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Dénonciations à Postes-Canada. M.G. St-Onge De 1999 à 2003, le plaignant maître poste-adjoint, avisait la direction de Postes-Canada et son syndicat du climat de travail défectueux suite à un parachutage d’influence. Les objectifs visés par le recours au médias.
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Dénonciations à Postes-Canada M.G. St-Onge De 1999 à 2003, le plaignant maître poste-adjoint, avisait la direction de Postes-Canada et son syndicat du climat de travail défectueux suite à un parachutage d’influence.
Les objectifs visés par le recours au médias • Inciter les ministres à prendre position en regard de la loi sur les dénonciateurs. • Dénoncer publiquement le climat de terreur qui contraint au silence le syndicat en conflit d’intérêt. • Sensibiliser la population au sujet du harcèlement au travail. • Éliminer les chevauchements de juridiction entre ministères servant de prétexte à ne pas intervenir.
Les objectifs visés par le recours au médias • Demander au ministre de la justice fédérale de criminaliser le harcèlement au travail. • Obtenir une collaboration de la part des élus et prendre position. • Obtenir du secours de la part d’un avocat qui viendrait en aide au plaignant.
Les objectifs visés par le recours au médias • Obtenir de l’aide financière de la part du public dans un fonds attribué à cet effet. • Être indemnisé par le fonds d’indemnisation des victimes d’actes criminels.
Les objectifs visés par le recours au médias • Remercier les premiers ministres de mettre en branle les postes de Directeur des Poursuites publiques visant à: • Assainir la fonction publique fédérale et provinciale; • Normaliser le statut des dénonciateurs.
La Situation • Michel-Guy St-Onge renonce à son métier de maître-poste adjoint et réclame justice • Il demande à ce qu’une pré-enquête criminelle puisse faire la lumière sur des actes irresponsables qui constituent en soi une véritable torture criminelle; • Il demande de recevoir une accommodation pécuniaire acceptable selon des conditions justes et équitables.
Comment cela a t’il pu arriver? • Le plaignant a osé dénoncer un climat de travail inacceptable dans son milieu. • Le plaignant a ensuite été écarté par la direction et par son propre syndicat placé en conflits d’intérêt de le défendre.
Comment cela a t’il pu arriver? • On a laissé perduré une situation sans intervenir à la source du problème. • On a forcé le plaignant à se faire soigner pour dépression mentale. • On l’a contraint à absorber des médicaments sévères et inutiles pour lui justifier d’être absent de son travail et lui faire encaisser en silence son tourment . • On l’a privé de ses revenus et fait souffrir jusqu’à ce qu’il menace verbalement de faire mine de se venger. • On lui fait porter l’entière responsabilité d’assumer les lacunes soulignées et de devoir s’en défendre. • On le prive ensuite de sa capacité de se défendre en invoquant des prescriptions discriminatoires face à du laxisme à intervenir. • On considère le requérant responsable de pouvoir bien gérer un grief de harcèlement dont il n’est pourtant pas maître et ce malgré l’avoir considéré assez handicapé psychologiquement : • au point d’avoir fait intervenir la police pour lui éviter son suicide; • au point d’avoir dû palier à son incapacité de rédiger les formulaires nécessaires permettant d’obtenir assistance. • au point d’avoir dû négocié pour lui un paiement de loyer différé afin de compenser sa carence de revenu. • On considère le requérant suffisamment responsable pour ne pas bénéficier de l’assurance salaire, dès que la loi provinciale sur le harcèlement entre entre en vigueur. • Ensuite l’on prétend que le plaignant a moins de droit qu’un travailleur québécois sous prétexte qu’il travaille pour une instance fédérale; • On se retranche derrière une prescription de 90 jours au fédéral alors qu’elle est de 180 au Québec comme motifs de ne pas considérer intervenir; • On néglige malgré tout de remettre un grief en branle même après en avoir été avisé par une plainte formelle de pratique déloyale au travail.
Comment cela a t’il pu arriver? • On l’a dénoncé au criminel avec des accusations frivoles et diffamé honteusement. • On le maintien sans revenus en état d’insécurité permanente. • On néglige alors qu’il y sont tenus, de lui assurer un milieu convenable ou de le dédommager. • On le force à accepter une mise à la retraite prématurée sans la lui verser par la suite. • On lui cause une douleur psychologique susceptible avec des conséquences probables de vouloir lui faire commettre un geste regrettable et d’espérer pouvoir s’en plaindre par la suite.
