique de façon tyrannique.

  41. ORIGINES, filiation, reproduction, imitation du père et identification à son sexe Pour bien des raisons, bien des garçons abandonnés, adoptés, ballottés de foyer d'accueil en foyer d'accueil, ballottés entre mère et père, confronté à une mère hyper présente avec un père désavoué ou des enfants de l’insémination devenus adultes restent dans l’incertitude et l’angoisse sur leurs origines, sur la question du PÈRE. Cette méconnaissance touche aussi bien ce qui concerne la sexualité que le rôle du père dans la fécondation. L’ignorance sur leur filiation les habitent de façon féroce, les contraignant parfois à une recherche obsessionnelle, se vivant inexistant dans l’incertitude d’être…

  42. ORIGINES, filiation, reproduction, imitation du père et identification à son sexe C’est dire l’intérêt d’aborder précocement ces questions avec l’enfant de façon indirecte au travers des mythes ( PAN, IO, CORÉ )qui servent de trampoline aux réflexions, aux échanges, aux informations est une démarche qui touche aux vraies questions que se posent les enfants. C’est dire L’INTRICATION des problématiques sexuelles et psychologiques touchant l’IDENTITÉ en ces débuts de la pensée.

  43. OTAGE de l’emprise de parents OEDIPIENS

  44. La PESTE, c’est l’absence de paroles du père

  45. La PESTE, par analogie, c’est le refus dela LOI

  46. Le père confirme les limites et oriente la vitalité et permet la maturation de l’imitation rivale (l’imperfection et l’erreur) et interdit les liens fusionnels à la mère. Il interdit l’ INCESTE. « Tu vois j’ai quitté ma mère et je me suis marié avec ta maman.»

  47. Le père qui n’est pas dans une attitude OEDIPIENNE n’entre pas en lutte avec son fils en accaparant sa femme qu’il appelle maman. Il AUTORISE une première rivalité entre lui et son fils et détourne la vitalité de son fils vers des activités diverses et l’encourage à se confronter aux autres…de la crèche à l’école…

  48. La maturation de l’identité, c’est ce qui conduira à mettre une mesure à l’ IMITATION TOTALITAIRE comme moyen pour être, autorisant une imitation nuancée, sélective, personnalisée, puis à se proportionner en se comparant aux autres et non plus à un seul modèle de référence notamment qu’en celui-ci est pathologique. Enfin quittant les attachements enfantins, en dépassant le mimétisme rival envieux survient la personnalisation jusqu’àl’autonomie du désir et de la créativité.

  49. C’est dire si l’angoisse de séparation d’avec la mère est intense ce qui renvoi au syndrome d’ORPHÉE que nous avons résumé par l’aphorisme: « La perte de l’autre, c’est le risque de la perte de soi. » Le déni par la mère de l’existence de son fils, ou son INDIFÉRENCE sont à l’origine chez Œdipe de son angoisse. Il est difficile d’accepter de ne pas avoir eu de mère aimante et maternante. Il est difficile de renoncer à ses mensonges d’un autre aimant. Il est difficile seul de créer un repère sain.

  50. ALBUM DE FAMILLE Étudier la filiation paternelle et maternelle sur le plan historique, événementiel EST UNE PREMIÈRE APPROCHE TRÈS ENSEIGNANTE. Cette démarche est notamment la source de SURPRISES à propos des secrets de famille et des non dits, des événements cachés, honteux, à pros des difficultés de la vie... Ceci donne envie de comprendre les raisons, les causes du malheur… Ceci permet de parler, de réfléchir, de penser ensemble, d’évoquer les erreurs…

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