E N D
1. Le Service de placement de l’Université Laval :
un partenaire incontournable! Le marché de l’emploi en communicationFévrier 2010
2. 2
3. 3 Professionnel des relations publiques : définition Professionnels des relations publiques et des communications (CNP 5124) :
« Les professionnels des relations publiques et des communications comprennent les spécialistes des relations publiques et des communications qui élaborent et appliquent des stratégies de communication et de promotion et des programmes d'information, s'occupent de la publicité des activités et des événements et entretiennent des relations avec les médias au nom de commerces, de gouvernements et d'autres organisations, ainsi qu'au nom d'artistes, d'athlètes, d'écrivains et d'autres personnes de talent. »
Source : CNP
4. 4 Journalistes : définition Journalistes (CNP 5123):
« Les journalistes recherchent, vérifient, commentent et communiquent des nouvelles et des informations diffusées par les journaux, la télévision, la radio et les autres médias. »
Source : CNP
5. 5 Consultants en publicité : définition Consultants en publicité (CNP 1122) :
« Les consultants en publicité offrent des services de gestion tels que l'analyse des besoins en publicité et l'élaboration de plans de publicité correspondants. »
Source : CNP
6. 6 Professions à ne pas confondre Auteurs, rédacteurs et écrivains (CNP 5121)
Commis aux relations publiques (voir CNP 1453 Commis aux services à la clientèle, commis à l'information et personnel assimilé)
Consultant en marketing (voir CNP 4163 Agents de développement économique, recherchistes et experts-conseils en marketing)
Directeur de relations publiques (voir CNP 0611 Directeurs des ventes, du marketing et de la publicité)
7. 7 Professions à ne pas confondre (suite) Planificateurs de congrès et d'événements (CNP 1226)
Annonceurs et autres communicateurs de la radio et de la télévision (CNP 5231)
Réviseurs, rédacteurs-réviseurs et chefs du service des nouvelles (CNP 5122)
Concepteurs et développeurs Web (CNP 2175)
8. 8 Le marché en communication : les employeurs potentiels Entreprises d'experts-conseils
Sociétés commerciales (entreprises de services)
Associations
Gouvernement
Organismes sociaux (Croix rouge, Opération Enfant Soleil…)
Musées
Groupes d'intérêt public
Organismes culturels
Médias et communications (journaux, magazines, revues, TV, radio)
9. 9 Le marché en communication : les employeurs potentiels (suite) Agences de marketing, de publicité, de relations publiques
Firmes de consultants
Maisons de sondage
Maisons d’édition
Entreprises de veille électronique (sites Web)
Cégeps, universités, commissions scolaires
Municipalités
Entreprises manufacturières
Hôpitaux
10. 10 Le marché en communication : principaux secteurs d’emploi Administrations publiques : 19 %
Autres services, sauf administration publique : 14 %
Publicité et services connexes : 11 %
Arts, spectacles et loisirs : 9 %
Industrie de l’information et industrie culturelle : 8 %
Services d’enseignement : 6 %
Soins de santé et assistance sociale : 5 %
Source : http://www.jobfutures.ca/cnp/511p4.shtml
11. 11 Le marché en communication : les types de postes Relations publiques :
Relationniste
Agent/Conseiller/Responsable de relations publiques
Agent/Conseiller/Responsable/Chargé de communication
Assistant/Attaché aux communications
Conseiller/Agent d’affaires publiques
Assistant aux relations publiques
Coordonnateur
Attaché de presse
Agent des relations avec les médias
Coordonnateur d’événements spéciaux
12. 12 Le marché en communication : les types de postes (suite) Journalisme :
Chef de pupitre ou de nouvelles
Réalisateur
Webmestre/Édimestre
Recherchiste
Agent de recherche
Reporter
Chroniqueur/Animateur/Annonceur
Interviewer
Rédacteur/Réviseur
Critique
Journaliste (pigiste)
13. 13 Le marché en communication : les types de postes (suite) Publicité :
Responsable/Coordonnateur de projet
Agent au développement
Agent de coordination
Créateur de site Internet
Agent/Conseiller/Spécialiste/Concepteur publicitaire
Représentant en promotion
Agent/Spécialiste/Coordonnateur de promotion
Consultant en stratégies promotionnelles
Agent/Conseiller/Spécialiste en marketing
Coordonnateur/Assistant aux ventes
Rédacteur concepteur
14. 14 Le marché en communication : exemples de fonctions au SPLA Relations publiques :
Créer un site Web
Organiser des conférences de presse
Négocier des placements dans les médias
Rédiger le journal de l’entreprise
Promouvoir l’image de l’entreprise
Conseiller la direction
Voir à la visibilité et à la promotion de l’entreprise
Organiser des événements, des lancements, des inaugurations, des portes ouvertes, des expositions, etc.
