1 / 50

Dynamique et Thermodynamique nucléaire Rémi Bougault LPC ENSICAEN-IN2P3/CNRS

Dynamique et Thermodynamique nucléaire Rémi Bougault LPC ENSICAEN-IN2P3/CNRS. Prospective IN2P3/CNRS DAPNIA/CEA (oct. 2004). Dynamique et thermodynamique. COLLISIONS D’IONS LOURDS Super-lourds (autour de la barrière) Spallation (au GeV/A)

avital
Download Presentation

Dynamique et Thermodynamique nucléaire Rémi Bougault LPC ENSICAEN-IN2P3/CNRS

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Dynamique et Thermodynamique nucléaireRémi Bougault LPC ENSICAEN-IN2P3/CNRS Prospective IN2P3/CNRS DAPNIA/CEA (oct. 2004)

  2. Dynamique et thermodynamique COLLISIONS D’IONS LOURDS • Super-lourds (autour de la barrière) • Spallation (au GeV/A) • Equation d’état de la matière nucléaire : E(T, rn, rp) « du qualitatif au quantitatif »

  3. Super-lourds Super-lourds Comment les produire ? Noyaux stables Noyaux connus Où est l’île de stabilité ? Noyaux inconnus

  4. Processus de synthèse des super-lourds Quasi-fission (τ ~10-20s) Fusion Noyau composé excité Fission(τ≥10-18s) Désexcitation par émission de neutrons Elément Super-lourd ! (τ≥ 10-14s) Décroissance b Décroissance a Décroissance par fission

  5. Super-lourds Comment les produire DYNAMIQUE DE CAPTURE DES NOYAUX LOURDS & SUPER-LOURDS Détection des neutrons : séparation fission et quasi-fission Stuttgé (2004) Programme Demon – Château de crystal – Corset

  6. Super-lourds Ilot de stabilité Mesure du temps de fission : hauteur barrière de fission Calcul Expérience 238U+Ni 6.62 MeV/nucléon tlim 10-18 s Z Ni élastique Ni inélastique Quasi-fission (Ni) Quasi-fission (U) &Fusion fission U Fission séquentielle A Morjean et al.(2004) Programme de mesure par « crystal blocking »

  7. Processus de spallation ETUDE DE LA SPALLATION au FRS-GSI Armbruster et al. PRL(2004) Mesures inclusives liées à « Accelerator Driven System »

  8. Processus de spallation ETUDE DE LA SPALLATION au FRS-GSI Modèle=voie d’entrée+voie de sortie (cascade intra-nucléaire+désexcitation) 1 A.GeV U+p Données/Modèle 1 A.GeV Pb+p Données/Modèle Fission Fission 60 240 0 200 Masse Atomique Masse Atomique Programme de mesure SPALLADIN au GSI (voir S. Leray)

  9. break-up evaporation abrasion Spallation : “au-delà de la fission” Température>0 Identification en A et Z mais mesure inclusive Programme SPALLADIN & R3B

  10. Equation d’état à T>0

  11. Thermodynamique nucléaire isothermes Transition du type Van der Waals (liquide-gaz) attendue

  12. A-t multi fragmentation Coups t=2.64 Numéro atomique J. Finn et al. PRL(1982) Phénomène critique :loi d’échelle . Multifragmentation Point Critique n(A)=q0.A-t gaz liquide coexistence liquide-gaz Température Densité Distance au point critique n(A)=q0.A-t.exp(-c0(T-Tc)As/T) Modèle de Fisher (liquide-gaz)

  13. Situation en 1982 : A-t t=2.64 J. Finn et al. PRL(1982) n(A)=q0.A-t.exp(-c0(T-Tc)As/T) Lois d’échelle Multifragmentation n(A)/q0.A-t Mesures inclusives vs mesures exclusives (T-Tc)As/T Système fini : ligne de Kertész EOS PRC(2003)

  14. n(A)=q0.A-t.exp(-c0(T-Tc)As/T) Lois d’échelle Multifragmentation n(A)/q0.A-t Calculs Lattice F. Gulminelli et al. PRC(2003) C o o n(A)=q0.A-t (T-Tc)As/T Système fini : ligne de Kertész EOS PRC(2003)

  15. Classes d’Universalité • Modification de la forme de la distribution de la taille du plus gros fragment avec l'énergie • Deux distributions universelles décrivent les données “renormalisées”. Il existe une énergie de transition qui dépend de la masse du système • Nécessite la mesure exclusive de tous les produits de réaction (bonne sélection) y compris le plus gros fragment. (collisions centrales Xe+Sn) Collaboration INDRA