Comment cela a t’il pu arriver? • On laisse le plaignant à la rue à la faillite sans subsistance et sans indemnité d’assurance. • On lui cause une douleur psychologique susceptible avec des conséquences probables de vouloir lui faire commettre un geste regrettable et espérer pouvoir s’en plaindre par la suite.
Des gestes criminels • Ensuite on porte des accusations criminelles sans fondement ni la moindre preuve d’intention. • On ne se présente pas au procès pour venir supporter et on tente d’utiliser la seule « preuve » qui subsiste, une réaction du plaignant alléguant vouloir faire réagir pour se sortir de sa situation précaire. • On exerce des pressions et trouve des prétextes pour qu’il ne puisse pas se faire défendre en cour criminelle.
Situation actuelle du plaignant • Le plaignant se trouve à la limite extrême de ses ressources financières; • Le plaignant sans dossier criminel donc exclus de l’aide juridique doit en plus défrayer un avocat pour se défendre contre ses abuseurs. • Le plaignant assume à lui seul l’entière responsabilité des failles du système.
Situation avec le syndicat • Le syndicat semble trouver normal que le plaignant soit écarté aux motifs d’avoir porté une plainte de harcèlement au travail. • Le syndicat limite ses accommodations envers le plaignant juste lorsqu’il s’agit d’accélérer et faciliter son départ vers la sortie ou la voie de garage. • Le syndicat refuse de faire la moindre démarche pour résoudre le conflit.
Situation avec Postes Canada • Récemment Poste Canada avisait le plaignant alléguant qu’elle se dissociait complètement du dossier prétextant qu’elle n’avait rien à ajouter à la réponse du syndicat. • Postes Canada s’empresse de verser une lamentable pension neuf mois plus tard, dès que le plaignant riposte au criminel contre sa torture.
Situation avec la Commission des Relations du Travail • La Commission des Relations du Travail se croise les bras et se désiste du dossier en affirmant qu’elle ignore comment intervenir en matière de harcèlement psychologique et que le plaignant doit lui démontrer pourquoi elle se devrait d’intervenir • La Commission insinue que le plaignant aurait du savoir où porter sa plainte malgré la prescription expirée au fédéral et pourtant encore valide au provincial.
Situation avec la Cour de Joliette • Le procureur transforme le conflit de travail en plainte criminelle dirigée contre le plaignant. • Le procureur refile le dossier au nouvel arrivé lorsque vient le temps de s’en justifier. • La plainte persiste malgré la volonté de la plaignante à s’en désister, son absence et celle des policiers assignés à témoin. • Le juge omet d’intervenir pour faire accommoder le plaignant malgré sa requête de le faire.
Situation Conseil Canadien des Relations Industrielles • Le plaignant a pourtant été reconnu comme ayant fait ses preuves dans un autre bureau de poste. • Le Conseil Canadien des Relations Industrielles se croise les bras et attend l’issue du débat criminel sans d’intervenir.
Situation l’Assureur en invalidité • L’assureur s’empresse de refuser de poursuivre ses prestations d’indemnisation au lendemain de la mise en vigueur des nouvelles dispositions de la Loi sur les normes du travail qui interdisent le harcèlement au travail. • et malgré que le plaignant soit toujours considéré sous traitement médical par son médecin personnel.
Justice doit être rendue • Pour éviter que cette situation ne perdure • Pour créer un précédant qui va servir à d’autres pris dans cette situation • Pour modifier la loi afin de faciliter l’accès à la justice d’un individu pris en situation de replis dans les mailles d’un système discriminatoire. • Pour mettre sur pied les ressources nécessaires pouvant intervenir adéquatement avant qu’il ne soit nécessaire d’avoir à faire appel aux tribunaux.
Sommaire • Les médias d’information assument leur rôle de gardiens des valeurs fondamentales de la conscience collective; • Ils contribuent fortement à améliorer le climat social en dénonçant les injustices et faisant pression sur les organismes susceptibles d’intervenir.
Pour plus amples informations Consulter: http://justivoix.com/