15. 15 Le marché en communication : exemples de fonctions au SPLA (suite) Développer des outils d’information
Élaborer un plan de communication
Concevoir et appliquer des stratégies de communication
Publiciser des activités et des événements
Entretenir des relations avec les médias
Préparer des rapports, des mémoires, des discours, des exposés, des communiqués de presse, des textes publicitaires et promotionnels
Organiser des ateliers, des cérémonies, des collectes de fonds
16. 16 Le marché en communication : exemples de fonctions au SPLA (suite) Rechercher des commandites et des subventions
Développer des partenariats
Mener des enquêtes sur l'opinion et l'attitude du public
17. 17 Le marché en communication : exemples de fonctions (suite) Journalisme :
Rédiger des articles, des chroniques, des éditoriaux, des critiques d'œuvres littéraires, musicales ou artistiques et des commentaires
Recevoir, analyser et vérifier les informations pour en évaluer l'exactitude
Recueillir des informations au moyen d'interviews, d'enquêtes ou d'observations
Animer des débats
Effectuer des recherches pour des émissions
Réaliser des sondages
18. 18 Le marché en communication : exemples de fonctions (suite) Publicité :
Discuter avec le client de la campagne publicitaire et des éléments à respecter
Faire des études et des analyses pour déterminer la problématique, le public cible et les solutions envisageables
Développer des concepts publicitaires
Mettre en place les stratégies de mise en marché de produits ou de services d’une entreprise
Produire des slogans, des logos, des dépliants, des tracts, des affiches, des messages publicitaires, etc.
19. 19 Le marché en communication : exemples de fonctions (suite) Gérer l’information et la structure de sites Web
Coordonner le déroulement de la campagne publicitaire en établissant les contacts avec les médias
Développer les marchés et les ventes
Fournir des conseils marketing
Collaborer aux suivis de projets de réalisation en matière de design et de graphisme
20. 20 Le marché en communication : les compétences recherchées Excellent français écrit et parlé
Bilinguisme
Sens de l’organisation, des responsabilités et de l’observation
Créativité
Bonne capacité à travailler sous pression
Bon esprit d’équipe
Excellente capacité de recherche, d’enquête, d’analyse et de synthèse
Esprit critique et d’initiative
Polyvalence
Curiosité intellectuelle
21. 21 Le marché en communication : les compétences recherchées (suite) Bon sens du leadership
Entregent
Diplomatie
Rigueur et minutie
Capacité de convaincre
Maîtrise des logiciels Word, Excel, Access, Powerpoint
Connaissance du html et Frontpage (atout)
Excellente capacité de rédaction
Capacité à trouver de la documentation facilement
Très bonne culture générale (actualité, débats sociaux, etc.)
22. 22 Le marché en communication : les compétences recherchées (suite) Dynamisme
Autonomie
Facilité à communiquer
Bonne capacité de gestion
Bonne capacité à travailler avec des échéanciers serrés
23. 23 Le marché en communication : les conditions d’emploi Selon l'enquête du MELS « La Relance », les diplômés du baccalauréat en communication et en journalisme de 2007 connaissaient la situation suivante en 2009 :
En emploi : 77,5 %
Aux études : 13,5 %
À temps plein: 91,0 %
Salaire hebdomadaire brut moyen : 731 $
En lien avec la formation : 64,3 %
24. 24 Le marché en communication :les conditions d’emploi (suite) Selon l'enquête du MELS « La Relance », les diplômés à la maîtrise en communication de 2007 connaissaient la situation suivante en 2009 :
En emploi : 71,4 %
Aux études : 21,4 %
À temps plein : 87,5 %
Salaire hebdomadaire brut moyen : 855 $
En lien avec la formation : 100 %
25. 25 Le marché en communication : les salaires CNP Taux horaire Salaire annuel
5124 entre 20 $/h et 22 $/h 51 000 $
5123 entre 30 $/h et 35 $/h 57 000 $
1122 entre 26 $/h et 28 $/h 62 000 $
5121 entre 22 $/h et 24 $/h 44 000 $
1453 entre 16 $/h et 18 $/h 36 000 $
4163 entre 28 $/h et 30 $/h 54 000 $
0611 entre 30 $/h et 35 $/h 76 000 $
1226 entre 20 $/h et 22 $/h 42 000 $
5231 non publié 51 000 $
5122 entre 28 $/h et 30 $/h 50 000 $
2175 entre 22 $/h et 24 $/h 42 000 $
Source : http://imt.emploiquebec.net