  16. Loi d’échelle & Universalité (*=erreur statistique uniquement) Loi d’échelle existe : transition de phase Quantifier : extraire les paramètres critiques avec précision

  17. Natowitz PRC(2002) Courbe calorique ALADIN PRL(1995)

  18. Courbe caloriques Natowitz PRC(2002) Taille du système = limite coulombienne A=30-60 A=60-100 A=100-140 Tlimite = « quenching » de la densité de niveaux = multifragmentation A=140-180 • Besoin de précision sur • - Thermomètres • Energie d’excitation A=180-240

  19. σ2/T2 Paysage thermodynamique Particularité des systèmes finis Ph.Chomaz, F.Gulminelli PRL(2000) p = cte T V = cte pression energie La courbe calorique dépend de la transformation Toujours grandes fluctuations Courbe calorique a Types de courbes caloriques

  20. Fluctuations et capacité calorifique Fluctuations d’énergie partielle (Ek =E*-Eint) Multics NPA(2002),NPA(2003) INDRA NPA(2002) Obtenu par des mesures de corrélations Besoin de quantifier & comprendre l’influence de la dynamique

  21. multi fragmentation Transition de phase et spinodale Signal fossile de décomposition spinodale (Xe+Sn central collisions) INDRA Spinodale : zone de Compressibilité négative Obtenu par des mesures de corrélations en Z (doit être confirmé par des mesures à haute statistique)

  22. a=0 a=0.5 a=0.8 Matière symétrique Matière asymétrique Spinodale versus N/Z spinodale Multifragmentation : formation des fragments N/Z Prévision théorique : Baran et al.PRL(2001) Réduction de la spinodale

  23. Spinodale versus N/Z a=0 a=0.5 a=0.8 Matière symétrique Matière asymétrique INDRA INDRA Xe+Sn 32 A.MeV INDRA Xe+Sn 32 A.MeV equivalence lien

  24. Equation d’état nucléaire à T=0 DENSITY DEPENDENT HADRON FIELD THEORY H. Lenske (Giessen)

  25. Matière neutronique pure 18 Skyrme Piekarewicz, Horowitz ACS2004 B.P. Brown PRL(2000) Densité neutron (neutron/fm3) Equation d’état : E(r,(N-Z)/A) Mauvaise connaissance de Esym(r) même à la densité de saturation

  26. projectile cible Esym(r) : observable 124,112Sn+124,112Sn à 50 A.MeV collisions périphériques fragments du projectile Système symétrique Pas de diffusion Système asymétrique Avec faible diffusion Esym(r) régule l’équilibration en isospin Système asymétrique Avec forte diffusion b/bmax>0.8 Système neutron riche Système proton riche Très exotique = grand bras de levier MSU : Tsang PRL(2004)

  27. BUTS - Super-lourds : dynamique de la réaction - Equation d’état E(T, rn, rp) : croiser les signaux de transition de phase,passer du qualitatif au quantitatif, rôle de la dynamique sur la transition de phase, dépendance en densité de l’énergie de symétrie - Spallation : production de faisceaux exotiques, ADS, mesures complémentaires Noyau+p vs Noyau+Noyau Mesures exclusives et corrélations, identification en Z et A (non à ce jour au-delà de Z=5 sur 4p), neutrons. Faisceaux exotiques à des « énergies de multifragmentation » etqui permettent un échange d’isospin entre le projectile et la cible.

  28. OUVERTURE Astrophysique : • EOS-nucléaire utilisée dans les modèles (Ex. Refroidissement des étoiles à neutrons contrôlé par l’énergie de symétrie) • Multifragmentation (c.f. J. Margueron) Physique statistique : • Transition de phase, systèmes finis, systèmes fermioniques, phénomènes critiques, coexistence de phases dans les systèmes à deux composants, … Lien avec structure nucléaire Lien avec QGP

  29. b/bmax>0.8 Esym(r) : « Isoscaling » Y2/ Y1 Isoscaling : Y(12C+124Sn)/Y(12C+112Sn) Isoscaling : Y(124Sn+124Sn)/Y(112Sn+112Sn) e0.31N e0.25N Y(C+124Sn)/Y(C+112Sn) e0.36N e0.32N e0.62N e0.52N INDRA : Lefèvre soumis(2004) MSU : Tsang PRL(2004)