Source : http://imt.emploiquebec.net
Salaire horaire au Québec (2006-2008) Médian
Revenu annuel moyen d’emploi à temps plein en 2005 : Ensemble du Québec
Source : http://imt.emploiquebec.net
Salaire horaire au Québec (2006-2008) Médian
Revenu annuel moyen d’emploi à temps plein en 2005 : Ensemble du Québec
26. 26 Le marché en communication : répartition de l'emploi selon la région (CNP 5124) Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine 0,4 %
Bas-St-Laurent 1,2 %
Capitale-Nationale 13,1 %
Chaudière-Appalaches 3,0 %
Estrie 2,5 %
Centre-du-Québec 0,9 %
Montérégie 15,3 %
Montréal 38,0 %
Laval 3,6 %
Lanaudière 2,9 %
Laurentides 3,9 %
27. 27 Le marché en communication : répartition de l'emploi selon la région (CNP 5124) Outaouais 10,1 %
Abitibi-Témiscamingue 1,3 %
Mauricie 1,8 %
Saguenay-Lac-St-Jean 1,4 %
Côte-Nord-Nord-du-Québec 0,7 %
Source : http://www.servicecanada.gc.ca/fra/qc/emploi_avenir/statistiques/5124.shtml
28. 28 Le marché en communication : répartition de l'emploi selon la région (CNP 5123) Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine 0,5 %
Bas-St-Laurent 2,1 %
Capitale-Nationale 11,8 %
Chaudière-Appalaches 2,9 %
Estrie 3,3 %
Centre-du-Québec 1,1 %
Montérégie 14,4 %
Montréal 43,8 %
Laval 2,5 %
Lanaudière 2,2 %
Laurentides 3,3 %
29. 29 Le marché en communication : répartition de l'emploi selon la région (CNP 5123) Outaouais 4,7 %
Abitibi-Témiscamingue 1,6 %
Mauricie 2,5 %
Saguenay-Lac-St-Jean 2,1 %
Côte-Nord-Nord-du-Québec 1,2 %
Source : http://www.servicecanada.gc.ca/fra/qc/emploi_avenir/statistiques/5123.shtml
30. 30 Le marché en communication : répartition de l'emploi selon la région (CNP 1122) Gaspésie-îles-de-la-Madeleine 0,6 %
Bas-St-Laurent 0,9 %
Capitale-Nationale 10,1 %
Chaudière-Appalaches 3,1 %
Estrie 2,3 %
Centre-du-Québec 0,9 %
Montérégie 20,3 %
Montréal 36,1 %
Laval 5,1 %
Lanaudière 3,5 %
Laurentides 6,3 %
31. 31 Le marché en communication : répartition de l'emploi selon la région (CNP 1122) Outaouais 6,5 %
Abitibi-Témiscamingue 0,5 %
Mauricie 1,8 %
Saguenay-Lac-St-Jean 1,2 %
Côte-Nord-Nord du Québec 0,8 %
Source : http://www.servicecanada.gc.ca/fra/qc/emploi_avenir/statistiques/1122.shtml
32. 32 Le marché en communication : les tendances de l’emploi Selon le CNP 5124, les perspectives d'emploi dans cette profession sont bonnes pour la province de Québec.
« Au cours des dernières années, le nombre de professionnels des relations publiques et des communications a augmenté fortement. Cette augmentation s'explique par la croissance de la demande en communication des entreprises, pour rejoindre leurs clientèles tant internes qu'externes. Cette tendance à la forte hausse de l'emploi devrait se maintenir au cours des prochaines années. »
33. 33 Le marché en communication : les tendances de l’emploi (suite) « Les débouchés proviendront en premier lieu de la création d'emplois et des besoins de remplacement des professionnels des relations publiques et des communications qui prendront leur retraite. »
« Ces débouchés seront accessibles à un vaste bassin de candidats, bassin qui varie selon le type de poste offert. Selon les caractéristiques du poste vacant, les employeurs recherchent des candidats généralistes ou spécialistes. »
34. 34 Le marché en communication : les tendances de l’emploi (suite) « La situation sur le marché du travail des diplômés du baccalauréat en communication et journalisme, formation la plus directement liée à cette profession, est un peu moins bonne que celle de l'ensemble des diplômés d'un baccalauréat. En plus, leur situation pourrait se détériorer au cours des prochaines années. En effet, le nombre de diplômés du baccalauréat en communications et journalisme a augmenté d'environ 45 % entre 2000 et 2007 et le nombre d'étudiants de plus de 15 % entre 2003 et 2007. Ils seront donc plus nombreux à se concurrencer pour un nombre de postes disponibles qui augmentera beaucoup moins rapidement. »
Source : http://www.servicecanada.gc.ca/fra/qc/emploi_avenir/statistiques/5124.shtml
35. 35 Le marché en communication : les tendances de l’emploi (suite) Selon le CNP 5123, les perspectives d'emploi dans cette profession sont acceptables pour la province de Québec.
« Au cours des dernières années, le nombre de journalistes a augmenté légèrement. L'émergence de nouveaux champs d'intervention a permis de compenser la diminution des emplois dans les secteurs plus traditionnels. Compte tenu que ces tendances devraient se maintenir au cours des prochaines années, on prévoit que leur nombre continuera d'augmenter légèrement. »
36. 36 Le marché en communication : les tendances de l’emploi (suite) « Les débouchés proviendront en premier lieu du taux de roulement relativement élevé et des postes qui seront libérés par les journalistes qui prendront leur retraite ou qui obtiendront des promotions à des postes de gestion et, dans une moindre mesure, de la création d'emplois. Le taux de roulement est particulièrement élevé chez les pigistes et les employés temporaires. En plus, un certain nombre de journalistes quittent cette profession pour travailler dans d'autres sphères du monde des communications : relations publiques, attaché de presse, etc. »
37. 37 Le marché en communication : les tendances de l’emploi (suite) L'évolution de l'emploi dans cette profession dépend de nombreuses tendances opposées.
Regroupements, fusions et convergence
Lecture de journaux et de revues
Nouveaux créneaux
38. 38 Le marché en communication : les tendances de l’emploi (suite) « Aucune formation particulière n'est obligatoire pour devenir journaliste. Toutefois, on exige généralement un baccalauréat, dans toute sorte de domaine. Les disciplines du domaine des communications et des lettres sont particulièrement pertinentes, mais des formations aussi variées que le droit, les sciences politiques, les sciences économiques et l'histoire peuvent mener à cette profession. »
Source : http://www.servicecanada.gc.ca/fra/qc/emploi_avenir/statistiques/5123.shtml
39. 39 Le marché en communication : les tendances de l’emploi (suite) Selon le CNP 1122, les perspectives d'emploi dans cette profession sont bonnes pour la province de Québec.
« Les débouchés proviendront en premier lieu des postes libérés par les professionnels des services aux entreprises de gestion qui prendront leur retraite ou qui obtiendront des promotions à des postes de gestion, mais aussi de la création d'emplois. » Mise à jour juillet 2008Mise à jour juillet 2008
40. 40 Le marché en communication : les tendances de l’emploi (suite) « Le niveau d'activité des services de publicité dépend fortement de la croissance économique, de la popularité de la publicité conçue localement et du développement de nouveaux créneaux. »
« La forte augmentation de l'emploi dans ce secteur au cours de la deuxième moitié des années quatre-vingt-dix s'explique à la fois par la vigueur de la croissance économique et par la hausse de la proportion de la publicité conçue localement, beaucoup mieux adaptée aux caractéristiques des consommateurs québécois. »
Selon Les affaires janvier 2010
L’Industrie publicitaire québécoise, reconnue pour son dynamisme et sa créativité, traverse des jours difficiles. Depuis l’an 2000, elle aurait perdu plus de 100 millions de dollars, selon l’Association des agences de publicité du Québec (AAPQ) qui a mis en place une stratégie pur protéger cette industrie, qui soutien 60 000 emplois et génère des retombées de 5,2 milliards de dollars.
Les causes de cette érosion sont multiples. « La migration des centres décisionnels hors du Québec fait mal, constate Yanik Deschênes, pdg de l’AAPQ. De Montréal, ils sont passés à Toronto, New York, Londres…Aussi, l’avènement de nouveaux médias et plateformes technologiques a entraîné ;a fragmentation des budgets publicitaires. Sans compter que les agences québécoises doivent de plus en plus cmposer avecla concurrence venue du monde entier. Autre tuile : les annonceurs tendent à réduire leurs dépenses en publicité, une tendance aggravée par la crise économique mondiale.Selon Les affaires janvier 2010
L’Industrie publicitaire québécoise, reconnue pour son dynamisme et sa créativité, traverse des jours difficiles. Depuis l’an 2000, elle aurait perdu plus de 100 millions de dollars, selon l’Association des agences de publicité du Québec (AAPQ) qui a mis en place une stratégie pur protéger cette industrie, qui soutien 60 000 emplois et génère des retombées de 5,2 milliards de dollars.