  30. Esym(r) : « Isoscaling » Y2/ Y1 Isoscaling (50 A.MeV Sn+Sn) Même système de référence Projectile=124Sn R(a124+124) Y(124Sn+124Sn)/Y(112Sn+112Sn) R(a124+112) Y(124Sn+112Sn)/Y(112Sn+112Sn) Projectile=112Sn R(a112+124) Y(112Sn+124Sn)/Y(112Sn+112Sn) R(a112+112) Y(112Sn+112Sn)/Y(112Sn+112Sn) MSU : Tsang PRL(2004) Pas d’équilibration en N/Z entre le projectile et la cible

  31. asy- stiff asy- soft BUU asy- soft asy- stiff Esym(r) : modèle Isoscaling (50 A.MeV Sn+Sn) Données Modèle de transport: variable 1-corps MSU : Tsang PRL(2004) Dépendance en densité de Esym

  32. BUTS - Super-lourds : dynamique de la réaction - Equation d’état E(T, rn, rp) : croiser les signaux de transition de phase,passer du qualitatif au quantitatif, rôle de la dynamique sur la transition de phase, dépendance en densité de l’énergie de symétrie - Spallation : production de faisceaux exotiques, ADS, mesures complémentaires Noyau+p vs Noyau+Noyau Mesures exclusives et corrélations, identification en Z et A (non à ce jour au-delà de Z=5 sur 4p), neutrons. Faisceaux exotiques à des « énergies de multifragmentation » etqui permettent un échange d’isospin entre le projectile et la cible.

  33. OUVERTURE Astrophysique : • EOS-nucléaire utilisée dans les modèles (Ex. Refroidissement des étoiles à neutrons contrôlé par l’énergie de symétrie) • Multifragmentation (c.f. J. Margueron) Physique statistique : • Transition de phase, systèmes finis, systèmes fermioniques, phénomènes critiques, coexistence de phases dans les systèmes à deux composants, … Lien avec structure nucléaire Lien avec QGP

  34. FIN

  35. Ligne de Kertesz (systèmes finis)

  36. Ouverture : Astrophysique (EOS utilisée dans les modèles) Ex. Refroidissement des étoiles à neutrons : suivant l’EOS, le processus URCA-direct peut être stoppé (fraction en électrons contrôlée par l’énergie de symétrie).

  37. INDRA Situation actuelle

  38. Beam Investissement R3B

  39. A and Z identification for quantitative measurements Collective energy (not deduced from models) Improve excitation energy measurements

  40. Isospin will help dynamics fragment evidence Collision induced correlations INDRA IWM(2003)

  41. MESURER l’équation d’état : besoin de faisceaux exotiques & de détection adaptée (Z, A) – Rôle de la compression Equation d’état et N/Z Muller, Serot PRC(1995) Mulifragmentation à basse T pour matière exotique

  42. Phénomènes critiques Lois d’échelle Universalité Renormali- sation

  43. Experimental results at Orsay Tandem (raw signal) Average signal on ≈1000 pulses (NTD 200 mm2) E = 80 MeV Second order moment of current pulses a isotopic discrimination No isotopic discrimination for 600 and 1700 mm2 with M2 (H. Hamrita et al. NIM)

  44. break-up evaporation abrasion Modèle et données break-up abrasion evaporation 238U three stage model ● 238U + Ti (1GeV/A) ●238U + Pb (1GeV/A) Besoin de mesures exclusives Température isospin La distribution isotopique mesure la température des fragments au break-up Identification en A et Z mais mesure inclusive

  45. Justification (fission – spallation) Accelerator Driven System (voir S. Leray) OUVERTURE Astrophysique : Production stellaire des Actinides (fission) versus nucléo-cosmochronologie

  46. NEUTRON STAR STRUCTURE

  47. n(A)=q0.A-t.exp(-c0(T-Tc)As/T) Lois d’échelle Multifragmentation F. Gulminelli et al. PRC(2003) n(A)/q0.A-t Calculs Lattice n(A)=q0.A-t (T-Tc)As/T Système fini : ligne de Kertész EOS PRC(2003)

  48. Loi d’échelle : le + gros frgt. Situation en 1982 : INDRA : R. Botet et al. PRL(2001), PRC(2004) J. Finn et al. PRL(1982) D - scaling

  49. Transition de phase Liquide Multifragmentation Vaporisation Augmentation de E* Distribution du plus gros fragment – collisions centrales Xe+Sn BOILING NUCLEI 25 A.MeV 39 A.MeV 50 A.MeV Collaboration INDRA

  50. a=0 a=0.5 a=0.8 Matière symétrique Matière asymétrique Spinodale versus N/Z INDRA Xe+Sn 32 A.MeV INDRA Xe+Sn 32 A.MeV EQUIVALENCE

More Related