Les causes de cette érosion sont multiples. « La migration des centres décisionnels hors du Québec fait mal, constate Yanik Deschênes, pdg de l’AAPQ. De Montréal, ils sont passés à Toronto, New York, Londres…Aussi, l’avènement de nouveaux médias et plateformes technologiques a entraîné ;a fragmentation des budgets publicitaires. Sans compter que les agences québécoises doivent de plus en plus cmposer avecla concurrence venue du monde entier. Autre tuile : les annonceurs tendent à réduire leurs dépenses en publicité, une tendance aggravée par la crise économique mondiale.
41. 41 Le marché en communication : les tendances de l’emploi (suite) « Le niveau moins élevé de la croissance économique ainsi que la recrudescence du nombre d'adaptations et de traductions de messages publicitaires conçus et même réalisés à l'étranger pourraient expliquer en grande partie la plus faible croissance des revenus et de l'emploi dans cette industrie depuis le tournant du siècle. »
« Si la publicité traditionnelle à la télévision et dans les journaux et revues semble plafonner, de nouveaux créneaux se sont ouverts graduellement à la publicité. » Exemple : placement de produits (utilisation d'un produit ou apparition d'une marque dans l'action d'un film ou d'une émission de télévision), affichage sur les immeubles, dans les ascenseurs et les toilettes des bars, affichage électronique aux points de vente et dans les endroits publics, percées dans les écoles et les hôpitaux, publicité invisible (où des acteurs vantent un produit ou un service dans des lieux publics). Chacun de ces créneaux exige une approche particulière et vise une clientèle bien définie.
Exemple : placement de produits (utilisation d'un produit ou apparition d'une marque dans l'action d'un film ou d'une émission de télévision), affichage sur les immeubles, dans les ascenseurs et les toilettes des bars, affichage électronique aux points de vente et dans les endroits publics, percées dans les écoles et les hôpitaux, publicité invisible (où des acteurs vantent un produit ou un service dans des lieux publics). Chacun de ces créneaux exige une approche particulière et vise une clientèle bien définie.
42. 42 Le marché en communication : les tendances de l’emploi (suite) « La publicité sur Internet et dans les chaînes de télévision spécialisées permet par exemple de toucher des clientèles bien ciblées selon les sites qu'elles visitent et les émissions qu'elles écoutent. Soulignons à cet égard que, même si elle connaît un niveau de croissance spectaculaire, la publicité sur Internet, y compris la publicité par courriel, représentait toujours en 2007 moins de 10 % du total des dépenses publicitaires au Canada, selon le Bureau de la publicité interactive du Canada. »
Malgré la montée du WEB, la pub traditionnelle a encore sa place (Les affaires janvier 2010)
S’ils reconnaissent la pertinence des véhicules publicitaires émergents, comme le web 2,0 et les applications mobiles, les auteurs affirment que ceux-ci n’ont pas l’efficacité de la télévision, des journaux, des magazines et de la radio pour rejoindre de grands bassins démographiques. Or, les médias de masse, qui ont des coûts fixe élevés, sont fragilisés parce que les annonceurs déplacent une partie de leurs budgets publicitaires vers les nouveaux médias.
American Idol attire plus de 20 millions de téléspectateurs …Même les vidéos les plus populaires de Youtube ne peuvent atteindre une telle audience en un mois ou en trois.Malgré la montée du WEB, la pub traditionnelle a encore sa place (Les affaires janvier 2010)
S’ils reconnaissent la pertinence des véhicules publicitaires émergents, comme le web 2,0 et les applications mobiles, les auteurs affirment que ceux-ci n’ont pas l’efficacité de la télévision, des journaux, des magazines et de la radio pour rejoindre de grands bassins démographiques. Or, les médias de masse, qui ont des coûts fixe élevés, sont fragilisés parce que les annonceurs déplacent une partie de leurs budgets publicitaires vers les nouveaux médias.
American Idol attire plus de 20 millions de téléspectateurs …Même les vidéos les plus populaires de Youtube ne peuvent atteindre une telle audience en un mois ou en trois.
43. 43 Le marché en communication : les tendances de l’emploi (suite) « Malgré ces bonnes perspectives, la concurrence demeurera très forte pour accéder aux débouchés de cette spécialité. Cela dit, il y aura toujours de la place pour des concepteurs de talent qui sauront se faire un nom dans l'industrie. »
Source : http://www.servicecanada.gc.ca/fra/qc/emploi_avenir/statistiques/1122.shtml